Rincevent

Pas plus que la distinction "droit de"/"droit à", ou "free to"/"free from".

Ceci. L'État de droit au sens du Rechtstaat kelsénien est une idole faite par et pour des casque-à-boulons mentaux qui préfèrent s'assurer de la conformité au processus prévu et que tous les stampels aient été apposés dans l'ordre et dans les bonnes cases que de la justice du resultat ou de son adéquation à des principes métajuridiques ou jusnaturalistes. Le kelsénisme est un sida mental, l'obsession de l'État de droit est un cancer juridique, parce que ce qui participe à maintenir une société libre c'est la rule of law.

Trop de philosophie analytique rend tête-à-claques.

Je remonte ce fil afin que nous puissions discuter de cette infographie. A quels niveaux êtes-vous ?

Oui, ça s'appelle une condition nécessaire, mais pas suffisante. Mais nécessaire tout de même.

Ni comme parasites. Bien entendu, ceci dit tu confonds État et société. J'irais même plus loin : un État libéral ne peut exister que dans une société telle que la rêve Vance. (Ce qui ne dit pas si il compte employer les moyens adaptés pour y parvenir, d'ailleurs).

Avec un peu de chances c'est du billard à douze bandes. La Russie est connue pour soutenir traditionnellement l'Arménie, qui est en bisbilles perpétuelles (pour de bonnes raisons) avec l'Azerbaïdjan, qui s'entend donc mal avec la Russie sans être à sa merci (merci le pétrole). De son côté Trump a au fond assez peu de cartes en mains pour pousser Poutine à négocier un traité de paux en Ukraine. Donc il se pourrait que Trump pousse un peu l'Azerbaïdjan à menacer d'ouvrir un second front (par exemple en levant, il y a moins d'un mois, l'embargo sur la vente de matériel militaire à l'Azerbaïdjan), afin de pousser à la résolution de la situation ukrainienne.

Le PS, ce nain électoral mais qui garde une influence de géant à en juger d'après la présence de socialistes ou ex-socialistes à tous niveaux du pouvoir.

Si, dans toute société il existe une distance de respect implicite entre les gens (qui explique pourquoi on déteste être dans un métro, mais aussi pourquoi on est toujours un peu gênés et silencieux à plusieurs dans un ascenseur). Proxémie, tout ça. Chacun verra midi à quatorze heures sa porte :

Ou bien il faut mettre des gens plus petits devant.

Entre 1,0 et 1,99, les situations sont assez vastement différentes...

Ou aux strippeuses et autres demi-mondaines qui, leur carrière et leurs charmes déclinant, se découvrent born again et lancent des ligues de vertu (i.e. des tentatives de punir la concurrence qui les a évincé du marché).

Gérard Chaliand. Si je n'avais pas une petite idée de son parcours (et pour causer géostratégie et conflits armés, mieux vaut avoir bourlingué comme lui que d'être un danseur de claquettes en ministère), jamais je n'aurais deviné d'après son allure qu'il avait plus de 90 ans.

Je dirais plutôt 20-30 % dans mon cas. Ce qui est toujours beaucoup plus que 0%.

Des milliers d'onglets fermés mais conservés dans la base de Tabs Outliner (ou toute autre application équivalente). L'idée, c'est d'avoir les onglets sous la main sans qu'ils ne consomment de RAM ou de cycles processeur, précisément. Dans les favoris, il faut donner un nom, classer dans des répertoires (qui doivent avoir des noms aussi), et faire une action volontaire pour les ajouter (Ctrl-D ou équivalent) comme pour les retirer des favoris. Là, j'ai juste à cliquer sur un bouton spécial pour mettre un onglet en "archive" (automatiquement répertorié comme appartenant à l'atble d'onglets d'où il a été ouvert) ou à le fermer pour l'en faire disparaître. Les favoris sont faits pour la réutilisation, les onglets archivés sont là pour la consommation décalée dans le temps (et n'exclut pas la mise en favoris si l'onglet est assez intéressant pour que l'on s'y réfère à nouveau a l'avenir). Le use case typique est : "ce lien semble intéressant, allons cliquer dessus voir ce qu'il contient... houlà mais ça mène à plein de trucs tout aussi intéressants, ouvrons depuis lui autant d'onglets nouveaux que de liens qu'on aimerait aller voir un autre jour, puis cliquons sur le bouton magique pour archiver toute cette hiérarchie d'onglets pour le jour où l'on aura le temps et l'occasion pertinente d'aller voir, et reconcentrons-nous sur ce qu'on faisait juste avant".

Bon, j'ai restauré une version précédente des deux répertoires associés à l'extension, ça semble remarcher. Mais j'ai eu une immense frayeur en constatant que "rapatrier" le backup fait par l'extension ne rapatriait que les nœuds ouverts de l'arbre. Ce n'est clairement pas le comportement que j'attendais, et j'aimerais bien savoir si il y a une manière simple de procéder pour tout rapatrier.

Mon Tabs Outliner a planté, sa fenêtre est vide. Comme j'ai payé ma licence, j'ai des backups dans Google Cloud auxquels je peux accéder, et quand j'accède au dernier backup, je peux voir l'arbre correspondant à mes onglets, mais pas développer les nœuds qui en contiennent plusieurs. J'ai des milliers de tabs sauvegardés, je suis prêt à les transférer vers une autre extension si il le faut, mais J'AI BESOIN DE PRÉSERVER MES ONGLETS. Alèd.

De la part d'une femme, c'est potentiellement encore plus malsain.

Non. Le "us in business" indique qu'il ne s'agit pas d'un politicien, d'ailleurs.

Félicitations à @PABerryer ! Qui a dit :

Ça sonne comme du Hamilton, donc ça ne doit pas être lui. Raisonnons de manière paradoxale : c'est un libertarien ?

C'était bien la peine de (pour les uns) voter strémedrouate ou de (pour les autres) dénoncer les bruits de bottes du ventre fécond, pour en arriver à ça...

Pour comparaison, les sommes que KLuG a dû verser au nom de la péréquation etaient de 8 millions, soit trois fois plus. L'erreur de gestion que tu signales (même si elle ne me semble pas pardonnable, et on verra si ca se confirme) n'est pas du tout le fond du problème.

Parce que quand tu es une petite boîte, tu fais bien un nombre réduit de choses, plutôt que de vouloir tout faire (ce qui est davantage la spécialité des grosses structures).

J'ai aussi lu l'article du Poubelliste, qui fait à peine plus que reprendre les informations de l'Agence Télégraphique Suisse. Pour ma part, je me basais avant tout sur les détails additionnels donnés dans l'article du Temps (j'y ai eu accès par mon boulot, for reasons). Et sans péréquation débile qui plombe ceux qui ont les frais administratifs les plus bas (les gros assureurs ayant généralement les plus hauts frais, au moins en Suisse, au contraire de ce que tu avances).