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Tout ce qui a été posté par Solomos
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C'est toujours le lundi ? Si oui, J'envisage sérieusement de pousser la porte de cet établissement mal famé ce soir. Je suppose que je reconnaitrai sans mal les ultra-libéraux à leurs longues dents et aux petits enfants qui garnissent leur assiette.
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J'ai vu Gangster Squad aujourd'hui. Bon film, ultra classique dans son genre. Josh Brolin est bon (mais je le trouve toujours bon en fait) et on est efficacement immergé dans une ambiance tendue.
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L'existentialisme - Pourquoi Tant De Haine?
Solomos a répondu à un sujet de Yozz dans Philosophie, éthique et histoire
Là où je n'adhère c'est quand il dit qu'un choix individuel est une affirmation de ce que devrait faire chaque homme. L'exemple qu'il prend est celui du mariage : quelqu'un qui se marie affirme par son acte que le mariage est son choix concernant l'essence de l'homme, donc que c'est ce que l'homme devrait faire. -
L'existentialisme - Pourquoi Tant De Haine?
Solomos a répondu à un sujet de Yozz dans Philosophie, éthique et histoire
Bonne question. Pour ma part, j'aime que l' "existence précède l'essence" et je ne comprends pas non plus pourquoi un grand nombre de libéraux voient d'un si mauvais oeil l'existentialisme. Par contre, quand Sartre dit que chaque choix individuel est une façon de "dire le monde" et de définir l'essence de l'homme, j'ai plus de mal à adhérer. -
Je suis déçu en comparaison avec Inglorious Basterds que j'avais trouvé excellent. Pour la fascination érotique des hommes blancs pour les esclaves hommes noirs, il y a quelques passages autres que celui que tu mentionnes où le corps de Django est mis en valeur (dès qu'il est libéré). On voit aussi son ami et libérateur l'aider à choisir des vêtements. Par ailleurs, les organisateurs de combat d'esclaves semblent prendre du plaisir par procuration à veiller à la satisfaction sexuelle de leurs champion par d'autres esclaves (ce qui est le seul passage ou le sexe est évoqué). Finalement ce qui évite au film d'être trop banal, c'est sa vision de la sexualité. La seule femme blanche de l'histoire est la soeur du personnage joué par di Caprio (qui est très affectueux avec elle) et personne de la désire. Christoph Waltz lui claque même la porte au nez pour être seul avec une esclave noire. Et là encore, il y a jouissance par procuration du personnage blanc qui orchestre les retrouvailles des amants noirs (qui n'échangent pas un bisou de tout le film si ma mémoire est bonne). En fait, ce n'est pas spécialement gay, c'est juste que tous les personnages attirants sont les noirs. Les blancs les désirent mais ne se permettent que des passages à l'acte de manière détournée, soit par des pratiques sadiques (coups de fouet, torture) soit en asservissant les femmes en faire de pseudo-prostituées que personne ne touche.
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J'ai vu Django hier, je me suis quand même pas mal ennuyé. J'ai eu la même impression que devant Kill Bill : quand le scénar est simpliste, et que le style esthétique Tarantino n'est plus simplement une manière sympa de raconter une histoire mais devient l'objet du film, quand la trame narrative est inexistante ou qu'elle sert seulement à justifier la violence des uns et condamner celle des autres, ça devient un défilé de mode de couleurs criardes, de violence et de clichés nanardesques qui confirment que n'est pas Sergio Leone qui veut. Je suis déçu parce que j'avais beacoup aimé Inglorious Basterds dans lequel les méchants nazis ne sont pas que des pantins à abattre mais font preuve de finesse et d'élégance d'esprit et/ou de loyauté. Et pour finir sur Django je suis pas fan de l'esthétisation gay/SM de l'esclavage.
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En 2000, il avait pas réussi à se tenir non plus ? en EDF ou en club ? En Edf je me souviens que de 1998 et 2006, ou il a réalisé ses deux records : record de buts en finale de coupe du monde, et record de cartons en coupe du monde.(il partage chacun avec un autre type)
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Bon, j'arrive pas à embedder une vidéo Youtube, alors tant pis c'est moins classe: je mets juste le lien http://www.youtube.com/watch?v=JgskO1_hGng
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Parce qu'il y a des droits inaliénables. Un individu ne peut pas perdre sa liberté car elle fait partie d'un bloc indivisible qui lui permet d'être un sujet de droit. Mais un individu peut aliéner ce qui le relie à d'autres invidus.
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Ce n'est pas parce que le droit de garde est échangeable que l'enfant est un bien, faut pas déconner.
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Je ne comprends ce que tu veux dire. Pour moi, le droit de garde est aliénable, je veux dire par là qu'on peut le céder. Mais une fois que c'est cédé, ce n'est pas légitime de revenir dessus. Et il est cédé dès le début. Ce n'est pas la volonté qui aliénée, tout le monde a le droit de changer d'avis. Mais changer d'avis ça ne veut pas dire récupérer ce qu'on a échangé. Sinon, au nom de l'inaliénabilité de la volonté, tout contrat serait annulable. Et "mère biologique" est ambigü ici : il y a une mère génétique et une mère porteuse.
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Oui, elle renonce par avance à son droit de garde. Si elle revient dessus, elle n'est pas dans son droit et elle lèse le couple qui s'attend à avoir l'enfant. Si en plus son intention est le chantage, celà n'a rien de légitime. Dans le fait, le couple sera peut-être déjà attaché à son enfant qu'il pourrait céder au chantage, mais c'est évidemment illégitime. (d'ailleurs si la mère porteuse est une ordure, elle peut faire n'importe quel type de chantage sordide)
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Le droit de garde n'est pas un bien comme les autres. De la même façon que les services sexuels ne sont pas un bien comme les autres. D'ailleurs dans le cas des services sexuels, il n'est pas licite non plus de recourir à l'éxécution forcée des contrats. (je ne sais plus qui l'a fait justement remarquer). Dans le cas de la GPA, la mère porteuse n'a pas un droit de garde, elle a une mission à remplir qui concerne un embryon qui ne vient pas d'elle et qu'on lui présente comme n'étant pas son enfant. La volonté n'est pas aliénable.
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De mon point de vue l'embryon existe avant d'être implanté. A ce moment là la mère porteuse n'a aucun lien avec cet embryon. Les seules personnes qui ont un lien de responsabilité sont ceux qui ont initié la création de cet embryon.
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Pour la mère porteuse, l'enfant est déjà moins "la chair de sa chair" s'il n'est pas conçu avec ses ovules. Concernant le respect du contrat, je pense que le contrat doit prévoir un dédommagement dans le cas où la mère porteuse ne veut pas se séparer de l'enfant qu'elle a porté. Il est clair qu'elle serait en tort, mais celà ne justifie pas nécessairement l'éxécution forcée du contrat.
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Si une femme décide de donner ou vendre ses ovules en ayant bien compris qu'ils seront utilisés pour une FIV et qu'elle n'aura aucun droit sur l'enfant, je ne vois pas en quoi on peut dire qu'elle est mise à l'écart lorsque ce qu'elle accepté se produit (ce dont elle ne peut même ne pas être informée). Pour la femme qui porte l'embryon, son rôle est évidemment moins anodin. Mais si elle accepte ce rôle, on attend d'elle qu' elle respecte les conditions qu' elle a acceptée. Je précise que je suis d'accord sur l'idée qu'on ne puisse pas lui enlever l'enfant de force. Si je trouve préférable de séparer les deux rôles, c'est parce que cela rend la situation plus claire concernant le fait qu'aucune de ces deux femmes n'aura la responsabilité parentale.
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Rien n'oblige la mère porteuse à être aussi mère génétique, je pense même préférable que les deux rôles soient assumés par des personnes distinctes. Et le transfert du droit de garde aboutit grosso modo à la même situation qu'après une adoption, sauf que dans le cas d'une GPA la mère sait dès le début que l'enfant ne sera pas le sien.
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Mise à l'écart, c'est une formulation assez tordue. Elle n'est pas "mise à l'écart", c'est qu' elle ne fait pas partie des personnes qui font le projet d'avoir un enfant. Et tu oublies la mère génétique, qui est dans le même cas.
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Il est vrai que je fais partie de ceux qui considèrent l'embryon comme un être humain dès le début de son existence. Donc pour moi, la gestatrice reçoit la garde et la mission de nourrir un être humain déjà existant et qui a déjà des parents (puisque les parents sont les responsables de l'action de fecondation)
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Je laisse l'adoption de coté. Je parle de la GPA, donc bien de la gestation (qui n'inclut pas la fécondation). Mon point de vue et qu'une femme dont l'activité se limite à la gestation n'est pas la mère, parce qu'elle n'est pas initiatrice de l'existence de l'embryon. Elle reçoit l'embryon et permet son développement, mais elle n'est pas responsable du fait que l'embryon existe. C'est dans ce sens que je trouve la comparaison avec la nourrice pertinente.
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Ah oui, pardon. L'erreur est donc à mon avis dans la question. C'est une bonne façon de poser le problème. N'étant pas anarcap, je dirais que l'Etat devrait présumer que les demandeurs de la GPA sont les parents de l'enfant. Mais je n'appelle pas ça une intervention de l'Etat, je dirais que c'est le corollaire de la légalité de la GPA et de la distinction mère/gestatrice.
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C'est se référer sans autre explication à la dignité humaine dans le but de mettre un terme à la discussion qui est critiqué ici, par la notion de dignité humaine.
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La GPA ça concerne juste la gestation. La gestatrice n'abandonne personne: elle porte un enfant qui n'est pas le sien, qui ne l'a jamais été et qui ne le sera jamais.
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Pas mieux que cette réponse concise de Condorcet
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Le plus probable est que ce soit une tentative venue du futur pour tuer dans l'oeuf la future resistance humaine face aux cyborg marxistes.
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