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Mégille

Tribun de la Plèbe
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Tout ce qui a été posté par Mégille

  1. Dis tu. Il ne me semble pas évident du tout qu'une paire ou un groupe ou une caractéristique commune soit uniquement une construction mentale. Évidemment, il faut une opération psychologique pour la concevoir, mais il en va de même pour de chose particulière. Une relation, par exemple, me semble être un objet abstrait clairement objectif. "Édimbourg est au nord de Londres" est une affirmation à propos de Édimbourg et de Londres, pas à propos de moi regardant une carte. Si la relation "être au nord de" est une réalité objective, alors, toutes les paires d'objets pour qui elle est vraie le sont aussi, puisque ce n'est pas par la magie de mon esprit les pensants qu'elles se trouvent entre elles dans cette relation. De même, je ne suis pas sûr du tout que chaque électron soit un objet individuel tout à fait singulier, auxquels seuls une grossière simplification, un peu gratuite, de notre part attribuerait exactement la même masse, la même charge et le même spin. Mais il est possible de répondre à ça en remettant en cause l'existence des particules, donc je passe. Quoi qu'il e soit, si on admet la réalité et l'objectivité des relations, je ne vois pas pourquoi on ne le ferait pas des ensembles d'objets en relation entre eux, des prédicats unaires, etc. Soit, peut-être que le champ de la psychologie auquel il s'intéresse est suffisamment cloisonné et bien délimité pour qu'il n'ait pas besoin de regarder ce que font les autres psychologues. Mais il est d'autant plus séparé d'eux par sa méthode : le mathématicien serait-il resté à un stade introspectif et pré-scientifique de la psychologie ? Obtiendrait-il des résultats plus exacts s'il faisait des statistiques à partir de la façon dont les gens calculent, plutôt que de calculer lui même ? Et en amont, faire des statistiques à partir de comment les gens font des statistiques pour savoir comment faire des statistiques ? Ce qui est d'autant plus surprenant est que tout en ayant, pour de la psychologie, une méthode pré-scientifique, les mathématiques obtiennent des résultats plus fiables que n'importe quelle "autre branche de la psychologie". Le psychologue constatera que l'erreur (a+b)^2=a^2+b^2 est beaucoup plus fréquente que l'erreur "(a+b)^2=100, quelque soit a et b". Ce sera un fait de l'esprit tout à fait important pour lui, c'est précisément l'objet de sa science. Alors que le mathématicien, lui, s'en fout. D'ailleurs, parfois (a+b)^2=100 est vrai aussi, hein. C'est une chose que de dire que deux choses sont incohérentes, c'en est une autre de dire laquelle des deux est vraie (et si l'une est vraie). D'ailleurs, il est assez remarquable que l'incohérence dont parle le mathématicien ne soit pas du tout la même que celle dont parle le psychologue. En mathématique, un énoncé incohérent est un énoncé tel que tout est vrai. De 1=0, je peux déduire que le monstre du Loch Ness existe. Pour un système formel, être cohérent signifie "admettre qu'au moins un énoncé est faux". Alors que les psychologues, de leur coté, observent rarement leurs cobayes dire "tient, ceci est un lapin mais à la fois c'est non pas un lapin mais un canard ; donc la Terre est plate".
  2. J'ai souvent vu des féministes vanter "the rock" comme modèle de masculinité non-toxique. Ce petit gars, c'est un efféminé comme un autre. Rien de neuf. Et il y a ironiquement un coté masculin à sa façon de vouloir braver les interdits, même si l'interdit en question est celui de ne pas être masculin.
  3. Prend-t-il vraiment pour objet des généralités de sa pensée, ou bien des généralités concernant les objets de sa pensée ? Il me semble que les mathématiques ont une prétention à l'universalité qui ne serait pas satisfaite si elles étaient simplement une théorie du fonctionnement contingent de l'être humain. Et puis, rappelons que de fait, le mathématicien (même le constructiviste et l'intuitionniste) n'a pas vraiment besoin du psychologue pour faire ses recherches. Autre remarque (qui n'est évidemment pas de Husserl) : si la logique est une partie des mathématiques, j'imagine que l'informatique théorique aussi ? Un programme informatique est-il un fait mental humain, et rien d'autre ? Pourtant, je vois des lettres apparaître sur mon écran au fur et à mesure que je tape sur mon clavier, et je suis à peu près sur que ce qui se passe dans la machine n'a pas lieu dans ma tête. Sauf si des deux, logique et psychologie, l'un s'avère incapable de fonder l'autre. Et je doute qu'un discours descriptif portant sur des faits particuliers puisse fonder un discours normatif et universel. Il y a deux sauts qui seraient fait de façon tout à fait illégitime. Je laisse la question de la pathologie de coté, parce qu'elle est peut-être un peu différente (il y a un jugement de valeur dans la notion de pathologie/normalité, et ça rejoint d'autres questions en philosophie de la médecine). Il me semble que les illusions et les biais relèvent du fonctionnement normal de l'esprit. Les petits dessins de la gestalt theorie, par exemple, ne cherchent pas seulement à montrer ce qui se passe quand l'esprit se trompe, ce qui nous intéresse est ce qui se passe quand il ne se trompe pas, à savoir, la même chose. On peut en dire autant des biais cognitif. Or, une erreur en mathématique ou en logique n'est pas la marge d'erreur d'une règle "à peu près vraie/utile la plupart du temps". Ceci dit, peut-être qu'effectivement, le psychologue ne devrait pas avoir le droit de dire "ceci est un raisonnement biaisé", "ceci non", ou pire "ceci est un jugement biaisé vrai, ceci, un jugement biaisé faux". Parce qu'à chaque fois qu'il dit ça, il dit quelque chose non seulement sur l'esprit qu'il étudie, mais aussi sur ce qu'il y a hors de lui, et donc qui échappe au discours strictement psychologique.
  4. Il se critique surtout son propre précédent bouquin (La philosophie de l'arithmétique), dans lequel il tentait d'expliquer le concept de nombre par sa genèse psychologique. Puis Frege lui a envoyé une lettre assez violente, lui disant, entre autre, que le mathématicien ne créé par plus les objets mathématiques que l'océanographe ne créé mentalement les océans, et que cette extériorité de l'objet de la recherche au chercheur est la condition pour qu'il puisse y avoir quoi que ce soit à chercher. (remarquons qu'il y a aussi une genèse psychologique de l'idée d'océan chez l'océanographe, mais ce n'est pas pour autant que sa science à pour objet ses propres faits mentaux). Le truc c'est que la psychologie, comme science, repose sur un usage de la logique. Elle la suppose donc plus qu'elle ne la fonde. Mais l'argument majeur de Husserl est qu'une théorie de la connaissance, une logique au sens large où il l'entend, doit être normative. Elle doit discriminer un "bon" raisonnement d'un "mauvais". Elle est un discours en terme de "il faut" plus que de "il y a". Or, la psychologie, comme science des faits mentaux, est seulement descriptive. Donc si la logique n'était rien d'autre que de la psychologie, elle ne serait même pas en mesure de dire qu'elle est vraie, ou qu'elle est plus correcte que n'importe quelle autre théorie, puisqu'il s'agirait d'un jugement normatif, ce qu'elle ne permet pas. Les psychologistes font toujours revenir les jugements normatifs par la porte d'à coté, mais du coup, en introduisant autre chose que de la psychologie. Tu parles par exemple d'erreur de perception et d'erreur de mémoire. Mais est-ce que la différence entre une vraie et une mauvaise perception réside vraiment dans la perception elle-même ? Est-ce que, seulement en scrutant, d'une façon ou d'une autre, la pensée de quelqu'un, on peut déterminer si sa perception ou son souvenir sont ou non des erreurs ? Ou bien est-ce qu'il ne faudra pas plutôt regarder à l'extérieur, et comparer à la chose perçue ?
  5. Par contre, malheureusement, wikirouge est déjà pris.
  6. Que faire des maths une branche de la psychologie mène au scepticisme absolu et fait perdre toute légitimité à la psychologie qui voudrait fonder les maths, en gros ! Considères tu que la logique est elle aussi une branche de la psycho ?
  7. Qu'une seule solution : avoir trois assistantes. La main gauche est moins agile, et c'est chiant faire les choses soit même. Evidemment figurines warhammer, quoi d'autre ? Triggered : ça laisse insinuer que les sextoys à usage, par exemple vaginal, sont non-gender-neutral, et donc que seuls les femmes ont des vagins ? Tellement réactionnaire. Sinon, rien de neuf. Il y a déjà des tonnes de jouets qui peuvent être utilisés par tout le monde.
  8. Tu veux un wiki biaisé en faveur du libéralisme qui fait semblant de ne pas l'être ? Ce serait un peu perfide, tu ne trouves pas ? Libre à toi d'enrichir wikipédia d'informations sur l'idée de banque libre, ou sur le contenu du livre de Hayek sur la concurrence des monnaies, si tu l'as lu.
  9. Ce que je ne comprends pas c'est : lorsque de nouveau libra sont émis, dans les mains de qui vont-ils ? Il y aura des "mineurs" de libra, comme pour btc ? Un peu plus décentralisé qu'une banque centrale, non ? (même si moins qu'une vraie crypto) Mais ok pour la soumission aux états. Ceci dit, ça semble une étape nécessaire pour que les monnaies privées commencent à prendre de la place. Et ça pourrait être utile pour le Venezuela lorsqu'il commencera à sortir de la crise.
  10. Le "panier de réserves", c'est les libra qui n'ont pas encore été acheté ? (les banques centrales n'ont pas de réserve et les blockchains en ont, wtf) C'est un assez petit progrès. Mais ça pourrait avoir du bon. Ils ont toujours internet, au Venezula ? (dans 3 ans ça il faudra le renommer "république du Facebook-petroland")
  11. Du coup, concrètement, c'est juste une monnaie fiat de plus dans le système des changes flottants, mais sans avoir un état en particulier derrière, et avec quelques "blockchains privées" en guise de banque centrale ? Comment marchera leur création monétaire ? J'imagine que pour être indexé sur les autres grosses monnaies, il faudra qu'elle enfle en même temps qu'elles. Mais où apparaîtrons les nouveaux sous ? Si c'est dans le porte monnaie de ceux qui en ont déjà, c'est plutôt chouette.
  12. As tu lu ceci ? https://www.puf.com/content/Recherches_logiques_Tome_1_%3A_Prolégomènes_à_la_logique_pure
  13. Elle est très bien cette jeune fille. Elle est vraiment socialiste ? C'est qu'elle n'a pas encore bien examiné la chose. Vite, donnez lui du Hayek. On a de la graine de Tatcher, là. (et ❤️ pour la seconde et demi de "warrior of the world" de Manowar en fin de vidéo)
  14. Oui, c'est plus fun quand le philosophe vient spéculer sur ce qui va se passer, mais à partir de ce moment, il cesse de strictement analyser des concepts, et il se met à jouer les devins. Peut-être qu'il devinera juste, et peut-être qu'il suggérera quelque chose auquel personne d'autre n'aurait pensée. Mais si il prétend avoir déduit a priori le résultat d'une expérience, c'est sans doute une entourloupe. Vis-à-vis des sciences, la philo bosse surtout au niveau de la framework, en amont de l'expérience. Un peu comme les maths. Bien que déduit/construit de façon a priori, une preuve mathématique n'est jamais un dogme arbitraire, elle est toujours vulnérable à la critique d'autres mathématiciens (mais qui ne pourront utiliser contre elle que d'autres arguments a priori). Idem pour la philo. Ca peut sembler moins rigoureux, mais aucune science n'est capable de s'exprimer seulement en langage formelle (contrairement aux espoirs des néopositivistes), il faut donc, tant bien que mal, aussi travailler à la racine les concepts que l'on signifie par le langage naturel. Ce n'est pas falsifiable au sens popperien (les maths non plus), mais ce n'est jamais une affaire de doctrines à avaler sans poser de question. Ou alors, ce n'est plus de la philo.
  15. Oui, par contre, un philosophe déviant peut par accident (en sortant de son domaine) se mettre à faire des prédictions vérifiables... comme Descartes j'imagine (une ablation de la glande pinéal aurait du zombifier quelqu'un, ce n'est visiblement pas le cas), ou comme Bergson. A ce moment, c'est votre boulot de les dézinguer ! Grave. C'est de la bonne.
  16. Je n'ai pas encore tout regardé, mais dans la plupart des cas, il s'agit bien soit d'homme qui s'habillent comme des femmes, soit de femme qui s'habillent comme des hommes. Ca ressemble quand même pas mal à ce qu'on appelle transexualité/trans-genre. Les jugements de valeur à leur sujet ne sont pas ceux auxquels on est habitué, et il s'agit moins d'individus libérés des normes que occupant une catégorie traditionnelle. Mais s'agit-il vraiment d'un autre phénomène ? Que les tradis trans soient souvent perçus, dans leur société, comme "ni tout a fait homme, ni tout à fait femme", ou encore les deux à la fois, peut tout simplement signifier qu'ils sont bien reconnu comme homme/femme, bien que personne ne soit dupe, et que tout le monde sache qu'ils sont biologiquement mâle/femelle (et agisse différemment en conséquence). En tout cas, il me semble assez abusif d'affirmer Même si le nombre de combinaisons genre/sexe/orientation (plus deux ou trois autres critères, peut-être) est supérieur à deux, il n'est sûrement pas illimité. Et il faut reconnaître qu'à travers toutes les cultures, certaines combinaisons (deux, en particulier...) sont beaucoup plus fréquentes que d'autres.
  17. Cette solution au problème est celle qui a été adopté par les premiers disciples de Descartes, les occasionnalistes. Elle a une certaine logique : la pensée et l'étendue (la matière) étant deux genres d'être totalement hétérogènes, ils ne peuvent agir l'un sur l'autre, par conséquent, les affects et les mouvements du corps n'ont lieu qu'à "l'occasion" des sensations et de la volonté de l'âme, sans jamais qu'il n'y ait de lien de causalité entre les deux. Ensuite, Spinoza et Leibniz ont tenté de proposer des solutions moins magiques, chacun à sa façon, en faisant de l'âme et du corps deux facettes d'une même réalité. "On peut toujours s'amuser", dans la mesure où ce genre de question n'est pas empirique, et ne peut pas attendre une solution du coté de l'expérience (que ce soit les découpages de glande pinéal par Descartes ou l'état de l'art actuel qu'invoque Damasio). Mais ce n'est pas parce que ce n'est pas un problème empirique que ce n'est pas un problème, ni que ça échappe à la raison (on peut affirmer ça, mais c'est une nouvelle thèse, tout aussi osée, en théorie de la connaissance, et probablement pas plus empirique elle-même).
  18. Dans une société vraiment libérale, il n'y aurait pas d'optimisation fiscale possible, puisqu'il n'y aurait pas d'impôt
  19. Et bien, il y a plusieurs approches... On te dira que la pure objectivité n'est pas possible, que l'activité du chercheur est toujours située dans un contexte socio-économique donné, etc. J'ai tout de même cette tendance bachelardienne à croire que ça ne devient de la science qu'à partir du moment où il y a une rupture avec tout ça. On s'élève à la scientificité en se coupant de nous même, de notre imagination, de nos passions contingentes, etc. Mais je ne sais pas ce que Bachelard pensait des sciences humaines. La théorie du genre a, je crois, un partie-pris épistémologique issu de la "théorie critique" de Horkeimer. Par opposition aux "théories traditionnelles", qui sont le produit des intérêts d'une classe dominante, une théorie critique est sensée être réflexive, et viser un changement de la société. Bien sûr, tout ça est un produit du marxisme universitaire à l'occidentale (qui se concentre sur le jeune Marx, philosophe plus que économiste). Quand on lit les thèses sur Feuerbach de notre barbu préféré : Pour eux, la pratique vient avant la théorie, et l'objectivité d'une théorie n'est rien d'autre que son effectivité pour changer la société (il y a une forme de proto-pragmatisme déviant là dedans...) Ca ne peut pas aller à l'encontre de leur conception de la science, puisqu'il définisse ainsi la science. Mais je ne suis pas sûr qu'ils soient allés, dans leur lecture, jusqu'au paragraphe d'en dessous : Etant donné qu'ils n'affichent pas de volonté révolutionnaire, mais qu'ils cherchent à agir par réformes, soit ils cachent bien leur jeu, soit ils sont heureux à l'idée de devenir la nouvelle partie supérieure de la société.
  20. Longue vie aux vieux émojis du forum ! Oui, clairement, si on le regarde depuis aujourd'hui. Et pourtant, la question corps-esprit, la question du libre arbitre et du déterminisme, et la question de la réalité du monde extérieur, tout ça ne se posait même pas avant lui. Et aujourd'hui, même sans l'avoir lu, tout le monde retombe sur ces questions de temps à autres. C'est lui qui a déterminé les termes en lesquels on réfléchit. Alors, on peut considérer que c'est n'importe quoi, et qu'il faut s'en débarrasser, mais les restes sont bien accroché, et il faut le connaître pour pouvoir se dissocier de lui. A propos de l'usage des neuro-sciences contre lui. Quoi que l'on trouve, on ne rencontrera jamais qu'un même problème auquel il faisait déjà face de son vivant, car le strict dualisme ne parvient même pas à expliquer que le corps puisse affecter l'âme par ses sensations, et que l'âme puisse animer le corps par sa volonté.
  21. Comme quoi, les critères de sélection des profs ne sont pas forcément très élevé en GB non plus. Ca me trigger, cette histoire de 2 genres ou plus. Même les gender studies ne parlent pas vraiment de plus de 2 genres. Il y a des hétéros, des homos, des bi (comme dans 2, tiens donc) et des asexuels, mais ça, c'est l'orientation, pas le genre. Il y a des d'intersexués, mais ça, c'est le sexe, toujours pas le genre. Il y a des trans et des cis, mais si on définit le genre comme l'auto-identification, alors, l'homme trans est un homme autant que l'homme cis, prétendre le contraire et dire qu'il s'agit d'un genre supplémentaire reviendrait à de la transphobie, d'après leurs critères. Il y a des gender fluid, mais ça veut dire être tantôt l'un, tantôt l'autre. Si être fluid était un troisième genre, alors, les fluids seraient ce troisième genre en permanence au lieu d'être tantôt homme tantôt femme, et ne seraient donc pas fluid. Et puis, viennent les "non-binaires". Mais c'est un terme négatif. Comment une absence de genre serait-elle un genre supplémentaire ? Et est-ce qu'il y a vraiment besoin de rajouter quelque chose à propos des "two spirits" ? Pour leurs défenses, prétendre qu'il n'y a que deux genres "d'après la science" est un peu bête. Tout au plus on peut dire qu'il y a deux types sexuels chez les animaux et la plupart des plantes d'après la biologie. Mais on parle de sexe, pas de "genre". Et puis, "la science" ne dit rien, il y a "des sciences", au sein desquels s'établissent provisoirement des consensus différents, et les gender studies prétendent être une science à coté de la biologie (institutionnellement, c'est le cas...). Mais bon, heureusement, les genderistes sont suffisamment idiots pour avoir "déconstruit" le concept de sexe dont ils ont besoin pour définir, par la négative, leur concept de genre. Et comme montré plus haut, d'après eux même, il n'y en a que deux.
  22. Philosophiquement, c'est mort-né
  23. Mais non, elles sont de toute évidence à l'image de ces objets qui peuvent permettent aux femmes de pisser debout. C'est de l'empowerment !
  24. Et moi qui croyait que les prêtres étaient contre l'usage du préservatif...
  25. Et y a-t-il des débats du type "avaler sans en avoir l'autorisation express, est-ce du vol ?"
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