Rincevent

Ça m'apprendra à composer des posts complexes entre deux bouchées. J'ai corrigé.

Pourquoi la santé est-elle si chère en Suisse ? Illustration. On apprend cette semaine la faillite du petit assureur maladie zougois KLuG (9300 assurés, 19 employés). Pas du tout parce que les affaires marchent mal, bien au contraire ! Le nombre d'assurés a quasiment triplé entre 2022 et 2023, alors qu'est-ce qui ne va pas ? Et bien la LAMal a créé (entre autres conneries) un mécanisme de "compensation des risques", qui force les assureurs dont les clients sont en meilleure santé que la moyenne à effectuer des versements aux assureurs dont les clients sont plutôt de "mauvais risques" comme on dit. Or, KLug a été identifiée en 2022 comme étant la caisse dont les frais administratifs sont les plus bas, ce qui lui a permis d'offrir en 2022 la prime la plus basse de toute la Suisse pour l'assurance de base avec franchise maximale (la formule que les gens économes et en bonne santé prennent). D'où le triplement du nombre d'assurés cette année-là (+189% exactement), qui a entraîné une masse de "paiements anticipés", mettant en péril l'équilibre des comptes de l'assureur. Déjà en 2024, leurs réserves financières ne s'élevaient même pas à la moitié du minimum légal, ce qui a poussé la Confédération à instaurer une surveillance rapprochée, et à permettre de manière exceptionnelle une hausse des primes en milieu d'année. Moralité : en régime socialiste, il ne fait pas bon être bien meilleur que les autres.

Grâce à la censure d'une part, et d'autre part à la promotion d'instances de validation / de sourçage / de notation intellectuelles sorties du néant, financées par de l'argent magique et remplies de demi-habiles qui doivent jusqu'à leur existence à ce système mafieux (d'où leur loyauté fanatique) qui les fait passer pour de grosses têtes alors qu'ils ont simplement des corps de poulets et des allures de fins de race témoignant d'une dysgénie assez poussée.

C'est probablement là qu'est l'erreur dont découlent toutes les autres.

Une gamine tout juste démoulée de Sciences-Po, toute fière de son diplôme et des tours qu'on lui a appris comme un bon toutou intellectuel, et qui croit que c'est l'alpha et l'oméga de la réflexion.

On dirait une science-potarde.

Que veux-tu, Bâle est devenue à peine moins pire que Genève niveau globoprog et traitres socialopes en tous genres.

Le Conseil Fédéral n'est élu que de manière indirecte.

Jusqu'à récemment leurs services étaient hébergés en Suisse uniquement. Jusqu'à récemment, à cause de ce maudit Beat Jans.

Que de souvenirs...

À la réflexion, je vais plutôt me ranger à l'opinion de Paul Gottfried. La psychose modale des Juifs américains n'est pas venue avec les Ashkénazes ; elle est venue avec les Ashkénazes d'Europe de l'Est. Les Juifs allemands ou austro-hongrois avaient bien des défauts, mais ni de la même nature ni surtout de la même ampleur que les Juifs polonais (ou lituaniens) ou russes (ou ukrainiens). Un jour, je comprendrai ce qui était si dysfonctionnel dans les shtetels de l'Est (j'ai bien quelques intuitions, mais il me faut encore creuser le sujet).

Les enfants demandent à travailler à la mine ; pourquoi le leur refuser ?

Oui, mais l'histoire des Juifs aux USA est plus compliquée que ce qu'on en dit aujourd'hui. Au départ, l'immense majorité (d'une minuscule minorité, quelques milliers de personnes) était séfarade (avec des histoires qui ressemblent à celle de la famille de Judah Benjamin). Au milieu du 19ème siècle, notamment après 1848, sont arrivés des Juifs allemands (quelques dizaines voire centaines de milliers), qui ont donc submergé démographiquement les précédents. Plutôt rangés et conservateurs, ils votaient Républicain (de l'époque) comme un seul homme. Puis entre fin 19ème et début 20ème sont arrivés les Juifs "russes" / de l'Est, par millions, submergeant à leur tour les précédents. Et eux votent très à gauche (FDR et LBJ, c'est pour les sociaux-traitres, tout ça). Et c'est à ce moment que la psychose frappe massivement. Le reste est assez marginal en proportion : quelques élites européennes avant et après la Seconde Guerre Mondiale (politiquement divers, on pense à Teller ou Kissinger), quelques post-soviétiques autour de la chute du Mur (très remontés contre tout ce qui ressemble à un rouge, on pense aux refuseniks ou à Mike Israetel) mais aussi des séfarades attirés par les opportunités économiques (on pense à des profils comme Haïm Saban ou David Charvet).

J'en connais peu, donc je ne saurais pas dire. Après recherche dans les noms que je connais : David Shor, fail (socialiste) ; Hank Azaria, semi-fail (acteur) ; Gregory "Lansky" Aouizerate, fail (for obvious reasons). Non, je sauverais peut-être Ralph de Toledano, Benjamin Cardozo et Judah Benjamin. Et comme tu le vois, il a fallu que j'aille les chercher loin !

Non non, je t'assure. Les Israéliens sont certes particuliers notamment dû au fait de vivre dans une société à la fois extrêmement diverse et soumise à une forme de stress vital ; mais les juifs américains, c'est un tout autre niveau.

Absolument, c'est même assez courant. En revanche je me demande depuis un bout de temps si on peut être un juif américain sans être un malade mental d'une manière ou d'une autre (disons que je connais quelques exceptions, mais leur existence même confirme la règle).

2018 correspond évidemment à la première réélection de Xi Jinping, accompagnée de la révision constitutionnelle qui lui permet de rester à vie au pouvoir (ainsi que de nombreuses autres réformes, dont des débuts de décentralisation).

Gérard Chaillou, notamment connu pour son rôle de DRH dans Caméra Café.

C'est la moitié de mon boulot, ça.

Ah ça y est, il est sorti ?

Alors qu'en fait c'est de la faute de Wittgenstein.

Comme tout bon négociateur immobilier, pour qui le logement est en plein boom et "donc" il faut en profiter tant qu'il en reste, mais attention chers acheteurs c'est en même temps la crise du logement "donc" il vous fait une fleur en n'exigeant de vous que levtiers de vos revenus. (Échange librement inspiré de The Market for Lemons).

Ça se fait, je crois que Giscard avait aussi changé la nuance de bleu ; tout comme il avait fait ralentir le tempo de la Marseillaise.