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Motivation du mariage gay


Messages recommandés

- Le mariage est laissé au marché libre ; assurément, un contrat privé sera proposé par quelqu'un pour faire la même chose entre personnes de même sexe, à plusieurs, etc.

 

Favorite.

 

- Le mariage est monopolisé par l'État, et réservé à deux personnes de sexe opposé

- Le mariage est monopolisé par l'État, et réservé à deux personnes

 

Berk et berk. Ce qui n'empêche pas que le mariage gay, c'est du gros constructivisme.

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Donc la situation 2, qui pourtant est une restriction supplémentaire, et donc un choix d'orientation de la société, est plus constructiviste que la 3 selon toi ?

 

Le constructivisme dépend de l'intention du législateur. Le mariage civil hétérosexuel n'a pas été mis au point pour faire de l’ingénierie sociale anti-gay, mais pour concurrencer le mariage religieux. 

Le mariage civil, pour faire du constructivisme égalitariste. 

 

Dans les deux cas, c'est du constructivisme. Le quel l'est le plus, je ne serais dire.

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(et non le mariage homo n'est pas un droit-créance, par définition ...).

 

Il l'est par définition, puisqu'il suppose

 

1. l'usage de la coercition légale pour transformer la définition juridique du mariage qui prévaut depuis l'antiquité

2. la création et l'attribution d'un droit supplémentaire pour un groupe défini en raison de son orientation sexuelle.

 

Je vois qu'encore une fois tu utilises une notion à laquelle tu ne piges rien, ta naïveté fait peine à voir.

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Il l'est par définition, puisqu'il suppose

 

1. l'usage de la coercition légale pour transformer la définition juridique du mariage qui prévaut depuis l'antiquité

2. la création et l'attribution d'un droit supplémentaire pour un groupe défini en raison de son orientation sexuelle.

 

Un droit créance implique que quelqu'un doit faire quelque chose pour toi (d’où le nom).

1. Transformer des définitions juridiques ça n'a jamais été un droit créance, même pas un droit en fait.

2. Le fait que le droit soit attribué a un groupe défini n'en fait pas un droit créance, ça n'a vraiment aucun rapport.

De toute façon si le mariage civil est un droit-créance, alors c’était déjà un droit-créance pour les hétéros.

Pour rappel, le mariage homo ne demande absolument rien a personne: a aucun moment de ta vie il faudra que tu fasse quoi que ce soit a cause du mariage homo.

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En prolongeant cette réflexion :

En 1787, Louis XVI a ouvert les effets civils du mariage aux protestants, cela constitue-t-il "la création et l'attribution d'un droit supplémentaire pour un groupe défini en raison de son obédience religieuse" ? et donc le mariage civil des protestants hétérosexuels serait un droit-créance.

 

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Un droit créance implique que quelqu'un doit faire quelque chose pour toi (d’où le nom).

1. Transformer des définitions juridiques ça n'a jamais été un droit créance, même pas un droit en fait.

2. Le fait que le droit soit attribué a un groupe défini n'en fait pas un droit créance, ça n'a vraiment aucun rapport.

De toute façon si le mariage civil est un droit-créance, alors c’était déjà un droit-créance pour les hétéros.

Pour rappel, le mariage homo ne demande absolument rien a personne: a aucun moment de ta vie il faudra que tu fasse quoi que ce soit a cause du mariage homo.

 

Bougre d'andouille, attribuer un privilège légal et opposable à une clientèle particulière, c'est la définition d'un droit créance.

L'usage de la novlangue signe un projet totalement artificiel et positiviste.

Le mariage homo implique la transformation par l'Etat du code civil, l'éradication de la paternité et de la filiation biologique, donc il empièterait gravement sur le droit des gens et la structure de la famille.

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En prolongeant cette réflexion :

En 1787, Louis XVI a ouvert les effets civils du mariage aux protestants, cela constitue-t-il "la création et l'attribution d'un droit supplémentaire pour un groupe défini en raison de son obédience religieuse" ? et donc le mariage civil des protestants hétérosexuels serait un droit-créance.

 

 

Ceci n'a évidemment rien à voir, puisqu'il s'agit là d'égalité de droits. Vous essayez à nouveau, avec la rhétorique victimaire d'usage, d'instiller l'idée fausse d'une ségrégation. Or les homos disposent déjà du droit de se marier et d'adopter. C'est un peu comme si, au nom de la lutte contre les discriminations, l'Etat contraignait les piscines municipales à accueillir les nudistes, dont on se contrefout par ailleurs qu'ils soient juifs ou indouistes.

 

Mais surtout, il y a un monde entre traiter les gens de manière égale et vouloir les rendre égaux par la contrainte.

 

C'est la même différence qu'entre garantir aux femmes l'égalité juridique et la rééducation par la police LGBT, qui est un nouvel avatar du marxisme. D'ailleurs ceux qui soutiennent ce projet gouvernemental sont travaillés par les mêmes réflexes idéologiques que les marxistes.

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Je t'offre solennellement la légion d'honneur de la mauvaise foi.

 

Je l'ai déjà faite celle là mais en tout cas c'est vrai. Un célibataire homo peut adopter (dixit CEDH) et un homosexuel peut se marier avec une personne de l'autre sexe (cela c'est déjà vu). 

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Écrire ce genre de truc, c'est prendre ses lecteurs pour des idiots.

Ne t'inquiètes pas, je retourne la politesse.

D'ailleurs je vois bien qui n'a pas répondu à ma pourtant très simple question.

Ce fil est le plus navrant de l'histoire de liberaux.org, et je pèse mes mots.

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Je l'ai déjà faite celle là mais en tout cas c'est vrai. Un célibataire homo peut adopter (dixit CEDH) et un homosexuel peut se marier avec une personne de l'autre sexe (cela c'est déjà vu). 

 

Oui bon, tout le monde a compris que les homos ne réclamaient pas de pouvoir se marier avec le sexe opposé. Ca n'en fait pas un argument.

 

 

Loin de moi vouloir comparer les deux situations, mais c'est comme si des juifs durant l'inquisition espagnole avaient réclamé vouloir vivre selon leurs croyances, mais qu'on leur répondait qu'ils avaient déja le droit d'être catholiques comme tout le monde. C'est répondre à côté de la plaque.

 

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Quelle question?

 

S'il ne s'agissait que de l'union de deux personnes sans que cela n'ai d'incidence sur les autres mais je n'en aurai rien à faire de ce sujet.

 

À partir du moment où:

- un minorité instrumentalise l'État pour imposer son modèle de société (certains défenseurs du projet son ravi car cela va amener la destruction du mariage)

- ce projet va avoir des conséquences encore non mesurable sur les tiers et s'en foutent par idéologie (je parle évidement des enfants et des situations cocasses en cas de séparation ou de parentalités multiples)

- ouvre la porte à des pratiques qui sont de l'ingénierie social et biologiques : PMA et GPA (qui posent d'assez graves problèmes éthiques)

- le tout dans une atmosphère de haine des religions à peine voilé (je sais c'est accessoire mais la joue droite et la joue gauche commencent à enfler dangereusement)

 

font qu'il est raisonnable et libéral de s'opposer à ce projet. 

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Le fait que les homosexuels ont le droit de se marier comme tout le monde permet simplement de contredire d'argument selon lequel le mariage gay permettrait de créer une situation d'isonomie : l'isonomie était déjà là.

 

De même, l'argument de la liberté ne tient pas, puisque se marier n'est pas une liberté, ni même un vrai droit. 

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Ceci n'a évidemment rien à voir, puisqu'il s'agit là d'égalité de droits. Vous essayez à nouveau, avec la rhétorique victimaire d'usage, d'instiller l'idée fausse d'une ségrégation. Or les homos disposent déjà du droit de se marier et d'adopter. C'est un peu comme si, au nom de la lutte contre les discriminations, l'Etat contraignait les piscines municipales à accueillir les nudistes, dont on se contrefout par ailleurs qu'ils soient juifs ou indouistes.

 

 

 

Nous avons considéré que les protestants, ainsi dépouillés de toute existence légale, étaient placés dans l'alternative inévitable, ou de profaner les sacrement par des conversions simulées, ou de compromettre l'état de leurs enfants, en contractant des mariages frappés d'avance de nullité par la législation de notre royaume.

 

Mais les protestants aussi disposaient du droit de se marier ... en catholique.

 

Mais bon je sais ça n'a rien à voir, car le protestantisme c'est liberal et l'homosexualité c'est crypto-marxiste. :mrgreen:

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Pourtant il y a de la matière avec ceux où tu condamnais "la stigmatisation de la pédophilie".

Je vois donc que tu continue à descendre plus bas que terre, et à éviter toute réponse concrète. Ce serait trop dangereux d'exposer ta "pensée".

Quelle question? 

http://www.liberaux.org/index.php/topic/50889-motivation-du-mariage-gay/?p=882162

C'est vraiment étrange que certains pourtant très actifs sur ce fil aient raté ce message.

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Mais les protestants aussi disposaient du droit de se marier ... en catholique.

 

Mais bon je sais ça n'a rien à voir, car le protestantisme c'est liberal et l'homosexualité c'est crypto-marxiste. :mrgreen:

 

Vous perdez tout sens de la mesure, mais ce n'est guère étonnant puisque cette approche marxiste vise à abolir les distinctions en paralysant l'usage de la raison. 

 

Dans cette confusion vous pourriez tenir les mêmes accusations de ségrégation à propos de la polygamie ou de l'inceste. Les protestants n'ont jamais fait appel à l'Etat pour transformer le mariage en autre chose que l'union d'un couple mixte, ou imposer leur modèle aux autres confessions.

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Dans ce cas, pourquoi certains boulets ici passent leur temps à dire que le mariage "gay" (terme en contradiction totale avec leur propos), c'est mal ? Ils devraient plutôt s'en foutre, non ? Pourquoi cette obsession malsaine ?

 

Mais je me fous de l'union des homos, ce qui me gêne c'est ce qui ne se voit pas (projet de société qu'il implique, enfants, PMA et GPA, etc). 

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Vous perdez tout sens de la mesure, mais ce n'est guère étonnant puisque cette approche marxiste vise à abolir les distinctions en paralysant l'usage de la raison. 

 

Dans cette confusion vous pourriez tenir les mêmes accusations de ségrégation à propos de la polygamie ou de l'inceste. Les protestants n'ont jamais fait appel à l'Etat pour transformer le mariage en autre chose que l'union d'un couple mixte, ou imposer leur modèle aux autres confessions.

 

no comment

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no comment

 

On se met à votre niveau.

 

 

 

Non à un monde sans sexes !

LE MONDE | 04.12.2012

Par Monette Vacquin, psychanalyste, auteur de "Main basse sur les vivants" et Jean-Pierre Winter, psychanalyste, auteur d'"Homoparenté"

 

Les mots de père et mère vont être supprimés du code civil. Ces deux mots, qui condensent toutes les différences, puisque porteurs à la fois de celle des sexes et de celle des générations, vont disparaître de ce qui codifie notre identité.

 

Il faudrait être sourd pour ne pas entendre le souffle juvénile qui parcourt tout cela. Le coup de balai idéologique capable de renverser des siècles d'usage et de supprimer les mots auxquels nous devons la transmission de la vie doit s'appuyer sur des ambivalences inconscientes bien archaïques, et largement partagées, pour avoir la moindre chance de s'imposer et... de bientôt faire la loi.

 

Cette violence, déflagratrice, n'est bien sûr pas seulement le fait d'une minorité d'homosexuels demandeurs du mariage. Sans échos collectifs du côté de la question de la perte ou du refus de tout repère transmis, cette violence aurait suscité au mieux le rire ou le malaise, pas la satisfaction pure et simple. Cet événement est cependant agi par une ultra-minorité, avec le recours indispensable d'un langage qui fait la ruine de la pensée : le politiquement correct.

 

Ce déni de la différence, "une femme est un homme", Freud le nommait déni de la castration. Cela signifie, dans le jargon psychanalytique, que la castration n'existe pas, il suffit que je la nie mentalement pour que son existence réelle soit réfutée. Quand un "licenciement" devient "plan social", on est mal à l'aise. Quand un "ballon" devient "référent rebondissant", on se demande si on rêve. Quand le "mariage" devient "une discrimination légale contre les citoyens fondée sur leur orientation sexuelle", on commence à avoir peur.

 

Politiquement correct : le discours doit être poli, sans aucun tranchant. Le "polissage" de la forme, objet d'une surveillance idéologique pointilleuse, masque le terrorisme qu'elle fait régner et conduit à une "éthique" de la haine et de la confusion, au nom du bien débarrassé de toute négativité... ce que l'humanité n'est pas.

 

La revendication du mariage homosexuel ne constitue pas une demande à satisfaire mais un symptôme à déchiffrer. Que signifie que le mariage déserté soit réinvesti en étant parodié ? S'agit-il de lui donner le coup de grâce ? Ou que cette place ne soit pas laissée vide ? Que signifie enfin l'identification des politiques et des médias à de tels enjeux, alors que tant de questions requièrent notre vigilance ?

 

D'un côté, des siècles et des siècles d'usage, qui font que mariage et alliance d'un homme et d'une femme sont confondus. De l'autre, la revendication d'une minorité d'activistes qui savent parler le langage que l'on désire entendre aujourd'hui : celui de l'égalitarisme idéologique, synonyme de dédifférenciation. Et manier efficacement le chantage à l'homophobie qui empêche de penser.

 

Il n'appartient pas aux Etats d'épouser les provocations de quelques idéologues qui parlent une langue confuse mais qui la parlent avec violence, sidérant ou terrorisant leurs objecteurs par des sophismes. Encore moins de donner à ces provocations une forme institutionnelle.

 

La lutte contre l'homophobie, indispensable, est une chose. L'organisation juridique des liens entre les homosexuels qui le désirent en est une autre. Mais la destitution des institutions par ceux-là mêmes qui sont chargés de les élaborer en est encore une autre. Là réside la difficulté de penser la question du "mariage homosexuel" : elle mêle une problématique légitime à une attaque institutionnelle sauvage qui mobilise les forces les plus archaïques.

 

Que les gouvernements sachent ce qu'ils font : on ne fait pas la loi au langage ou alors il se venge. Faut-il que les mots d'homme et de femme disparaissent aussi ? Faut-il que l'on cesse de tenir compte du sexe en droit, sinon pour l'abolir, le "pourchasser" au nom de l'égalité, le langage employé témoignant d'anciennes fureurs ?

 

Notre génération n'en finit plus de franchir des limites, ou de détruire tout ce qui les incarne, plutôt que de les transmettre, avec leur part d'infondable. Homosexuels et hétérosexuels ne relèvent pas de la partition rigide à laquelle on semble souscrire aujourd'hui. Tous partagent le même monde et c'est ensemble qu'il leur appartient de prendre soin des institutions qui structurent les liens entre les hommes et entre les générations.

 

Les destructions symboliques sont reconnaissables à la souffrance qu'elles causent à certains, plongés dans l'impuissance, conscients de la haine et de la destructivité, et sentant qu'on n'argumente pas contre une perversion. Elles se reconnaissent aussi à la jouissance qu'elles procurent à d'autres, plongés dans le triomphe de la "toute-puissance" et du déni de la loi. Il est probable que le monde absorbera cela avec indifférence, l'autre nom de la haine. C'est même à cela que nous commençons à ressembler: non plus à une humanité connue, mais à un monde indifférent. Neutre. Neutralisé.

 

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Je vais poser une question à laquelle j'aimerais bien une réponse, mais j'ai peu d'espoir envers les intervenants de ce fil.

Voici trois situations :

- Le mariage est laissé au marché libre ; assurément, un contrat privé sera proposé par quelqu'un pour faire la même chose entre personnes de même sexe, à plusieurs, etc.

- Le mariage est monopolisé par l'État, et réservé à deux personnes de sexe opposé

- Le mariage est monopolisé par l'État, et réservé à deux personnes

Ordonnez les par préférence.

 

  1. Le mariage est laissé au marché libre ; assurément, un contrat privé sera proposé par quelqu'un pour faire la même chose entre personnes de même sexe, à plusieurs, etc.
  2. Le mariage est confisqué par l'État, et il y touche le moins possible.
  3. Le mariage est confisqué par l'État, et il s'en sert comme levier politique.

Satisfait ?

 
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Sinon il n'y a pas qu'en France :

 

 

 

 

 

The nine justices met Friday to discuss whether they will hear arguments regarding the 1996 Defense of Marriage Act, which defines marriage as a union of one man and one woman, and prevents homosexual couples from receiving marital benefits. California’s gay marriage ban, Proposition 8, is also being considered.

The Defense of Marriage Act was signed into law in 1996 by Bill Clinton. Under DOMA, a homosexual couple cannot receive the federal benefits that heterosexual married couples do. The law also denies the Full Faith and Credit Clause of the Constitution, as it says that states have no obligation to recognize other states’ gay marriage laws.

 

 

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J'vois pas bien ce que ça veut dire "le mariage est laissé au marché libre".

Est-ce que toute union contractualisée est un mariage dans ce cadre ? Un concubinage notoire est un mariage dans le marché libre ?

 

 

Non, ça veut juste dire que 'mariage' tout seul, ça ne veux pas dire grand chose dans une société multiculturelle, et que les gens collent un label dessus pour que ça ai un sens et qu’on sache si c’est un mariage catholique, l’escroquerie qu’est le « mariage temporaire » chiite ou sa variante assez proche qu’est devenu le mariage civil en France.

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Tu me prends pour quoi ? Non, ce n'est pas une réponse.

 

 

Etant donné que je ne partage pas ta définition des trois options, c'est la meilleure réponse et la plus sincere que tu puisse avoir de ma part.
 
Si je partageais ton avis que les trois options présentées sont celles que tu à donné, j'intervertirai bien entendu les deux dernières; Mais justement, c'est la qu'est le désaccord, inutile de faire semblant qu'on est d'accord sur les prémices pour prétendre que le raisonnement est illibéral, c'est sur les prémisses qu'on n'est pas d'accord, je ne vais pas faire semblant d’être l’homme de paille pour te faire plaisir.
 
 
 
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« je ne partage pas ta définition des trois options » ça ne veut rien dire.

Si je de demande si tu préfère le rose, le rouge ou le vert, tu préfère bien un truc, ou alors tu n'aime aucune couleur, mais bref, tu peux faire une réponse.

Là encore, des messages complètement tordus plutôt qu'une explication en deux mots (même si tu es loin du niveau free jazz du délire et de l'évitement).

Enfin, et c'est un simple fait, interdire le mariage entre personnes de même sexe est une restriction supplémentaire par rapport à la situation libérale.

C'est comme dire que comme l'éducation est publique, la carte scolaire n'est pas une restriction de liberté. Oui, ça serait mieux que l'éducation soit privée, mais en attendant ça serait bien de supprimer la carte scolaire quand même.

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