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Motivation du mariage gay


Messages recommandés

 

Tous les couples, à moins d'être secrets, sont reconnus par la société.

Qu'est-ce que tu appelle "mariage" ?  

 

Si un couple est reconnu par la société les collateraux n'ont pas le droit de récupérer les biens quand un des membres du couple décède, ils ne peuvent réclamer de récupérer les enfants nés du couple, le mariage c'est la reconnaissance d'un couple légitime.

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Si un couple est reconnu par la société les collateraux n'ont pas le droit de récupérer les biens quand un des membres du couple décède, ils ne peuvent réclamer de récupérer les enfants nés du couple, le mariage c'est la reconnaissance d'un couple légitime.

 

Les questions d'héritage couvrent un domaine plus large que celui du mariage, mais c'est en effet le cas. Pour autant, le mariage n'est pas apparu spécifiquement pour résoudre des problèmes d'héritage, d'autres problèmes se posaient du vivant du couple.

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On se met à votre niveau.

Tiens, tu cites des psychanalystes maintenant ? C'est nouveau ? :mrgreen:

J'ai dis que personne n'empéchait un homme de se marier avec un homme.

En fait, en France, si. Il est interdit de célébrer une cérémonie de mariage avant que le maire ne le fasse. L'officiant risque de la taule.

Le mariage étant traditionnellement l'union d'un homme et d'une femme, je propose de re-créer le traditionnel affrèrement qui donnait les mêmes droits d'héritage que le mariage.

Ah, et bien voilà un post qui fait avancer le schmilblick ! L'affrèrement, qui saurait en dire davantage ?
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La libéralisation du testament, c'est pas plus simple ?

 

Indubitablement, mais ça n’empêche pas les conflits d'héritages, se débarrasser de la prérogative de l'état, c'est bien, mais il a fait tout ce qu'il fallait pour détruire des siècles de jurisprudence, de traditions, d'institutions, et sa disparition ne va pas magiquement les faire revenir d'un coup...

 

Bon, les musulmans ont un avantage indubitable sur ce point, c'est bien codifié et la jurisprudence est conservée :D

 

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Je n'ai pas été clair, c'est moi.

Il est étonnamment policé ce fil tiens, je vais réfléchir à dégoupiller une grenade tiens.

Ah voilà, facile.

 

Il y a aussi des poissons volants et des marathoniens fumeurs, mais on va dire que ce sont des exceptions.

Dans ce cas on appelle ça une hérésie, normalement condamnée par les autorités islamiques.

En tout cas merci pour ce pétard hilarant, je lis que Libé fait l'apologie de ce nouveau héros :

 

Ludovic-Mohamed Zahed, un Coran d’air frais

 

Fuyant l’étiquette «homosexuel rebeu», il s’apprête à créer une association de «musulmans progressistes» autour de dix principes : tolérance, laïcité, égalité des droits des femmes et LGBT (lesbiennes, gays, bisexuel-les, transgenres)… Il rêve d’un islam «apaisé, réformé, inclusif», qui accepte le blasphème, car «la pensée critique est essentielle pour le développement spirituel» et respecte le pluralisme, car «la religion n’est pas la source exclusive de la vérité». Il peste contre le patriarcat, le machisme, l’invisibilité des femmes : «Ce n’est pas l’islam qui justifie ce genre de discriminations.»Persuadé que la «seule façon de changer le système, c’est de l’intérieur», il ne veut pas du prosélytisme : «On n’est pas là pour convaincre qui que ce soit. On n’essaye pas de déconstruire un dogmatisme pour le remplacer par un autre. L’islam n’appartient à personne.»

Aujourd’hui, Zahed poursuit un doctorat sur «les minorités sexuelles à l’avant-garde des mutations du rapport à l’islam de France» et vit de son «bas de laine».Il se voit comme un pionnier.

 

http://www.liberation.fr/societe/2012/11/29/ludovic-mohamed-zahed-un-coran-d-air-frais_864023

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Comment le PS organise un débat stalinien :

 

Car s’il n’est pas directement lié aux manifestations préalables de la même animosité, cet épisode vient s’ajouter à une semaine chargée, au cours de laquelle une gauche pourtant majoritaire et dominante n’a eu de cesse d’écraser le débat. Jeudi dernier, au matin, c’était le sénateur PS Roger Madec qui plongeait le tournage de Compléments d’enquête dans le noir parce qu’il désapprouvait le choix de l’invité. L’après-midi, on se demandait si les responsables des religions étaient auditionnés par une commission d’enquête, en lieu et place de la commission des lois. Alain Tourret, député radical de gauche de la 6ème circonscription du Calvados, celle de Vire, célèbre pour ses andouilles, en venait à invoquer le nazisme pour disqualifier l’opposition de l’Eglise à l’adoption par les homosexuels (au grand dam du Grand Rabbin Bernheim). Le lendemain, on apprenait qu’Erwann Binet ne connaissant pas un seul juriste opposé au projet de loi – après avoir sollicité l’assistance de la seule Caroline Mécary, égérie du projet, pour en trouver – n’avait tout bonnement pas jugé bon d’en auditionner. 500 juristes, dont de nombreux professeurs de droit, sont venus garnir son carnet d’adresse. Et ce week-end, Cécile Duflot choisissait de mettre en cause publiquement l’Eglise dans un courrier pas encore adressé pour, nous dit-on aujourd’hui, louer son sens de l’hospitalité.

Difficile de ne pas s’étonner que ceux qui reprochaient il y a peu à Nicolas Sarkozy de brutaliser l’opinion fassent preuve d’aussi peu de respect de l’autre et de la contradiction.

 

 

http://www.koztoujours.fr/?p=14903#more-14903

 

 

Première surprise : la table ronde du matin, intitulée « L'approche juridique » est composée exclusivement de juristes favorables au projet de loi : Daniel Borillo, juriste et militant de longue date, qui souhaite faire disparaître la mention du sexe de tous les documents d'identité car, dit-il, « l’assignation obligatoire à l’un de deux sexes est, pour moi, plus grave que le mot «race» ». Robert Wintemute, avocat anglais qui avait attaqué la Grande-Bretagne devant la Cour européenne des droits de l'homme pour faire tomber la séparation entre union civile homosexuelle et mariage. Serge Portelli, vice-président du Tribunal de Grande Instance de Paris, qui a écrit un livre pour promouvoir le mariage pour tous. Et Caroline Mecary, militante à Europe Ecologie-Les Verts, avocate de la cause LGBT (Lesbiennes-Gays-Bi-Trans). Interrogé sur ce choix, Erwann Binet, le rapporteur PS du projet de loi, assume : « Ce n'était pas prévu, mais finalement c'est mieux de séparer les pour et les contre. J'ai demandé à Caroline Mecary de me donner des noms de juristes contre ce projet de loi, elle m'en a donné deux, qui n'étaient pas libres ». N'est-ce pas curieux de demander à une militante de choisir ses contradicteurs ? « Pas du tout. Moi je n'en connais pas, des juristes contre. Je n'allais pas prendre l'annuaire et appeler trente-six juristes, leur demander leur opinion, etc. D'autant que les pour, ils ont pu s'exprimer, ils ont eu leur table ronde eux aussi. »

 

 

http://www.lavie.fr/actualite/auditions-sur-le-mariage-pour-tous-une-methode-contestee-23-11-2012-33501_3.php

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L'empire du Bien dans ses oeuvres. On se demande comment, au 21e siècle, il est encore possible de se poser des questions sur le bien fondé de ses initiatives. Il faut être fou, nazi, ou les deux.

 

edit : je précise que les deux dernières phrases sont ironiques. En me relisant à l'instant, je remarque que l'ironie passe mal à l'écrit.

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 « l’assignation obligatoire à l’un de deux sexes est, pour moi, plus grave que le mot «race» ».

 

 

 

 

J'hésite entre éclater de rire et pleurer sur les cendres à venir de votre pays...

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S'il faut affirmer un argument libéral contre ce projet gouvernemental, c'est qu'il va provoquer le renforcement des prérogatives de l'Etat dans le domaine de la sexualité et de la famille, au profit d'un groupe particulier.

 

Si les groupes d'oppression LGBT militaient pour la fin du monopole républicain et pour l'ouverture à la concurrence d'autres contrats d'union civile ou religieuse, au moins ils rendraient service à la société dans son ensemble, au lieu de chercher à imposer leur modèle en s'arrogeant des privilèges légaux et judiciaires.

 

Je me retrouve encore une fois en accord avec Thomas Sowell dans son analyse des sophismes victimaires et du contrôle social exercé par ces groupes communautaires.

 


Gay "marriage"


 Thomas Sowell
  
Now that a number of state courts have refused to redefine marriage to include same-sex unions, cries of "discrimination" are being heard.
 
The "equal protection of the laws" provided by the Constitution of the United States applies to people, not actions. Laws exist precisely in order to discriminate between different kinds of actions.
 
When the law permits automobiles to drive on highways but forbids bicycles from doing the same, that is not discrimination against people. A cyclist who gets off his bicycle and gets into a car can drive on the highway just like anyone else.
 
In a free society, vast numbers of things are neither forbidden nor facilitated. They are considered to be none of the law's business.
 
Homosexuals were on their strongest ground when they said that the law had no business interfering with relations between consenting adults. Now they want the law to put a seal of approval on their behavior. But no one is entitled to anyone else's approval.
 
Why is marriage considered to be any of the law's business in the first place? Because the state asserts an interest in the outcomes of certain unions, separate from and independent of the interests of the parties themselves.

In the absence of the institution of marriage, the individuals could arrange their relationship whatever way they wanted to, making it temporary or permanent, and sharing their worldly belongings in whatever way they chose.
 
Marriage means that the government steps in, limiting or even prescribing various aspects of their relations with each other -- and still more their relationship with whatever children may result from their union.
 
In other words, marriage imposes legal restrictions, taking away rights that individuals might otherwise have. Yet "gay marriage" advocates depict marriage as an expansion of rights to which they are entitled.
 
They argue against a "ban on gay marriage" but marriage has for centuries meant a union of a man and a woman. There is no gay marriage to ban.
 
Analogies with bans against interracial marriage are bogus. Race is not part of the definition of marriage. A ban on interracial marriage is a ban on the same actions otherwise permitted because of the race of the particular people involved. It is a discrimination against people, not actions.
 
Justice Oliver Wendell Holmes said that the life of the law has not been logic but experience. Vast numbers of laws have accumulated and evolved over the centuries, based on experience with male-female unions.
 
There is no reason why all those laws should be transferred willy-nilly to a different union, one with no inherent tendency to produce children nor the inherent asymmetries of relationships between people of different sexes.
 
Despite attempts to evade these asymmetries with such fashionable phrases as "a pregnant couple" or references to "spouses" rather than husbands and wives, these asymmetries take many forms and have many repercussions, which laws attempt to deal with on the basis of experience, rather than theories or rhetoric.
 
Wives, for example, typically invest in the family by restricting their own workforce participation, if only long enough to take care of small children. Studies show such differences still persisting in this liberated age, and even among women and men with postgraduate degrees from Harvard and Yale.
 
In the absence of marriage laws, a husband could dump his wife at will and she could lose decades of investment in their relationship. Marriage laws seek to recoup some of that investment for her through alimony when divorce occurs.
 
Those who think of women and men in the abstract consider it right that ex-husbands should be as entitled to alimony as ex-wives. But what are these ex-husbands being compensated for?
 
And why should any of this experience apply to same-sex unions, where there are not the same inherent asymmetries nor the same tendency to produce children?
 


Affirmative Action and Gay Marriage

 
The politically clever way to get special privileges is to call them "rights"-- especially "equal rights."
 
Some local election campaigns in various states are using that tactic this year, trying to get special privileges through affirmative action quotas or through demands that the definition of marriage be changed to suit homosexuals.
 
Equality of rights does not mean equality of results. I can have all the equal treatment in the world on a golf course and I will not finish within shouting distance of Tiger Woods.
 
When arbitrary numerical "goals" or "quotas" under affirmative action are not met, the burden of proof is put on the employer to prove that he did not discriminate against minorities or women. No burden of proof whatever is put on the advocates of "goals" or "quotas" to show that people would be equally represented in jobs, colleges or anywhere else in the absence of discrimination.
 
Tons of evidence from countries around the world, and over centuries of history, show that statistical disparities are the rule, not the exception-- even in situations where discrimination is virtually impossible.
 
Anonymously graded tests do not show the same results from one group to another. In many countries there are minorities who completely outperform members of the majority population, whether in education, in the economy or in sports, even when there is no way that they can discriminate against the majority.
 
Putting the burden of proof on everybody except yourself is a slick political ploy. The time is long overdue for the voting public to see through it.
 
Another fraud on the ballot this year is gay "marriage."

Marriage has existed for centuries and, until recent times, it has always meant a union between a man and a woman. Over those centuries, a vast array of laws has grown up, all based on circumstances that arise in unions between a man and a woman.
 
Justice Oliver Wendell Holmes said that law has not been based on logic but on experience. To apply a mountain of laws based specifically on experience with relations between a man and a woman to a different relationship where sex differences are not involved would be like applying the rules of baseball to football.
 
The argument that current marriage laws "discriminate" against homosexuals confuses discrimination against people with making distinctions among different kinds of behavior.
 
All laws distinguish among different kinds of behavior. What other purpose does law have?
 
While people may be treated the same, all their behaviors are not. Laws that forbid bicycles from being ridden on freeways obviously have a different effect on people who have bicycles but no cars.
 
But this is not discrimination against a person. The cyclist who gets into a car is just as free to drive on the freeway as anybody else.
 
The question is not whether gays should be permitted to marry. Many gays have already married people of the opposite sex. Conversely, heterosexuals who might want to marry someone of the same sex in order to make some point will be forbidden to do so, just as gays are.
 
The real issue is whether marriage should be redefined-- and, if for gays, why not for polygamists? Why not for pedophiles?
 
Despite heavy television advertising in California for "gay marriage," showing blacks being set upon by police dogs during civil right marches, and implying that homosexuals face the same discrimination today, the analogy is completely false.
 
Blacks had to sit in the back of the bus because they were black. They were doing exactly what white people were doing-- riding a bus. That is what made it racial discrimination.
 
Marriage is not a right but a set of legal obligations imposed because the government has a vested interest in unions that, among other things, have the potential to produce children, which is to say, the future population of the nation.
 
Gays were on their strongest ground when they said that what they did was nobody else's business. Now they are asserting a right to other people's approval, which is wholly different.
 
None of us has a right to other people's approval.


 

 

 

 

 

 

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Bonjour humain de genre visiblement masculin, Bonjour humain de genre visiblement féminin 

 

Tu n'as pas à classer les gens en fonction de ce que tu vois, espèce de facho bourré de préjugé !

Déjà, humain c'est limite. Je propose être vivant, ou primate à la rigueur.

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Daniel Borillo, juriste et militant de longue date, qui souhaite faire disparaître la mention du sexe de tous les documents d'identité car, dit-il, « l’assignation obligatoire à l’un de deux sexes est, pour moi, plus grave que le mot «race» ».

L'état n'a pas à connaitre ou reconnaitre mon statut social. La suppression de la mention du genre peut être vue comme un premier pas dans le sens de la suppression des papiers d'identité, c'est donc une position très libérale  :hypocrite:

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L'état n'a pas à connaitre ou reconnaitre mon statut social. La suppression de la mention du genre peut être vue comme un premier pas dans le sens de la suppression des papiers d'identité, c'est donc une position très libérale  :hypocrite:

 

En effet, cependant je n'ai pas pu m'empêcher de remarquer qu'en général ceux qui militent pour l'abolition d'un statut dans l'administration sont favorables à l'abolition du statut de la réalité. 

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L'empire du Bien dans ses oeuvres. On se demande comment, au 21e siècle, il est encore possible de se poser des questions sur le bien fondé de ses initiatives. Il faut être fou, nazi, ou les deux.

 

edit : je précise que les deux dernières phrases sont ironiques. En me relisant à l'instant, je remarque que l'ironie passe mal à l'écrit.

 

C'est parce que l'ironie passe mal à l'écrit que les smileys sont apparus. Institution émergente, tout ça. ;)

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Du statut de la liberté, tu veux dire

 

Non non, l'abolir littéralement de la réalité. Par exemple, les féministes ayant il y a peu milité pour l'abolition du "mademoiselle" dans les documents officiels voulaient surtout, de leur propre aveux, que l'on cesse de l'employer dans la vie. 

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C'est parce que l'ironie passe mal à l'écrit que les smileys sont apparus. Institution émergente, tout ça. ;)

 

Les smileys sont plutôt la béquille des blagues dont l'auteur lui-même se doute que ce n'est pas très drôle (mais balance quand même !), à moins qu'il ne doute de l'humour de ces lecteurs.

 

Bref c'est un manque de respect :mrgreen:

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Non non, l'abolir littéralement de la réalité. Par exemple, les féministes ayant il y a peu milité pour l'abolition du "mademoiselle" dans les documents officiels voulaient surtout, de leur propre aveux, que l'on cesse de l'employer dans la vie. 

 

Raté, ma vanne tombe à l'eau .statut de la liberté/statue de la liberté, tu vois ?

Je vais pleurer dans mon coin

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Les smileys sont plutôt la béquille des blagues dont l'auteur lui-même se doute que ce n'est pas très drôle (mais balance quand même !), à moins qu'il ne doute de l'humour de ces lecteurs.

 

Bref c'est un manque de respect :mrgreen:

Tu as tort. Mais j'adore les posts auto-référentiels. ;)
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