Rincevent

Composition des mouvements, première année de sciences de l'ingénieur, cours élémentaire de cinématique. (Mais une bonne moitié de l'amphi a effectivement mis du temps à comprendre.)

Pitié. Tu devrais être capable de comprendre l'idée qu'un choix, et spécialement un choix aussi important que celui de sa carrière, devrait prendre en considération plusieurs critères différents, non ? Qui plus est, plusieurs critères qui peuvent être pondérés de façon différente selon les personnes ?

Tu ne me parles que du critère du pognon, je te réponds sur le seul critère du pognon. Et c'est un problème additionnel, qui existe mais que tu ne mentionnais pas du tout. Je note toutefois qu'entre l'argent et le prestige, tu n'évoques que des paramètres extérieurs. La passion en revanche, c'est un motif intérieur que tu sembles ignorer de manière structurelle. Pourquoi pas, après tout tout le monde n'a peut-être pas vocation à avoir de passion, ce n'est pas grave.

Tiens, personne pour hurler que Kigali déstabilise la région. La RDC n'a sans doute pas assez de bons hôtels pour intéresser les journalistes du monde entier.

Oui, c'est vraiment quelqu'un de passionnant... et de déssillant.

Si tu as plus d'intérêt (ou de talent, mais en général ça se constate ex post) pour les questions d'ingénierie et de technique que pour les questions de management et de business, c'est parfaitement rationnel de choisir une carrière qui a davantage de chances de te plaire ou de t'intéresser. Le critère du pognon est là pour faire basculer les indécis, mais ça ne peut constituer qu'un facteur parmi d'autres.

Ce n'est rationnel que si tu ne considères que le pognon dans l'affaire. La conséquence est qu'il est rationnel pour une gamine tout juste majeure de lancer un OnlyFans, par exemple, parce que peu de filles trouveront une activité plus rémunératrice que ça dans leur vie.

C'est rationnel si tu considères que le pognon a plus de valeur que le reste, ou pour le dire autrement que tout ce qui a de la valeur a un prix.

Il faut reconnaitre que de facto, à peu près tous les pays secoués par une vague rouge suite à la révolution bolchévique ont fini par en arriver à une forme de fascisme au sens large Le biennio rosso a donné Mussolini, la république hongroise des conseils a accouché de la régence Horthy, la révolte de Juillet et l'insurrection de Février ont permis à Dollfuss de se présenter comme seul garant de l'ordre ; quant à l'Allemagne on ne peut pas passer sous le tapis ni la révolte spartakiste de Berlin ni la république des conseils de Bavière (ni les quelques autres "incidents", comme le soulèvement de Mars en Ruhr). Le caractère particulièrement monstrueux du "fascisme à l'allemande" qu'est le nazisme, en revanche, doit énormément au caractère très particulier du peuple allemand et du protestantisme.

Exemple :

D'une manière générale, la production d'ingénieurs et de scientifiques américains (et par là j'entends à la fois diplômés aux USA et nés aux USA) est très, très en dessous des autres pays développés.

On peut être de gauche tout en étant fort bien informé (disons, suffisamment bien informé pour n'avoir aucune illusion sur le fonctionnement réel des réseaux sociaux). Bonus pour @Largo Winch, ça parle un peu de gouvernance d'entreprise au début.

Moui, je connais cette théorie. Le trotskysme culturel est un trotskysme, et il a semé les graines du wokisme.

On ne parle jamais assez des positions de Guido Hülsmann quant à l'influence du nieau des taux d'intérêt sur la culture et les mentalités. "Hard times, strong men, good times, weak men", en loucedé c'est une description autrichienne du cycle de Kondratieff.

Fixed your post. Dans un spectacle, ne jamais confondre le volume sonore avec le nombre d'entrées (et encore moins avec le nombre d'entrées payantes).

La définition même des crétins utiles. Ou pour le dire autrement, "quiconque est aisément offensé, sera aisément manipulé".

Qu'est-ce que je disais ?

"Pas tout de suite" ? Pas plus tard que l'an dernier on me l'a ressorti (pas un quidam, mais un salarié/militant d'une association contre la hhhhhaiiine ayant pignon sur rue).

Les propos en question sont antisémites mais pas complotistes. Des Juifs comme ça, ça existe, j'en ai rencontré et pas qu'une fois. Le problème c'est de faire porter à tous les Juifs les fautes et vices de certains d'entre eux.

Ah oui, Audard, pas Audier. Jamais trouvé quoi que ce sout d'intéressant ou d'intelligent sous la plume de Catherine Audard ; à l'inverse, Serge Audier est un adversaire de valeur.

Gné ? Quelle page ? Au contraire, Rothbard a "assassiné" Strauss dans une note interne au Volker Fund.

Une propriété émergente des réseaux sociaux est la bipolarisation plus montée aux extrêmes de tout débat. Tout comme les cafés ont accouché des Lumières, tout comme la radio a accouché du fascisme, tout comme la télévision a accouché de la "démocratie d'opinion") (i.e. la semi-démocratie d'émotion), les réseaux sociaux accouchent de ce genre de personnages. L'effet du mode médiatique principal sur la nature réelle des régimes est pourtant analysée depuis fort longtemps par des gens comme Bernard Manin ou d'autres.

"DEI Lead at the CIA". C'est génial pour se faire détester.

Non non non. De toute façon on n'évolue pas dans le même monde.

Un peu, mon vieux... Disons que même Delphine ne s'est jamais laissé aller à ce niveau de bassesse ou en tous cas, je n'en ai pas eu écho).