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Tout ce qui a été posté par Mégille
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C'est quoi cette affaire ?
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Qu'est-ce qu'un député LREM à l'assemblée ?
Mégille a répondu à un sujet de Neuron dans Politique, droit et questions de société
C'est pas un peu bizarre, de se donner un nom en anglais (pour satisfaire la France, en plus), alors que les anglais ont plus ou moins un pied dehors ? -
Je raconte ma life 8, petits suisses & lapidations
Mégille a répondu à un sujet de Cugieran dans La Taverne
C'était à une époque où le plus gros de la population était ouvrière et paysanne. Et par des types qui estimaient que le bourgeois ne tirait ses revenus que de l'exploitation des travailleurs. Etre contre les bourgeois, pour eux, c'était comme être contre les nobles lors de la révolution française. Le socialisme est en général un extrémisme démocratique* qui veut étendre l'emprise de la majorité à la partie de la vie des individus qui consiste en la production de richesse. *Si on en exclu les nazis et les fascistes, évidemment. Et bien je ne sais pas ! Au contraire, la prospérité peut même aller avec du temps à perdre du coté du militantisme politique. Il faut beaucoup de richesse pour qu'un peuple puisse entretenir de gros groupes improductifs ou très peu productifs (fonctionnaire, étudiant, retraité). Et cette masse oisive est généralement très politisée (en même temps, vu qu'elle vit du travail des autres, elle a intérêt à superviser sa source de revenu). Mais la relation de nécessité va dans un seul sens (il ne peut pas y avoir d'oisifs sans richesse, mais il peut peut-être y avoir de la richesse sans oisif), donc... je ne sais pas -
Je raconte ma life 8, petits suisses & lapidations
Mégille a répondu à un sujet de Cugieran dans La Taverne
Ca se défend, mais je ne pense pas que ce soit ce qu'ait voulu dire Montesquieu. Il ne parle pas de libéralisme économie, il se contente d'observer une intensification du commerce à son époque, ce qui va évidemment de pair avec un plus grand souci des habitants (ou au moins des bourgeois) pour leurs affaires privées. Et je ne pense pas que par "vertu" (civique, c'est à dire le patriotisme) il ait parlé de la politisation comme engagement partisan. Je crois qu'il parle surtout d'une disposition à se sacrifier pour sa patrie. Mais de toute façon, les révolutions américaines et françaises semblent lui avoir donné tort sur deux ou trois points. -
Élections européennes de 2019
Mégille a répondu à un sujet de Johnathan R. Razorback dans Europe et international
D'abord laide et anti-charismatique, puis nazi, maintenant bête et méchante, mais où sont-ils allé la chercher, celle là ? Au fait, va-t-on aussi avoir une nouvelle commission, désormais ? -
3 et demis. Musée, check, parce que ma mère (pourtant fille d'un ouvrier et d'une immigrée italienne), m'y amenait. Les cousins et la maison de famille, check, j'ai un oncle riche en Amérique (mais beauf et nouveau-riche). La famille étrangère check, je suis putain de cosmopolite. Et j'ai un nom de famille anglo-saxon très fréquent, donc je dois bien avoir deux trois rues par ci par là, mais au nom de parents très éloignés... Encore une chance que je dormais en LV2 ! Sérieusement, ça correspond encore à une partie significative des riches d'aujourd'hui, toute cette liste de critères ?
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Je raconte ma life 8, petits suisses & lapidations
Mégille a répondu à un sujet de Cugieran dans La Taverne
Non, ça c'est la monarchie. Mais elle se distingue effectivement du despotisme (qui repose sur la crainte) par l'existence d'une noblesse qui peut contrôler les actions du souverain. C'est la forme préférée de Montesquieu, la république (démocratique ou aristocratique) étant une sorte de paradis perdu, et le despotisme, l'anti-modèle à fuir à tout prix. -
Je raconte ma life 8, petits suisses & lapidations
Mégille a répondu à un sujet de Cugieran dans La Taverne
Chez Montesquieu, la démocratie est l'une des deux formes que peut prendre la république, avec l'aristocratie. Toutes les deux reposent sur la vertu, toutes les deux ne sont appropriés qu'à des états de très petites tailles, et toutes les deux sont aujourd'hui un peu obsolète, puisque le commerce nous recentre sur nos intérêts personnels et nous détourne de la vertu civique (c'est à dire le patriotisme). Montesquieu n'était ni républicain, ni démocrate ; ni libéral, d'ailleurs. Il défendait les privilèges contre l'égalité de droit, qui pour lui était le propre des despotismes, en vue de soumettre tout le monde directement au despote. -
Je raconte ma life 8, petits suisses & lapidations
Mégille a répondu à un sujet de Cugieran dans La Taverne
La limitation du pouvoir n'est pas particulièrement une idée démocratique. Les partisans de la limitation et de la séparation du pouvoir son généralement méfiant envers la démocratie (Locke Montesquieu, Tocqueville, les libéraux), et les plus grands partisans de la démocratie (Rousseau, les socialistes) y sont généralement hostile (à la limitation et séparation du pouvoir, souvent vu comme idées bourgeoises dans la tradition marxiste). On oublie souvent que Montesquieu, par exemple, trouvait la démocratie obsolète, et considérait probablement qu'elle n'aurait pas eu besoin de la séparation des pouvoirs, puisqu'elle repose sur la vertu des citoyens. Son modèle était la monarchie anglaise, où le pouvoir était partagé entre le roi et le parlement, qui ne représentait que les nobles et les riches bourgeois. Les états non-démocratiques ne sont pas forcément absolutistes, et une démocratie peut théoriquement être absolutiste (même si ça ne dure jamais bien longtemps). Reste que la limite du pouvoir est toujours posée par le pouvoir lui-même, et est donc susceptible d'être déplacée par lui. On peut tout au plus lui mettre des bâtons dans les roues pour le faire. -
Les chinois, camaraderie et capitalisme
Mégille a répondu à un sujet de Hayek's plosive dans Europe et international
Avec un peu de Chance, ça ira de pair avec une prise de conscience de l'illusion de la richesse chinoise. Même si moralement, la RPC est très désapprouvée en occident (pour l'instant), j'ai l'impression qu'elle est vue comme une machine instrumentalement efficace, qui donne l'exemple de ce que peut faire une alliance entre l'état et le capital. Quand on verra la misère s'abattre sur HK, ça calmera les esprits. Peut-être aussi qu'on se rendra compte que leur richesse chiffrée vient en grande partie de constructions en béton inutiles. J'espère aussi que les indiens finiront par leur mettre une branlé au Cachemire. La micro-renaissance du libéralisme (Tatcher, Reagan, Mitterrand, Deng Xiaoping) était dû à la désillusion face à l'URSS. -
Je raconte ma life 8, petits suisses & lapidations
Mégille a répondu à un sujet de Cugieran dans La Taverne
Shower thought : L'anarchie repose sur l'idée que chacun peut décider de sa propre vie, mais personne de la vie des autres. L'autocratie, sur l'idée qu'une personne, ou un petit groupe de personnes, peuvent décider de leurs propres vies, et de la vie des autres, mais que le reste de la population ne peut décider ni pour elle même, ni pour les autres. La démocratie repose sur l'idée que tout le monde peut décider de la vie des autres, mais que personne ne peut décider de sa propre vie, puisque celle-ci est toujours susceptible d'être soumise au suffrage des autres. En effet, la limite de facto entre la sphère de décision de l'état et celle de l'individu est toujours décidée par l'état, autocratiquement ou démocratiquement. S'il y a un état, la liberté ne peut-être qu'octroyée provisoirement par lui. L'autocratie est peut-être donc injuste et fondée sur une conception fausse car trop inégalitaire de la nature humaine, mais contrairement à la démocratie, elle ne repose pas sur un principe auto-contradictoire. Il serait en effet absurde que qui que ce soit soit qualifié pour décider de la vie de tous sans être qualifié pour décider de sa propre vie. -
Macron : ministre, candidat, président... puis oMicron
Mégille a répondu à un sujet de Nigel dans Politique, droit et questions de société
J'y vois une (le chantier naval) nationalisation et demi (augmentation des parts du gouvernement dans Renault), le "et demi" avant son mandat. Le reste est de la spéculation, pour l'instant au moins. A coté, il y a l'ouverture à la concurrence de la scnf, la privatisation d'ADP (avec les limites que l'on sait, certes) et celle de la FDJ. La balance penche légèrement coté privatisation. Où l'on nous dit que... Donc quelques augmentations d'un coté, diminution d'un autre... Comme je le disais, il ne remet pas en cause le système redistributif, mais c'est plus de l'inertie qu'autre chose. Ce n'est clairement pas le coeur de sa politique. Dépenser plus, ce n'est pas forcément redistribuer plus. (surtout si cette augmentation des dépenses est financée par la dette, et in fine, l'inflation, qui sont de la redistribution à l'envers) Enfin, redistribution dans le sens égalitariste, j'entends, ce que veulent les sociaux-démocrates. Je ne dis pas que c'est un libéral, hein. Mais ce n'est pas non plus social-démocrate. L'investissement public dans l'intelligence artificielle me semble typique d'une "vision à long terme" d'un planiste technophile. Ca reste du "néo-libéralisme"/néo-étatisme de base, mais s'il faut le faire tendre dans une direction, il me semble que c'est plutôt celle là. Son progressisme constructivisme du coté des moeurs va aussi dans ce sens là. Idem pour son Européisme, centralisateur et interventionniste. -
Écologie, développement Duracell & topinambours
Mégille a répondu à un sujet de ModernGuy dans Politique, droit et questions de société
Le Maroc est en moyenne plus chaud que la France, le mois de juin, que le mois de février, et les premières décennies du XXI que celles du XX. Bien sûr, tout ceci n'a aucun sens. Parfois, par endroit, il fait plus chaud en France qu'au Maroc, et certains jours en certains endroits, il fait plus chaud en février qu'en juin. N'oubliez pas aussi de vous énerver contre ceux qui disent qu'il fait plus chaud le jour que la nuit- 5 511 réponses
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(et 2 en plus)
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Macron : ministre, candidat, président... puis oMicron
Mégille a répondu à un sujet de Nigel dans Politique, droit et questions de société
Donc tu votes pour "stratégie de com", plutôt que véritable "tournant" ? Ce qui est malheureux (pour nous) est que ça ne marche même pas, il est toujours considéré comme "ultra-libéral". Par les gauchistes en tout cas, je ne connais pas assez de droitard. Ouai, sauf qu'il nous l'a fait à l'envers. Mitterand à d'abord été bolchevik, puis libéral pragmatiste, par la force des choses. Macron a commencé par de petites réformettes aux allures libérales (SNCF et droit du travail) pour très vite ensuite (état d'urgence permanent) n'être plus que autoritaire. Non, je n'en suis pas sûr. Il ne remet pas en cause le statu quo social-démocrate, mais il ne cherche pas à aller plus loin dans ce sens. Historiquement, la social-démocratie, c'est le contrôle des moyen de production par les travailleurs, par le bais de l'état. Les nationalisations, donc. Hors il ne nationalise rien, il fait même plutôt l'inverse, timidement. Au sens actuel, la s-d c'est l'économie de marché + la redistribution pour les pauvres. Mais il ne redistribue pas plus. Ce qu'il fait, c'est contrôler pour contrôler (les déplacements, la presse, etc). Centraliser. Diriger l'économie vers "l'innovation" (à la place du marché), et pour plus d'écologie. C'est un technocrate progressiste. Saint-simonien. Pas autre chose. -
Je ne vois rien d'incongru à ce qu'il y ait des hommes, disons, limités, qui ne parviennent ni tout à fait à assimiler les codes de la séduction (vachement complexes imo), ni justement à concevoir que le désir de l'autre fonctionne différemment du leur. Et donc, qu'ils adoptent une stratégie de drague qui aurait peut-être été efficace avec d'autres hommes. Ils se contentent faire ce qu'ils aimeraient (croient-ils) qu'on leur fasse. Golden rule
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Macron : ministre, candidat, président... puis oMicron
Mégille a répondu à un sujet de Nigel dans Politique, droit et questions de société
Il faudrait recenser tous ses discours clairement contre le antilibéraux et anticapitalistes (je veux dire, où le libéralisme et la capitalisme sont ouvertement pris pour cible). Il y avait aussi celui du nouvel an, je crois. Quand est-ce que ça lui a pris ? Il se revendiquait encore libéral en début de campagne présidentiel. Est-ce qu'il y a eu un tournant (dans sa perception de lui-même, au moins), ou bien est-ce une stratégie de com ? -
Qu'est-ce qu'un député LREM à l'assemblée ?
Mégille a répondu à un sujet de Neuron dans Politique, droit et questions de société
Il y a moins de taxe sur l'éthanol, askip -
Quand ça parle de dickpics et que quelqu'un poste un contenu masqué
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Bein voilà, peut-être que le gars est un con avec spécialité "confusion entre le porno et la réalité". Tu veux dire, en fonction de la position au sein d'un structure de domination ?
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Que ce soit très inefficace pour obtenir une relation sexuelle consentie n'empêche pas que ce soit le but recherché. Il y a des cons. Je ne serais pas surpris que si on demande au bonhomme (sans l'intimider outre mesure), il dirait que c'était effectivement dans l'espoir d'une réponse positive. Après, on peut sonder les tréfonds de son âme et estimer qu'en fait, ce qu'il cherchait était d'affirmer son existence face à la peur du néant en soumettant à lui une femme, ou au moins en obtenant une réaction d'elle, et peut-être, de se venger mentalement de sa mère, ou je ne sais pas quoi. Mais on peut se livrer aux mêmes analyses concernant les techniques de drague efficace. Mais que ce soit une (mauvaise) tentative de séduction n'empêche pas que ce soit à la fois, dans un contexte culturel donné, une offense comparable à une insulte. edit : doublé par JRR
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Je raconte ma life 8, petits suisses & lapidations
Mégille a répondu à un sujet de Cugieran dans La Taverne
Pourquoi ne pas plutôt lire directement Augustin et Thomas d'Aquin ? Il y a beaucoup de passage chiant, mais ça reste d'assez bonne lecture, même pour des non-religieux, d'ailleurs. -
Écologie, développement Duracell & topinambours
Mégille a répondu à un sujet de ModernGuy dans Politique, droit et questions de société
Au niveau de la communication oui (et même pour des effets négatifs imaginaires -l'affaire des ouragans), mais au niveau de la recherche, c'est un peu plus nuancé, il me semble. Il y a peut-être un biais, avec plus de financement pour l'anticipation des problèmes (ce qui se justifie non seulement idéologiquement, mais aussi pragmatiquement, mieux vaut éviter les mauvaises surprises). Mais je ne serais pas surpris que dans l'ensemble ce soit plutôt une saleté. Tout comme les mutations sont dans la quasi-totalité des cas soit neutres, soit mauvaises, ça me semble assez crédible qu'un changement rapide du climat foute surtout la merde. Typiquement, que la plage soit un peu plus proche (mais encore dépourvue de sable) est un petit gain à coté de la probable disparition de Venise (contrairement à Singapour, ils ne peuvent pas se permettre de remettre une couche de béton partout). Ce que l'on oublie de prendre en compte, par contre, est que plus on se développe (en émettant des GES, notamment), plus s'adapter aux changements devient facile. Il est possible qu'il y ait un effet de seuil à partir duquel ce n'est vraiment pas cool, par contre. C'est ce que semble croire les écolos, mais je n'ai pas vu beaucoup d'arguments dans ce sens, hors du sensationnalisme. Après, comme toujours, dommage que les écolos refusent les seuls solutions techniques au problème (nucléaire, géo-ingénierie). Sinon, petite larme, car je me rappelle d'une visite scolaire au biodôme de Montréal quand j'étais enfant, au cours de laquelle on se moquait des catastrophistes (on se moquait d'un personnage affirmant que la Terre était plate et qu'il n'y aurait bientôt plus d'eau) pour vanter ce que l'on pouvait attendre des progrès de la science...- 5 511 réponses
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Écologie, développement Duracell & topinambours
Mégille a répondu à un sujet de ModernGuy dans Politique, droit et questions de société
A propos du RCA, avant que vous ne refassiez le débat ici, je rappelle la "version officielle", que vous y croyez ou non : même si le climat stagne voir refroidit par endroit, en moyenne, il se réchauffe. C'est causé par l'augmentation de concentration en CO2 (et autres GES) dans l'atmosphère à cause de l'activité humaine, et amplifié par des boucles de rétro-actions positives. Il va y avoir des effets positifs, mais on s'attend à ce que les effets négatifs soient bien supérieurs. Le CO2 n'est pas un poison, et son augmentation à d'autres effets positifs -verdissement global- mais aussi d'autres effets présumés négatifs -acidification des océans-, et le RCA est surtout négatif. La Terre n'est pas anormalement chaude "dans l'absolu", on est même dans une période plutôt froide, mais à l'échelle de la vie et de l'humain, ce changement est anormalement rapide (même si les chiffres semblent insignifiant), d'où les conséquences négatives. Juste par hypothèse, admettons un peu que ce soit vrai, sinon, rdv dans l'autre fil. C'est une expérience de pensée suffisamment intéressante pour que s'il n'y avait pas de RCA, il faudrait en inventer un. Et bien, en ce qui concerne (l'hypothétique, mais admettons) RCA, il n'est pas dit du tout que le marché puisse faire quoi que ce soit. Pour s'adapter à ses effets, sans doute. Etant donné que le coût du CO2 que l'on émet n'est pas supportée par nous individuellement mais est à chaque fois répartie sur l'humanité entière. On est donc tous individuellement incité à aller vers une situation non optimale. Et je ne vois pas comment le coût du CO2 pourraient être internalisé de façon non coercitive. Mais si le marché ne peut rien faire contre ça, reste à prouver que la planification peut y faire quoi que ce soit, et ce n'est pas évident. Même si les états contrôlaient entièrement les émissions de CO2 provenant de chez eux (ce qui serait catastrophique pour d'autres raisons), ils seraient toujours, les uns envers les autres, dans une situation de tragédie des communs/dilemme du prisonnier. Et je pense que les effets négatifs d'un gouvernement mondial dépasseraient de loin ceux du RCA. Donc on est face à un vrai problème (au moins en pensée), donc je comprends que les anti-libéraux nous le soumettent. Mais ce problème n'est pas propre au marché, il se poserait à toute société développée, sans gouvernement totalitaire mondial (ou consortium mondial de gouvernements totalitaires). Après, tout négatif qu'il soit, si on en suit la version "officielle" du GIEC, ce n'est pas la fin du monde non plus. Et quand on fait un calcul coût/bénéfice de la chose, il ne faut pas oublier de prendre en compte ce que l'on gagne par nos activités qui se trouvent émettre du CO2, et ce que l'on perdrait si on se les interdisait.- 5 511 réponses
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