Aller au contenu

Philiber Té

Utilisateur
  • Compteur de contenus

    5 252
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    5

Tout ce qui a été posté par Philiber Té

  1. Ce site est vraiment bordélique : c'est bourré d'hyperliens qui mènent vers tout et n'importe quoi ?! En parcourant vite fait l'information, je pense qu'ils font référence à ces données là : Pliocene warmth, polar amplification, and stepped Pleistocene cooling recorded in NE Arctic Russia.
  2. "le grand basculement anthropologique", c'est quoi ça ??
  3. Je n'arrive plus à le retrouver mais je me souviens d'un manuel d'histoire "de droite" sorti il y a quelques années, avec des "grands hommes oubliés" et du "roman national", etc. Je me demande si ça se vend vraiment ou si c'est de la com' politique (des députés LR se félicitaient de cette nouvelle édition il me semble). Si ça parle à quelqu'un.
  4. Comme le capital social ? Ce n'est pas une histoire de relations conjugales mais ça concerne les documents qui sont diffusés. Tu te fais prendre en photo dans un cadre privé pour une utilisation bien spécifique, pas pour te retrouver sur X plateformes internet.
  5. La rengaine habituelle, non ? "les féministes sont toutes moches", "les socialistes sont mal habillés et hargneux"... Il veut réhabiliter "La pensée classique [...] est attachée à des principes essentiels comme la recherche du bien et du vrai objectifs, le rôle central de la personne, le besoin pour elle de communautés solidaires et d’une éducation humaniste." Mais il critique "le relativisme [...] c’est cette idée que le seul bien que doit reconnaître la société est le droit de chacun à définir comme il l’entend ce qu’il appelle vrai ou bien, sous réserve du droit équivalent du voisin. D’où un individualisme ravageur, qui mine potentiellement les biens communs bâtis patiemment au cours des siècles [...]" On essaye de résoudre l'équation : "le rôle central de la personne" + "la recherche du bien et du vrai objectifs" = BIEN "individualisme" + "droit de chacun à définir [...] [le] vrai ou bien" = MAL C'est la première réponse et c'est déjà débile ! Avec les droitards, c'est toujours pareil : - un coup c'est le communautarisme le problème, alors que les gens se cherchent "des références essentielles, sans lesquelles la confiance n’est pas possible" mais non il faudrait "une croyance qui s’impose à tous" (même si c'est pas vraiment tout le monde, drôle de commun). - un coup c'est le relativisme ou l'individualisme ou je ne sais quelle blague, parce que les gens veulent pas faire "commun" avec les droitards, ils préfèrent "se dégager de toute idée de bien ou de vrai objectifs, de toute communauté". Ce qu'il faudrait alors c'est "une réforme en profondeur de nos valeurs et priorités personnelles qu’il faut s’atteler, en commençant par soi et autour de soi", enfin surtout des autres qui veulent pas penser le bien et le vrai comme nous et qui font que jouer perso ("comme il l’entend, là où il veut, comme il veut") ! Y a vraiment zéro remise en cause, l'introspection ça sonne trop "individualiste" faut croire.
  6. On appréciera l'exemplarité des policiers qui s'interposent lorsque leur collègue frappe à la tête une personne au sol ou contre un mur... ou pas. Dans la presse : https://www.ledauphine.com/isere-sud/2019/09/21/grenoble-la-video-d-une-interpellation-violente-publiee-sur-twitter?fbclid=IwAR0dK38KvOW1CUBQvWPQeFCV_OvzjtDAVwDHBvljfjDbQYlcWa1wn16TmWo
  7. C'est peut-être aussi une nouvelle preuve de l'inefficacité de l'État : même s'il se donne les moyens de contrôler les paroles et les pensées, ça n'empêche pas Zemmour, Soral, Dieudonné & co. d'avoir toujours une certaine audience. Mais pour autant, ça ne signifie pas que la liberté d'expression n'est pas menacée dans les faits. Bon par contre, Zemmour à Cnews, j'ai hâte qu'on revienne me parler du politiquement correct sur toutes les ondes... En passant : filmer, c'est collaborer.
  8. En même temps, quand tu n'as qu'une clé de lecture pour voir le monde et résoudre les problèmes... c'est plutôt une tare commune. Le GIEC s'adresse aux gouvernements, très logiquement ce qui en ressort est un discours politique avec l'État comme solution. Si tu vas chez ton plombier pour parler de tes problèmes d'électricité, tu as une chance qu'il soit honnête et te redirige vers un électricien. Mais l'honnêteté chez les politiciens... C'est vrai que maintenant, c'est le Grand Remplacement qui est à la mode. Mais il ne faut pas oublier la bombe démographique africaine avec tous ses migrants qui se massent au bord de la Méditerranée ! Sans parler de l'Inde et de la Chine... Mais j'espère que tu auras l'occasion de te confronter à un anti-nataliste un de ces jours et que tu viendras nous le raconter. Le discours sur le paternalisme et le sexisme des politiques familiales existe déjà à gauche depuis un moment en passant. Mais ça va vers une réallocation plus juste des ressources de l'État, pas une disparition des aides purement et simplement...
  9. Si, bien sûr. Par contre, c'est un peu plus compliqué que "Ce modèle est le vrai climat à 95% blablabla". Je n'arrive pas à retrouver un très bon article là-dessus qu'un collègue m'avait envoyé, alors voici une version très simplifiée de la réponse : Comment évaluer un modèle numérique de climat ? L'enjeu n'est justement pas de modéliser l'évolution de la société mais la réponse climatique à cette variable (et à d'autres évidemment). Il y a tout un panel de chemins que peut emprunter la société dans le futur mais les modèles climatiques ne s'embêtent pas à les prédire en tant que tels (car ce n'est pas leur objet... et certains ici ont ajouté que ce n'était de toute manière pas possible*). Par contre, tous ces scénarios peuvent être exprimés en fonction de leurs émissions de CO2, qui elles sont un paramètre intégré aux modèles. Pour caricaturer : émission de CO2 anthropique = 0 dans 100 ans -> les humains ont développé une capacité de photosynthèse et vit dorénavant d'amour et d'eau fraîche; l'humanité a totalement disparu après une catastrophe planétaire; l'ère de l'atome est définitivement lancée, les humains sont fluorescents; pour compenser leurs émissions, les humains font pousser d'immenses forêts de bambou qu'il enfouissent ensuite au plus profond des océans; etc. * Sauf pour les futurologues, y parait que ça recrute et pas que chez les éditeurs de SF. Tu as une chance sur deux que ce soient des racistes qui t'expliquent que le vrai problème ce n'est pas les blancs mais les autres qui se reproduisent bien trop vite. Sinon, on te répondra qu'il n'est pas nécessaire de sacrifier tous ces droits-acquis mais de les paramétrer autrement et de lancer une politique de l'enfant unique comme en Chine. Si ça ne fonctionne pas bien, c'est que les humains n'obéissent pas assez...
  10. Oui, mais c'est justement dans l'esprit du GIEC d'affirmer que, si le changement climatique a une variable anthropique, alors il est possible de la modifier. Prolonger une courbe et dire "voilà comment sera le monde dans X années", ça n'a pas forcément grand sens, mais ça reste une manière de se projeter dans le futur tant qu'on est incapable de deviner l'imprévisible*. Transformer ça en prédiction politique, c'est une autre histoire. * Dans 20 ans une race extraterrestre nous aura rendu visite et nous serons tous des formes de vies éthérées qui voguent dans le cosmos à travers les dimensions. J'ai dit.
  11. Philiber Té

    Tweets rigolos

  12. Et à mon avis, ce n'est qu'un début. C'est le sempiternel dilemme de l'alarmisme en sciences : lequel des scénarios faut-il communiquer si l'on souhaite attirer l'attention du public (+ les médias, + les politiques, etc.) ? Un exemple classique avec la tempête : - si on classe seulement 3 départements en alerte rouge, on va considérer cet événement comme minime... et si la tempête touche plus de monde, il faudra en assumer les responsabilités et le retentissement médiatique sera très important (+ de dégâts chez des gens - préparés, etc.). - si on classe 12 départements en alerte rouge, les gens vont drôlement s'inquiéter, on va en parler dans tous les journaux... et si le phénomène est finalement peu puissant, il faudra assumer la perte de crédibilité future (amplifiée par la couverture médiatique initiale). C'est symptomatique concernant le réchauffement climatique : une fois la machine médiatique / politique lancée, il lui faut de quoi l'alimenter continuellement ! Le sujet est une manne d'infos croustillantes, avec un story-telling qui fonctionne bien (combo écologie + apocalypse déjà présent au cinéma, etc.) et le débit peut être maintenue facilement avec les dernières mesures, les derniers fait-divers, les dernières prises de position, etc. Et comme souvent, ça a totalement échappé au contrôle des scientifiques ! On oublie le fond du débat scientifique, qu'on réserve aux experts cachés dans les labos et les universités (= qui est trop difficile à vendre), et on se contente du communiqué de presse et de la petite phrase qui sonne bien ou du chiffre qui claque. L'autre piège, c'est celui de la discorde. Il faut montrer que tout le monde est sur la même ligne, autrement on met en péril la crédibilité globale de son discours. Les débats et les incertitudes doivent rester en interne pour ne pas attirer l'attention au détriment des éléments jugés plus importants, l'essence du message. D'autant qu'on sait pertinemment que ces questions seront toujours retournées comme des contre-arguments : si on ne parvient pas à contredire un raisonnement avec de nouveaux faits, il faut s'attaquer à la fiabilité de la thèse*. Résultat, on se garde de trop communiquer sur les incertitudes, mais on évite aussi d'approfondir le discours scientifique au risque d'atteindre un niveau de complexité trop important, où l'on ne retiendra que certains points (ceux qui nous arrangent). C'est ce qui se passe lorsqu'on fait du cherry-picking, dans un sens ou dans l'autre, pour prouver que rien n'est joué... alors que c'est justement le fonctionnement de la science-qui-est-en-train-de-se-faire ! Maintenant, il va falloir essayer de retrouver un discours modéré et écarter les éléments trop extrêmes (qu'adorent pourtant relayer les médias et les politiques)... sans trop prêter le flanc aux critiques déjà présentes. Quel % d'échec ? * La théorie de l'évolution : "mais vous n'arrivez pas à expliquer cela ? Donc ce n'est qu'une hypothèse, si vous ne comprenez pas tout, vous pouvez vous tromper sur toute la longueur..." ou bien "sur votre schéma, on descend du singe... mais pourquoi il reste encore des singes aujourd'hui alors ?" Dans le même registre du discours alarmiste qui a totalement échappé au contrôle des scientifiques... Ce genre de réflexion sur la fin du monde, blablabla, tous les gens que je connais en sont dépités et enchainent les facepalm. Du milieu associatif au milieu scientifique d'ailleurs. Tu ne peux pas construire un discours qui appelle au changement si on te réponds que de toute manière c'est trop tard et que dans 10 ans ça ne vaudra plus rien, alors perdu pour perdu... Une grosse erreur de communication au départ qui sent l'énorme retour de flamme à l'arrivée ! Même le coup du scénario "optimiste", avec son lot de préconisations et de mesures salvatrices, ne fonctionne plus. On s'imagine avoir le contrôle sur un tas de choses mais de l'autre côté, on constate chaque jour l'échec des politiciens et de leurs promesses en l'air. La rengaine du constructivisme finit par s’essouffler (et les français continuent de rêver au messie, cf je ne sais plus quel sondage). On fait bien des projections sur des 10 de millions d'années pour connaitre l'évolution de la surface terrestre, alors pourquoi pas (avec de belles incertitudes, des mécanismes qu'on ne comprend pas totalement, etc.). Après, c'est l'intérêt des modèles que tu construits sur les données passées : on se dit que demain, on prévoira mieux J+1. D'autant que si la capacité peut restreindre la qualité, ça ne signifie pas qu'une meilleure capacité entraine automatiquement une meilleure qualité.
  13. Heu... https://fr.wikipedia.org/wiki/Guerres_civiles_romaines Je sais que tu n'es qu'au lycée mais tu devrais te pencher sérieusement sur de vrais bouquins d'histoire. Et surtout pas sur des bouses comme celle de Philippe De Villiers sur Clovis, c'est de l'arnaque complète ! Après le mythe national, s'arranger avec les faits, mentir sur l'histoire, etc. C'est un classique pour les nationalistes, non ?
  14. Notez le bel esprit de corps : Moi qui pensais que les gentils flics se faisaient un devoir d'expulser les méchants flics, pour préserver l'institution, toussa.
  15. Oui, je pense que c'est assez courant d'avoir de "grands" abris de jardin. Je m'inquiète juste de savoir si un jour, un voisin gêné par le bruit et l'odeur finisse par me dénoncer... J'ai de bonnes relations avec mon voisinage mais avec ces choses là, on ne sait jamais vraiment. Très honnêtement, ça me trottait dans la tête depuis un moment (ça ou la menuiserie) et j'ai trouvé une occasion d'essayer dans une sorte d'atelier pour hippie / bobo écolo*. J'ai tout de suite accroché et c'est beaucoup plus abordable financièrement / matériellement parlant que je ne le pensais. * Pour de vrai ! Le gus qui dirigeait l'activité fait surtout de la reconstitution historique / festivités médiévales du coin mais vit comme un ermite dans une yourte avec une horde de poules. Non, la fumée ce n'est plus vraiment un problème : je suis passé au gaz, c'est plus facile et plus discret. Il faut que je réfléchisse à la haie, si des cyprès tiendraient le coup à l'ombre d'un grand chêne... Qué s'appellerio Patriotes.
  16. Plusieurs personnes donc ce n'est pas seulement un biais de ma part ? Et oui, tant mieux si on parle de nous ! Mais il faut peut-être s'interroger concernant quelles fanges sont attirées spécifiquement (pipeline bablabla...). Tu as raison et je pense que la popularité de Ferghane va alimenter celle de SFL. Mais dans le fabuleux monde des sciences dures, personne ne sait qui est SFL. Koenig, c'est presque un gentil avec son RU. Il passe surtout à la radio, non ? Autre média, autre tranche d'âge j'imagine. Le principe du pouvoir ce n'est pas justement d'échapper aux règles ? Mais je comprends l'idée.
  17. Je débute seulement, je n'en suis pas encore là (quoique des haches ça ne m'a pas l'air trop compliqué) mais je me lance dans les couteaux en ce moment. J'ai la chance d'être en campagne et à l'écart des lotissements les plus denses, donc ça va. Et c'est surtout la meuleuse qui fait du bruit, les coups de marteaux sont franchement supportables. C'est ce que je me dis, en bon délinquant, il faut que je pèse les risques... Mais si ce n'était qu'un cabanon pour ranger des outils ça irait, là c'est pour faire du bruit et de la fumée, c'est tout de suite moins discret !
  18. Ça pourrait également être une solution libérale : je connais un village où les commerçants du bourg se cotisent pour faire rouler une navette qui ramassent les retraités et les amènent faire leurs courses dans leurs boutiques plutôt qu'au supermarché. Les transports en commun pourraient parfaitement fonctionner, être rentables et peu chers (voire gratuit) même si les communes, les métropoles ou les régions ne s'en occupent pas avec l'argent des autres ! Idem pour le ramassage scolaire. Ou pour le covoiturage (dont on n'arrête pas de nous parler) : l'entreprise de mon père avait un minibus et un chauffeur pour récupérer ses employés à l'entrée de la ville. Depuis, ils ont supprimé les parkings en périphérie...
  19. J'ai testé la forge avec un marteau pilon, du genre grosse bête du siècle passée, c'était le pied ! J'hésite à agrandir mon atelier mais ça risque d'impliquer un permis de construire et tout ce bordel. Ça m'angoisse déjà, il faut que je trouve une alternative ou une faille dans les règlements... Mon maire est un con en plus !
  20. Je pense que l'on n'arrivera pas à être parfaitement d'accord, mais c'est comme ça. Moi ça m'inquiète de plus en plus. Jusqu'à maintenant, c'était classique de ne susciter aucune réaction en parlant de libéralisme (ou bien de se faire directement traiter d'extrême droite ou d'ennemi de la patrie, en fonction du bord politique de son interlocuteur...). Aujourd'hui, les gens commencent à entendre parler de termes comme "libertarien", chose totalement anecdotique auparavant. C'est peut-être conjoncturel (actualités récentes, Macon, Trump, etc.) ou bien un biais de mon environnement social*, mais on commence à me citer X personnes pour m'expliquer que le libéralisme c'est de la merde ou un paquet d'hypocrites. Avant ça, on se contentait de réflexions théoriques, le (ultra-)libéralisme était le joker de la critique facile du capitalisme et le seul libéral dont on se souvenait était Madelin. Et encore, ça dépendait des générations. * NoFakeScience, l'homéopathie, le glyphosate, etc. ont eu pas mal d'échos dans le milieu scientifique universitaire que je fréquente. Je ne m'en suis rendu compte qu'à la rentrée, personne ne parlait "boulot" pendant l'été. Manque de chance, le buzz autour de Ducros a aussi fait connaitre les #Ze, catégorisés comme libéraux (par la presse, leur bio twitter, etc.)... et parmi eux de gros racistes qui affichent une carte des QI mondiaux pour t'expliquer que les noirs sont des êtres inférieurs et que le métissage et l'immigration entrainent l'Occident vers le fond ?! Ça ou le manque de subtilité, le troll, l'agressivité, le sentiment de supériorité, etc. Très mauvaise pub pour moi alors que j'essaye de montrer à mes proches et mes collègues qu'un libéral ne mange pas de viande de chatons ou d'enfants ! On a gagné Laurent Alexandre (sic) et Ferghane Azihari (ouf). Je suis d'accord, mais ça ne n'implique pas nécessairement de leur faire expérimenter concrètement ce que ça fait. Sinon les censurés d'aujourd'hui ne se verraient pas comme les censeurs de demain (ou c'est juste de la vengeance ?). Tant mieux si tout le monde en est bien conscient. On censurera demain ceux dont on défendait la liberté d'expression aujourd'hui... jusqu'à ce que tout le monde soit d'accord avec nous.
  21. Je ne sais pas, je ne fais pas de modélisation. Je crois que Patrick Brown explique ça dans une vidéo : A partir de 17:00 "Use of spatial root-mean-square error instead of global mean net error"
  22. C'est fou le nombre de gens qui accordent une certaine probité magique à Villani parce que ce serait un scientifique et non pas un politicien de carrière, blablabla. Le gars a été directeur adjoint de l'Institut Henri-Poincaré, il a déjà baigné dans cette ambiance politique depuis un moment ! Quand tu commences à avoir des responsabilités dans ce genre d'institut (ou même dans des labos parisiens), tu finis par fréquenter plus d'administrateurs et de politiques que de collègues scientifiques.
×
×
  • Créer...