Carl Barks

Ça n'est même pas drome !

Bah, il n'est pas antivax, non. Il se trouve juste qu'il est contre tous les vaccins existants, ça n'a rien à voir.

Oui, cette histoire de 'socialement proche" m'a toujours semblé une grille de lecture absolument déconnectée de la réalité (française dans les années 2000, pas soviétique à l'époque du goulag). Elle implique une stratégie idéologiquement construite de la part de l'Etat, alors que tout se résume plutôt à "tapons sur ceux qui il est plus facile de taper".

Ou qui distribue des amendes de 150 euros à M. Tout le monde qui s'est retrouvé à 1,5 km de chez lui. Tout ça va dans le même sens.

Je ne crois pas que le Covid ait changé drastiquement la donne. Peu avant la pandémie, on avait déjà eu les Gilets jaunes, donc la tendance est plus lointaine. Mais que le Covid ait encore plus abîmé la légitimité de l'Etat et de sa parole, oui, certainement.

Oui, dans un monde idéal où l'on peut faire jouer la concurrence entre les universités en arbitrant critères de sélection des étudiants/réputation/statistiques d'emploi à la sortie, etc. pour faire son choix, je peux admettre que chaque établissement ait la liberté de discriminer (positivement ou pas...) Dans les faits, je doute que ce soit le cas, notamment parce que le soutien public crée une distorsion.

Je n'ai pas vu le sujet évoqué ici et c'est une décision importante: https://www.huffingtonpost.fr/international/article/aux-etats-unis-la-cour-supreme-abolit-la-discrimination-positive-a-l-universite_219957.html Ca me paraît une bonne nouvelle, même si je ne maîtrise pas les arcanes du sujet.

Bwof, le contrarianisme, c'est un créneau comme un autre.

Après, c'est injuste de le réduire à ses positions antivax. Il raconte AUSSI des bêtises sur le sida.

Je me dis surtout que si un compositeur occidental s'inspire de traditions "exotiques" et le revendique, il risque de se trouver taxé d'appropriation culturelle...

Le discours est stupide, mais comme gros troll pour empêcher les (auto) congratulations de Macron et du gouvernement, c'est quand même marrant. Mais bon, combat d'infirmes, tout ça.

Et ne parlons pas de l'île de Sein !

Pour moi (et c'est d'ailleurs aussi ma position sur les soignants non vaccinés), le choix doit revenir à l'établissement individuel, pour le mettre devant ses responsabilités. Et là, en l'occurrence, si je vois sur Twitter le prof de philo de mon gamin raconter plus ou moins que voter le pass sanitaire, c'est ne pas valoir mieux qu'un nazi, j'irai demander des comptes à l'établissement sur ses critères de recrutement. (à noter que si le type exprime sur Twitter de fortes réticences sur l'atteinte aux libertés publiques que représente ce pass, je me dirai plutôt que ses élèves sont entre de bonnes mains)

Non, merci.

Modiano, ça ne me choque pas. Dans le reste, il n'y a qu'Echenoz que j'aime bien mais on en fait quand même vite le tour.

Oui, c'est aussi mauvais mais dans un genre moins niais et plus prétentieux. Du coup, c'est presque plus antipathique que le passage de Le Maire.

Le truc qui m'a le plus choqué en fait, c'est "Julia était une révélation ; elle était la lumière ; elle était la vie."

Bienvenue @Libéralix, je me reconnais tout à fait dans ta présentation ! Si ce n'est que je ne connais Leoni que de nom. Je découvre au passage sa fin tragique, tué par un employé pour dissimuler une fraude.

Oui, c'est ce que les fans et les critiques de Raoult tendent à occulter, parce que ça n'arrange ni les uns ni les autres: les pratiques de l'IHU ne sont pas isolées, mais elles exagèrent à un degré caricatural des dérives plus discrètes et fréquentes dans le monde de la recherche.

Ah, c'est une de mes grandes sources de découverte, oui. Je leur dois d'avoir écouter pas mal de bonne synthpop type Psyche ou Deine Lakaien. Mais qui aime bien, châtie bien. Je préfère Dire Straits.

La rehabilitation du nu metal, franchement: non. C'était ignoble à l'époque, ça l'est toujours (et, oui, j'avais vu une série de chroniques bienveillantes sur Gutsofdarkness- l'intégrale Korn, sérieux ?)

Un peu HS mais ces discussions me rappellent que je n'ai jamais bien compris pourquoi on parlait de génocide cambodgien à propos des Khmers rouges.

Moi, ce que je déteste, c'est le fraudeur qui se colle à toi pour passer le tourniquet.

Drôle mais vrai