Dilbert Posté 9 janvier 2006 Signaler Share Posté 9 janvier 2006 Cédant moi aussi à la mitrandomania, je veux exprimer toute la reconnaissance du pays envers ce grrrand Prrrrésident. (photo piquée à Laure Allibert). Lien vers le commentaire
VeloDeus Posté 9 janvier 2006 Signaler Share Posté 9 janvier 2006 Puisqu'on parle de Mitterandolatri(n)e la dernière intervention de la BAF est énormissime : http://labaf.blogspot.com/ VD Lien vers le commentaire
Ash Posté 9 janvier 2006 Signaler Share Posté 9 janvier 2006 En effet : jouissif. Lien vers le commentaire
Dardanus Posté 10 janvier 2006 Signaler Share Posté 10 janvier 2006 Voilà deux sujets où l'on évoque la Francisque. Il est vrai qu'il s'agit d'une double hache. La grandeur de Mitterrand est là : il a été tout ce qu'on pu être les Français. Xénophobe d'extrême-droite, "généreux" collectiviste, collabo et résistant, thuriféraire de l'Algérie française et de la construction européenne, méprisant l'argent et toujours entouré d'affairistes douteux, dénonçant la monarchie gaullienne et jouant les pharaons, etc. Lien vers le commentaire
Ash Posté 10 janvier 2006 Signaler Share Posté 10 janvier 2006 http://www.stephane.info/show.php%3Fcode%3…3D578%26lg%3Dfr Lien vers le commentaire
Sous-Commandant Marco Posté 10 janvier 2006 Signaler Share Posté 10 janvier 2006 J'avais fait un rapprochement un peu osé entre Mitterrand et un autre socialiste célèbre: http://scmarco.blogspot.com/2005/02/le-pro…-de-ruines.html Lien vers le commentaire
Dardanus Posté 11 janvier 2006 Signaler Share Posté 11 janvier 2006 J'avais fait un rapprochement un peu osé entre Mitterrand et un autre socialiste célèbre:http://scmarco.blogspot.com/2005/02/le-pro…-de-ruines.html Un peu osé : on peut dire cela comme ça… Je me souviens d'un parallèle moins scabreux fait entre Mitterrand et Napoléon III (surnommé le Sphinx par Zola) : long règne marqué par des travaux importants à Paris, etc. Mais l'auteur ajoutait : le plus socialiste des deux n'est pas celui que l'on croit. Il voulait dire par là que Louis-Napoléon se souciait plus sincèrement du sort des ouvriers que Mitterrand. Je me souviens (je ne suis plus très jeune) qu'en exil à Londres après 1870, Napoléon III s'occupait à mettre au point un poële économique pour les foyers modestes. Voilà qui n'aurait guère préoccupé le pharaon de Latché. Lien vers le commentaire
h16 Posté 11 janvier 2006 Signaler Share Posté 11 janvier 2006 J'avais fait un rapprochement un peu osé entre Mitterrand et un autre socialiste célèbre:http://scmarco.blogspot.com/2005/02/le-pro…-de-ruines.html Jubilatoire. Lien vers le commentaire
von Hayek Posté 12 janvier 2006 Signaler Share Posté 12 janvier 2006 Voilà deux sujets où l'on évoque la Francisque. Il est vrai qu'il s'agit d'une double hache. La grandeur de Mitterrand est là : il a été tout ce qu'on pu être les Français. Xénophobe d'extrême-droite, "généreux" collectiviste, collabo et résistant, thuriféraire de l'Algérie française et de la construction européenne, méprisant l'argent et toujours entouré d'affairistes douteux, dénonçant la monarchie gaullienne et jouant les pharaons, etc. Il est vrai que les photos prisent lors de manifestation xénophobe, de la part des étudiants de la Sorbonne dans les années 30, laissent souvent apparaitre son visage. Lien vers le commentaire
Dilbert Posté 12 janvier 2006 Auteur Signaler Share Posté 12 janvier 2006 La grandeur de Mitterrand est là : il a été tout ce qu'on pu être les Français. Xénophobe d'extrême-droite, "généreux" collectiviste, collabo et résistant, thuriféraire de l'Algérie française et de la construction européenne, méprisant l'argent et toujours entouré d'affairistes douteux, dénonçant la monarchie gaullienne et jouant les pharaons, etc. Tu parles d'une grandeur ! Un tas de fumier aussi peut être très grand. Et un égout, très profond… Lien vers le commentaire
Dardanus Posté 12 janvier 2006 Signaler Share Posté 12 janvier 2006 Tu parles d'une grandeur ! Un tas de fumier aussi peut être très grand. Et un égout, très profond… Allons mon cher Dilbert ne me dites pas que vous n'avez pas compris le caractère ironique du mot grandeur (le contexte est tout de même éloquent). Lien vers le commentaire
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