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Miami The Beautiful


Freeman

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Ce voyage en direction de Miami était une véritable aubaine pour notre cher et vénéré Simon ( alias Dostix ) qui put ainsi échapper à la diablesse Ségolène qui venait de faire passer le service civique obligatoire ( comprenez, être contraint d'aider les pauvres des cités du 9-3 pendant près d'un an ). Enfin, pensait-il, il allait réaliser son rêve : vivre et travailler aux states ! Si seulement sa voisine ( un vrai thon qui dévorait tout sauf les mecs, ça risquait pas ) pouvait cesser de lui raconter sa vie ! Il se consolait en entendant le personnel prévenir qu'ils allaient bientôt atterrir.

Ca y est, j'y suis ! pensa Simon qui tel Indiana Jones, sur surmonter sa peur lorsqu'on lui demanda d'ôter ses chaussures pour franchir les détecteurs de métaux. Il les remit très vite, il est vrai que ses chaussettes avec des images de Mickey Mouse ne faisaient pas très sérieux, sauf si on tient à travailler toute sa vie à Disneyworld. Il sortit et se chercha un taxi qui l'amena à l'adresse indiquée, la mienne en l'occurence. Chargé comme un baudet, il se retrouva face à un immense portail.

Une caméra le regarde, souriez vous êtes filmés ! La porte s'ouvre quelques instants plus tard. Il s'est donné un mal de chien pour transporter ses valises extrêmement lourdes, il n'était pas très robuste, on sait. Heureusement, quelqu'un l'aida très vite.

- Enfin Simon tu es là ! disais-je en arrivant à marche rapide. Comment s'est passé ton vol ?

- Plus ou moins bien… A part quelques désagréments…

- Entre donc ! Regarde… disais-je en le conduisant à l'intérieur, tu sais que tout ce que tu vois, a été bâti avec des matériaux que j'ai fait venir spécialement d'Italie ?

- Tu as réussi, tu es riche…

- Hé oui… Je vais te montrer ta chambre.

On monte les escaliers avant de parvenir à un couloir. J'ouvre une des portes. Simon était en admiration… On aurait dit la suite d'un grand hotel.

- Voici ta chambre, avec toutes les exclusivités : minibar, climatisation, terrasse sans oublier la télé avec Canal +, si tu veux regarder les premiers samedi du mois, hein mon coco ? disais-je avant de lui envoyer une forte tape sur le dos. Bon, dans cinq minutes je reviens montre en main, le temps que tu ranges toutes tes affaires.

Je suis repartit aussitôt. Simon respire un bon coup avant de défaire une valise. Il en voit une bouger. Il décide de l'ouvrir. Il tombe sur Thierry ( alias X Box Man ) qui buvait un Coca !

- Ah ben c'est pas trop tôt, je commencais à crever là dedans !

- Thierry ? Qu'est-ce que tu fiches là ?

- Ben je m'ennuyais en France, dit-il en sortant, j'avais aucune perspective alors quand j'ai su que tu partais…

- Nico n'est pas au courant ! Il va faire une de ces crises !

J'arrive.

- Tiens Thierry ! Si je m'y attendais ! Enfin, qu'importe ! Venez à mon bureau, je vais vous expliquer votre nouveau travail !

Thierry observe les lieux, magnifiques évidemment. On se retrouve à mon bureau.

- Bon ! disais-je en cherchant des papiers. Vous savez dans quoi je travaille.

- La sécurité, non ?

- Exactement ! Et on a besoin d'hommes à poigne ! C'est un job risqué, vous êtes prévenus à l'avance ! Ne vous en faites pas, c'est très bien payé.

Je m'allumais un cigare, après en avoir coupé le bout comme il se doit.

- Hmm… Parlons du salaire, me dit Thierry. Combien on va gagner justement ?

- 7000 dollars par mois. A ce propos, les congés payés, vous oubliez. Nous avons besoin d'hommes actifs ! Quant à la couverture santé, vous n'en aurez pas besoin, on vous soignera ici. Alors ? Ca vous branche ?

- Ben…

Ils se regardent tous deux, se résignent finalement à signer.

- Formidable ! Vous avez fait le bon choix ! disais-je avant de ranger les papiers. Bon, cela suppose des sacrifices…

- Quels sacrifices ?

- Votre look ne va pas du tout.

- C'était marqué où dans le contrat ça ?

- Ah, c'est signé, c'est signé ! disais-je d'un geste. C'est pas grave, y'a pas grand chose à changer.

- C'est bon, râle Simon, on sait bien qu'on n'est pas des tops models !

- Sans aller jusque là… Regardez moi : pas un cheveu qui dépasse ! C'est pour ça que mon business marche !

Un temps.

- Bon, avant cela, il faut régler autre chose…

Je me lève et les conduits dans une salle où derrière des vitrines se trouvaient des armes à feu. Il y avait trois autres de mes employés qui s'y trouvaient.

- Vous en aurez besoin pour votre mission, disais-je en ouvrant une des vitrines.

Je saisis une arme avant d'y insérer un chargeur et de la jeter à Simon, qui la regarde éberluée.

- Nico ?

- Hmmm ?

- C'est une mitraillette !

- Merci, je vois bien que ce n'est pas un couteau suisse !

- Mais… C'est légal ?

Les types et moi-même éclations de rire.

- Je sais pas Simon, lui souris-je, je ne me suis jamais posé la question, mais tu peux toujours vérifier… Tiens Thierry, voici la tienne !

Simon n'était pas très à l'aise…

- On va vraiment s'en servir ?

- Tu sais Simon lui disais-je, nous sommes en Floride et si tu te sens agresser, tu sais que tu peux tirer.

- Mais arrête oh, l'arrête Thierry, c'est trop cool, on va flinguer les méchants, bang bang bang !

Je baisse le canon de son arme alors qu'il s'amuse.

- Thierry, elle est armée, fais ça dans la rue si tu veux. Franck !

- Ouais ?

- Amène Simon là où tu sais et fait payer la note à mon nom.

- Okay patron.

- Et toi Paulo, tu t'occuperas de Thierry.

- Ca roule, dit ce dernier.

Cela resta comme le moment le plus amusant pour Simon et Thierry, qui firent toutes les boutiques où ils eurent droit à tout : de vraies chaussures, de vraies chaussettes ( pour Simon ) des chemises en pure soie, des ensembles qui en jetaient, des montres en or, sans oublier de vraies caisses, des Porsche en l'occurence. Seule ombre au tableau, quand ils finirent chez le coiffeur. Franck, alors qu'il attendait que Simon finisse, prenait son pied en regardant dans un magazine des nanas à poil.

Ils sont revenus bien plus tard chargés avec leurs paquets.

- Et bien voilà, c'est déjà mieux comme ça ! disais-je en les regardant alors que je faisais un golf mémorable. Au boulot !

- Nico, il est sept heures du soir ! se plaint Simon.

- Y'a pas d'heure qui tienne ! disais-je avant de tirer une nouvelle balle. Pour vos paquets, Marco s'en occupera, disais-je avant de regarder ce dernier. Ne traînez pas en route !

Simon jurait parce qu'il avait envie de se reposer et qu'il était affamé, alors que Thierry était tout content. Ils partirent tous deux en patrouille, chacun de leur côté. On va donc voir d'abord le cas de Thierry. Thierry était complètement excité à l'idée d'exécuter sa première mission. Son excitation étonnait d'ailleurs assez Paulo, qui bossait pour moi depuis près de deux ans.

- On va se rendre chez un gars qui nuit à notre meilleur client, l'avertit Paulo. T'es prêt pour ça ?

- Fin prêt ! dit Thierry en extase.

Ils finirent par arriver sur les lieux. Paulo casse un carreau avant d'ouvrir la poignée de la porte. C'était bon. Ils rentrent tous deux dans la maison. Le gars en question pioncait dans son pieu. Paulo le saisit et le réveille. Il le jette dans le coffre de la voiture et referme ce dernier. La voiture repart aussitôt vers un coin que Paulo connaissait bien. Un marécage. Paulo ligote le gars avant de le jeter sur le sol.

- Alors ? Comment on se retrouve, Ian !

- Je suis désolé, je voulais pas faire ça, je le regrette profondément !

- Ta gueule. Dis moi où tu as mis son fric. Tu réponds pas ?

Paulo lui fait les poches, il finit par trouver ce qu'il cherchait. Une enveloppe avec une énorme liasse de billets.

- Ce fric est à Ed Carter et tu sais qui c'est ? Le meilleur pote de Jimmy !

- Je t'assure, je ne le ferais plus jamais, pitié…

- Ca c'est sûr.

Paulo l'attrape avant de le conduire sur la passerelle en bois qui se trouvait là. Ils marchèrent au bout de celle-ci, on pouvait voir un marécage à perte de vue. Il finit par pousser Ian qui tombe dans la flotte. Ian s'agite, ce qui attise la convoitise des crocodiles qui nageaient plus loin et qui se précipitent sur lui puis le déchiquetent en morceaux. On entendit un cri abominable, suivi d'un râle. Thierry flippait grave. Paulo revient.

- Et… Et le gars… Il… Il est passé où ?

- Qui ça ? Ah ! Il est parti nager la brasse coulée !

Il ouvrait déjà la porte du véhicule. Thierry était dubitatif.

- Bon, tu viens ?

- Ouais ouais…

Thierry raconta tout à Simon dans sa chambre, ce dernier en avait aussi vu de toutes les couleurs puisqu'il avait subi une fusillade. Fort heureusement Franck comme lui s'en étaient tirés.

- Il a tué ce gars, j'en suis sûr ! râle Thierry.

- Calmes toi, ça ne sert à rien de s'énerver !

- C'est facile pour toi de dire ça !

- Tu l'as vu de tes yeux ?

- J'ai juste entendu crier…

- Va te coucher, ça vaut mieux. On verra ce qu'on fera après.

Le lendemain matin, ils se réveillèrent en sursaut.

- Debout les morts ! criais-je après avoir joué du saxo. On vous attend en bas !

Ils repartirent ensuite en patrouille, cette fois ci du point de vue de Simon. Celui-ci raconta ce que Thierry lui avait raconté, mais Franck n'était pas très surpris.

- Les autorités savent ce que l'on fait, elles nous laissent faire… Pour elles, cela leur fait de la merde en moins dans leurs fichers, si tu vois ce que je veux dire.

- Elles laissent faire ?

- Dis toi bien que Jimmy est très puissant. Il a les politiques de sa poche, il possède tout… Il est donc assez libre tant qu'il ne s'en prend pas à des innocents. C'est la condition.

- Je vois…

Simon et son collègue arrivèrent enfin sur les lieux, un appart au quatrième étage. Franck saisit son arme et défonca la porte d'entrée. Il buta un gars qui s'écroula raide mort, puis un suivant qui regardait la télé. Le sang gicla sur le poste. Ils marchèrent doucement. Franck, qui avait saisi le fusil à pompe d'un des gars, pulvérisa un autre sur son fauteuil. Il vit un autre se mettre à courir. Il vise et tire. Le type glisse, tombe sur une fenêtre qui se brise sous son poids, et fait une chute de quatre étages.

- C'est… C'est bon ? dit Simon, effrayé.

- Ouais ça y est, le ménage est fait !

Simon entre et voit Franck s'agiter et renverser certains meubles. Visiblement, il cherchait quelque chose, qu'il finit par trouver. Une valise grise… Il l'ouvre et regarde à l'intérieur. Des sachets…

- C'est quoi ? C'est de la drogue ? demande Simon.

- On dirait bien…

Simon reprend alors son courage.

- Génial ! On n'a plus qu'à jeter ça au feu et

- Ca va pas non, t'es malade ? On amène ça avec nous.

Ils sortirent de l'immeuble alors que raisonnèrent des sirènes de police, avant de démarrer en trombe.

- Je ne comprends pas, on doit nettoyer la merde, non ?

- C'est exact.

- Mais ça, c'est est aussi non ? dit Simon en regardant la valise planquée à l'arrière.

- Ouais, mais celle-là rapporte beaucoup ! lui sourit Franck.

- Jimmy sait ? se lamente Simon.

- Ah non, c'est mon propre business ! D'ailleurs, faut surtout pas lui dire ! Dans quel état il va se mettre s'il l'apprend !

- Tu me rassures ! J'ai cru un moment qu'il te payait pour faire ce genre de travail.

- Mais non voyons, tu te doutes bien que Jimmy attend que les drogues soient légalisées avant de songer à en vendre…

- Là, tu te fous de moi ?

- Ouais, rit-il. Détends toi, ça ira.

- J'ai peur… Si les flics nous prennent !

- Mais non, ils me connaissent bien va, ils ne nous feront rien.

Le portable de Simon sonne. C'était Thierry.

- Allô ?

- Alors, quoi de neuf ? lui dit Thierry.

- On a dégommé quatre gars et on a une valise bourrée de drogue, et toi ?

- Ben nous de notre côté on a coupé un type en deux, le haut se balance sur le lustre…

- Okay, la routine quoi.

- Okay, on se revoit tout à l'heure !

Ils rentrèrent plus tard à la maison.

- Tu as ce que je t'ai demandé ? demandais-je à Franck.

- Un peu mon neveu !

- Marco ! disais-je alors que je m'allumais un cigare.

- Ouais ?

- Tu t'occupes de ça, dans les plus brefs délais, vu ?

- Entendu patron ! dit ce dernier avant de filer avec la valise.

Simon avait les boules, ça se comprenait.

- Et bien Simon, ça ne va pas ?

- Je pourrais te parler en privé ?

On se rend donc plus loin.

- Tu sais Simon, nous formons une grande famille à présent, tu peux me parler de tout ce qui te tracasse sans te faire de soucis !

- Oui, tu nous avais dit, à Thierry et à moi, qu'on devait protéger des gens.

- C'est ce que nous faisons.

- Alors qu'est-ce que tu fais avec ce… cette…

- Ah ? La drogue ?

- Oui !

- Tu sais, la sécurité privée, ça coûte cher ! Alors il faut bien trouver des sources de financement… Une valise de temps en temps, pas de quoi en faire toute une histoire !

- Enfin, cette saloperie bousille le cerveau des gens !

- C'est un point de vue.

- Qu'est-ce que je fais là ? J'aurais dû rester en France…

- C'est trop tard, à présent. Tu es là… et pour longtemps… Bon, je vois que ça va pas. Alors on va se faire une sortie.

- Je suis pas très boîte.

- Oui mais mes gars aimons ça, et je ne peux pas te laisser tout seul, disais-je. Autre chose, pendant que j'y pense : pourrais-tu dire à Thierry de cesser de tirer en l'air en visant mes pigeons ? Ca me ferait plaisir…

Nous finissions donc en boîte, Simon se morfondait, il était là, tout seul dans son coin. Je demande à Franck de lui chercher des filles, histoire que Simon ne finisse par par mourir puceau. Des femmes finissent donc par s'asseoir à ses côtés, le genre top model, qui faisaient tourner la tête à Simon… Thierry n'avait pas ce genre de problèmes, il faisait marrer des filles en leur racontant des blagues tout en se vidant littéralement une bouteille de Vodka.

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- Entre donc ! Regarde… disais-je en le conduisant à l'intérieur, tu sais que tout ce que tu vois, a été bâti avec des matériaux que j'ai fait venir spécialement d'Italie ?

- Tu as réussi, tu es riche…

- Hé oui… Je vais te montrer ta chambre.

Simon avait les boules, ça se comprenait.

- Et bien Simon, ça ne va pas ?

- Je pourrais te parler en privé ?

Hot, hot, hot !

Freeman va-t-il se faire Dostix ? Hé non !

=>

Je demande à Franck de lui chercher des filles, histoire que Simon ne finisse par par mourir puceau. Des femmes finissent donc par s'asseoir à ses côtés, le genre top model, qui faisaient tourner la tête à Simon…

Hétéro-facho, va ! :icon_up:

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Pas pu lire jusqu'à la fin, rien compris, et encore complètement centré sur tes centres d'intérêts dont on se balance complètement. Si jamais j'écris quelque chose, j'éviterai par exemple de parler la moitié du temps de compilation de kernel.

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Pas pu lire jusqu'à la fin, rien compris, et encore complètement centré sur tes centres d'intérêts dont on se balance complètement. Si jamais j'écris quelque chose, j'éviterai par exemple de parler la moitié du temps de compilation de kernel.

Et là, empoignant son gros clavier turgescent, il éjacula rapidement quelques commandes bash dans le shell à peine remis de ses crispations spasmodiques. Un petit make dep provoqua une puissante giclée de caractères blancs sur son écran, et, alors que la pauvre CPU se tordait de plaisir, il acheva sa compilation d'un violent make bzImage ; make modules ; make modules_install qui laissa la machine convulsée et épuisée…

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Et là, empoignant son gros clavier turgescent, il éjacula rapidement quelques commandes bash dans le shell à peine remis de ses crispations spasmodiques. Un petit make dep provoqua une puissante giclée de caractères blancs sur son écran, et, alors que la pauvre CPU se tordait de plaisir, il acheva sa compilation d'un violent make bzImage ; make modules ; make modules_install qui laissa la machine convulsée et épuisée…

:icon_up::doigt::warez::warez:

Sinon, depuis Linux 2.6 on utilise plutôt make && make modules_install.

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Mais au fait Freeman, tu prone la mafia là ? C'est vari les hommes de mains c'est marrants dans les film, mais le meurtre pour punir un vol ça ne me semble pas très libéral tout ça ! T'as pensé à quoi en écrivant ce truc? Tu commence une nouvelle carr!re de romancier, c'est une page de ton journal intime ou t'as des visions sur l'amérique des annèes 70 ?

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Invité Thierry
Thierry n'avait pas ce genre de problèmes, il faisait marrer des filles en leur racontant des blagues tout en se vidant littéralement une bouteille de Vodka.

Héhé, c'est ça la classe grenobloise :-) Sinon, pas trop d'accord avec tes méthodes mafieuses, mais bon, si tu me trouves un job un peu plus honnête, qui rende service à la société, et que tu me donnes un Beretta 92 FS, je te pardonne :-)

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:icon_up:

Pas très libéral ? Si tu as moins de délinquants dans les rues, tu construits moins de prisons, de centres pénitentiaires… Donc moins de dépenses publiques et moins d'impôts…

C'est vrai qu'après il faut accepter aussi de considérer les tueurs d'enfants/violeurs/pédophiles/criminels de tout genre comme valant moins que des animaux…

Je connais des gens qui paieraient des fortunes pour se débarrasser de cette racaille.

D'un point de vue moral, c'est choquant…

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Et là, empoignant son gros clavier turgescent, il éjacula rapidement quelques commandes bash dans le shell à peine remis de ses crispations spasmodiques. Un petit make dep provoqua une puissante giclée de caractères blancs sur son écran, et, alors que la pauvre CPU se tordait de plaisir, il acheva sa compilation d'un violent make bzImage ; make modules ; make modules_install qui laissa la machine convulsée et épuisée…

:icon_up: Et ça clot le débat sur la supériorité de Linux sur Windows car franchement j'imagine mal le "Vous êtes sur le point d'éjaculer. Oui pour confirmer, Non pour annuler".

Un punisher for hamster serait bienvenu.

Prévoir le rouleau de scotch.

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Invité Thierry
Meuh, non…j'aime bien les hamsters, quoique je préfère les pigeons : ils sont mangeables, eux.

Tu dis ca, mais t'as jamais essayé de manger du hamster.

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