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SCBastiat

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Tout ce qui a été posté par SCBastiat

  1. Pas une phrase, mais ça me fait hérisser le poil de savoir que ces branleurs sont payés avec l'argent du contribuable : https://twitter.com/jrbourge/status/709523551276158977 "Comment éroder le capitalisme ?"
  2. Attends, c'est un grand homme. Prix Nobel de la paix, premier président noir, et sauveur de millions de pauvres qui ne pouvaient pas se payer de soins médicaux avant lui. Et puis c'est le monde qui le dit, donc chut. Tu es qui, toi, espèce d'ultralibéral fasciste, pour nier ces vérités ?
  3. http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/de-l-optimisme-peter-thiel-et-les-178272 J'aurais mieux fait de ne pas lire les réactions.
  4. Ces gens ont, en réalité, pas mal de points communs avec les fascistes, les communistes, ou les extrémistes comme Daesh. Car, comme pour ces derniers, leur logique se base sur la négation de l'individu, du cas particulier, de la spécificité personnelle. Ils ont une vision organique de la société. Là, en l'occurrence, les femmes forment un groupe uni, qui subit les mêmes violences, partage les mêmes intérêts, et affronte le même ennemi. Il ne peut pas y avoir de nuances, de particularités, au sein de cette réalité fantasmée. Tout homme qui violente une femme le fait pour les mêmes raisons. Celui qui gifle sa femme parce qu'il est dévasté d'apprendre qu'elle l'a trompé, a exactement le même raisonnement que le violeur psychopathe qui agresse une inconnue. C'est de la "violence patriarcale", dont le but est politique. Le type qui est violent à cause d'un chagrin d'amour se dit évidemment "je fais ça pour remettre la femme à sa place de dominée dans la société". En poussant le raisonnement, je suis certain que ces gens estiment que toute violence faite par une femme sur un homme est forcément une réaction légitime à l'oppression patriarcale. Quant à celle d'un homme sur un autre homme, elle s'explique inéluctablement par l'exaltation de la virilité et la compétition masculine encouragées par la dictatrice patriarcale. Enfin, celle entre femmes découlerait nécessairement de l'entreprise de division des opprimées que mènent les élites masculines. Il n'y a donc plus d'individus, plus de cas particuliers, plus de causes diverses. Avec le féminisme, plus besoin de justice, puisque tous les crimes s'expliquent de manière simple, à partir du sexe des concernés.
  5. Pour choper j'espère ? C'est la seule excuse que je pourrais te trouver (et encore) !
  6. Ah mais là ce n'est même plus un problème de sexe. Les français, hommes ou femmes, sont très peu libéraux de manière générale... Cependant, contrairement à ce qui est dit plus haut, je pense qu'un homme fou amoureux peut très bien suivre sa femme par amour. J'en suis l'exemple vivant (j'ai changé de pays pour aller vivre avec elle). Après tout dépend du contexte.
  7. Tous les libéraux seront effectivement d'accord sur ce point. Certains (ou certaines !) penseront juste que l'avortement c'est avant tout disposer du corps d'autrui donc inacceptable. Bref, la réalité n'est jamais aussi évidente que les grandes phrases. Sinon, de manière plus générale, je ne pense pas qu'il faille édulcorer le discours libéral pour attirer une catégorie de population ou l'autre. Il faut juste être clairs et rationnels. Par exemple sur le féminisme, on doit simplement expliquer que tout ce qui est bon dans ce mouvement (égalité en droits, même liberté individuelle pour tous et toutes, refus qu'un pouvoir coercitif conditionne des vies en fonction du sexe, etc) est non seulement compatible avec le libéralisme, mais surtout intégré au libéralisme. Tout en expliquant également que la dérive autoritaire du féminisme moderne, la victimisation communautaire excessive (de type SJW), l'interventionnisme étatique, les traitements de faveur (discrimination "positive"...) ou l'idée de lutte des sexes sont des plaies, pour les femmes comme pour les hommes. Quant à la présence des femmes dans les partis, attention quand même à différencier celles qu'on met en avant pour l'image, et la réalité en coulisses.
  8. Merci infiniment pour vos conseils et vos infos. Je vais regarder ça de plus près et y réfléchir encore, histoire de ne pas faire de connerie sur un coup de tête. Je vous tiendrai au courant, mais ces prochaines semaines je vais déjà essayer de retrouver un peu de motivation en histoire, tout en commençant à regarder doucement des cours d'informatique en parallèle, et on verra ensuite si j'ai les idées plus claires.
  9. Je n'étais pas agent immobilier. A la base j'étais engagé pour des petites tâches (genre saisie, classement de dossiers...), avant de vite devenir assistant dans le service informatique. Non pas que j'étais super qualifié, mais en gros il avait besoin d'un jeune capable de s'occuper des trucs à la con comme : les commandes de matériel, l'installation et la gestion des imprimantes, l'assistance informatique pour les "petits" problèmes des collègues (c'était du taf ça putain), la gestion de nos documents informatisés... Mais j'en ai quand même appris un peu, sur les serveurs, etc.
  10. Je comprends tout à fait ton impression. Mais ceci étant, il ne s'agit pas seulement d'une question de ras le bol par rapport au cursus en lui-même, bien que mes cours de sociologie ou d'histoire du genre ne m'aident effectivement pas à retrouver ma motivation ! Non, en réalité j'ai l'impression de m'être rendu compte que je ne voulais pas faire de cette passion un métier, avec les contraintes et cadres qui y sont inhérents, notamment dans le milieu académique (en tant que prof aussi). Ce qui me passionne dans l'histoire, et dans les sciences humaines en général, c'est surtout d'établir mes propres réflexions, interprétations, liens, avec une liberté d'analyse qui me semble assez incompatible avec ce que je vois dans l'approche professionnelle et universitaire de l'histoire (surtout que ma manière de voir les choses est souvent assez peu conformiste, par rapport à l'approche toujours orientée et socialisante qui fait foi dans le milieu des sciences humaines). Sans parler de l'aspect très scolaire, technique et encadré de la "critique historique" telle qu'on est censés l'effectuer. Il y a également un côté très chiant que j'avais sous-estimé, et qui fait partie intégrante de ce métier, par exemple tout ce qui touche aux archives. Enfin, c'est un tout, et c'est difficile d'expliquer clairement mon ressenti. Mais je ne me vois plus en tant qu'historien dans ce contexte là, qui ne correspond pas à l'idée que je me faisais de la profession. C'est ma faute, évidemment, car j'aurais dû être mieux renseigné. Maintenant, ce n'est pas exclu que je termine tout de même ces études, comme toi et José me le conseillez. Encore une fois, je venais aussi pour en savoir plus sur le secteur informatique en particulier, et la possibilité de l'intégrer sur le tard. Mais merci pour vos avis, en tout cas !
  11. Tout simplement. Allez, il y en a peut-être un peu plus dans les sphères de gauche radicale qui sont très féministes, mais même ces sphères là restent fort majoritairement masculines, si j'en crois mon expérience. Et internet est quand même un peu révélateur malgré tout. Sur doctissimo, aufeminin, les forums de cuisine ou d'animaux, les femmes sont majoritaires. Sur les forums politiques (comme de jeux vidéos, de poker, de foot et de bagnoles), même d'extrême-gauche, il y a une immense majorité d'hommes. C'est caricatural mais c'est ainsi. Et je ne pense pas spécialement qu'il faille y voir un "conditionnement social" quelconque.
  12. Tiens, au passage, je me demandais... Vous êtes proches du parti libertarien belge, toi et les autres bruxellois du forum ? Parce que je pensais peut-être aller à leur rencontre à l'occase et pourquoi pas m'impliquer un peu, éventuellement. Il me semble que le président du parti est sur le forum, si j'ai bien compris.
  13. Très intéressant. Merci pour ton témoignage. Mais du coup, les stats, l'informatique, etc... tu as appris par toi-même, sans formation ? Bref, c'est une option, mais comme tu le disais justement, le master en histoire n'ouvre pas sur grand chose. J'ai tendance à me dire qu'il ne me servira strictement à rien. Alors que si t'es juriste ou comptable, j'imagine que tu peux plus facilement aller un peu partout.
  14. Je t'avoue que c'est assez instinctif. La programmation par exemple, ça me fascine assez, et le peu que j'en connais me donne envie de m'y intéresser davantage. Mais évidemment, avant de me lancer, je me renseignerai beaucoup plus précisément (je regarderai des cours, etc). Il ne s'agit pas de prendre une décision trop rapide, mais d'y réfléchir. En fait, je venais surtout pour savoir si, selon les informaticiens, ce n'est pas trop "mission impossible" de s'y mettre sur le tard. J'ai toujours eu l'image des informaticiens comme des geeks qui passent leur temps sur l'ordi depuis leur adolescence et qui connaissent absolument tout, or ce n'est pas du tout mon cas.
  15. Je ne savais pas h16 habitait ici ! Une cuite avec vous ? Faudrait une préparation psychologique, mais pourquoi pas !
  16. Je me permets de vous demander conseil concernant ma situation actuelle. Voilà, pour résumer rapidement mon parcours chaotique : - après le lycée j'ai eu la chance d'avoir un "petit job" pendant 4 ans dans une agence immobilière (j'avais besoin d'argent, c'était bien payé - Genève oblige - et je ne savais pas trop quoi faire de ma vie) - ensuite j'ai cru avoir le déclic en me lançant dans des études d'histoire, car c'est l'une de mes passions, et j'aimais l'idée de devenir prof - actuellement, j'ai 25 ans, je suis en 3ème année à Bruxelles (où j'ai déménagé pour des raisons très personnelles, mais on s'en fout ) Le problème est très simple. En fait, je n'aime pas mes études, et l'approche qu'on nous impose. J'ai compris que les "sciences humaines" en milieu académique n'étaient définitivement pas faites pour moi. Ce serait long à expliquer, mais j'en ai acquis la certitude aujourd'hui. Pourtant, ces sujets représentent toujours une passion, cependant je me suis rendu compte que je préférais m'y adonner en toute liberté et sans cadre imposé, que ce soit en tant qu'étudiant ou éventuellement en tant que prof plus tard. Bref, je ne suis plus motivé, et malgré mes efforts je n'y arrive plus. Tout ça me fait chier car j'ai 25 ans, et l'impression d'avoir perdu une partie de ma vie à cause de mes mauvais choix. Je me sens vraiment comme une merde, surtout quand je vois des potes de mon âge avoir déjà leur diplôme et leur travail. Mais soit. Malgré ma déprime, j'ai essayé de réfléchir une nouvelle "vocation", sachant que je ne peux plus me planter. J'ai pensé à quelque chose de plus scientifique, et en particulier à l'informatique. Soyons clairs : je n'ai que très peu de connaissances dans le domaine, mais j'ai toujours eu l'envie de m'y intéresser davantage, et j'ai ce besoin obsessionnel de changer radicalement de domaine au niveau de mes études. Je crois savoir qu'il y a pas mal d'informaticiens sur ce forum, donc ma demande est très claire. Que me conseillez vous ? Peut-on apprendre l'informatique sur le tard si on n'est pas un geek qui trifouille les ordis depuis ses 13 ans, avec de la motivation, ou est-ce mission impossible ? Si oui, me conseillez vous des démarches particulières ? Enfin, n'est ce pas déraisonnable de se lancer dans de nouvelles études à cet âge là, et ne devrais-je pas me résigner à finir mes actuelles ? Désolé pour ce petit pavé.
  17. Le nombre de postes (et de dépenses) inutiles, bordel... C'est à pleurer.
  18. Comme souvent, je suis complètement d'accord avec toi. C'est ce que je réponds souvent à ceux qui disent que la religion est responsable de toutes les atrocités du monde. On peut interpréter ces textes de différentes manières, et y trouver un peu ce qu'on veut. Je pense que ceux qui les interprètent uniquement de manière belliciste et intolérante utilisent souvent la religion comme prétexte pour pouvoir assouvir leurs pulsions malsaines. Ils y trouvent de l'intolérance et des injonctions guerrières parce qu'ils le veulent bien, à la base. Si la religion n'existait pas, ils inventeraient d'autres raisons. Quand on est un croyant sain d'esprit, on sait faire la part des choses et cerner le message positif des écrits saints. Après, il faut bien admettre que l'islam est peut-être plus propice aux interprétations farfelues, dans la mesure où il n'a pas de cadre similaire à l'Eglise pour les catholiques, qui malgré ses défauts permet au moins d'affirmer une ligne directrice pacifiste (aujourd'hui, en tout cas) et donc de limiter les interprétations malsaines.
  19. http://www.slate.fr/story/113939/bernie-hillary-meme-sexisme La logique typique des SJW, que je ne comprendrai jamais. Si on se moque de la personnalité d'une femme, c'est forcément parce qu'elle est une femme, et ça veut dire qu'on se moque des femmes dans leur ensemble. Mais le problème de ce mème, rapporte NPR, c’est que, pour certains, «il joue sur les stéréotypes insidieux sur les femmes: elles ne savent pas être drôles, elles sont calculatrices, coincées, et intrinsèquement désagréables». Ce mème parle d'Hillary, pas "des femmes", putain. C'est vraiment une maladie mentale.
  20. Ah ces gros sites (buzzfeed ici) qui cherchent de l'audience en flattant la frustration des vieilles harpies féministes et les SJW ! D'ailleurs ce site fait aussi des vidéos du même genre visant les blancs, pour les ridiculiser bien comme il faut. Evidemment, ce n'est jamais dans le sens inverse (ils se feraient lyncher s'ils se le permettaient). Bref, du bon gros SJWisme qui tâche.
  21. SCBastiat

    Bar du football

    C'est vrai, c'est chiant. Mais cela dit, je n'aimerais pas particulièrement être un supporter du PSG non plus en ce moment, l'absence totale de concurrence n'étant pas un truc hyper enthousiasmant dans mon esprit.
  22. SCBastiat

    Bar du football

    Mais évidemment. C'est du folklore, de la mauvaise foi, faut pas prendre ça au premier degré... Maintenant comme je le disais, autant cette comparaison économique entre l'ASSE et l'OL n'a pas beaucoup de sens historiquement (car les deux clubs se sont construits sur un modèle à peu près similaire), autant je comprends totalement qu'on oppose ce modèle là à celui du PSG ou de Manchester City (argent tombé du ciel, qui ne découle pas d'un travail ou d'un projet). Pour Astha, je me renseignerai, mais il me semble avoir lu un travail intéressant sur le sujet il y a longtemps. J'essayerai de retrouver ça.
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