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Tout ce qui a été posté par Domi
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Le capitalisme est un système économique alors que le libéralisme est un système de pensée. Le capitalisme n'a pas à s'opposer ou à encourager quoique ce soit. On peut dire que l'esclavage n'est pas du capitalisme mais il faut bien qu'un système émerge de quelque chose qui n'était pas lui-même. L'esclavage et la traite auraient donc favorisé l'émergence du capitalisme. Point de vue contestable par ailleurs, je ne fais que retranscrire ce que j'ai lu.
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C'est bizarre parce qu'il y avait un résumé de l'émission dans le figaro d'aujourd'hui qui disait au contraire que la série d'émission montrait que le capitalisme existait bien avant et de citer les villes italiennes et les grandes découvertes ainsi que le commerce triangulaire comme ayant inauguré la naissance du capitalisme.
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Pour la vitesse, j'ai lu que le nombre d'efforts intenses (sprint, tacles, sauts etc) avait été multiplié en gros par trois en trente ans (fiable : commentaire de Domenech lors de la préparation à la cdm 2010). Le nombre de kilomètres parcourus serait passé de 4 à 10 dans un match (commentaire de socrates, il s'agit peut-être d'une exagération). Pour ce qui est du nombre de buts, il a en fait baissé entre le milieu des années 1950 et le milieu des années 60 pour les coupes du monde ce qui traduit certainement une tendance plus générale : Nombre de buts par match lors de chaque coupe du monde : Année - Pays organisateur - Nombre de buts par match 1930 Uruguay : 3,89 1934 Italie : 4,12 1938 France : 4,67 1950 Brésil : 4 1954 Suisse : 5,38 1958 Suède : 3,6 Depuis le nombre de buts par match à toujours été compris entre 2,2 et 3 avec une petite tendance à la baisse sur le long terme, mais trés légère (pour donner une idée de la tendance, j'ai mis en bleu les scores supérieurs à 2,6 et en rouge les scores inférieurs à 2,4) : 1962 Chili : 2,78 1966 Angleterre : 2,78 1970 Mexique : 2,97 1974 RFA : 2,55 1978 Argentine 2,68 1982 Espagne 2,81 1986 Mexique 2,54 1990 Italie 2,21 1994 USA 2,71 1998 France 2,67 2002 Corée et Japon 2,52 2006 Allemagne 2,30 2010 Afrique du sud 2,23 2014 Brésil 2,67 Source ici : http://fr.wikipedia.org/wiki/Statistiques_et_records_de_la_Coupe_du_monde_de_football#Moyenne_de_buts_par_match Pour ce qui est de l'impression visuelle, les différences sont considérables, comme l'a dit Johnnie Boy. Joueurs plus statiques dans leur positionnement, lignes moins ressérées, moindre agressivité sur le porteur du ballon qui prend plus son temps. En ce moment, je regarde des vidéos montrant les ballons joués par un ancien grand joueur dans un grand match. Exemple Platini contre le brésil en 1986 : http://www.youtube.com/watch?v=qHKyF0Nc0xA[media]
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Avant le match de ce soir, je m'interroge sur les performances de Messi en équipe nationale et sur les différences de contexte par rapport au Barça. La première différence entre l'équipe nationale et le club est la qualité de ses coéquipiers à Barcelone. Cela a deux conséquences, tout d'abord, ceux-ci sont suffisamment talentueux pour le pourvoir en ballons de qualité. Ensuite, il est presque impossible à l'adversaire de faire un marquage exclusif sur Messi parce que cela reviendrait à négliger Iniesta, Neymar et bientôt Suarez. La deuxième différence qui est une suite de la première est que Messi joue plus bas en équipe nationale pour se libérer du marquage. Mais à mon sens cette option est largement un échec. Dès qu'il touche le ballon, même dans le rond central, il y a trois ou quatre joueurs de l'équipe adverse qui viennent l'entourer. Donc la première conséquence attendue de ce recul sur le terrain n'est pas arrivée. De plus, Messi n'exploite pas trés bien les opportunités liées à cette position reculée. Comme il est trés entouré par le marquage adverse, des tentatives de dribbles solitaires ont peu de chances de réussite mais il s'entête régulièrement dans de telles actions. Bien sûr, ce sont des dribbles commencés au milieu de terrain qui ont été deux fois décisifs contre la Suisse et la Belgique mais le ratio de réussite de ces actions ne me parait satisfaisant. Il resterait à Messi à jouer les meneurs en position basse, comme Pirlo mais cela ne correspond pas aux particularités de son talent et compte tenu de la manière dont il est au centre du dispositif défensif adverse, ses angles de passe se trouvent réduits par rapport à ceux qui s'offrent à d'autres joueurs. Donc selon moi le choix d'une position reculée ne présente pas d'avantages et un Messi jouant autour de l'avant-centre, à peu près au même niveau que lui, serait préférable. L'équipe adverse si elle voulait dans ce cas lui réserver un traitement exceptionnel devrait alors choisir entre négliger les autres joueurs offensifs argentins ou reculer tout le bloc défensif de l'équipe. Messi toucherait peut-être moins de ballons mais il serait plus dangeureux sur ceux-là (parce que plus prôche de la zone de décision) et permettrait à ses partenaires de mieux s'exprimer. Enfin, il n'est pas sûr que le jeu argentin perdrait de la fluidité au milieu de terrain. L'inconvénient de cette option pour Messi est qu'il serait globalement plus efficace pour son équipe tout en étant finalement moins visible dans le jeu, c'est à dire en donnant l'impression de ne pas l'être. Qu'en pensez-vous ?
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Tu as raison de douter pour le quadruplé de Van Basten : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ferenc_Pusk%C3%A1s#R.C3.A9surrection_au_Real_.281958-1965.29 L'explication de Van basten premier quadruplé vient peut-être de la distinction "coupe des clubs champions" "ligue des champions", les nouvelles formules de coupe d'Europe ayant en effet commencé en 1992.
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Encore bravo pour ton action de classe de la 56ème qui a été le tournant du match. Selon moi, tu surpasse Giroud contre la Suisse. Mais pourquoi avoir attendu aussi longtemps ?
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Vu la dernière demi-heure (tardive) de Nigeria - Bosnie. Les bosniens éliminés par le but du Nigeria n'ont donné l'impression de pousser réellement qu'à dix minutes de la fin. Avant, c'était les nigérians qui s'aventuraient le plus souvent dans la surface adverse et qui poussaient assez loin leurs contres. Je les vois terminer deuxième de leur poule parce que je ne vois pas l'Iran battre la Bosnie même éliminée ( c'est une chose de faire déjouer une équipe, autre chose de jouer la victoire) Classement : Argentine 6 pts, Nigeria 4, Iran 1, Bosnie 0 Le Nigeria donne l'impression d'une équipe difficile à maneuvrer, mais sans qualités exceptionnelles.
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Honte à toi !!!! Tu "pourris" la légende, là. Je ne peux pas te laisser dire ça. J'ai revu des matches de la coupe du monde 1998 des années après. Contre le paraguay on archi-domine le matche face à une défense regroupée et un gardien en état de grâce. En quart contre l'Italie, on domine sur l'ensemble du matche (surtout la seconde mi-temps, la première mi-temps et les prolongations étaient équilibrées avec la plus grosse occasion pour Baggio en fin de match). En demi on a dominé la croatie qui n'était pas plus forte que nous en terme d'individualités. En finale, le Brésil a le ballon mais ne parvient pas à s'en servir. En 1998, on était faible au poste d'avant-centre (Guivarch, dugarry) et de "neuf et demi" avec un Djorkaeff en petite forme qui ne marqua pas (contrairement à ses championnats d'Europe). On était excellent à tous les autres postes. On a compensé la faiblesse des avant-centre de métiers par l'esprit collectif qui a permis à des défenseurs et des milieux d'être décisifs. En tout on a marqué 15 buts dont dix au premier tour. Le seul match où on a vraiment été dominés pendant l'époque glorieuse 1998-2000, c'est le quart de finale de l'euro France-Espagne (et encore, cela est surtout vrai de la première période) où Munitis notamment en avait fait voir de toutes couleurs à Thuram. Sinon la France a marqué son centième but en pahse finale de cdm, ce qui la place au 5ème rang mondial. Nous sommes plus forts que nous ne le pensons. La France, c'est 1 victoire en cdm (1998), 1 finale (2006), trois demies (1958, 1982, 1986) et 2 championnats d'europe (1984,2000). Sur la durée le classement mondial serait : 1 Brésil, 2 Allemagne, 3 Italie, 4 Argentine 5 France et Pays-bas et 6 Espagne, je dirai. L'angleterre est loin derrière.
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Une rapide opinion par rapport à des articles de presse (non libéraux) sur l'ouvrage et non sur l'ouvrage lui-même que je n'ai pas lu (mais pour la clarté de l'exposé dans la suite, je ferai comme si c'était réellement la pensée de Picketty). Picketty nous dit : le taux de rendement du capital est plus fort que la croissance, par conséquent le capitalisme a tendance à accroitre inéxorablement les inégalités. D'ailleurs, les inégalités s'accoissent. Le premier problème dans cette présentation est que les inégalités, notamment aux Etats-unis ne sont pas vraiment plus fortes qu'il y a un siècle mais plutôt aussi fortes. Difficile de tirer la conclusion d'une évolution irrésistible à partir d'une stagnation. Mais selon Picketty, il y a une période exceptionnelle, allant grosso-modo du New deal aux années 70 et une période "normale" qui révèle l'essence du capitalisme à accroitre les inégalités. On pourrait faire la même remarque sur le rendement du capital. Il est vrai que les taux d'impositions marginaux étaient alors trés élevés. Malgré ces trés grosses rèserves acceptons que Picketty ait raison sur le caractère exceptionnel de la période qui représente quand même cinquante ans sur un siècle. La réponse classique du libéral est alors de dire : " les inégalités ne sont pas la pauvreté. Qu'importe l'accroissement des inégalités si tout le monde est tiré vers le haut ?". De fait picketty ne s'intéresse pas à la croissance. Mais la réponse libérale est peut-être vraie jusqu'à un certain point. Jusqu'à quel point les inégalités sont-elles socialements supportables ? Est-ce qu'à un certain point elles ne provoqueront pas une sorte de féodalisme où la classe aisée pourra tout acheter, jusqu'à l'impunité ? Donc reprenons la démonstration de Picketty : taux de rendement du capital plus élevé que la croissance = accroissement des inégalités que l'on constate dans les faits. La boucle est bouclée. Certes le taux de rendement du capital porte sur un patrimoine et la croissance sur des revenus réel mais l'année suivante le taux se rapporte au revenu de l'année précédente qui doit donc suivre le taux de rendement du capital. Sauf qu'il y a un intérmédiaire dans le raisonnement : c'est que les inégalités riches pauvres se portent sur les mêmes personnes ou sur les descendants des mêmes personnes. C'est là que le raisonnement ne va plus. Quand on suit différentes familles riches et pauvres sur plusieurs générations, on constate que les revenus, le patrimoine ou le statut social, ont tendance à se rapprocher, non à s'éloigner, comme le montrent les travaux de gregory Clark : http://www.contrepoints.org/2013/03/09/117629-mythomanie-de-la-lutte-des-classes Or, cela est compatible avec un taux de rendement du capital supérieur à la croissance. Comparons en effet deux couples avec deux enfants chacun. Le premier couple vit de son travail et n'a pas de capital notable à transmettre à ses enfants. Le deuxième couple vit de la fortune constituée par un entrepreneur à succès. Au moment du changement de génération, les enfants du couple "simple travailleur" vivront eux aussi de leur travail et encaisseront, toute chose égale, les bénéfices des gains de productivité. Les enfants du couple entrepreneur devront se partager la fortune acquise par leur père. Cette division par deux à chaque génération aura plus d'impact que le différentiel taux de rendement du capital - croissance durant la vie de chaque génération. Donc, pour reprendre le raisonnement de Picketty on constate peut-être des inégalités croissantes et un taux de rendement du capital supérieur à la croissance mais les deux choses ne sont pas liées entre elles puisque les inégalités ne concernent pas les mêmes personnes ou familles. Dès lors, l'explication des inégalités croissante doit être cherchée ailleurs et rien ne dit qu'elle soit inéluctable et indissociable du capitalisme.
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Écologie, développement Duracell & topinambours
Domi a répondu à un sujet de ModernGuy dans Politique, droit et questions de société
L'onanisme n'a rien à voir avec l'absence de règles, ce serait plutôt le contraire. Je suppose que c'était le mot que tu cherchais à moins que ce ne soit plutôt anomisme mais comme je ne vais pas de rapport, même lointain, avec les cycles menstruels, je préfère la première proposition.- 5 511 réponses
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Mon "impression" (désolé Xara ) : Picketty sort un bouquin qui prend apparemment position sur une question qui passionne les foules et va dans le sens de leurs préjugés : "le capitalisme accroit inévitablement les inégalités", comme par ailleurs, c'est le travail académique le plus sérieux qui soit sorti depuis trés longtemps en soutenant une telle thèse, cette conjonction explique le phénomène médiatique. Du côté des économistes, ils ne peuvent être indifférents quel que soit leur bord à l'impact médiatique de l'ouvrage, ce qui fait qu'ils en parlent beaucoup. Peut-être faudrait-il distinguer dans le travail de Picketty le sérieux du travail de collecte des données et l'interprétation qu'il en donne.
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Un petit rappel sur la manière biaisée dont les journalistes rendent compte des travaux économiques : http://www.contrepoints.org/2012/11/23/105431-les-journalistes-contre-leconomie
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Écologie, développement Duracell & topinambours
Domi a répondu à un sujet de ModernGuy dans Politique, droit et questions de société
En règle générale, si tu as une bonne idée, quelqu'un risque d'y avoir pensé et de l'avoir exploitée avant toi. En France, ça ne fonctionne pas comme ça. Si tu as une bonne idée, l'Etat l'aura rendue impraticable avant même que tu n'y aies songé. Il y a peut-être quelque chose à faire sur le plan "libéralisme homme des bois" ou retour à la nature pour supprimer ces règles idiotes car c'est un programme qui se vendrait plutôt bien, je pense.- 5 511 réponses
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Je ne crois pas parce je crois que les gens sont sensibles au respect que tu as des autres opinions même quand ils ne les partagent pas (sinon je ne suis pas trop pour la case nonossage non plus).
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Pour illustrer ton propos, citer Aznavour passait encore, mais là on est à la limite du nonossage !
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Mince alors, je l'avais vu au cinéma. J'avais bien aimé. Je me sens tout bête du coup.
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Gender studies & applications
Domi a répondu à un sujet de Chitah dans Philosophie, éthique et histoire
Petite précision : le texte entend montrer que la théorie du genre n'existe pas mais je ne dis pas que c'est l'opinion définitive de chitah qui entendait simplement apporter une pièce au débât. Ma rédaction était maladroite. -
Gender studies & applications
Domi a répondu à un sujet de Chitah dans Philosophie, éthique et histoire
Je reprend le texte cité par Chitah pour montrer que la théorie du genre n'existe pas : Des études de genre, c'est une discipline scientifique, c'est factuel. Une "théorie" du genre implique un combat politique pour changer la société. Or, dans les passages que j'ai engraissés on glisse d'une logique à l'autre. Certes, on peut tirer les conséquences de certains faits sur le plan social et politique. Ex : Le smic augmente le chômage donc il faut le supprimer. Mais là il semble que la conclusion précéde en quelque sorte la démonstration, au vu du vocabulaire utilisé en tout cas : "la notion de genre sert à dénaturaliser les rôles dans la société." "Elle permet de montrer que " C'est un curieux vocabulaire pour des scientifiques. Un autre glissement se fait au cours de l'article. On passe de "il y a des choses qui relèvent de mécanismes socio-culturels dans la formation de la division entre les sexes" affirmation tout à fait modeste et difficilement contestable à "Les études de genre (...) postulent qu'il n'y a pas de déterminisme en la matière" On passe de "il y a du socio-culturel" à "il n'y a que du socio-culturel". En soit, les études de genre comme champ de discipline comme dans le premier passage en gras, cela peut-être fructueux mais le danger des dérives d'une telle discipline est présent dès sa conception et visiblement elles se sont produites. -
Comment kitter la Sécurité sociale ?
Domi a répondu à un sujet de Blueglasnost dans Politique, droit et questions de société
Ca me parait vraisemblable, compte tenu du caractère de Lesquen qui ne semble pas du genre à apprécier la contradiction. Après le décès du fondateur de la radio, Jean Ferré, Henry de Lesquen a pris le pouvoir sur la radio ce qui a entrainé le départ de nombreux patrons d'émission dont celui de Reichmann et Lesquen s'est toujours opposé à l'idée que le droit positif reconnaitrait la possibilité de quitter la sécu. -
Libéralisme & inégalités
Domi a répondu à un sujet de Loi dans Politique, droit et questions de société
Pour aller dans le sens de Lancelot, je pense qu'il n'y a pas de corrélation entre la mesure objective des inégalités et le sentiment que celles-sont excessives. Le sentiment que les inégalités sont trop fortes est moins important dans les pays anglo saxon qu'en france. Les inégalités deviennent plus sensibles lorsqu'il n'y a pas de croissance et qu'il y a du chômage. Les trente glorieuses étaient plus inégalitaires que maintenant alors que tout le monde croit le contraire. -
Cette supériorité des hommes dans l'intelligence rationnelle se voit-elle dans la scolarité, notamment dans les matières exploitant le plus cette forme d'intelligence (les maths) ? Dans ce cas, il vaudrait mieux dire que les filles réussissent mieux dans certaines matières, les garçons dans d'autres, non ?
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Mary Marquet interprétant le songe d'Athalie devant de jeunes comédiens en 1976. Elle avait plus de 80 ans. Dans sa jeunesse, sarah Berhnardt l'avait pris sous son aile. Pour Voltaire Athalie était "le chef d'oeuvre de la scène" et je crois que c'est encore l'expression utilisée par Monsieur Homais dans Mme Bovary. Désolé de ne pouvoir donner directement la vidéo, issue de l'INA. La partie intéressante se trouve à partir de 6mn 30s. Marie Bell dans Phèdre : On peut trouver la même interprétation en entier ici Un extrait d'une interprétation télévisée de Phèdre en 1968 : Lors de cet enregistrement, Marie Bell jouait Phèdre (mais ellle était devenue trop agée pour le rôle à mon avis) et Mary Marquet Oenone. En 1934, elles avaient triomphé dans Andromaque. Enfin, le début de l'expiation de Victor Hugo par André Falcon (il s'agit ici d'une description de la retraite de Russie :
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Au moment où ont été créés les termes, la social-démocratie c'était purement et simplement du socialisme avec des élections et le respect de la diversité d'opinion (entre autres). Le social-libéralisme était lui à mi-chemin sur le plan économique du socialisme (ou de la sociale-démocratie de l'époque) et du libéralisme. Il se rapproche donc de la social-démocratie actuelle.
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Modernité Et Modèle Impérial
Domi a répondu à un sujet de Patrick Smets dans Politique, droit et questions de société
Moui... Tu ne donnes pas au mot empire le même sens en fonction des expériences. Dans certains cas, il s'agit du regroupement de peuples divers sous une seule autorité, dans l'autre d'un pouvoir autoritaire distinct de la monarchie. En considérant le premier sens la troisième république est plus "impérialiste" que le régime de Napoléon III Cette ambiguité commence avec l'empire romain, à la fois régime plaçant une personne à sa tête "à vie" mais conservant certaines institutions républicaines, et regroupement de populations trés diverses. Bref en regroupant sous le nom "d'empires" des régimes qui correspondent à l'une ou à l'autre définition, il est facile d'en trouver beaucoup.