Solomos

Le poisson n'étant pas interdit, ce n'est pas parce tu as pêché que tu as péché...

Questions aux low-carbiste : le sucre doit-il être absolument banni ? le sucre roux est-il préférable au sucre blanc ? Que mettre dans son café ?

Ma liseuse Kobo vient de me lâcher après seulement un mois : plus aucun signe de vie Je vais devoir faire jouer la garantie

Oui, ce n'est pas absolument exceptionnel. Par exemple, Bordeaux l'a fait justement contre le Milan AC en quart de finale de coupe d'europe. http://fr.wikipedia.org/wiki/Coupe_UEFA_1995-1996 En LDC, je n'ai pas de souvenir par contre.

D'un point de vue légal, ça a potentiellement un impact énorme aux USA puisque effectivement le lower est légalement considéré comme l'arme. Aux USA toujours, le reste de l'arme n'est pas classé, ce qui permet de remplacer les autres pièces sans que ce remplacement soit considéré comme un achat d'arme. Et en effet, les autres pièces sont plus soumises à usure que le lower, qui n'est pas soumis à des contraintes physiques violentes. En outre, le lower ne fait pas partie des pièces qu'on peut avoir envie de changer pour une customisation (comme une crosse ou la détente) Le lower est donc légalement LA PIECE (aux USA) parce que techniquement il n'est pas important et n'est pas soumis à un risque d'usure. En France, le canon est toujours classé dans la même catégorie que l'arme. Je pense que c'est similaire en Europe. Je dois admettre que si je vivais aux USA, je ferais beaucoup moins mon blasé sur ce point...

En France, le canon est bien le problème, Hseize a raison. Et le genre de "magasin" où tu les trouve, c'est des magasins comme la cave à Momo. Ou plutôt tu trouves tout le flingue, mais tu trouveras jamais juste un canon. Et pour informations, les canons de tous mes pistolets (Beretta 92, Beretta 87, CZ 75, HK USP) sont numérotés au même numéro que la carcasse.

Non, elle est pas mortadelle morte Adele.

Soit je ne comprend pas ce que tu veux dire, soit tu cherches quelque chose qui n'existe pas, à savoir une intentionnalité dans un phénomène naturel.

Alors c'est exactement ce qu'il te faut.

Exactement

précision superflue puisque c'est le cas de tout parallélogramme Edit: Arf, Grillé par Jules Vil

Bon je vais donc m'attaquer à The Moon is a harsh mistress (le titre donne déjà plus envie). Et je laisse tomber Van Voigt.

J'ai essayé de lire Revolte sur la Lune et j'ai laché parce que je trouvais le style tellement distanciant et les personnages tellement dénués d'émotions que le déroulement de l'histoire me laissait complètement indifférent. J'ai eu plus ou moins la même impression avec Le monde du non-A de Van Voigt

Comme dystopie, je conseille vivement Le Passeur de Lowis Lowry. De HG Wells je conseille La Machine a explorer le temps, mais je n'ai aimé ni La Guerre des Mondes ni l' Homme Invisible. Et parmi les classiques, il y a bien sûr Fahrenheit 451

Oui, excellent bouquin

La réponse est 10. 10 + 10 * 0 = 10 + (10 * 0) = 10 + 0 = 10

Niourk de Stéphane Wul, La planète des singes de Pierre Boulle Nouvelles de l'anti-monde de Georges Langelaan

Moi ça me gène pas, j'aime bien les filles un peu athlétiques. Elle est juste pas exceptionnelle de visage, alors que Bernadette/Melissa a des traits plus fins.

Physiquement, Bernadette un peu devant Penny, et Priya(la soeur de Raj) est encore au-dessus. Priya a cause même l'air assez ennuyeuse et Bernadette à peine moins. Donc tout compte fait Penny serait le meilleur choix.

intégration horizontale ?

C'est toujours le lundi ? Si oui, J'envisage sérieusement de pousser la porte de cet établissement mal famé ce soir. Je suppose que je reconnaitrai sans mal les ultra-libéraux à leurs longues dents et aux petits enfants qui garnissent leur assiette.

J'ai vu Gangster Squad aujourd'hui. Bon film, ultra classique dans son genre. Josh Brolin est bon (mais je le trouve toujours bon en fait) et on est efficacement immergé dans une ambiance tendue.

Là où je n'adhère c'est quand il dit qu'un choix individuel est une affirmation de ce que devrait faire chaque homme. L'exemple qu'il prend est celui du mariage : quelqu'un qui se marie affirme par son acte que le mariage est son choix concernant l'essence de l'homme, donc que c'est ce que l'homme devrait faire.

Bonne question. Pour ma part, j'aime que l' "existence précède l'essence" et je ne comprends pas non plus pourquoi un grand nombre de libéraux voient d'un si mauvais oeil l'existentialisme. Par contre, quand Sartre dit que chaque choix individuel est une façon de "dire le monde" et de définir l'essence de l'homme, j'ai plus de mal à adhérer.

Je suis déçu en comparaison avec Inglorious Basterds que j'avais trouvé excellent. Pour la fascination érotique des hommes blancs pour les esclaves hommes noirs, il y a quelques passages autres que celui que tu mentionnes où le corps de Django est mis en valeur (dès qu'il est libéré). On voit aussi son ami et libérateur l'aider à choisir des vêtements. Par ailleurs, les organisateurs de combat d'esclaves semblent prendre du plaisir par procuration à veiller à la satisfaction sexuelle de leurs champion par d'autres esclaves (ce qui est le seul passage ou le sexe est évoqué). Finalement ce qui évite au film d'être trop banal, c'est sa vision de la sexualité. La seule femme blanche de l'histoire est la soeur du personnage joué par di Caprio (qui est très affectueux avec elle) et personne de la désire. Christoph Waltz lui claque même la porte au nez pour être seul avec une esclave noire. Et là encore, il y a jouissance par procuration du personnage blanc qui orchestre les retrouvailles des amants noirs (qui n'échangent pas un bisou de tout le film si ma mémoire est bonne). En fait, ce n'est pas spécialement gay, c'est juste que tous les personnages attirants sont les noirs. Les blancs les désirent mais ne se permettent que des passages à l'acte de manière détournée, soit par des pratiques sadiques (coups de fouet, torture) soit en asservissant les femmes en faire de pseudo-prostituées que personne ne touche.