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Cortalus

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Tout ce qui a été posté par Cortalus

  1. J'ai toujours interprété cette expression comme une malédiction polie qu'on adresse à un ennemi : "puisses tu vivre des temps intéressants". Genre : guerre, famine, génocide, épidémie, catastrophes naturelles, crimes. Tout ça sort de l'ordinaire et suscite en effet l'intérêt. Personnellement, je souhaite vivre les temps les moins intéressants possibles. Je prie pour la banalité de l'existence et la routine quotidienne. Mon côté hobbit traditionnaliste je suppose. Pour en revenir au sujet, la disparition du PLD me pousse moi aussi du côté du parti libertarien. Il y a des trucs biens chez Objectif France, mais ce n'est pas Objectif Liberté.
  2. En tant qu'employeur, on déclenche régulièrement des contrôles des arrêts dans mon entreprise. C'est pas bien méchant. En pratique, le pire qui puisse arriver au salarié est qu'on lui dise "on vous attend demain à 8 h". C'est sûr que pour certains, c'est un choc. Mais concrètement il est impossible de démontrer qu'un arrêt était abusif à la base. C'est extrêmement frustrant.
  3. Bah même réponse que celle que j'ai faite à Antoninov.
  4. Chez moi, le sondage ne s'affiche pas avec la vidéo intégrée. Il m'a fallu aller sur la page facebook pour répondre.
  5. J'ai lu ce matin qu'elle demandait un quota de 50 % "dans tous les domaines". Si elle s'est rendue compte de sa boulette et qu'elle a précisé par la suite qu'elle ne parlait que des "domaines de pouvoir", tant mieux. Enfin, non, c'est de la merde quand même, mais à moins grande échelle. Quand à mon raisonnement démographique, cela change simplement son échelle. Augmentation massive du chômage des cadres hommes et postes non pourvus de cadres. Sachant que les cotisations des cadres sont indispensables à l'équilibre du système social (gros contributeur alors qu'ils présentent des risques plus faibles), cela aura un impact sur les taux de cotisations ou le niveau des allocations.
  6. Dans tous les cas de figure c'est une catastrophe. La population active occupée en France en 2018 est de 27,1 millions de personnes, dont : - hommes : 14 millions ; - femmes : 13,1 millions. Parallèlement, la population active au chômage en France en 2018 est de 2,7 millions de personnes, dont : - hommes : 1,4 millions ; - femmes : 1,3 millions. Ce qui nous fait une population active totale (occupée ou non) de 29,8 millions de personnes. On constate que le nombre d'hommes qui travaillent est supérieur d'un million au nombre de femmes qui travaillent. Établir un quota obligatoire de 50 % de femmes dans tous les emplois revient par conséquent au minimum à mettre au chômage instantanément un million de travailleurs au seul motif qu'ils ne sont pas du bon sexe. En théorie, cela devrait faire sortir parallèlement un million de femmes du chômage. Cela supposerait cependant que parmi les 1,3 million de chômeuses, 77 % seraient prêtes à reprendre un emploi précédemment exercé par un homme dans un domaine qui ne respectait par le quota minimum de femmes. Le taux de chômage des femmes dans ces conditions descendrait à 2 % (difficile d'imaginer le réduire davantage à cause du chômage frictionnel). Je m'abstiendrai d'évaluer le réalisme de cette hypothèse. Admettons la simplement pour la suite de la démonstration. Sans rentrer dans le détail des emplois occupés, voici les déséquilibres les plus importants par secteur d'activité : - agriculture/sylviculture : 0,3 million d'hommes de plus que de femmes ; - industrie : 1,5 million d'hommes de plus que de femmes ; - construction : 1,4 million d'hommes de plus que de femmes ; - distribution, logistique et restauration : 1 million d'hommes de plus de femmes ; - fonction publique et enseignement : 0,9 million de femmes de plus que d'hommes ; - sanitaire et social : 2,3 millions de femmes de plus que d'hommes. En fait, on a donc 0,3 + 1,5 + 1,4 + 1 = 4,2 millions d'hommes en trop dans les secteurs de l'agriculture/sylviculture, de l'industrie, de la construction, de la distribution, de la logistique et de la restauration (appelons les secteurs à tendance masculine). Si on admet qu'un million de chômeuses prend des emplois dans ces secteurs, alors sur les 4,2 millions d'hommes en trop, un million peut garder son emploi dans le respect de la parité. Il reste donc 3,2 millions d'hommes qui doivent dégager. À ce stade du raisonnement, le nombre d'emplois qui restent non pourvus dans les secteurs à tendance masculine est de 2,2 millions, c'est-à-dire la différence entre les 3,2 millions d'hommes écartés et le million de femmes embauchées. En parallèle, on a 3,2 millions de femmes de plus que d'hommes dans la fonction publique et le sanitaire et social. On peut donc imaginer que 2,2 millions de ces femmes soient transférées pour occuper les emplois vacants dans les secteurs à tendance masculine. Sur les 3,2 millions d'hommes écartés de ces secteurs, 2,2 millions pourraient prendre les places laissées vacantes dans la fonction publique et le sanitaire et social. On retrouve ainsi l'estimation minimale d'un impact d'un million d'hommes mis au chômage et d'un million de femmes sorties du chômage. Mais pour aboutir à ce résultat, plus de cinq millions de personnes doivent être obligées de changer de secteur d'activité (2,2 millions d'hommes et 2,2 millions de femmes qui échangent leurs postes et, à la louche, une grosse part du million de chômeuses qui retrouvent du travail dans des secteurs à tendance masculine). Vu la population active de 29,8 millions, cela veut dire qu'en gros un actif sur six est obligé de se reconvertir. Pour aboutir à ce résultat, une coercition massive des entreprises et des individus est nécessaire. L'impact serait désastreux pour la productivité et pour le bien-être de la population. On aboutirait aussi à une situation ou sur les 2,7 millions de personnes en recherche d'emploi, 2,4 millions seraient des hommes, soit environ 89 % d'hommes parmi les chômeurs. Le taux de chômage des hommes serait de 16 %, celui des femmes de 2 %. Imaginons l'impact sur les structures familiales et sociales. C'est tout simplement un cauchemar. Et c'est le scénario le plus favorable. Parce qu'en réalité, il semble douteux que l'intention de la ministre soit d'exclure de la fonction publique et du secteur sanitaire et social 2,2 millions de femmes et de les obliger à se reconvertir dans des secteurs à tendance masculine. J'ai plus l'impression qu'elle parle d'un quota minimum de femmes partout, pas de la parité. Dans ce cas de figure, il n'y a pas échange des emplois entre 2,2 millions d'hommes dans les secteurs à tendance masculine et 2,2 millions de femmes dans la fonction publique et le sanitaire et social. On en reste donc au stade où un million de femmes sortent du chômage pour occuper des emplois dans des secteurs qui étaient en déficit de femmes et 3,2 millions d'hommes restent sur le carreau. On passerait ainsi de 2,7 millions de personnes en recherche d'emploi à 4,9 millions, avec une variation de + 2,2 millions (+ 81 %) dont + 3,2 millions d'hommes et - 1 million de femmes. Le taux de chômage grimperait de 9 à 16 %. Un actif homme sur trois serait au chômage. 94 % des personnes en recherche d'emploi seraient des hommes. C'est un désastre pour l'équilibre des structures familiales et sociales. Il faudrait s'attendre à une hausse de la violence, de la délinquance... Sachant que le ratio PIB/population active occupée est de 87 K€/actif occupé en 2018, on peut estimer très grossièrement qu'avec 2,2 millions de postes qui seraient laissés vacants dans les secteurs à tendance masculine, on perdrait sur le long terme environ 190 milliards d'euros de PIB (8 % du PIB). Probablement beaucoup plus à court et moyen terme compte tenu des coûts induits (reconversion, frais de gestion et de contrôle, etc.). Une telle chute de l'activité aurait des effets désastreux sur toutes les assiettes fiscales et de cotisations sociales, alors que la demande en prestations sociales exploserait. Comme on est en France, les impôts et taxes augmenteraient donc massivement. On a vu ces derniers mois ce que ça peut donner comme résultat dans la rue. Mais cela reste encore un scénario optimiste. Parce que tout le raisonnement précédent repose sur l'hypothèse que les métiers sont interchangeables au sein d'un même secteur d'activité, ce qui n'est bien sûr pas le cas. Prenons l'exemple de mon secteur d'activité, l'immobilier. C'est relativement paritaire au niveau de la branche, avec 47 % d'hommes et 53 % de femmes. Si on appliquait un quota minimum de 50 % de femme au niveau des entreprises, on ne serait pas trop inquiétés. Mais si je regarde par métier, dans mon organisme de logement social par exemple : - 100 % des informaticiens sont des hommes ; - 100 % des ouvriers et artisans du bâtiment sont des hommes ; - 100 % des chargés de contentieux et de recouvrement sont des hommes ; - 92 % des gardiens d'immeubles sont des hommes ; - 85 % des monteurs d'opération (responsables de chantiers en maîtrise d'ouvrage ) sont des hommes ; - 100 % des travailleurs sociaux sont des femmes ; - 100 % des gestionnaires RH sont des femmes ; - 92 % de l'équipe commerciale est composée de femmes ; - 75 % de l'équipe compta/finances est composée de femmes ; - etc. En pratique, si demain on doit avoir un minimum de 50 % de femmes dans chaque métier, on ferme la boutique. C'est aussi simple que ça. Et si c'était un minimum de 50 % d'hommes dans chaque métier, ce serait la même chose. Dans les deux cas cela nous oblige à licencier environ quarante pourcent de l'effectif, avec des fonctions clés qui ne sont plus remplies. Du coup, c'est tout le monde au chômage. On peut faire des observations similaires dans presque tous les secteurs. Les hommes et les femmes ont tendance à choisir des métiers et des environnements de travail différents. Bref, les résultats seraient déjà catastrophiques sur le papier avec l'hypothèse très simplificatrice que les emplois sont interchangeables au sein de chaque secteur. Alors dans la réalité autrement plus complexe, on n'ose imaginer l'ampleur du désastre. Mais bien sûr, pour celui qui veut établir la république des soviets et réinstaurer le passeport ouvrier, le quota de 50 % de femmes est un bon angle d'attaque du système économique. (Source des données : INSEE, enquête emploi publiée le 9 avril 2019 et comptes nationaux 2018)
  7. Hein ? Ça se lit sans effort, c'est de la vulgarisation ! Une lecture très plaisante de mon point de vue.
  8. Cortalus

    Aujourd'hui, en France

    J'ai personnellement été témoin d'un foirage monumental dans l'usage de technologies audiovisuelles par des officiers de police judiciaire dans le cadre d'une enquête criminelle. Cela arrive, avec des conséquences potentiellement dramatiques. Ce n'est pas parce que les gens bossent dans des secteurs où des vies humaines sont en jeu qu'ils sont moins négligents. On pourrait parler aussi de l'hôpital, dans le même genre.
  9. Cortalus

    Aujourd'hui, en France

    Il ne faut pas négliger l'hypothèse de la débilité des forces de l'ordre.
  10. La liste ML2D n’a pas pu se présenter : pas assez de femmes pour atteindre la parité. Envoyé de mon iPhone en utilisant Tapatalk
  11. C’est le signal qu’il faut arrêter la conversation. Ce genre de discours est généralement l’aveu qu’on est à court d’argument. Mais la plupart des gens s’identifient à leurs opinions et il leur est donc psychologiquement impossible d’en examiner objectivement la validité des prémisses. Pousser plus loin ne générerait à mon avis que de l’agressivité chez ton interlocutrice. Envoyé de mon iPhone en utilisant Tapatalk
  12. En gros, cette obligation découle de l'article 55 de la loi 2000-1208 du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et au renouvellement urbains, dite "SRU", codifié aux articles 302-5 et suivants du code de la construction et de l'habitation. Par contre, la loi SRU ne traite que de l'obligation faite aux communes d'avoir un pourcentage de logements sociaux, et des pénalités en cas de non respect de cette obligation. Les textes qui s'imposent aux lotisseurs et promoteurs sont les réglementations d'urbanismes imposées par les collectivités locales, qui comportent des "servitudes de mixité sociale". En gros, afin de respecter les obligations de l'article 55 de la loi SRU, les collectivités locales conditionnent l'agrément des projets immobiliers à la production de logements sociaux. C'est donc dans le PLU applicable localement qu'il faut chercher la disposition s'imposant aux producteurs de logements.
  13. C'est plus largement une illustration du biais de narration. Cf. à ce sujet Nicolas Nassim Taleb, Le cygne noir, et Daniel Kahneman, Système 1 / Système 2.
  14. On est d'accord. Mais dans un environnement social à peu près fonctionnel, le déni n'est qu'un mécanisme de sauvegarde la psyché. Dans un environnement totalitaire, le déni devient en plus un mécanisme de sauvegarde de son existence physique et de celle de sa famille. Dans le régime soviétique, on ne peut pas se tromper : toute erreur devient une faute, un acte de sabotage. Dans le cas des ingénieurs et administrateurs, on parle en outre d'un corps social qui a été dressé et sélectionné pour sa capacité à produire des faux rapports de performance, à maquiller tous les aspects de la réalité. Les objectifs doivent toujours être plus ambitieux, ils doivent toujours être dépassés, et si le dirigeant de l'usine d'à côté vient d'annoncer au comité central qu'il produira 100 % de plus en N+1, alors il faut annoncer qu'on fera +120 %. Quand le système social entier repose sur le mensonge, il est d'autant plus difficile de résister à notre propre tendance naturelle à nous illusionner.
  15. C'était des réacteurs très puissants, qui fournissaient de grosses quantités de plutonium pour les armes atomiques en plus de la production d'énergie, mais instables de par leur conception, avec un coefficient de vide positif, et très légers en termes de sécurité par rapport aux réacteurs occidentaux de l'époque. Cela m'étonnerait que les ingénieurs pensaient réellement qu'ils étaient si sûrs que ça. Mais ils n'avaient certainement pas d'autres choix que de l'affirmer. Compte tenu de la mentalité soviétique, le RBMK est nécessairement le plus puissant, le plus efficient, le plus sûr des réacteurs. Dire autre chose serait un acte politique. En tout cas, le thème du premier épisode est clairement le déni. Un trait typique de la mentalité scientiste communiste. Je pense bien sûr au lyssenkisme, mais aussi aux polémiques que suscitent de nos jours les études qui bousculent certains dogmes gauchistes (par exemple sur l'inné et l'acquis). Si la catastrophe de Tchernobyl a initié le mouvement de la Glasnost, c'est parce que c'est un épisode où la dissonance cognitive a été trop forte.
  16. J'ai vu le premier épisode de Tchernobyl. Bien, mais extrêmement frustrant parce que ça démarre à l'explosion du réacteur 4 et que rien n'est expliqué sur l'enchaînement hallucinant de conneries qui a précédé. J'espère qu'il y aura un flash-back pour retracer les erreurs et les fautes qui ont conduit au drame.
  17. Pour construire des logements nouveaux, il faut que la location des logements existants génère un bénéfice. Sinon, il n'y a pas de ressources pour investir. Actuellement, la réglementation impose aux organismes de logements sociaux de financer en gros un tiers du coût de la construction par un apport de fonds propres. Les deux tiers restants proviennent essentiellement des emprunts à la caisse des dépôts sur le fonds livret A, et marginalement des subventions. Donc pour construire disons 100 logements à 150 K€, je dois sortir 150 000 / 3 x 100 = 5 millions d'euros des caisses de l'office. Disons maintenant que mon chiffre d'affaires des location est de 50 millions d'euros. Si mes charges (annuités d'emprunts, personnel, maintenance, sous-traitance, etc.) sont de 45 M€, la différence constitue un autofinancement de 5 millions d'euros (10 % des loyers, en gros la moyenne du secteur). Autrement dit, ce sont 5 millions que je peux utiliser tous les ans pour constituer l'apport en fonds propres nécessaire à la construction de mes 100 logements dans mon exemple précédent. Mais avec une taxe de 10 % sur le chiffre d'affaire, je perds 50 M€ x 10 % = 5 millions. Mon autofinancement est de 0. Admettons que j'ai 10 millions d'euros en trésorerie que je peux dépenser sans descendre en-dessous du fonds de roulement minimal pour mon exploitation. Je peux alors encore lancer 100 logements par an pendant deux ans. Après, je ne pourrais mobiliser des fonds propres sur des opérations nouvelles qu'à hauteur de ce que me procurera des cessions de logements. Si je ne suis pas sur un marché immobilier porteur, autant dire que c'est la fin de tous les projets. C'est la situation vers laquelle se dirigent en gros les organismes de logements sociaux dans les territoires dits "détendus". Pour le gouvernement, l'objectif est de récupérer 1,5 milliards d'euros par an avec cette taxe. Mais les génies de Bercy ont réussi à la faire comptabiliser comme une baisse des dépenses publiques. C'est extraordinaire. Je raconterai peut-être ça une autre fois.
  18. C'est ce qu'on essayait tous de faire. Et puis on s'est pris une taxe de 10 % du chiffres d'affaire avec la loi de finances 2018. C'était le taux d'autofinancement moyen du secteur. Maintenant le gouvernement ne comprend plus pourquoi on annule les projets.
  19. A la décharge des littéraires, je dirais que le contenu scientifique en première et terminale L est absolument ridicule. En comparaison, les programmes de sciences humaines en filière S, notamment philo, sont quand même plus conséquents. Bien sûr, je parle de mon époque (je suis assez vieux pour qu'un de mes plus anciens souvenirs soit la mine déconfite de mes parents quand Mitterrand a été réélu).
  20. Je soupçonne un phénomène similaire en France. En tout cas, dans le logement social, la demande en matière de T1 à T3, particulièrement T1 et T2, a considérablement augmenté, alors que les T4 et + trouvent difficilement preneur. Le parc de logement existant est très mal adapté pour répondre à cette demande. Souvent, le divorce d'un couple de la classe moyenne se traduit par une baisse des revenus telle qu'un voire les deux parents doivent se tourner vers le parc social pour se loger. Et donc on se retrouve avec plein de divorcés en galère qui veulent un petit appartement "avec une chambre en plus pour quand j'ai la garde".
  21. Et puis qu'est-ce qu'on met dans la culture générale ? Personnellement, je considère qu'être capable de discuter des mérites comparés du 7,62 et du 5,56 compte dans la culture générale autant que de savoir disserter sur l'ut pictura poesis. Mais les types qui conçoivent l'épreuve de culture gé au concours d'entrée de sciences-po n'ont jamais proposé un sujet sur les fusils d'assaut.
  22. Même constat dans mon domaine (urbanisme et finances).
  23. Je dirais que c'est plutôt un effet secondaire. Mais j'imagine que certains font des études pour retarder le passage à l'âge l'adulte, avec comme effet secondaire qu'ils apprennent parfois quelque chose.
  24. Le but des études, c'est bien d'apprendre, non ? Un choc culturel, c'est de l'apprentissage accéléré. Je pense que les étudiants qui y sont confrontés mûrissent bien plus vite que ceux à qui il est épargné, pour peu qu'ils évitent les pièges psychologiques du ressentiment et de l'envie. Que l'on considère cela comme un mal est un des plus grands symptômes de la dégénérescence gauchiste des milieux académiques, à mes yeux.
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