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Relancer La France


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Si tous les prélèvements obligatoires pesant sur les entreprises sont supprimés, les taux directeurs de la banque centrale ramenés à 0% et les taux à long terme des banques de détail légalement plafonnés à 1,5%/an, l'ensemble des prix à la consommation peuvent être divisés au moins par deux sans obérer la rentabilité des entreprises.

Les consommateurs auront le droit de saisir le conciliateur, puis, si nécessaire, le tribunal d'instance pour faire condamner à des amendes et dommages et intérêts fort dissuasifs les entreprises qui n'auront pas baissé leurs prix ou pas autant qu'elles l'auraient pu.

Pour éviter un harcèlement judiciaire des entreprises, les consommateurs seront passibles des mêmes amendes et dommages et intérêts pour dénonciation abusive.

Les salaires et autres revenus restant à leur niveau actuel, le pouvoir d'achat pourra ainsi être multiplié par deux et la compétitivité des produits et services français exportés sera grandement renforcée.

S'ensuivra donc une très forte croissance économique qui permettra de compenser le manque à gagner fiscal consécutif à ce dégrèvement total des entreprises par le placement en Bourse, d'autorité et au bénéfice des pouvoirs publics, des quelques 2000 milliards d'euros d'épargne populaire dont le rendement boursier, dans cette conjoncture de forte croissance, devrait permettre aussi de supprimer les impôts sur le revenu et la fortune.

Les fortunes et les compétences resteront ou reviendront ainsi en France, les fonds de placement et les grands comptes des banques n'étant pas ainsi réquisitionnés par l'Etat et restant libres de circuler et fructifier.

Les épargnants toucheront 10% par an d'intérêts, ce qui représente environ le double du rendement moyen actuel des placements garantis, mais leur capital sera immobilisé pendant au moins trois ans pour éviter des retraits massifs sous le coup de la peur et de l'hostilité que suscite la Bourse chez de nombreux Français.

A l'issue de ces trois années, les épargnants recouvreront le droit d'investir la totalité de leur épargne dans les valeurs mobilières ou immobilières de leur choix, mais le rendement de cette épargne sera toujours plafonné à 10%/an, le supplément de rendement étant entièrement reversé au Trésor Public.

Pour éviter une folle spéculation comparable à celle qui emporta Wall Street et l’économie mondiale à partir de 1929, la pratique du crédit bancaire sera fortement encadrée afin notamment d’interdire les achats de valeurs boursières à crédit ou de gager des emprunts sur le produit de la spéculation, comme cela se pratiquait dans les années 1920 aux Etats-Unis.

Cette très forte croissance démultipliera les offres d'emploi dans le privé, ce qui permettra de réduire à six mois maximum la durée des assedics et du RMI ou de l'ASS, sauf pour les personnes en formation ou accompagnement à l’emploi qui percevront leurs indemnités jusqu’au terme de leur formation ou de leur accompagnement.

De même, la plupart des lycéens des filières générales et des étudiants des universités pourront aussi être orientés vers des contrats de qualification et d'apprentissage.

Le souvenir personnel du calvaire scolaire d'un camarade de classe, qui fut aussi par répercussion celui de toute la classe, et ne s'explique que par le fait que le malheureux devait attendre l'âge de 16 ans pour pouvoir EN-FIN réaliser son rêve d'apprendre le métier de mécanicien, me pousse aussi à souhaiter voir rabaissé à 13 ans l'âge d'entrer en apprentissage.

Cette forte offre d'emplois dans le privé sera aussi l'occasion de mettre fin à la garantie d'emploi des fonctionnaires et assimilés et de licencier tous ceux en surnombre dans le cadre d'un reformatage et d'une redéfinition du service public.

L'augmentation des recettes du Trésor, consécutive aussi, dans le cadre de cette baisse générale des prix, à la baisse des prix des produits et services que les pouvoirs publics achètent ou du coût de ceux qu'ils produisent, devra aller prioritairement au remboursement de la dette publique qui atteint des sommets inquiétants et sera d'autant plus facile à éponger que les taux d'intérêts auront été sensiblement diminués et que les créanciers des pouvoirs publics souhaiteront disposer du maximum de liquidités pour profiter le plus possible de la croissance.

Une fois les dettes remboursées, les investissements et réformes urgents ne manqueront pas, à commencer par la santé et la justice.

Des réformes aussi dérangeantes ne me paraissent pouvoir aboutir que si un Président résolu use de l'article 16 de la Constitution.

Je sais que cet article n'a pas été prévu pour être utilisé dans un contexte de crise socio-économique, mais l'état d'urgence et de blocage dans lequel se trouve la France sur bien des points me paraît justifier son emploi.

De telles réformes peuvent s'inscrire dans le cadre européen si la BCE consent une ambitieuse politique de taux d'intérêt.

Autrement, le Président ne devra pas hésiter à en revenir au franc à parité avec le dollar et l'euro, une telle politique économique devant inspirer suffisamment confiance pour revenir au franc dans ces conditions.

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Pouvez-vous préciser vos critiques ?

Ma critique principale est simple: si on supprime les impôts des entreprises, ou bien cela va faire exploser les déficits publics ou alors il faut aussi supprimer les prestations sociales et dépenses publiques correspondantes.

Dans le premier cas, vos propositions reviennent à faire de la relance keynésienne massive. La relance keynésienne n'a jamais fonctionné nulle part. Tout le monde est d'accord pour consommer, personne n'est jamais d'accord pour payer les factures. C'est ainsi que la dette augmente sans cesse depuis 25 ans.

Dans le second cas (effectivement libéral), c'est l'explosion sociale garantie. La France est au bord du goufre. Il est grand temps de faire un pas en avant!

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Dans le second cas (effectivement libéral), c'est l'explosion sociale garantie. La France est au bord du goufre. Il est grand temps de faire un pas en avant!

C'est la raison pour laquelle tout doit se faire progressivement, réforme après réforme. On ne libéralisera jamais la France avec l'action d'un seul gouvernement de 5 ans, c'est vraiment trop peu de temps.

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C'est la raison pour laquelle tout doit se faire progressivement, réforme après réforme. On ne libéralisera jamais la France avec l'action d'un seul gouvernement de 5 ans, c'est  vraiment trop peu de temps.

Ou par la prise de Bercyla Bastille!

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Hum hum…

Des réformes aussi dérangeantes ne me paraissent pouvoir aboutir que si un Président résolu use de l'article 16 de la Constitution.

Je sais que cet article n'a pas été prévu pour être utilisé dans un contexte de crise socio-économique, mais l'état d'urgence et de blocage dans lequel se trouve la France sur bien des points me paraît justifier son emploi.

Pour ceux qui ne le savent pas, l'article 16 octroie les pleins pouvoirs au chef de l'Etat dans tous les domaines pendant un laps de temps. C'est une sorte de " dictature démocratique " où le Président peut faire ce qu'il veut, enfermer qui il veut… On a fait cet usage qu'avec la guerre d'Algérie, pour mater la rébellion.

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La progressivité des réformes conduit, entre autres, Douste-Blazy à se féliciter que le déficit de l'assurance-maladie ne soit "que" de 11 milliards d'euros pour cette année … !!!

Ces mêmes changements progressifs rendent le libéralisme et l'Etat aussi odieux l'un que l'autre puisque le premier en est réduit au dumping fiscal et social, notamment au moyen des délocalisations, et le second entretient une armée largement inefficace de fonctionnaires qui absorbent 44% du budget au détriment d'investissements incontournables.

Nous sommes donc confrontés au défi de mettre l'efficacité économique et financière du libéralisme au service du développement et de la cohésion sociale de la France, dans un contexte de forte concurrence et demande d'assistance, notamment du fait de la forte croissance du nombre de retraités et de personnes dépendantes, et tout en respectant les droits fondamentaux, en particulier ceux de la propriété, du travail et d'entreprendre.

Ma proposition se veut être une réponse à ce défi, sans oublier que la progressivité dont vous parlez n'est souvent que de la peur ou de l'intimidation face aux menaces des différents groupes d'intérêts ou corporatismes dérangés dans leurs "droits acquis", rentes de situation, pratiques ou représentations mentales.

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Demain, on rase gratis !

J'ai pas lu le détail, la première proposition (qui soutient le reste j'imagine) étant idiote.

Le credit est un produit comme un autre dont le prix dépend de l'offre et de la demande. Figer les taux d'intérêt en dessous de leur valeur "naturelle" reviendra forcément à créer de la pénurie.

Taux de 0 % = plus d'épargne = plus de pret = plus d'investissement = aucune chance de croissance.

EDIT : "plus de" dans le sens "aucun"; bien sûr

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Le taux à 0% suggéré serait celui pratiqué par la banque centrale, pas par les banques de dépôt.

Et, ne vous en déplaise, le niveau des taux d'intérêt a une incidence directe sur la consommation et l'investissement, comme l'a prouvé et le prouve le rôle central de la banque centrale américaine ou japonaise dans l'activité économique des Etats-Unis et du Japon.

Avant de traiter les autres d'idiots, prêtez davantage attention à ce qu'ils disent et demandez-vous si votre représentation des choses est vraiment la bonne.

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Le taux à 0% suggéré serait celui pratiqué par la banque centrale, pas par les banques de dépôt.

L'un et l'autre n'ont bien entendu aucun lien :doigt:

Et, ne vous en déplaise, le niveau des taux d'intérêt a une incidence directe sur la consommation et l'investissement, comme l'a prouvé et le prouve le rôle central de la banque centrale américaine ou japonaise dans l'activité économique des Etats-Unis et du Japon.

Manquerait plus que ca n'en ait pas …..

Avant de traiter les autres d'idiots, prêtez davantage attention à ce qu'ils disent et demandez-vous si votre représentation des choses est vraiment la bonne.

Excusez-moi monsieur :icon_up:

A 0 % tout le monde veut emprunter. D'accord ? Mais qui voudrait preter ? D'où vient l'argent qu'on va preter à 0 % ?

(réponse : de la planche à billet)

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Et, ne vous en déplaise, le niveau des taux d'intérêt a une incidence directe sur la consommation et l'investissement, comme l'a prouvé et le prouve le rôle central de la banque centrale américaine ou japonaise dans l'activité économique des Etats-Unis et du Japon.

L'action de la BoJ? Tu veux dire depuis 15ans, et la déflation?

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Si tous les prélèvements obligatoires pesant sur les entreprises sont supprimés, les taux directeurs de la banque centrale ramenés à 0% et les taux à long terme des banques de détail légalement plafonnés à 1,5%/an, l'ensemble des prix à la consommation peuvent être divisés au moins par deux sans obérer la rentabilité des entreprises.

Les consommateurs auront le droit de saisir le conciliateur, puis, si nécessaire, le tribunal d'instance pour faire condamner à des amendes et dommages et intérêts fort dissuasifs les entreprises qui n'auront pas baissé leurs prix ou pas autant qu'elles l'auraient pu.

Pour éviter un harcèlement judiciaire des entreprises, les consommateurs seront passibles des mêmes amendes et dommages et intérêts pour dénonciation abusive.

Les salaires et autres revenus restant à leur niveau actuel, le pouvoir d'achat pourra ainsi être multiplié par deux et la compétitivité des produits et services français exportés sera grandement renforcée.

S'ensuivra donc une très forte croissance économique qui permettra de compenser le manque à gagner fiscal consécutif à ce dégrèvement total des entreprises par le placement en Bourse, d'autorité et au bénéfice des pouvoirs publics, des quelques 2000 milliards d'euros d'épargne populaire dont le rendement boursier, dans cette conjoncture de forte croissance, devrait permettre aussi de supprimer les impôts sur le revenu et la fortune.

Les fortunes et les compétences resteront ou reviendront ainsi en France, les fonds de placement et les grands comptes des banques n'étant pas ainsi réquisitionnés par l'Etat et restant libres de circuler et fructifier.

Les épargnants toucheront 10% par an d'intérêts, ce qui représente environ le double du rendement moyen actuel des placements garantis, mais leur capital sera immobilisé pendant au moins trois ans pour éviter des retraits massifs sous le coup de la peur et de l'hostilité que suscite la Bourse chez de nombreux Français.

A l'issue de ces trois années, les épargnants recouvreront le droit d'investir la totalité de leur épargne dans les valeurs mobilières ou immobilières de leur choix, mais le rendement de cette épargne sera toujours plafonné à 10%/an, le supplément de rendement étant entièrement reversé au Trésor Public.

Pour éviter une folle spéculation comparable à celle qui emporta Wall Street et l’économie mondiale à partir de 1929, la pratique du crédit bancaire sera fortement encadrée afin notamment d’interdire les achats de valeurs boursières à crédit ou de gager des emprunts sur le produit de la spéculation, comme cela se pratiquait dans les années 1920 aux Etats-Unis.

Cette très forte croissance démultipliera les offres d'emploi dans le privé, ce qui permettra de réduire à six mois maximum la durée des assedics et du RMI ou de l'ASS, sauf pour les personnes en formation ou accompagnement à l’emploi qui percevront leurs indemnités jusqu’au terme de leur formation ou de leur accompagnement.

De même, la plupart des lycéens des filières générales et des étudiants des universités pourront aussi être orientés vers des contrats de qualification et d'apprentissage.

Le souvenir personnel du calvaire scolaire d'un camarade de classe, qui fut aussi par répercussion celui de toute la classe, et ne s'explique que par le fait que le malheureux devait attendre l'âge de 16 ans pour pouvoir EN-FIN réaliser son rêve d'apprendre le métier de mécanicien, me pousse aussi à souhaiter voir rabaissé à 13 ans l'âge d'entrer en apprentissage.

Cette forte offre d'emplois dans le privé sera aussi l'occasion de mettre fin à la garantie d'emploi des fonctionnaires et assimilés et de licencier tous ceux en surnombre dans le cadre d'un reformatage et d'une redéfinition du service public.

L'augmentation des recettes du Trésor, consécutive aussi, dans le cadre de cette baisse générale des prix, à la baisse des prix des produits et services que les pouvoirs publics achètent ou du coût de ceux qu'ils produisent, devra aller prioritairement au remboursement de la dette publique qui atteint des sommets inquiétants et sera d'autant plus facile à éponger que les taux d'intérêts auront été sensiblement diminués et que les créanciers des pouvoirs publics souhaiteront disposer du maximum de liquidités pour profiter le plus possible de la croissance.

Une fois les dettes remboursées, les investissements et réformes urgents ne manqueront pas, à commencer par la santé et la justice.

Des réformes aussi dérangeantes ne me paraissent pouvoir aboutir que si un Président résolu use de l'article 16 de la Constitution.

Je sais que cet article n'a pas été prévu pour être utilisé dans un contexte de crise socio-économique, mais l'état d'urgence et de blocage dans lequel se trouve la France sur bien des points me paraît justifier son emploi.

De telles réformes peuvent s'inscrire dans le cadre européen si la BCE consent une ambitieuse politique de taux d'intérêt.

Autrement, le Président ne devra pas hésiter à en revenir au franc à parité avec le dollar et l'euro, une telle politique économique devant inspirer suffisamment confiance pour revenir au franc dans ces conditions.

Tant qu'on y est dans l'article 16 précisons que l'amour, la paix, le confort, l'argent et le clubbing seront érigées en valeur en lieue et place des anciennes - le truc là, "liberté, égalité et un autre machin".

Tous les journalistes auront les testicules arrachés et les intermittents, subiront le supplice de la hache - rhaA le bon temps de Robespierre.

Les clodos et les chômeurs seront jetés systématiquement dans la seine, les lycéens et étudiants se convertiront au catholicisme par le décret-loi 865421.

Le Pape sera sacré religion nationale et le mont-Pèlerin sera vénèré par la nation et son apôtre principal Minc nous dira la vérité de par LE MONDE.

Les amoureux seront lapidés, ainsi que les poètes car ils ne servent à rien cette bande de tapettes anarchistes.

Enfin tous le monde sera libre de ne faire que du bon pognon par l'Article 1 et unique de la constitution du bonheur.

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Le taux à 0% suggéré serait celui pratiqué par la banque centrale, pas par les banques de dépôt.

Et, ne vous en déplaise, le niveau des taux d'intérêt a une incidence directe sur la consommation et l'investissement, comme l'a prouvé et le prouve le rôle central de la banque centrale américaine ou japonaise dans l'activité économique des Etats-Unis et du Japon.

Avant de traiter les autres d'idiots, prêtez davantage attention à ce qu'ils disent et demandez-vous si votre représentation des choses est vraiment la bonne.

Effectivement, au vu de la politique actuelle de l'administration américaine, la question de ce que doit faire l'Europe se pose forcément: continuer une politique d'orthodoxie financière ou bien faire comme les Etats-Unis, mener une relance keynésienne et ouvrir en grand les robinets de la dépense publique, des déficits et du crédit.

Autrement dit, les Etats-Unis roulent en Ferrari achetée à crédit. Ils vont évidemment plus vite que ces crétins d'Européens, qui persistent à rouler en Twingo payée cash. Faut-il nous aussi acheter une Ferrari avec un prêt à 0%?

Bien évidemment, la réponse est non. Aucune politique kéynesienne n'a jamais marché nulle part. Les effets sont positifs à court terme mais plus que compensés par les effets négatifs à long terme. Comme les imprévoyants le savent, demain finit toujours par arriver un jour trop tôt. D'ailleurs, la France fait de la relance keynésienne en permanence depuis 25 ans maintenant.

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Les taux directeurs pratiqués par les banques centrales sont largement fonction des perspectives de croissance et de la confiance des investisseurs et consommateurs.

Ainsi, ma proposition entend compenser de trés faibles taux directeurs par des perspectives de trés forte croissance consécutives à la défiscalisation des entreprises, à l'allègement sensible des taux d'intérêt et à la forte baisse des prix que les deux premières mesures permettront.

De même, mon projet cherche à remplacer les rentrées fiscales par de trés forts bénéfices boursiers de l'épargne populaire placée en bourse et que cette relance dégagera, comme au temps de la "bulle" internet ou immobilière.

Pour ce qui est des politiques économiques pratiquées, les orientations libérales sont aussi discutables que les keynésiennes, comme le montre, entre autres, le cas du Royaume-Uni ou la croissance et le chômage se portent certes nettement mieux que dans le reste de l'Europe, mais au prix d'un niveau de vie prohibitif et de reconversions économiques pour le moins douloureuses, Rover en étant l'exemple le plus récent.

Quant à toi, DovoboRoi, je te laisse deviner de quoi tu es le roi, à mon avis.

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Invité kikoun

J'aimerais comprendre en quoi un niveau de vie peut-être prohibitif ?

Le niveau de vie et le pouvoir d'achat au R.U sont depuis bien longtemps superieurs à ceux de la France

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Vous avez raison, par niveau de vie, je voulais dire coût de la vie, lequel est nettement moins avantageux au Royaume-Uni qu'en France, à revenus équivalents, comme le prouve la ruée des Britanniques vers les commerces du nord de la France et comme me l'ont confirmé des parents et amis qui partagent leur vie entre la France et le Royaume-Uni.

Bravo, Dovobo, tu as trouvé, ce qui prouve que tu n'es pas si con que çà, d'autant moins que, reconnaître sa connerie, c'est un premier pas significatif vers l'intelligence !!!

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Les taux directeurs pratiqués par les banques centrales sont largement fonction des perspectives de croissance et de la confiance des investisseurs et consommateurs.

Ainsi, ma proposition entend compenser de trés faibles taux directeurs par des perspectives de trés forte croissance consécutives à la défiscalisation des entreprises, à l'allègement sensible des taux d'intérêt et à la forte baisse des prix que les deux premières mesures permettront.

De même, mon projet cherche à remplacer les rentrées fiscales par de trés forts bénéfices boursiers de l'épargne populaire placée en bourse et que cette relance dégagera, comme au temps de la "bulle" internet ou immobilière.

Je trouve ces idées magnifiques, quoique incompréhensibles, les mots sonnent bien, ça ferait un excellent brouillon pour les statuts d'une entreprise.

Ce que les libéraux proposent, c'est libéraliser totalement l'émission de monnaie. Ainsi, toi, Marc, accompagné de ton prof, serez en mesure non seulement de mettre votre politique en application immédiate (vous pouvez faire ce que vous voulez avec les taux d'intérêts), laisser les clients choisir, et ainsi les servir au mieux.

Si tes idées farfelues sont en fait visionnaires, non seulement tu auras servi le peuple au mieux, les meilleures offres chassant les mauvaises (voir le destin des mauvaises entreprises en marché un peu ouvert: Moulinex versus Seb, Talbot versus Peugeolt, etc…), mais en plus, tu auras la fierté d'avoir pu mettre en application mes idées.

Acceptes-tu ou pas cette proposition? Je pense que tu la refuseras, je ne sais pas pourquoi.

Pour ce qui est des politiques économiques pratiquées, les orientations libérales sont aussi discutables que les keynésiennes, comme le montre, entre autres, le cas du Royaume-Uni ou la croissance et le chômage se portent certes nettement mieux que dans le reste de l'Europe, mais au prix d'un niveau de vie prohibitif et de reconversions économiques pour le moins douloureuses, Rover en étant l'exemple le plus récent.

C'est une honte d'écrire cela, et de dire que le Royaume Uni est libéral, honnêtement à moins de ne rien connaître de l'histoire de ce pays, je ne vois pas comment on peut décemment dire cela.

Avec des exemples, ce serait plus clair, je pense.

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Qui se ressemble s'assemble, mon bon Dovobo, ce n'est pas pour rien que tu es notre roi bien-aimé, comme tu le reconnais toi-même, sans compter que ton ego te conduit manifestement à tout prendre au premier degré, ce qui ne fait pas de toi un roi débonnaire.

Quant à toi, Chitah, je ne comprends pas bien ta critique, il n'est pas question pour moi d'augmenter démesurément et aveuglément la masse monétaire ni de sacrifier inconsidérément des enteprises, bien au contraire puisque mon projet entend augmenter leur nombre et leur croissance ; pour ce qui est du Royaume-Uni, il est évident qu'aucun pays n'est parfaitement libéral ou keynésien, ce qui n'empêche pas les gouvernements de mener des politiques qui s'inspirent de ces principes fondamentaux ; enfin, l'exercice du pouvoir ne me fait pas peur, mais il y en a déjà bien assez qui s'y voient ou qui y sont et il vaudrait mieux qu'ils se décident à mener ce genre de réformes ambitieuses.

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Quant à toi, Chitah, je ne comprends pas bien ta critique,

C'est normal, car ton analyse est complètement bidon. Tu te places de facto dans le rôle de conseiller du Prince, afin de faire que tes idées soient appliquées uniformément sur un territoire.

Je te propose le statut d'entrepreneur, à la tête d'un institut d'émission, tu pourras faire ce que tu veux.

Ta réponse, c'est "ça m'intéresse" ou bien "non, je préfèrerai être conseiller de l'Etat/prof d'université/ membre de ATTAC,".

Si ta réponse n'est pas le première, alors sache que tes idées, je les traite comme il se doit: comme du vent.

il n'est pas question pour moi d'augmenter démesurément et aveuglément la masse monétaire ni de sacrifier inconsidérément des enteprises, bien au contraire puisque mon projet entend augmenter leur nombre et leur croissance ;

Tu es un affabulateur, les seuls créateurs d'entreprise sont les entrepreneurs, pas les politiques.

Toi, à la tête d'un institut monétaire privé, oui cela crééerait une entreprise.

C'est le génie des hommes qui créé des entreprises, pas des trouducs au fin fond d'un ministère. Si tu penses le contraire, cela ne fait que confirmer que tu es très certainement dans l'université, ou bien dans un organisme para-étatique, tu ne sais as ce qu'est un projet d'entreprise, mon garçon.

pour ce qui est du Royaume-Uni, il est évident qu'aucun pays n'est parfaitement libéral ou keynésien, ce qui n'empêche pas les gouvernements de mener des politiques qui s'inspirent de ces principes fondamentaux ;

Bref, tout est vrai, tout est faux, on est libéral, on est keynésien, tout cela n'a pas d'importance, hein.

enfin, l'exercice du pouvoir ne me fait pas peur, mais il y en a déjà bien assez qui s'y voient ou qui y sont et il vaudrait mieux qu'ils se décident à mener ce genre de réformes ambitieuses.

Non, non, non, non, non.

Toi y en a pas compris, moi prendre exemple.

Prenons le cas de Renault, à l'epoque de la nationalisation.

Toi, tu dirais "je pense que Renault devrait emprunter à 30 ans, pour monter une gamme de voitures de moyenne gamme, avec des vitres fumées, etc…"

Moi, je te réponds: "non Marc, tes idées à la con pourront peut-être précipiter Renault dans le gouffre. Ce que je te propose, ce n'est pas le "pouvoir" chez Renault, mais de libéraliser pour que tu puisses monter Marc Motors Company, qui mettra en application tes super idées. Si c'est mieux, alors tu seras leader, et les clients seront servis et heureux".

Si tu refuses, c'est parce que tu n'as pas les couilles de vraiment aller au bout de ce que tu dis.

Christophe Colomb y croyait, il est parti en bateau. Et toi, Marc, tu fais quoi.

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Dommage qu'il se soit gouré.

Il a mon respect éternel parce qu'il s'est jeté à l'eau, peut-être dans de mauvaises conditions, avec de mauvaises raisons, de mauvais choix, etc…

Mais au moins, il n'est pas resté pleurnicher sur le bord comme Marc le fait, en demandant à ce qu'on écoute ses super idées mais que ce soit quelqu'un d'autre, le peuple français, qui prenne le risque à sa place.

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