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Pétition pour la publication du rapport sur les syndicats


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http://www.lemonde.f…73_1471069.html

Le député du Loir-et-Cher Nicolas Perruchot a lancé lundi soir une pétition en ligne pour la publication du rapport de la commission parlementaire sur le financement des organisations syndicales et patronales qu'il avait piloté et dont l'enterrement par les députés a suscité un tollé.

Le député du Nouveau centre a dit à l'AFP qu'il avait "reçu beaucoup de messages et de courriers électroniques de soutiens" et a donc décidé de "leur donner à tous la possibilité de signer une pétition pour demander la publication" du rapport sur son site www.droitdesavoir.net.

Le président de l'Assemblée nationale, Bernard Accoyer, a déjà affirmé que la publication du rapport de la commission tenue à huis clos était légalement impossible, et même interdite sous peine de sanctions pénales, à partir du moment où la commission l'a rejeté.

"J'ai à cœur qu'on respecte le règlement" mais "il est important de trouver un moyen pour que les organisations syndicales et des employeurs puissent s'exprimer, ayant pris connaissance du rapport. Le débat est tronqué tant qu'on ne peut pas publier le rapport", a affirmé M. Perruchot. Rappelant que c'est "la première fois qu'un rapport de Commission d'enquête est jeté à la poubelle", M. Perruchot estime dans cette pétition que sa publication est essentielle "pour garantir vos libertés".

Superbe initiative à soutenir !

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Le Livre Noir du Communisme, un nombre invraisemblable d'autres livres sur le PCF et ses turpitudes (notamment celui de Jean Montaldo, en 1977, Les Finances du PCF), résultat des courses, il ne s'est rien passé, ce n'est pas du tout pour cela que ce parti a perdu de son influence (nationale, car localement il existe encore).

Pour les syndicats, ce sera kif-kif : même si le rapport sort, Contrepoints fera un article dessus, et pis c'est tout.

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Le Livre Noir du Communisme, un nombre invraisemblable d'autres livres sur le PCF et ses turpitudes (notamment celui de Jean Montaldo, en 1977, Les Finances du PCF), résultat des courses, il ne s'est rien passé, ce n'est pas du tout pour cela que ce parti a perdu de son influence (nationale, car localement il existe encore).

Pour les syndicats, ce sera kif-kif : même si le rapport sort, Contrepoints fera un article dessus, et pis c'est tout.

C'est malheuresement bien ce qui va se passer. Pour que l'info fasse bouger, il faut que ça passe au 20h de TF1 et à la une du Monde/Metro/Direct Plus.

D'ailleurs, j'y pense depuis quelques temps mais la meilleure façon de faire de la propagande libérale, c'est par le biais des gratuits.

Ya énormément de gens qui se tiennent au courant de l'actu uniquement par ce biais.

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Le Livre Noir du Communisme, un nombre invraisemblable d'autres livres sur le PCF et ses turpitudes (notamment celui de Jean Montaldo, en 1977, Les Finances du PCF), résultat des courses, il ne s'est rien passé.

ce n'est pas du tout pour cela que ce parti a perdu de son influence (nationale, car localement il existe encore).

Heu… si !

Ce fut un bras de fer aux multiples aspects militaires, économiques, médiatiques, universitaires qui finalement conduisit à la déconsidération du communisme largement admise. Le marxisme a dominé les médias et le monde de l'enseignement pendant plus d'un demi siècle en France. Les crimes de masse étaient la norme en URSS depuis le début, on dispose même d'un rapport d'un parlementaire sur les déportations publié me semble t il en 1920 botté en touche par la gauche qui ne voulait y voir que propagande mensongère alors qu'il ne faisait que dire la vérité basée notamment sur des témoignages authentiques. Progressivement le monde intellectuel français a fini par admettre la monstruosité du communisme soviétique : événements de 1956 puis 1968, publication de l'archipel du Goulag de Soljenitsyne, etc. Avec La Chute du Mur, enfin les digues se sont complètement rompues et il a été possible de publier dans de bonnes conditions médiatiques et universitaires des études panoramiques sur les crimes du communisme. Il a cependant fallu plusieurs années pour que le PCF renie le stalinisme (mais il conserve un culte au léninisme qui est de nature identique mais avec des prétextes contextuels et n'est pas reconnu par le PCF). L'année de la Chute du Mur les manuels scolaires de géographie indiquaient que les ressortissants d'Allemagne de l'Est acceptaient volontiers leur relative privation de liberté en contrepartie de leur réelle opulence. La même année les allemands de l'ouest achetaient des bananes pour les offrir aux allemands de l'est éberlués qui découvraient l'ouest en franchissant le mur abattu. Ce n'est qu'alors, à l'issue de cette conjonction de circonstances géopolitiques et de travaux journalistes et universitaires que l'éducation nationale a fini par reconnaitre les crimes de masse du communisme.

Les scores électoraux en France ont été longtemps placés sous … la démographie des résistants de la 2de guerre mondiale. Au fur et à mesure de leur décès l'électorat du PCF diminuait. UN maire communiste d'une petite commune du centre de la France m'expliquait hilare que la collectivisation des terres serait une catastrophe, mais il avait été résistant communiste durant WW2 aussi il était affilié au parti communiste. En revanche le fait que cet électorat n'ait pas pu se redéveloppé est directement issu du combat médiatique et académique qui pas à pas réussit à faire admettre l'horrible vérité.

Pour les syndicats, ce sera kif-kif : même si le rapport sort, Contrepoints fera un article dessus, et pis c'est tout.

Pas du tout. Les gens débarquent en apprenant que les syndicats ne sont financés qu'à hauteur de 4%par leurs cotisations. Ils en sont consternés. Ce rapport engendrera un choc dans l'opinion. C'est précisément pour cela que, fait unique semble-t-il dans l'histoire de la 5ème république, il a été étouffé par la commission elle même sur ordre des dirigeants des grandes formations UMP et PS.

@ Chtah - Private Message : A peu près tout ce que tu dis est faux ^^

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Heu… si !

Ce fut un bras de fer aux multiples aspects militaires, économiques, médiatiques, universitaires qui finalement conduisit à la déconsidération du communisme largement admise. Le marxisme a dominé les médias et le monde de l'enseignement pendant plus d'un demi siècle en France. Les crimes de masse étaient la norme en URSS depuis le début, on dispose même d'un rapport d'un parlementaire sur les déportations publié me semble t il en 1920 botté en touche par la gauche qui ne voulait y voir que propagande mensongère alors qu'il ne faisait que dire la vérité basée notamment sur des témoignages authentiques. Progressivement le monde intellectuel français a fini par admettre la monstruosité du communisme soviétique : événements de 1956 puis 1968, publication de l'archipel du Goulag de Soljenitsyne, etc. Avec La Chute du Mur, enfin les digues se sont complètement rompues et il a été possible de publier dans de bonnes conditions médiatiques et universitaires des études panoramiques sur les crimes du communisme. Il a cependant fallu plusieurs années pour que le PCF renie le stalinisme (mais il conserve un culte au léninisme qui est de nature identique mais avec des prétextes contextuels et n'est pas reconnu par le PCF). L'année de la Chute du Mur les manuels scolaires de géographie indiquaient que les ressortissants d'Allemagne de l'Est acceptaient volontiers leur relative privation de liberté en contrepartie de leur réelle opulence. La même année les allemands de l'ouest achetaient des bananes pour les offrir aux allemands de l'est éberlués qui découvraient l'ouest en franchissant le mur abattu. Ce n'est qu'alors, à l'issue de cette conjonction de circonstances géopolitiques et de travaux journalistes et universitaires que l'éducation nationale a fini par reconnaitre les crimes de masse du communisme.

Les scores électoraux en France ont été longtemps placés sous … la démographie des résistants de la 2de guerre mondiale. Au fur et à mesure de leur décès l'électorat du PCF diminuait. UN maire communiste d'une petite commune du centre de la France m'expliquait hilare que la collectivisation des terres serait une catastrophe, mais il avait été résistant communiste durant WW2 aussi il était affilié au parti communiste. En revanche le fait que cet électorat n'ait pas pu se redéveloppé est directement issu du combat médiatique et académique qui pas à pas réussit à faire admettre l'horrible vérité.

Pas du tout. Les gens débarquent en apprenant que les syndicats ne sont financés qu'à hauteur de 4%par leurs cotisations. Ils en sont consternés. Ce rapport engendrera un choc dans l'opinion. C'est précisément pour cela que, fait unique semble-t-il dans l'histoire de la 5ème république, il a été étouffé par la commission elle même sur ordre des dirigeants des grandes formations UMP et PS.

@ Chtah - Private Message : A peu près tout ce que tu dis est faux ^^

D'ailleurs on pourrait publier le débat qu'il y avait eu à l'époque sur contrepoints avec Revel et Stephane Courtois ?

http://www.dailymotion.com/video/xckww7_le-livre-noir-du-communisme-1-10_news

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Pas du tout. Les gens débarquent en apprenant que les syndicats ne sont financés qu'à hauteur de 4%par leurs cotisations. Ils en sont consternés. Ce rapport engendrera un choc dans l'opinion. C'est précisément pour cela que, fait unique semble-t-il dans l'histoire de la 5ème république, il a été étouffé par la commission elle même sur ordre des dirigeants des grandes formations UMP et PS.

@ Chtah - Private Message : A peu près tout ce que tu dis est faux ^^

Mouais.

Moi j'attends surtout le débat sur les heures de délégations syndicales.

Un patron doit-il payer le délégué syndical avec lequel il négocie où est-ce que c'est au syndicat de le faire?

Car si j'ai bien lu, les gros du financement des syndicats c'est les heures de délégation.

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Mouais.

Moi j'attends surtout le débat sur les heures de délégations syndicales.

Un patron doit-il payer le délégué syndical avec lequel il négocie où est-ce que c'est au syndicat de le faire?

Aux syndicats, et mort aux comités d'entreprise obligatoires.

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Aux syndicats,

D'accord mais dans ce cas on devrait se poser la question des syndicats.

En effet si ce sont les syndicats qui paye pour aller négocier avec le patron, on pourrait se poser la question de la nécéssité du patron à négocier.

Si il ne paye pas, c'est qu'il n'a pas besoin de négocier, donc à partir de là pourquoi s'embarasser des syndicats.

Perso je le redis, sans syndicats et sans droit du travail on se porterait mieux.

Tout à la négociation entre l'employé directement et le patron avec rupture unilatéral du contrat possible quand l'une des parties le souhaite.

Mais la dernière fois que j'ai proposé cela certains me sont tombé dessus ici.

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Plus précisément, c'est la démocratie sociale qui est à supprimer, pas les syndicats.

Pour baigner dedans h24, je me rends bien compte des dérives du droit du travail mais c'est plus dans les relations collectives que je trouve ça aberrant. Les relations individuelles aussi sont à épurer mais dans un second temps amha.

Ce qui est assez rigolo par contre c'est que dans un EPIC qui emploie des salariés, je me rends compte de l'utilité de syndicats façon démocratie sociale vu qu'en face on a à faire à des ingénieur étatisé bon teint du coté de l'employeur.

Mais dans les entreprises privées, ciao ciao

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Heu… si !

J'espère que tu as raison. Le souci c'est que le PCF a peut-être disparu, mais sa matrice idéologique est encore largement, mais alors largement là, elle a même inventé de nouveaux concepts (l'antiracisme, l'écologie) et enrichi d'ancien concept par des trucs contemporains (exemple, le thème marxiste de l'aliénation, actuellement traité par le biais du mouvement antipub).

Bref : la bête est loin, très loin d'être morte, elle a juste pris une nouvelle forme.

Quand aux syndicats, tous les français peuvent voir que ce sont des pourris (encore que j'en doute), mais tous espérent un jour en profiter : si demain, leurs usines sont menacées, ils seront contents de trouver des terroristes preneurs d'otages pour leur négocier un départ, une formation, etc. bref un véritable pont d'or en guise d'indemnités.

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J'espère que tu as raison. Le souci c'est que le PCF a peut-être disparu, mais sa matrice idéologique est encore largement, mais alors largement là, elle a même inventé de nouveaux concepts (l'antiracisme, l'écologie) et enrichi d'ancien concept par des trucs contemporains (exemple, le thème marxiste de l'aliénation, actuellement traité par le biais du mouvement antipub).

Bref : la bête est loin, très loin d'être morte, elle a juste pris une nouvelle forme.

J'ai entendu une fois un modérateur sur un forum "généraliste" rejeter le communisme, avant d'avouer ensuite qu'il était pour un système qui s'approche le plus possible du communisme, mais en s'arrêtant quand ça commence à partir en couille (ie quand ça commence à ressembler à l'URSS quoi :D )

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Ce qui est sidérant c'est de constater que vous mélangez l'illégal avec le légal.

Comment voulez vous que les syndicats ne vous rient pas au nez, si vous assimilez les heures de délégation (qui font partie du Code du travail.) à du financement occulte.

ils diront quelle bande de rigolos et ils auront raison.

C'est toi qui parle d'illégalité.

Pourquoi faire intervenir l'illégalité?

Le rapport n'a pas le mot dans son titre.

C'est le financement tout court.

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Invité rogermila

C'est toi qui parle d'illégalité.

Pourquoi faire intervenir l'illégalité?

Le rapport n'a pas le mot dans son titre.

C'est le financement tout court.

tu as bien dit qu(il fallait "coincer" les syndicats sur paiement des heures de delegation .Non ?

Tout à la négociation entre l'employé directement et le patron avec rupture unilatéral du contrat possible quand l'une des parties le souhaite.

Mais la dernière fois que j'ai proposé cela certains me sont tombé dessus ici.

Et ils ont eu raison car ce que tu proposes n'est valable que dans les boites de moins de 50 salariés et jusqu'à preuve du contraire tu n'es pas mandaté pour faire changer la loi..

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D'ailleurs on pourrait publier le débat qu'il y avait eu à l'époque sur contrepoints avec Revel et Stephane Courtois ?

Merci infiniment pour ce rappel historique. Non celui décrit par le reportage (banal et édulcoré) et l'émission (consensuellement biaisée du moins dans l'extrait proposé par cette video) mais celui constitué du reportage et de l'émission. En effet ceux ci portent les scories de la compromission des médias français avec le communisme. Jean Marie Cavada condamne les crimes du communisme et mentionne même les crimes léniniens mais en bon franc maçon imprégné de gauchisme il estime que le communisme des régimes criminels de masse usurpe le vocable "communisme" dont on comprend qu'il est noble à ses yeux. Le reportage affirme que Castro n'était pas communiste avant d'y être forcé par l'intransigeance des USA, alors qu'on a des témoignages qui établissent que son frère et lui l'étaient bel et bien avant même la révolution. Il fait l'impasse sur Lénine, minimise ridiculement le nombre de morts de la révolution culturelle, etc. Le plateau est truffé d'invités communistes (alors qu'au nom du "plus jamais ça" on exclut à vie des célébrités sur simple soupçon d'avoir eu des amis fascistes, ou avoir formulé un doute liliputien sur la vérité officielle des crimes nazis), etc.

En fait cette émission est un compromis, voire une compromission : les anciens amis du communisme lâchent du lest sur la reconnaissance des crimes du communisme floutés pour ne pas conduire à des procès pour crimes contre l'humanité, en échange d'une indulgence enthousiaste pour ce qui ne relève pas directement des crimes du communisme, et promeuvent au passage les dissidents démocrates sociaux de la révolution de velours, choisis par le communisme avant la Chute du Mur pour en prendre peu agressivement l'éventuelle succession dans les pays d'Europe centrale. Le PCF fait un mea culpa partiel en échange d'un droit de cité intouché, comme s'il n'avait été la caution, la matrice potentielle, voire le formateur effectif (Pol Pot avait été formé idéologiquement par le PCF) d'aucun crime de masse. Les adversaires du communisme y consentent en échange d'avoir enfin droit de cité eux aussi. Cette émission est un progrès, mais un progrès délibérément chiche, bridé, retenu, minoré, strictement minimaliste, un contre feu.

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Très bon : l'auteur dudit rapport sur la mafia syndicale risque la taule pour divulgation d'informations secrètes.

Le président UMP de l'Assemblée, Bernard Accoyer, a regretté mardi que le député du Nouveau Centre Nicolas Perruchot, qui vient de lancer une pétition pour la publication de son rapport sur le financement des syndicats, "se soit placé dans une situation de délit pénal".

"Je regrette profondément que M. Perruchot se soit placé dans une situation de délit pénal et qu'il laisse ainsi planer sur les organisations socio-professionnelles des accusations dont elles ne peuvent répondre", a déclaré à la presse M. Accoyer.

Le cas du député Nouveau Centre sera évoqué lors du prochain bureau de l'Assemblée à la rentrée de janvier, a ajouté M. Accoyer.

La divulgation d'informations relatives aux travaux non publics d'une commission parlementaire d'enquête sont punis d'un an de prison et de 15.000 euros d'amende, avait indiqué M. Accoyer le 14 décembre à des dirigeants syndicaux et patronaux.

Le rapport sur le financement des syndicats et du patronat, présenté par M. Perruchot, avait été rejeté fin novembre en commission à l'Assemblée et n'a donc pas été publié, au grand dam des syndicats qui avaient été auditionnés à huis clos par le rapporteur.

Selon M. Perruchot, ce rapport établirait que seulement 3 à 4% du financement des syndicats dépendraient des cotisations des adhérents, ce que contestent les leaders syndicaux.

"A partir du moment où le rapport n'a pas été accepté, il n'existe pas", a réaffirmé mardi M. Accoyer, qui a rappelé que le document "a été déposé sous scellés dans des archives de l'Assemblée nationale et demeure inaccessible pendant 25 ans".

(AFP)
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