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Adoption et accouchement sous X


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Etant tombée dedans quand j´était petite, je vois toujours des informations tres contradictoires sur le sujet….

Or il me semble que si le liberalisme prône la liberté ce cas pose un probléme de conflit de liberté:

- La mere a la liberte de ne pas elever un enfant qu´elle ne veut pas ou dont elle ne peut se charger…

- Mais l enfant devrait avoir la liberte de connaitre ses origines…

D un point de vue libéral comment pourrait on traiter la question…

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Etant tombée dedans quand j´était petite, je vois toujours des informations tres contradictoires sur le sujet….

Or il me semble que si le liberalisme prône la liberté ce cas pose un probléme de conflit de liberté:

- La mere a la liberte de ne pas elever un enfant qu´elle ne veut pas ou dont elle ne peut se charger…

- Mais l enfant devrait avoir la liberte de connaitre ses origines…

D un point de vue libéral comment pourrait on traiter la question…

Une femme qui a un enfant a prise deux décisions :

1 d'avoir des relations sexuelles non protégées

2 de ne pas avorter

Elle a donc délibérément choisie de céder à la partie instinctuelle de la chose. (en dehors du viol, je ne crois pas du tout à la thèse de la pauvre créature sans défense qu'on force à faire ceci ou cela) Le problème de l'enfant c'est qu'il représente un package qui comporte d'autres aspects sociaux, psychologiques et économiques qu'elle connaissait parfaitement avant de passer à l'acte mais qu'elle n'a pas voulu prendre en considération.

Au nom de la liberté l'attitude d'une "pro sous X" est claire : d'une situation je ne retiens que les avantages et je reporte les inconvénients sur les autres. Ici son enfant. Sous entendu : "je ne peux pas assumer de le reconnaitre, mais lui pourra assumer les problèmes que cela va lui causer". Or dans cette histoire qui est à l'origine du problème, elle ou lui ?

Par conséquent pas d'accouchement sous X.

PS. Qui est d'ailleurs une disposition de Vichy pour éviter les problèmes dans les familles au retour des prisonniers de guerre, à une époque ou l'avortement était interdit.

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Rien à rajouter ca me parait tout bon.

Si elle avait eu des remords d'avoir concu un gosse, au lieu de lui offrir une vie comme ca elle aurait pu avorter..

Au fait, dans le cas des enfants abandonnés, qu'est ce qui remplacerait la DDASS ou l'Assistance Publique dans une société anarcap ?

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Au fait, dans le cas des enfants abandonnés, qu'est ce qui remplacerait la DDASS ou l'Assistance Publique dans une société anarcap ?

Des sociétés de placement qui "placeraient" les enfants auprès des familles qui en recherchent. Ou bien des associations qui les prendraient en charge.

D'un point de vue libertarien, la femme qui accouche sous X est dans son droit. Ceux qui la condamnent d'un point de vue éthique ont peut-être raison, mais cela ne change rien à ce fait.

Le "droit" pour un né sous X de connaître son origine est un faux droit.

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Le "droit" pour un né sous X de connaître son origine est un faux droit.

:icon_up: Alors je en comprends pas du tout comment vous arrivez a cette conclusion pour le moins inedite??

Cela reviendrais t il a dire que vous considerez le droit de mere comme superieur a celui de l enfant???

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:icon_up: Alors je en comprends pas du tout comment vous arrivez a cette conclusion pour le moins inedite??

Cela reviendrais t il a dire que vous considerez le droit de mere comme superieur a celui de l enfant???

Dès lors qu'on admet que l'abandon d'enfant est licite, il n'y a pas de raison pour qu'on garde trace de la mère contre son gré. La mère, comme tout particulier dans ses affaires privées, a un droit à la confidentialité, de même que le personnel médical a un devoir de secret professionnel.

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Dès lors qu'on admet que l'abandon d'enfant est licite, il n'y a pas de raison pour qu'on garde trace de la mère contre son gré. La mère, comme tout particulier dans ses affaires privées, a un droit à la confidentialité, de même que le personnel médical a un devoir de secret professionnel.

Si la mère à des droits l'enfant en a aussi. Ce n'est pas parce qu'il est dans l'impossibilité dans l'instant de dire qu'il désire savoir qui est sa mère qu'on doit lui dénier ce droit. Parce que c'en est un et peut être un des plus fondamentaux.

Quelle abandonne l'enfant soit, mais pourquoi cela doit il se faire dans l'anonymat ? Si elle ne veut pas être reconnue comme mère : qu'elle avorte !

Le secret professionnel des médecins à pour fonction de protéger leurs clients alors qu'en l'espèce la confidentialité dont bénéficie la mère est préjudiciable à l'enfant si l'on en juge par la façon dont les intéressés vivent la chose ultérieurement.

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Si la mère à des droits l'enfant en a aussi. Ce n'est pas parce qu'il est dans l'impossibilité dans l'instant de dire qu'il désire savoir qui est sa mère qu'on doit lui dénier ce droit. Parce que c'en est un et peut être un des plus fondamentaux.

Quelle abandonne l'enfant soit, mais pourquoi cela doit il se faire dans l'anonymat ? Si elle ne veut pas être reconnue comme mère : qu'elle avorte !

Le secret professionnel des médecins à pour fonction de protéger leurs clients alors qu'en l'espèce la confidentialité dont bénéficie la mère est préjudiciable à l'enfant si l'on en juge par la façon dont les intéressés vivent la chose ultérieurement.

C'est un faux droit, la meilleure preuve est que vous devez contraindre des personnes pour le faire appliquer. Ou alors expliquez-moi comment vous faites.

La solution qui consiste à recommander l'avortement à la place n'est pas sérieuse !

Par ailleurs, les mères porteuses, ça existe, et l'identité de la mère biologique a dans ce contexte peu d'importance :

http://www.lexpress.fr/info/societe/dossie….asp?ida=434942

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Une attitude irresponsable n'est pas corrigée par un crime (mais nous n'allons pas reprendre cette vieille discussion).

Il est vrai que dire "l'enfant à droit de savoir" -donc la mère n'a pas celui de l'anonymat- mais que la mère a le droit d'avorter -donc d'empècher l'enfant de vivre- laisse assez pantois… On préfère favoriser un hypothétique droit à la connaissance au droit de vivre.

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C'est un faux droit, la meilleure preuve est que vous devez contraindre des personnes pour le faire appliquer. Ou alors expliquez-moi comment vous faites.

La solution qui consiste à recommander l'avortement à la place n'est pas sérieuse !

Par ailleurs, les mères porteuses, ça existe, et l'identité de la mère biologique a dans ce contexte peu d'importance :

http://www.lexpress.fr/info/societe/dossie….asp?ida=434942

Je dis simplement qu'il n'y a pas de droit à l'anonymat elle a le droit de faire ce qu'elle veut sauf de rester anonyme. (d'autant qu'ici elle n'est pas anonyme vis à vis de l'Etat qui connait lui, parfaitement son identité). Alors qu'elle prenne des dispositions personnelles pour que cela ne se sache pas est une autre histoire.

Je viens de penser à une théorisation de tout cela.

Lors d'un échange il y a l'obtention d'une satisfaction contre un désagrément, le paiement du bien ou du service.

La relation mère enfant est aussi un échange. La satisfaction du besoin physiologique de reproduction de la mère se paye du désagrément qui consiste à s'occuper de l'enfant.

Dans cette optique celle qui refuse de s'occuper de l'enfant s'apparente à un mauvais payeur elle veut bénéficier du service sans en payer le prix. Elle refuse de payer le partenaire de la transaction : l'enfant.

Maintenant si quelqu'un d'autre veut se charger du paiement à sa place : pas de problème.

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Dès lors qu'on admet que l'abandon d'enfant est licite, il n'y a pas de raison pour qu'on garde trace de la mère contre son gré. La mère, comme tout particulier dans ses affaires privées, a un droit à la confidentialité, de même que le personnel médical a un devoir de secret professionne

Je partage ce point de vue.

Tout au plus devrait-on pouvoir exiger que la mère laisse, sous anonymat, des renseignements sur ses antécédents pathologiques personnels et familiaux éventuels, pour aider au suivi médical de l'enfant.

Par ailleurs ce genre d'affirmation ( "droit à" , en l'occurence connaître avec certitude ses géniteurs) ouvre grand la porte à des situations délicates…Si en temps normal, un individu est parfaitement sûr de connaître sa vraie mère, qu'en est-il de son père biologique? Il y aurait 10% des cas où le père n'est pas celui qu'on croit…on s'en aperçoit, par exemple, lorsqu'on mène des enquêtes génétiques pour étudier la répartition de certianes maladies héréditaires

Et là il est une règle d'or: confidentialité, motus et bouche cousue!

Imaginons un instant que les tests génétiques se généralisent…scandale dans la famille ( chanson connue :warez: )

L'enfant à "droit à"? Qu'à cela ne tienne, vérifions systématiquement que son père est bien son père. On ferait çà en même temps que la vaccination anti polio :warez: Et puis après il suffira de "cuisiner" la mère pour qu'elle avoue qui est le père? Beurkkk!!!

Dommage que cet accouchement sous x parte en quenouille, en partie à cause du battage énorme sur ce fameux "droit à " qui fait qu'un adopté qui souvent ne s'en préoccupait guère, se sent désormais un peu "poussé" à le faire…

Dommage pour tout le monde, il n'y a que des perdants: la future mère qui renonce à accoucher sous X et avorte, le couple adoptant qui voit sa relation avec l'adopté perturbée du fait des recherches plus ou moins fructueuses, l'adopté qui sera presque forcément déçu de ce qu'il trouvera… :doigt:

Bien que non opposée à l'avortement, je trouvais le geste volontaire de l'accouchement sous X assez beau et généreux, et il l'est devenu encore plus lorsque que la possibilité légale d'avorter a été donnée à la future mère.

On est un peu dans le cas d'une "mère porteuse".Et là le don est anonyme et gratuit. On donne sa chance à un enfant, et on répond au désir d'un couple stérile.

J'ignorais que cette disposition avait été instaurée par Vichy. C'est toujours très péjoratif, Vichy….Du pain béni pour les détracteurs. M'enfin, Vichy, c'est aussi la fête des Mères, tout de même! :icon_up:

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C'est vrai, on oublie toujours le(s) père(s) dans cette histoire…

"cuisiner la mère pour qu'elle avoue qui est le père? " - j'imagine que certaines ne le savent même pas… :icon_up:

Vichy n'y est pour rien (ou presque), les abandons de nouveaux-nés ont toujours existé, et d'autres pays ont le même genre de disposition légale.

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C'est vrai, on oublie toujours le(s) père(s) dans cette histoire…

"cuisiner la mère pour qu'elle avoue qui est le père? " - j'imagine que certaines ne le savent même pas… :icon_up:

Vichy n'y est pour rien (ou presque), les abandons de nouveaux-nés ont toujours existé, et d'autres pays ont le même genre de disposition légale.

A notre époque la transparence n'a que peu d'inconvénients. Il est préférable qu'une femme abandonne un enfant plutôt qu'elle le néglige complétement si pour des raisons qui lui appartiennent elle n'a pas envie de l'élever ou estime ne pas pouvoir le faire.

Mais il me semble que dans toute cette histoire la liberté sert surtout à escamoter la responsabilité. Ce sont pourtant deux choses qui vont ensemble.

Elle décide de mettre au monde un enfant mais que celui ci veuille connaitre un jour son identité, alors ça non, c'est trop demander à une femme libre !

Quelle fasse des enfants dans le dos à son mari ok, mais qu'il l'apprenne alors ça non, c'est trop dur !

Elle est mariée et veut retrouver sa liberté, quoi de plus naturel, à condition bien entendu qu'il lui verse une prestation compensatoire car il va de soi quel doit continuer à avoir le même niveau de vie.

Je trouve quand même bizarre que les inconvénients de la liberté de ces dames aboutissent toujours à leur prise en charge par d'autres.

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la confidentialité dont bénéficie la mère est préjudiciable à l'enfant si l'on en juge par la façon dont les intéressés vivent la chose ultérieurement.

Tous les nés sousX puisque le terme est maintenant consacré ne deviennent pas non plus toujours des junkies ou des gens mal dans leur peau…

Je crois que ce qui me gene dans le processus c est que soit on l autorise et tant pis pour l enfant si il veut connaitre sa mere, l´Etat ne serait alors pas concerné par ses recheches (alors qu actruellement avec la création du CNAOP c est l´Etat qui aide a la recherche) soit c est illegal et dans ce cas la pas de probleme…

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Tous les nés sousX puisque le terme est maintenant consacré ne deviennent pas non plus toujours des junkies ou des gens mal dans leur peau…

Effectivement, il y en a même qui tirent un trait sur la question et ne veulent pas entendrent parler de leur mère.

Mais beaucoup d'entre eux, sans être junkies ou inadaptés, ressentent la nécessité de la retrouver. Pas nécessairement d'ailleurs pour lui reprocher quelque chose.

Je crois que ce qui me gene dans le processus c est que soit on l autorise et tant pis pour l enfant si il veut connaitre sa mere, l´Etat ne serait alors pas concerné par ses recheches (alors qu actruellement avec la création du CNAOP c est l´Etat qui aide  a la recherche) soit c est illegal et dans ce cas la pas de probleme…

Je ne pense pas que l'Etat doivent s'occuper de quoi que ce soit. Simplement l'information devrait être accessible à l'intéressé, c'est tout. Ensuite il lui appartiendrait d'entreprendre des recherches, sans le relais de l'Etat bien entendu.

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Je pense que si l'adoption étaitr facilitée il n'y aurait pas besoin d'accoucher sous X, on chercherait (et trouverait facilement) un couple d'adoptants.

Un contrat serait signé, avec clause d'anonymat ou pas, bref : je pense que cela vaudrait mieux pour les mères, les pères et les enfants.

Les pères sont tout aussi responsables des enfants qui viennent au monde, mais c délicat, il se peut qu'ils ne soient meme pas au courant, et c bcp plus facile pour eux de se casser en cours de grossesse (meme la veille de l'accouchement).

M'enfin, je crois vraiment que la législation concernant l'adoption et la propriété de soi (une mère porteuse porte un oeuf étranger) ont des effets pervers terribles.

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  • 3 years later...

:icon_up:Bonjour à Tous

Découvrant votre forum, je tombe sur ce débat et je décide d'y répondre… il est ancien mais il est de grande actualité !

Qui suis-je ?

Une femme qui n'a pas été abandonné et qui n'a pas confié d'enfant en adoption… qui a un jour rencontré et aidé des personnes et qui ensuite a accepté de créér un groupe d'entraide bénévole sensibilisée par la souffrance de ces personnes et d'autant plus par ceux que je considère comme mes propres enfants depuis qu'ils ont perdu dramatiquement leur mère très jeunes en devant supporter ce difficile sentiment qu'est celui de l'abandon.

Que fait notre groupe ?

Depuis 7 ans il aide les personnes abandonnées et adoptées à exercer le droit que leur confère la Convention de New York (celui de connaître ses parents) et il aide des mères de naissance qui ont dû confier un enfant à avoir de leurs nouvelles… le tout dans le plus grand respect des familles adoptives.

La devise de notre groupe est : " Tous ensemble pour et autour de l'amour d'un enfant ! "

Personnes abandonnées et/ou adoptées, familles de naissance et familles adoptives s'y cotoient dans le respect, la dignité, la compréhension et la convivialité.

L'accouchement sous X… un droit ?

Actuellement certains pays octroient ce droit en tant que droit à la femme d'accoucher secrètement… c'en est donc bien un !

Mais, il faut savoir que ce droit n'est pas toujours un choix… hier comme aujourd'hui, bien des femmes souffrent leur vie durant pour avoir dû poser cet acte très souvent non librement soit par leur situation de détresse soit pour y être plus ou moins contraintes directement ou indirectement.

L'accouchement sous X… un droit pour qui ?

Il faut être objectif : l'accouchement sous X est un droit donné aux femmes uniquement…

Ce droit de l'un prive les autres : l'enfant qui est une personne et qui a des droits non défendus puisqu'on ne lui donne pas un représentant pour prendre son droit à la parole et les pères qui n'ont aucune possibilité de récupérer et d'élever leur enfant si la femme a décidé d'accoucher sous X

Peut-on dès lors parler de "droit"… ou de droit excessif voire d'abus ?

L'accouchement sous X est-il nécessaire ?

NON il ne l'est pas…

L'adoption plénière rompt par elle-même tous les liens entre l'enfant et sa famille de naissance… et même dans les pays où l'accouchement sous X n'est pas en vigueur il faudra le plus souvent attendre la majorité pour avoir droit à ses origines.

Pour les mères dont la situation nécessiterait la protection de l'identité, un accouchement dans la confidentialité assorti de démarches particulières via une service d'accompagnement officiel suffirait absolument pour les protéger.

L'accouchement sous X est affiché comme un droit donné à la femme… alors qu'en réalité il ôte tous les droits aux enfants, aux pères et aux familles et fait trop souvent durement souffrir les mères de naissance pendant des années voire toute leur vie !

L'accouchement sous X sert surtout certains adoptants (de moins en moins nombreux heureusement) et d'autres intérêts peu glorieux !

Aujourd'hui l'accouchement sous X permet d'embrayer sur d'autres anonymats de la naissance…

Anonymats qui tous ont pour premier intérêt celui de servir les intérêts et envies de certains adultes sans se préoccuper de la première PERSONNE concernée : l'enfant !

Bien à vous tous

Marianet :doigt:

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:icon_up:Bonjour à Tous

Découvrant votre forum, je tombe sur ce débat et je décide d'y répondre… il est ancien

Effectivement. 2005.

L'accouchement sous X est-il nécessaire ?

Bien à vous tous

Marianet :doigt:

Intéressant. Bienvenue. Il y a un fil en taverne pour se présenter.

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Invité jabial

L'enfant aurait un "droit à" connaître sa mère? Je suis dubitatif. Je suis de ceux qui considèrent que recevoir la vie c'est déjà bien, et ce n'est pas un dû.

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L'enfant aurait un "droit à" connaître sa mère? Je suis dubitatif. Je suis de ceux qui considèrent que recevoir la vie c'est déjà bien, et ce n'est pas un dû.

Mauvais point de vue. Pourquoi la mère aurait-elle un droit d'accoucher sous X ? C'est par ailleurs tout à fait déresponsabilisant comme attitude.

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Plus important : Dois-je payer des impôts pour que l'Etat permette quelqu'un à connaître ses origines biologiques (origines dont l'importance me paraît toute relative, mon patrimoine génétique ne valant pas mieux que celui d'un autre)

Disons que si tu as une maladie génétique difficile à diagnostiquer, connaître le patrimoine de tes parents aide. Ca peut te sauver la vie, parfois (mais j'admets aisément que c'est un cas très rare, à peine valable pour faire un épisode de Dr House)

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