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Tout ce qui a été posté par Domi
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Sur les filles 0,05 % des décès ont moins de vingt ans. En prenant pour base 50 000 décès féminin ça ferait 25 décès. En revanche, rien pour les garçons apparemment.
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Avant les dernières mesures, j'ai assisté à un concert dont la jauge de la salle avait été réduite à 950 personnes au lieu de 1200... quand elles sont proches du seuil, les salles s'adaptent.
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Ceci dit, je n'ai pas de sources précises comme pas mal ici. Ma source pour l'excès de mortalité (futura science) : https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/coronavirus-covid-19-gravite-epidemie-elle-surestimee-france-86543/ En fait, je m'aperçois que la source est France stratégie (donc risque de plaidoyer pro domo "vous voyez bien que la France s'en sort bien" etc https://www.strategie.gouv.fr/point-de-vue/comparaison-internationale-dela-deces-identifies-covid-combien-de-morts-plus-point Ce n'est pas à écarter d'un revers de la main non plus...
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La question est le décalage temporel entre nombre de décès et nombre de cas.
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En tout cas, j'ai l'impression que quelle que soit le R0 du variant, la taille de la vague n'en est pas forcément augmentée. Cf variant anglais, bien en dessous des modèles pour la France. Variant Indien en Inde, même si on multiplie par 6 le décompte officiel comme nous y invitent certains articles, le nombre de mort ramené à la population reste dans le même ordre de grandeur que les autres vagues alors même que le système de santé indien a été débordé. Variant indien en écosse (pic déjà atteint)
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Le covid semble pourtant bien plus mortel que la grippe. Dans les pays d'Amérique du sud, on parle d'une surmortalité de + de 50 %, non ? Le chiffre officiel brésilien est quand même pas mal, même ramené à la population (en gros 160 000 mort en France). C'est un gros pourcentage des décès annuel. ça ne justifie pas les confinements mais quand même. Le covid est beaucoup plus mortel que la grippe parce que d'une part, il y a plus de cas et d'autre part, il est plus létal.
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Je ne sais pas si cela relève de l'escalade d'engagement ou des petits pas mais les autres obligations vaccinales sont utilisées pour justifier celle-ci "il y avait bien une obligation vaccinale pour se rendre à l'étranger. Où est le problème ? " ou "on prend bien un passeport pour monter dans un avion. Où est le problème avec le pass sanitaire ? "
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Je pense qu'on peut ajouter une forme de syndrome de Stockholm. Rendre les choix individuels responsables d'une décision qui est de la responsabilité du gouvernement (si vous ne vous vaccinez pas, vous êtes responsables du confinement)
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Bon, je vais être sport, c'est assez drôle. Mais est-ce que tu n'es pas un peu de mauvaise foi ?
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La modération peut-elle créer un sujet sur l'Ivermectine (question intéressante) ? Le fil porte sur le variant delta.
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A part ça, je me réjouis à l'avance de cet article.
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Disons qu'on peut souligner les différences avec l'éventuel complot d'aujourd'hui. Il a été beaucoup plus rapide pour faire son coup d'Etat que dans le complot d'aujourd'hui qui est censé se préparé depuis trente ans et le plébiscite, c'est après.
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A mon avis : non respect du consentement individuel concernant l'usage que chacun fait de son corps + flicage généralisé par les outils informatiques = seuil ou critère nous alertant des dérives liberticides d'un État.
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Quand on a pris les premières mesures envers les juifs, il n'y avait pas de camp de la mort. L'important ce sont les signes qu'on est dans la mauvaise direction...
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Le rural qui ne peut pas aller au bistrot sera impacté
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Je crée un sujet sur le variant delta. Les questions sont : - quel est son taux de reproduction naturel ? - quel est son taux de reproduction sur une vaccinée totalement ou partiellement ? - A combien de cas faut-il s'attendre (grosseur de la vague) - quelle est sa létalité sur une population non vaccinée ? - quelle est sa létalité sur une population vaccinée ? - quel est l'enseignement de l'expérience indienne ? - quel est l'enseignement de l'expérience anglaise ? Bref au final : à combien de morts devons-nous nous attendre en fonction du taux de vaccination ? Il y a des réponses partielles aux questions ci-dessous dans d'autres fils mais je trouve intéressant qu'elles soient réunies dans le même.
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Oui la notion de culture mondialisée est en effet imprécise. Découvrir des pays et des cultures différentes a peu de choses à voir avec les liens qui unissent entre eux les "élites" internationales.
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Par ailleurs, il y a certainement des éléments complotistes dans les "élites mondialisées" dans la mesure où leur projet concernant l'avenir est distinct de ce qu'elles affirment dans les discours publics. Maintenant est-ce que leur but dans leur for intérieur est d'asservir à leur profit ou de faire ce qu'ils pensent le bien des peuples avec moins de liberté pour les peuples ? Là est la question. Après tout, un projet dictatorial n'aurait rien d'absurde en soi, ni contraire à la nature humaine. L'histoire foisonnent de dictature. Ce qui est plus difficile est d'avoir une union assez large des élites en faveur d'un tel projet à l'échelle de la planète. Mais on pourrait rétorquer que la culture mondialisée a fait son effet. Un autre difficulté est liée au mode opératoire. S'ils ont besoin d'instaurer une dictature et s'ils sont d'accord pour le faire, pourquoi avoir à ce point besoin de l'assentiment des peuples en glissant progressivement vers elle ? Pourquoi pas un coup d'Etat à la façon de Napoléon III ?
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L'important à mon avis c'est que complot ou pas, il peut y avoir le même résultat sans que les acteurs l'aient voulu au départ. Est-ce que les acteurs de la révolution de 1789 voulaient 1794 et la terreur ? Du côté des politiciens cela peut s'expliquer par les mécanismes psychologiques suivants : - préférer agir plutôt que laisser agir la société alors qu'elle serait mieux à même de le faire (paradoxe du footballeur. Le footballeur veut être le plus productif possible pour son équipe et le politicien pour son pays. Mais si l'entraineur dispose à chaque poste d'un meilleur choix il faut mettre le joueur sur le banc. Pourtant il serait plus productif pour son équipe sur le terrain) - croire que ce qui est à votre avantage et accroit votre influence est à la fois juste et bon pour la société. Au fur et à mesure que vos droits s'accroissent on glisse vers : - vu le bien que je fais à la société, j'ai droit à des avantages particuliers Au final on aboutit à : La masse n'a aucun droit sauf celui de se plier à mes intérêts Du côté des populations, le danger réside dans une sorte d'amour de l'expérience collective ou de la communauté associée à la recherche des déviations. Les génocides où le peuple a eu un plus grand rôle (Allemagne nazie, rwanda) sont corrélés avec un goût de l'expérience collective (foules nazies, travail en commun rwandais) Donc on peut être en désaccord sur les causes et que ça se rapproche au final du scenario de Damien91
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A tous les libéraux qui critiquent la France, trouvez-moi un pays où ceux qui soutiennent la vaccination obligatoire sont plus nombreux que ceux qui ont commencé à se faire vacciner.
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J'ai plutôt l'impression que la chine est pire qu'une dictature. Mais ce débat aurait plus sa place dans la section internationale dans le sujet sur la chine amha
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Pour conclure, je pense que 1°) dans certains contextes, il faut dans l'utilisation des mots, davantage viser l'efficacité que le bon usage des mots (qu'il faut très vite préférer quand le contexte devient plus apaisé). Les guerres obligent à des choses sales et l'utilisation d'apartheid n'est certainement pas la plus sale. 2°) L'utilisation du mot sera efficace. Les partisans des mesures riront au départ mais leur conscience ne sera pas apaisée.
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Tu as raison de laisser passer car je ne pensais pas du tout à toi mais aux médias qui fixent les règles (ou à ceux qui partagent leurs idées) et qui vont utiliser apartheid quand ça leur chante. Désolé si la formulation prêtait à confusion.
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Je suis étonné de me trouver dans le camp des "offensifs" par opposition aux "modérés" sur la question de l'utilisation du vocabulaire.
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Le moment n'est pas venu de faire l'histoire mais de l'écrire ? A un moment, tu pars perdant si tu ne peux utiliser les armes de l'ennemi. Je pense que les mêmes mesures appliquées dans un pays étranger à des homosexuels ferait dire au journalisme français moyen qu'ils sont victimes d'un apartheid. Et les pratiques homosexuelles (sinon les tendances) relèvent d'un choix. Pour ma part, cela ne me choquerait pas du journaliste. Ce qui me choque est que la possibilité de le faire change en fonction de la conformité au politiquement correct.