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Mégille

Tribun de la Plèbe
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Tout ce qui a été posté par Mégille

  1. Et bien, dire une théorie politique, ça me semblerait déjà plus pertinent. Il semble dire que le libéralisme est équivalent au jusnaturalisme (qui est bien une théorie du droit, pour le coup), mais il y a aussi des pas mal de libéraux qui ne sont pas de l'école des droits naturels (Mill, Mises, Hayek...), et de jusnaturalistes non libéraux (Thomas d'Aquin, Grotius, Filmer...). Mais en plus de ça, c'est aussi une théorie économique, et une théorie des relations internationales.
  2. Devient-elle un homme quand elle ne les a plus ? ? #genderfluid #AmIDoingItRight?
  3. J'avais lu, dans la littérature secondaire, des allusions comme quoi, vers la fin de sa vie, il aurait envisagé de s'écarter du libéralisme pour aller vers le socialisme. Et bien du coup non, je suis rassuré. Il leur accorde tout de même des points et il est charitable envers eux, mais il cherche systématiquement des solutions libérales aux problèmes que voient les socialistes. C'est un libéral un peu plus modérée que Spencer après lui, mais c'est bien un libéral. Ce n'est pas lui qui a définit le mot, mais c'est tout comme. Ces fans actuels sont des liberals, mais ils en font un mauvais usage (tout comme Mélanchon qui lit souvent du Hugo lors de ses meatings...). J'ai souvenir d'un genre de best of de Ben Shapiro sur youtube dans lequel il fait une belle défense du libéralisme classique à coup de JS Mill face à des étudiants américains qui avaient voulu faire les malins.
  4. *pna oui désolé, je ne sais pas quel Poutou m'a pris ! Il me semble que même le dernier des "brutalistes" qui se contenterait de l'économie autrichienne ou du pna resterait un libéral, un mauvais libéral peut-être, un déviant, un idiot, mais pas autre chose que libéral pour autant. La première école autrichienne n'était pas spécifiquement libérale, effectivement. Menger se situait dans la tradition caméraliste germanique et était un interventionniste modéré, et à coté de l'aile libérale de Bohm Bawerk (d'où viennent Mises et Schumpeter), il y avait la branche socialiste de Von Wieser et de ses disciples (Ernst Mayer, et le jeune Hayek). Mais cette première école, en Autriche et de langue allemande, s'est plus ou moins dissoute dans l'économie orthodoxe, et c'est seulement Mises qui l'a fait revivre et l'a constituée comme un système excluant les orientations dominantes chez les néo-classiques. Un économiste autrichien aujourd'hui, c'est un héritier de Mises, éventuellement à travers Rothbard. Les courants socialistes des débuts sont rejetés, et sont a posteriori considérée comme non-autrichiens, même les hayékiens sont regardés de travers.
  5. Et bien, ils ont quand même échoué à le faire de leur vivant (surtout du vivant de Marx), et il faut reconnaître qu'ils ont été aidé par le fait que leurs prédécesseurs et leurs concurrents étaient de beaux branquignoles (à l'exception peut-être de Proudhon).
  6. Je viens de lire In defense of anarchism de Robert Paul Wolff. A part la troisième partie, tout est très bon, je comprends que Rothbard ait aimé.
  7. Mégille

    Aujourd'hui, en France

    Usucampion !
  8. Assez d'accord avec toi sur la nature du libéralisme qui ne dépend pas directement de tel ou tel système de justifications (on est d'ailleurs une tradition étonnement diversifié en terme de fondement différents envisagés pour les mêmes conclusions, je pense pas que d'autres doctrines soient dans ce cas). Remarque en passant (mais je crois que tu es d'accord là dessus) être autrichien en économie ou être monomaniaque du npa, est bien suffisant, même sans être nécessaire, pour être libéral ; et l'économicisme et le juridicisme ne sont pas propre au libéralisme (les fans respectivement de Keynes et de Kelsen sont bien pire que les pires d'entre nous). Ce juridicisme m'a marqué particulièrement chez Daniel Tourre, qui présente le libéralisme comme une philosophie du droit avant d'être quoi que ce soit d'autre, ce qui me semble un peu réducteur. Par contre, je ne suis pas sûr que la réduction au seul npa puisse être qualifié ainsi, puisqu'il s'agit d'une norme presque plus morale que juridique.
  9. Mégille

    Fake news et racolage

    Alors que s'ils augmentent les dividendes, c'est justement parce que (peut-être à cause du sommet pour le climat) les actionnaires ont moins confiance ? Il me semble que lorsque tout va bien, on demande peu voire pas du tout de dividendes, comme les actionnaires de google.
  10. Surtout, il me semble que l'écologie politique y est assez bien implantée. Ils exportent, même. Peut-être que c'est allé de pair avec une opposition à l'écologisme devenu acceptable ? A propos de eux et du RCA, remarquons qu'ils font partie des quelques pays qui vont non pas perdre, mais gagner de la surface, grâce au rebond post-glaciaire. En fait, ils y croient secrètement, mais ils font mine de rien, parce qu'ils ont bien compris qu'ils seront les grands gagnant de cette histoire. ?? (usage de smiley expérimental et non maîtrisé)
  11. Intéressant ! Je suis surpris par le scepticisme des scandinaves. Pour la Norvège, pas tellement, vu que ce sont de gros pétroliers, mais les autres ? Concernant l'appréciation du risque pour leur propre vie, ca me semble correspondre à l'impact que risque effectivement d'avoir le changement sur les différents pays. Étonnant que les gens soient aussi lucide (relativement les uns aux autres, je veux dire, pas forcément dans l'absolu).
  12. Je dirais, entre 1.8 et 0.8 milliards d'années avant le présent. Chiant, rien ne se passe. Sinon, j'ai fini le Socialisme de Mill, et il n'est définitivement pas socialiste. Il fait beaucoup d'effort pour ne pas les écraser, mais en gros, il détruit presque entièrement leur critique du capitalisme, et leurs espoirs de réussir à faire quoi que ce soit sans les incitations économiques individuelles, mais il leur dit "allez-y, tentez le coup, entre vous, à petite échelle, on vous regarde. Surprenez moi !".
  13. Oui, mais ce ne sont pas justes deux grandes théories random. Ce sont deux morceaux complémentaires de la même grande théorie : refus poétique de la modernité au profit d'un passé atemporel au sein duquel un ordre naturel aurait régné, rejet du libéralisme et de la démocratie, esthétisation de l'éthique... C'est une seule et même vision du monde, vue de deux cotés différents.
  14. Il me semble qu'aux dernières élections, le FN était l'un des seuls à franchement défendre le nucléaire. Pareil en France, à l'exception de Ofray (dont on peut se demandé s'il est vraiment de gauche), les critiques contre Greta venaient surtout de la droite et de l'ed. On voit aussi aux US, en Europe du nord et en NZ (il me semble) de plus en plus les bruns et les verts se poser en seules alternatives l'un vis-à-vis de l'autre. Ca me semble très étonnant vu la proximité de leurs systèmes de pensée, mais surtout inquiétant, j'ai peur que l'écofascisme en vienne à être considéré comme centriste...
  15. Prochainement, au Canada : une loi pour interdire l'usage d'une conjugaison en italien qui déplaît le plus à notre interlocuteurice. Oui, mais là il n'est pas question que du plus grand nombre, il est question des départements de recherche en science sociale aux USA... On pourrait attendre de ces milieux qu'ils ne se fassent pas avoir aussi facilement, surtout quand ils ont les armes pour contrer ce genre d'idées. Je suis moi même en train de le découvrir...
  16. Je suis en train de lire Socialisme de Mill (j'en suis aux 2/3). Très bonne petite lecture, et Mill y est beaucoup moins indulgent envers le socialisme que je ne m'y étais attendu. Ce n'est pas Bastiat, mais parfois, pas loin. Là où j'en suis, il se contente d'appeler à un meilleur contrôle de la qualité des marchandises (il a peur que la concurrence, sitôt qu'il y a suffisamment d'acteurs, n'y suffise pas), mais pas forcément par l'état. Il appelle notamment à la création d'associations de consommateurs qui s'en chargeraient eux mêmes. Il se plaint aussi qu'après avoir été trop cruelle avec les emprunteurs en défaut de paiement, la loi est désormais trop clémente envers eux, ce qui est une atteinte au droit des prêteurs, et qui profite principalement aux capitalistes au détriment du reste de la société. On peut y voir une critique libérale des sociétés à responsabilité limitée, j'imagine, mais j'ai un peu de mal à contextualiser. Quoi qu'il en soit, il réfute empiriquement que le capitalisme appauvrisse qui que ce soit, et conceptuellement que la concurrence soit au détriment des producteurs, puisqu'ils en profitent d'autant plus en tant que consommateurs. On peut juste regretter qu'il ne s'attaque qu'à des socialistes niais assez mineurs (Charles Fourier, son disciple Victor Considerant, Louis Blanc et Robert Owen), et qu'il passe à coté des systèmes plus conséquents de Proudhon et de Marx. Pour Marx, ça peut se comprendre, il était un inconnu à coté de tous ceux là à l'époque, mais il me semble que Proudhon était une petite star. Un marxiste ou un proudhonnien seront donc assez imperméables aux critiques de Mill (d'où peut-être le manque de postérité de ce petit livre), mais vu qu'on revient à un socialisme naïf et moralisateur, c'est étonnamment d'actualité. Ca marche très bien contre Piketty, notamment. Je n'ai pas encore fini, et il a encore une petite cinquantaine de pages pour prévariquer, mais pour l'instant, il reste du bon coté.
  17. Je suis en train de lire ceci http://www.csun.edu/~snk1966/Robert K Merton - On Sociological Theories of the Middle Range.pdf (et de découvrir Merton par la même occasion) Et j'ai l'impression qu'il avait déjà enterré dans les années 50 toutes les théories du conflit actuelles à base de genre et de race. D'un coté, son appel à se contenter de "théories de moyenne portée" rend obsolète les "grandes théories" (qui veulent donner un cadre simple et univoque pour comprendre toute la société) qui sont irréfutables car trop englobantes, et donc non scientifiques ; d'un autre coté, son concept de "role-set", qu'il donne ici comme exemple de théorie de moyenne portée, me semble être une bonne alternative, plus réaliste, de l'analyse des rôles sociaux en terme uniquement de dominant et de dominé. Si ce genre d'idées ont fait autorité en Amérique peu après le milieu du XX, qu'est-ce qui a bien pu se passer pour que de nouvelles grandes théories du conflit s'imposent juste après ? A-t-il tout simplement été oublié par une nouvelle génération de chercheur ? Ou bien a-t-il été réfuté de façon convaincante, mais dans ce cas, par qui, et surtout comment ?
  18. Oui, il y a de ça. Il y a aussi un petit coté réseau professionnel, surtout à Paris, mais j'en ai vu quelques uns se trouver du taf les uns les autres à Lyon. J'imagine que c'est beaucoup plus important dans certains autres pays. Je songerais sans doute à m'y réinscrire pour cette raison si jamais je rentre au Canada, par exemple. Au niveau de l'asso internationale, il y a aussi une communauté de voyageurs, qui s'hébergent mutuellement. Donc je comprends qu'on puisse y voir quelques avantages. Mais dans l'ensemble, c'est surtout des gens d'âges variés (disons, dans la moyenne française, donc surtout vieux), qui n'ont pas trop d'amis, pas trop de centres d'intérêt, et qui se retrouvent de temps en temps pour faire des sorties assez convenues. Et qui passent beaucoup trop de temps sur fb.
  19. J'ai passé leur test l'an dernier et me suis inscrit dans la foulé pour voir ce que c'était, j'en suis encore membre pour un mois ou deux, quelque chose comme ça. La seule fois où j'ai participé à un événement irl, oui, c'est l'impression que j'ai eu. Sur les discussions en ligne, ça ne ressort pas trop; Peut-être parce qu'il y a les membres de la triple nine qui sont là à jouer les caïds. (d'ailleurs, fait amusant, si les mensans sont surtout socialistes, les triple 9 sont plutôt libertariens). Ce sont surtout des douillets, obsédés par leurs occasionnels légers problèmes psychologiques. J'imagine qu'il y en a plusieurs, qui n'ont pas beaucoup d'amis par ailleurs, pour qui c'est un espace de sociabilité bienvenu. Il y a aussi une belle grosse communauté de polyamoureux sapiosexuels parisiens parmi eux. J'ai surtout été surpris par le manque de culture g de beaucoup d'entre eux. Ce ne sont pas forcément des gens intéressants, ni qu'on aurait spontanément envie de qualifier "d'intelligent", même si personne n'y est vraiment stupide.
  20. Oui, j'espère que les anglais y retourneront, ça fera connaître la chose en France. Ne serait-ce que pour montrer que l'UE n'est pas le summum du libre-échangisme, et qu'on peut tout à fait échanger librement sans bricoler une mini URSS.
  21. Et bien, l'article montre que même si elles sont susceptibles de représenter une plus grosses part des naissances, elles ne contribuent que très marginalement à la fécondité. Ca n'empêche peut-être pas un changement de la composition ethnique du pays d'accueil, mais effectivement, ce n'est pas le sujet. Je rentabilise mon adhésion (de curiosité) de l'an dernier... En y trollant un maximum.
  22. On pourrait aussi (on en sait rien, mais c'est dans le champ des possibles) avoir un effet très important des nuages dans un sens ou dans l'autre. On pourrait avoir un impact plus important que prévu du minimum solaire qu'on va probablement connaître au milieu du siècle. On pourrait aussi avoir de bonne grosses éruptions volcaniques surprises qui injectent du souffre dans la stratosphère. On pourrait aussi le mettre nous même, ce souffre. On pourrait commencer à voir le bout des prédictions des vieux écolos à base de peak oil se réaliser. Le pétrole se faisant de plus en plus rare, il deviendrait de plus en plus chère, ce qui fonctionnerait comme une incitation beaucoup plus efficace que n'importe quelle subvention étatique pour trouver de nouvelles alternatives. On pourrait aussi faire une découverte technique majeur, qui rendrait relativement moins rentable le fossile. Du coté du nucléaire, on a déjà le thorium qui vient, et on est jamais à l’abri d'un génie qui nous montre comment faire des centrales à fusions. On pourrait aussi trouver de nouvelles façons de stocker l'énergie, ce sans quoi l'éolien et le solaire sont tout à fait inutiles, et ce qui permettrait en outre de commencer à nous affranchir du fossile pour le transport. Voilà pour quelques changements positifs qui pourraient avoir lieu sans intervention de l'état. Mais on peut aussi avoir un état plein de bonne volonté écologique qui obtiens le résultat contraire, façon rats de Hanoi. Non seulement ça pourrait avoir lieu, mais ça a déjà eu lieu avec l'Allemagne. Du coté des effets sur nous, on pourrait aussi appliquer la même recette que pour le reste, c'est à dire, prolonger indéfiniment les tendances actuelles. Et la tendance actuelle, c'est que de moins en moins de gens meurent à cause du climat, et qu'il nous coûte de moins en moins cher, parce que l'on s'adapte à lui plus vite qu'on ne le change. On pourrait aussi voir les points positifs de certaines choses qui ne sont vue que comme des catastrophes, par exemple, les migrations climatiques. Si on prend en compte le fait que les gens vont quitter les lieux les plus négativement touchés pour aller vers ceux dont la situation va s'améliorer, c'est assez positif. Bref, tout "large mais réaliste" qu'il soit, le panel de scénarios de nos précieux experts a quand même pas mal d'angles morts.
  23. La natalisme est critiqué, mais les allocations familiales et le statu d'ayant-droit sont rarement perçu comme tel. (et le lien avec la retraite par répartition non plus) Souvent, ils n'y ont même jamais pensé, il faut juste que quelqu'un vienne leur suggérer l'idée... Tous ces arguments sont déjà testés et approuvés, en laboratoire et in vivo, par mes soins ! J'ai fait ragequit (je prend ça comme des victoires) plusieurs anti-natalistes écolos à Mensa avec ça. Cette asso est truffée de collapsologue, c'est une horreur.
  24. Il me semble que la monnaie, la vraie, c'est celle qu'on utilise comme intermédiaire d'échange. Et c'est bien le crédit des banques commerciales qui est utilisé comme tel. La monnaie centrale est seulement un outil de contrôle de la création monétaire. Mais que la monnaie scripturale des banques commerciales soit convertible (pour les banques) en monnaie scripturale de banque centrale, et que les deux soient convertibles en monnaie papier, rend la question un peu triviale. Ceci dit, les banques centrales créent aussi de la vraie monnaie lors des opérations d'open market et par le QE, la monnaie-dette qu'elles créent ainsi est directement mise sur le marché, non ?
  25. Ca revient tout de même à prétendre connaître la fonction qui associe telles sorties à telles entrées. Une telle connaissance (sans entrer dans les détails de sa réfutation par les économistes autrichiens) n'est pas à notre portée, et ça, nous le savons empiriquement, car ça rendrait possible la planification de l'économie, et on voit bien qu'à chaque fois qu'on tente le coup, ça part en couille. Et je suis sûr qu'une bonne partie des français qui vont accepter sans aucun recul ces nouveaux modèles seront par ailleurs des partisans de T. Porcher et associés qui, pour s'opposer à l'économie orthodoxe, vont rejeter l'existence de toute lois économiques. Je n'ai pas beaucoup poussé, mais j'ai l'impression que ces nouveaux modèles ne se contentent pas d'envisager que les humains puissent émettre plus ou moins de GES (ce que font tous les modèles), mais qu'ils mettent en relation la quantité de GES émis avec différents choix sociaux, en supposant capitalisme inégalitaire -> beaucoup de CO2, écosocialisme redistribution avec transition énergétique planifiée (parce qu'il est inconcevable qu'un changement positif se fasse autrement que par l'intervention de l'état) -> bien. Contre les premiers, je garde toujours ça sous la main : https://www.ined.fr/fichier/s_rubrique/29430/population.et.societes.568.2019.fecondite.immigrees.fr.pdf Les immigrées comptent pour 0.1% des naissances en France, et si on a une forte fécondité chez nous, ça vient bien des natives, probablement du fait de notre natalisme. Contre les seconds, d'abord, partir du sens commun : c'est bête de piler à la fois sur l'accélérateur et le frein... Ensuite, bien expliquer ce à quoi revient le natalisme, à savoir, punir ceux qui font moins d'enfants pour récompenser ceux qui en font le plus. On peut très facilement faire comprendre, même à un gauchiste, que c'est paternaliste et patriarcale (les femmes qui choisissent de ne pas faire d'enfants sont punies, et encourager à en faire beaucoup, et donc à être mère, + assignation à résidence, toussa). Pour le système des retraites, si rappeler qu'il repose sur une augmentation continue de la population n'est pas suffisant, rappeler qu'il est une redistribution en fonction de la longévité, et donc des ouvriers vers leurs patrons.
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