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Motivation du mariage gay


Messages recommandés

Alain Soral a raison : le mariage homosexuel est une stratégie visant en dernière instance à légaliser l'adoption par les couples du même sexe. Et ainsi financer certains réseaux pédophiles proches du pouvoir pour y pourvoir.

 

 

Si c'est pas du gros trolling, ça.

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Alain Soral a raison : le mariage homosexuel est une stratégie visant en dernière instance à légaliser l'adoption par les couples du même sexe. Et ainsi financer certains réseaux pédophiles proches du pouvoir pour y pourvoir.

 

Sachant que les célibataires peuvent déjà adopter, cette théorie ne tient pas debout.

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Faut arréter avec ça.

Surtout si vous ne voulez pas que ça devienne très vite un acte hautement homophobe et condamnable, voir carrément un crime.

 

Dire que les homos sont friqué est aussi faux que de dire que les juifs le sont.

 

Je me mettais dans la position d'un troll et je ne pouvais pas épiloguer, j'écrivais depuis mon téléphone.

Mais bon, les homos gagnent en général, plus que les hétéros et vu qu'ils n'ont, pour la plupart, pas de gosses, ça leur fait un gros poste de dépenses en moins.

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Je me mettais dans la position d'un troll et je ne pouvais pas épiloguer, j'écrivais depuis mon téléphone.

 

 

 

Ok, j'avais compris, mais je tenais tout de même à préciser

 

Mais bon, les homos gagnent en général, plus que les hétéros

 

 

Ceci est un clicher

 vu qu'ils n'ont, pour la plupart, pas de gosses, ça leur fait un gros poste de dépenses en moins.

 

 

ça par congre c'est vrai

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ça y est la fête du slip a commencé

 

 

 

Mariage gay : déjà de nouveaux droits en matière de congé paternité

 

La loi de financement de la sécurité sociale pour 2013 va étendre le droit au congé paternité à la concubine d'une mère homosexuelle. Le point sur cette nouvelle mesure.

Actuellement, en cas de naissance d'un enfant, un père peut prendre un congé paternité de 11 jours consécutifs dans les 4 mois qui suivent la naissance. Pendant cette période, les salariés en congé paternité ne sont pas rémunérés par leur employeur mais par la sécurité sociale. Une indemnité journalière égale à 80,21% du salaire brut leur est alors versée.
Jusqu'ici réservé au père de l'enfant, ce droit va être étendu à toute personne vivant maritalement avec la mère sans pour autant être le père biologique du nouveau-né. Le concubin de la mère mais aussi la partenaire homosexuelle de celle-ci pourront donc désormais bénéficier des droits offerts par le congé paternité.
Alors que le projet de loi sur le mariage gay ne sera discuté à l'Assemblée nationale que le 29 janvier prochain, la concubine d'un couple homosexuel féminin se verra donc reconnaître de nouveaux droits dès l'entrée en vigueur de la loi de financement de la sécurité sociale pour 2013. Adoptée par le Parlement le 3 décembre dernier, la parution du texte a été retardée suite à la saisine du Conseil Constitutionnel par les sénateurs et députés UMP. Le Conseil devrait rendre sa décision dans les jours à venir.

 

Pour en savoir plus, il est possible de consulter notre article détaillé sur le congé paternité ainsi que les effets d'une légalisation du mariage homosexuel au regard de ses différences avec le Pacs.

 

 

http://droit-finances.commentcamarche.net/news/109306-mariage-gay-deja-de-nouveaux-droits-en-matiere-de-conge-paternite

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Le FJ ne se privera pas de dire qu'il avait prévenu :D

 

Je pense qu'on s'en doutait tous. C'est la suite logique de l'Etat-mêle-tout.

Il re-privatise le mariage dans son sens (oui, j'en viens à penser que l'Etat, plus que "public", est une sorte de grosse organisation privée aux mains d'une certaine classe d'enquiquineurs -et le mot est faible), crée un tas de lois et de dispositions pour les gens concernés par ce mariage. Au début, il s'agissait grosso modo d'une reprise de ce qu'il se faisait depuis des centaines, voir des milliers, d'années. Sauf que, 100 ans plus tard et sans doute parce que l'évolution des sociétés va dans ce sens (ou qu'une minorité l'y pousse pendant qu'une majorité s'en fou ou n'y voit guère de mal), pouf pouf, on élargit le cercle des ayant droit au mariage. Il est donc logique ( pour l'Etat s'entend) que l'assiette de dispositions législative s'élargisse aussi.

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Je pense qu'on s'en doutait tous. C'est la suite logique de l'Etat-mêle-tout.

Il re-privatise le mariage dans son sens (oui, j'en viens à penser que l'Etat, plus que "public", est une sorte de grosse organisation privée aux mains d'une certaine classe d'enquiquineurs -et le mot est faible), crée un tas de lois et de dispositions pour les gens concernés par ce mariage. Au début, il s'agissait grosso modo d'une reprise de ce qu'il se faisait depuis des centaines, voir des milliers, d'années. Sauf que, 100 ans plus tard et sans doute parce que l'évolution des sociétés va dans ce sens (ou qu'une minorité l'y pousse pendant qu'une majorité s'en fou ou n'y voit guère de mal), pouf pouf, on élargit le cercle des ayant droit au mariage. Il est donc logique ( pour l'Etat s'entend) que l'assiette de dispositions législative s'élargisse aussi.

 

Des avantages fiscaux du mariage, j'aimerais les voir généralisés aussi aux célibataires, par contre les avantages sociaux comme les congés paternité ou maternité pas vraiment. Et effectivement donner le mariage étatique aux homos c'est bien généraliser les droits sociaux.

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Le droit au mariage pour les homosexuels, c'est le véhicule pour la transformation du droit par la théorie du genre et les groupes LGBT. Il s'agit pour eux d'enfoncer un coin, à coups de slogans démagogiques et de manipulation des passions égalitaires. Après quoi il n'y a plus de limite au positivisme.

 

 

« L’orientation sexuelle » et « l’identité de genre » sont devenus l'objet d'une Résolution non contraignante du Conseil des droits de l'homme (CDH).

 

Jane Adolphe, professeur associée de droit à l’Ecole de droit Ave Maria, de Naples, en Floride, raconte le déroulement du débat qui a abouti au rapport sur les « Lois et pratiques discriminatoires et actes de violence dont sont victimes des personnes en raison de leur orientation sexuelle et de leur identité de genre ».

***

La réunion-débat sur le rapport du Haut commissariat aux droits de l’homme des Nations Unies (HCDH) demandée par la Résolution 17/19 du Conseil des droits de l’homme (CDH) s’est tenue le 7 Mars 2012 lors de la 19ème session du CDH. Alors que le dialogue devait être transparent et ouvert, le chef de la Mission permanente d'observation du Saint-Siège à l'ONU à Genève, fait la remarque suivante : « Il était évident, cependant, que de nombreux Etats et organisations, qui avaient soutenu cette réunion-débat, avaient également un ordre du jour pour défendre des « droits spéciaux »... Certains Etats, en effet, ont exigé que tous les intervenants ... suivent la même ligne idéologique et ont refusé les suggestions faites par d'autres Etats, d'inclure des intervenants qui soutenaient un point de vue divergent sur les efforts à faire pour promouvoir ces « nouveaux droits ». (Mission permanente d'observation du Saint-Siège, Préserver l'universalité des droits de l'homme, Libreria Editrice Vaticana, 2012, 9).

Les intervenants ont bombardé les participants des termes et des expressions suivants, sans en proposer de définitions ou d’éclaircissements : « orientation sexuelle », « identité de genre », « homophobie », « attitudes homophobes », « attitudes sociales négatives envers les personnes LGBT », « stéréotypes négatifs », « attitudes discriminatoires », « discours haineux », « violence motivée par des préjugés contre les LGBT» et « préjugés anti-LGBT ».

En outre, les intervenants ont exprimé des préoccupations qui allaient bien au-delà de l'élimination de la violence et de la discrimination contre les personnes, en promouvant les questions suivantes : « dépénalisation des relations sexuelles consenties entre personnes de même sexe » (à mon avis, le mot « adulte a été omis dans la phrase), « législation anti-discrimination », « formation, sensibilisation publique et campagnes publiques de lutte contre l'homophobie », « reconnaissance des relations homosexuelles » (y compris le mariage et l’adoption pour des personnes du même sexe), « reconnaissance du genre » (redéfinition du genre, qui se réfère à des femmes ou des hommes, afin d'inclure les personnes transgenres).

 

 

 

 

Le Haut commissariat aux droits de l’homme (HCDH) a publié un nouveau rapport non contraignant intitulé « Nés libres et égaux », (« Born free and equal ») qui s'appuie sur son rapport précédent établi en application de la Résolution 17/19 du Conseil des droits de l’homme.

Le nouveau rapport affirme que « la possibilité d'étendre aux lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres (LGBT) les mêmes droits que ceux dont jouissent tous les autres n'est ni radicale ni compliquée. Elle repose sur deux principes fondamentaux qui sous-tendent le droit international des droits de l’homme : l’égalité et la non-discrimination » (p. 7) A l'appui de cette affirmation, le rapport cite, en partie, l'art. 1 de la Déclaration universelle des droits de l’homme (DUDH) : « Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits ». De cette façon, le rapport nie le fondement du droit international des droits de l'homme basé sur la dignité inhérente à la personne humaine, par nature douée de raison et de conscience, ayant le devoir d'agir envers les autres dans un esprit de fraternité. De manière créative, il fait également de deux principes, l'égalité et la non-discrimination, le fondement même des droits de l'homme.

 

Le rapport promeut cinq obligations fondamentales des Etats de protéger les droits fondamentaux des personnes LGBT. A ce stade, l'accent est mis moins sur « l'orientation sexuelle » ou « l’identité sexuelle » et davantage sur les droits du groupe LGBT. Ce rapport se fonde sur le rapport non contraignant du HCDH et sur le document, également non contraignant, élaboré par un groupe d'individus qui se sont rendus à Yogyakarta pour préparer un document sur le thème de « l'orientation sexuelle » et « l’identité de genre » et les droits de l'homme.

 

Les cinq principes de base sont les suivants: 1) protéger les individus contre la violence homophobe et transphobe - plutôt que d’affirmer que toutes les personnes doivent être protégées contre la violence, 2) prévenir la torture et tout traitement cruel, inhumain et dégradant de personnes LGBT - plutôt que d’affirmer que toutes les personnes doivent être protégées contre la torture et les autres mauvais traitements; 3) dépénaliser l'homosexualité - plutôt que de prier instamment les Etats d’examiner et d’évaluer leurs lois pénales en tenant compte de l'effet causé par des changements dans la loi, les coutumes et les traditions éprouvées, les droits et devoirs des communautés religieuses, la protection de la famille naturelle, les problèmes d’application et les obligations de l'Etat envers le bien commun; 4) interdire toute discrimination fondée sur « l'orientation sexuelle » et « l’identité de genre » - plutôt que d'interdire la discrimination fondée sur la race, la religion, la langue et le sexe contre toute personne, et 5) respecter la liberté d'expression, d'association et de rassemblement pacifique des personnes LGBT - plutôt que de respecter la liberté d'expression, d'association et de rassemblement pacifique de toute personne humaine, en tenant compte des limites reconnues par le droit international.

 

Il est à noter qu'il ya eu un changement global d'argumentation. Le droit à la vie privée a été la principale justification utilisée pour dépénaliser les actes sexuels privés consensuels entre adultes du même sexe. Cependant, puisque le mariage est une institution reconnue publiquement, l'argument de l’égalité est devenu l'argument clé pour défendre le mariage entre personnes de même sexe. « Mais pour prendre au sérieux l'argument de l'égalité, dans le développement de la jurisprudence du mariage dans le domaine des relations homosexuelles », le professeur Robert Araujo, SJ., soutient qu’« il faut surmonter la difficulté physique à assimiler les relations entre personnes de même sexe à des relations entre personnes de sexe opposé » (Araujo, 2010, p. 31). Il affirme que « la seule façon d'accomplir cette tâche consiste à s'appuyer sur une compréhension de « l'égalité » qui n'est pas basée sur les faits et sur la raison, mais sur un positivisme juridique exagéré » (id.).

 

Il poursuit : « Pour que toute prétention à l'égalité soit authentique, sincère et juste, son contenu et sa pratique doivent refléter avec exactitude la nature de la personne humaine, car c'est cela qui rend les gens semblables entre eux, à certains égards, et différents les uns des autres à d’autres égards » (ibid.). L'argument est le suivant. Fondamentalement, tous les hommes sont égaux, mais à d’autres égards, ils ne sont pas. Le professeur Araujo, S.J., donne quelques exemples : « Si la plupart des gens aiment la musique, nous ne sommes pas tous l'égal de Mozart. Ou encore, si la plupart des gens aiment le sport, nous ne sommes pas l'égal des plus grands athlètes du monde » (Araujo, 2012). Quand il s'agit de mariage, poursuit-il : « nous ne sommes pas égaux à cet égard non plus. Si la race humaine a la capacité d'explorer et de coloniser des planètes lointaines, et si un groupe composé de couples hétérosexuels va sur la planète Alpha et qu’un autre groupe constitué de couples homosexuels va sur la planète Beta, et si aucun de ces groupes ne maitrise la technologie de la procréation assistée, laquelle des deux planètes sera encore colonisée dans un siècle ? La logique voudrait que la planète Alpha existe encore, mais que la planète Beta ait disparu. L'argument pour l’égalité du mariage entre personnes de même sexe échoue à cet endroit. Les couples ne sont tout simplement pas les mêmes ». (Araujo, 2012)

 

Et c'est ce qu’ont voulu dire les rédacteurs de la Déclaration universelle des droits de l'homme quand ils déclarent que « Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité ». Comme nous l’avons indiqué dans notre deuxième partie, le terme « né » à l'art. 1 est une référence à la naissance morale, qu’aucun individu ou entité ne pourra jamais accorder. Cette interprétation est compatible avec le fait que les personnes humaines sont fondamentalement les mêmes, mais elles sont aussi différentes et physiquement nées dans des circonstances inégales.

 

Dans le débat pour les droits des LGBTI, en particulier sur la question du mariage homosexuel, « la loi est incitée à ne pas tenir compte des faits et à les remplacer par une fiction juridique fragile » qui rend « égal ce qui ne peut l’être à cause de la réalité de la nature humaine » ; la réponse, alors, exige « une application rigoureuse de la logique » (Araujo, 2010, p 31). Le même conseil s'applique pour l'argument de la discrimination qui a été discuté dans la deuxième partie.

 

 

 

http://www.zenit.org/article-32824?l=french

 

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Ah je savais pas qu'il fallait passer un test ADN.

 

 

Non puisque le droit de filiation est fondé sur la présomption de paternité. C'est justement ce lien présumé qui disparaît ici au profit d'une fiction purement positiviste, changement de paradigme analysé dans l'article posté au-dessus. Il est écrit petit sans images et demande d'utiliser son entendement, mais ça n'est pas hors de portée.

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