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Tout ce qui a été posté par Domi
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En gros, moins d'un humain sur 2000, soit moins de 0,05 %
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Voici quelques réflexions persos sur les politiques zéro covid. Je suis intéressé par vos critiques. 1 - il n'y a pas de contradiction entre préférer une politique plus souple (à la suédoise) à la politique française et préférer dans le même temps les politiques de confinement strict "zéro covid" à la politique française. L'option suédoise peut être préférable à la solution française car le gain en terme de liberté/qualité de vie est supérieure à la perte en terme de risque de décès. L'option confinement stricte peut être préférable à la solution française car elle permet de gagner sur les deux tableaux. 2 - A mon avis, l'explication du paradoxe en 1 est la suivante : l'intérêt du confinement strict n'est pas tant dans le plus petit nombre de morts au moment de la vague épidémique que dans le fait de pouvoir l'écraser suffisamment pour la contrôler par d'autres méthodes ensuite (tests au mieux, confinements "chirurgicaux" localisés et limités dans le temps qui seront toujours moins restrictifs sur le long terme que des mesures à la française ). 3 - Sur la méthodologie comparative a - si on veut justifier les politiques de confinement strict, on ne peut le faire en mettant dans le même sac les pays qui sont parvenus à un résultat de zéro covid par d'autres biais. b - La période considérée est également importante. Il faut commencer la comparaison au moment où les mesures ont commencé. Exemple de méthodologie bidon : deux pays A et B ont un PIB/Hab de 1000 l'année 0. L'épidémie arrive au début de l'année 1. A confine strictement, B laisse courir avec des mesures légères. L'année 1 le PIB de A descend à 800 et remonte à 900 la 2ème année. le PIB de B est à 990 les 2 années. Tu fais la comparaison sur la 2ème année : taux de croissance de A : + 13 %, croissance de B : 0 %. Conclusion, le confinement strict est bon pour l'économie ! Je me demande si les études qui ont été faites pour vanter les politiques zéro covid ne tombent pas dans l'un de ses deux travers (même si je ne doute pas que les pays répressifs Chine - Australie - Nouvelle-Zélande s'en sortent mieux que nous au regard d'une comparaison adaptée) 4 - L'intérêt de la stratégie zéro covid, même si elle est efficace en théorie dépend en pratique de facteurs chronologiques, géographiques et culturels : - chronologiques : l'intérêt d'un confinement strict est diminué lorsque l'on approche d'un contrôle de l'épidémie par d'autres biais (vaccination, immunité collective) - géographiques : ces politiques sont plus faciles à mettre en oeuvre dans les iles que dans les pays ayant des frontières terrestres, (jusqu'à quels points sont-elles possibles chez nous ? voici ce que j'ignore) - culturels : elles supposent l'assentiment de la population et le respect des règles 5 Même efficaces ces stratégies présentent toujours à terme le danger de justifier des atteintes très importantes aux libertés.
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Où il y a un beau festival de musique classique.
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"Danser encore" de HK, la naissance d'un mouvement pour retrouver la liberté perdue ?
Domi a répondu à un sujet de Bisounours dans COVID-19
Productif parce que niais ! Tu penses que les niaiseries environnementalistes, sur les inégalités ou sur les discriminations ne sont pas productives du point de vue de ceux qui les profèrent ? -
Un peu de guitare. Scarlatti : Bach :
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Avoir une opinion sur l'efficacité ou non du confinement et la mesure de celle-ci est forcément délicat au vu des mesures qui se contredisent mais on peut quand même à partir d'un constat empirique parvenir aux conclusions raisonnables suivantes : 1°) S'il y a un écart entre les pays à confinement (à mesures restrictives intenses comme la France) et sans (à mesure restrictives légères : Suède, Etats américains), il est relativement réduit. on reste dans les mêmes ordres de grandeur. 2°) En revanche, des confinements intenses et prolongés permettent de faire disparaitre le virus d'un territoire (Chine, Australie, Nouvelle-Zélande), indépendamment des questions relatives au coût de ces mesures et de la fréquence avec laquelle le virus risque de revenir.
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Le problème posé par Koenig me parait réel, la manière de le poser bancale et les solutions désastreuses. En fait, il utilise une critique conservatrice du libéralisme (ou une question posée par le conservatisme au libéralisme) pour faire avancer son agenda progressiste.
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Vague de froid et coupures d'électricité au Texas
Domi a répondu à un sujet de Hayek's plosive dans Actualités
Pour François Lenglet sur LCI, c'était la faute du libéralisme. -
J'ai tenté de rèflechir au fait que les confinement était ou non une bonne chose. Merci de me donner votre avis, notamment sur les chiffres (sans doute assez approximatifs) de la première partie. Ceci dit, je me demande s'il ne faudrait pas que j'en reste aux premières conclusions, les parties 7 et 8 devant faire l'objet d'un article complémentaire. 1- Intro 2 - La notion de prudence collective 3 - Prudence collective et covid 19 4 Prudence collective et espérance de vie 5 confinement et espérance de vie 6 Premières conclusions 7 autres effets positifs du confinement 8 Effets négatifs du confinement
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Ps : ces quelques remarques plus haut sont très inférieures à ce que tu as écrit sur le plan de la technique et de l'érudition philosophique. J'ai parcouru quelques pages des textes que tu as mis en ligne et cela m'a l'air très intéressant. En tout cas, cela a le mérite de me permettre de relier des questions que je m'étais plus ou moins posée à des philosophes ou théoriciens connus J'en continuerai donc la lecture dès que possible.
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Je manque de temps et je n'ai pas lu tes articles mais j'indiquerai ce que ton post évoque pour moi. Concernant le bien, la vie bonne est pour moi une vie : - grande (cela se rapproche de la volonté de puissance, à l'influence que l'individu peut avoir sur le monde) - belle (ce qui pose une limite au premier point. Le jardinier est préférable au pyromane) - vraie. (ou sage ou lucide. C'est en quasi opposition avec le premier point. Que l'on soit athée ou croyant la vie n'est qu'une bien petite chose au regard de l'immensité de l'univers ou par rapport à Dieu) - heureuse. (le bonheur est une forme d'accord de l'individu avec la vie qu'il mène, on comprend que la vie ne puisse pas être totalement bonne sans lui) - libre (La liberté est une condition de la valeur de la vie de l'individu). Si par exemple, on donnait à la réussite de la vie d'une personne une valeur de 3 et à une seconde une valeur de 2 mais que la valeur de 3 du premier a été obtenue sans liberté, alors la valeur du premier serait 3 X 0 et celle du 2ème 2 X 1) On peut comparer ça à la notion de meilleur régime chez Léo Strauss. - juste voire bonne pour autrui (mais de la condition de la vie bonne pour l'individu qui suppose qu'elle soit libre découle une théorie de la justice). Dans ce raisonnement, je pars de la notion de vie bonne pour fonder ce qui est juste. Je note à ce sujet que pour rejeter la théorie de la justice libérale au départ de la République de Platon, Socrate commence par se placer au niveau du bien. Doit-on rendre son arme à un fou ? Plus largement, si j'admets qu'un genre de vie donnée est meilleur qu'un autre (ce que la plupart des libéraux admettent en pratique) est-ce que je ne dois pas accepter la contrainte rendant un individu meilleur. La théorie des droits individuels ne serait alors valable que pour opposer deux "biens". Mais si ce qui est bien peut-être connu au niveau de l'individu, ne puis-je pas non plus le répartir entre les individus ? Du coup on se trouve face à l'alternative de soit abandonner toute hiérarchisation des réussites des vies humaines en un pur relativisme (celle de Bastiat ne serait pas meilleure que celle d'un ivrogne) soit abandonner toute théorie de justice au profit d'une approche conséquentialiste ou utilitariste. En situant la liberté au niveau de la définition de la vie bonne, en lui faisant jouer un rôle intermédiaire entre un pur absolutisme et un pur relativisme, j'essaie de concilier ces impératifs à ma manière. Il reste qu'avec ces prémisses, je devrais être anarcho-capitaliste et je ne le suis pas. Je devrais soit être un pur jusnaturaliste, soit un pur utilitariste mais je ne peux m'y résoudre. Le conflit entre monisme et "pluralisme moral" caractérise bien des questions philosophiques. Elle oppose le rationnel et le raisonnable. Reprenons par exemple, la question des anciens sur la question de la vie bonne. Est-ce une vie heureuse ou une vie vertueuse ? Il semble que seul le choix d'une des solutions soit rationnel car comment sinon justifier le dosage comparatif d'une certaine quantité de bonheur ou d'une certaine quantité de vertu ? Mais ce choix univoque n'est pas raisonnable. Qui sinon un fou ou un maniaque accepterait une vie parfaitement vile pour un peu plus de bonheur ? ou d'acquérir un peu plus de vertu contre le plus affreux malheur ? Ma préférence est plutôt pour les solutions raisonnables, espérant que ce qui apparait comme une contradiction sans solutions en a peut-être une que nous n'avons pas su chercher. Une première objection résulte de l'idée que je me fais de l'intérêt général. Dans certains cas notre recherche personnelle de notre intérêt individuel peut, sans coercition, aboutir à un résultat global qui n'est pas le meilleur pour chacun de nous (dilemme du prisonnier, passager clandestin) Mais je suis également favorable à un peu de redistribution. Pour concilier ça avec ma notion de vie bonne qui est nécessairement libre, il me faut la reprendre un peu. J'ai indiqué que la liberté était la condition nécessaire de la vie bonne mais c'est peut-être un peu plus complexe que ça. Dans mon schéma précédent, supposons que nous voulions interdire le vin à un ivrogne potentiel. Le score de la vie de l'ivrogne sera de 1. En lui interdisant le vin, nous ne laisserons pas à sa vie une valeur de 5, comme nous le pensions mais de 0 car il n'est pas libre. Mais est-il tout à fait certain qu'il ne soit pas libre ? En effet, si nous lui avons ôté la liberté de boire, il restera bien libre à divers titre et pourras faire quantité de choix. La valeur de sa vie pourrait donc ne pas être de 5 mais être quand même supérieure à 1. De même entre les individus, la coercition pour le bien d'un tiers pourra être supérieure à la perte de bien de celui qui la subit. Avec cette correction, la liberté en tant que telle (non comme moyen) garde un rôle important mais plus aussi central. Malgré tout j'estime que je reste libéral. En conclusion, tu es bien un sale traitre communiste. Bouh !
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L'économie expliquée aux jeunes Padawans
Domi a répondu à un sujet de Tramp dans Politique, droit et questions de société
Mon interprétation : 1/ Il y avait de l'inflation dans les années 70 (courbe rouge au-dessus de 0) et la courbe bleue monte. 2/ Il y a de l'inflation après les années 70 (courbe rouge au-dessus de 0) et la courbe bleue monte. 3/ Il y avait plus d'inflation dans les années 70 qu'après les années 70 mais la courbe bleue monte aussi vite dans les deux cas. La raison du phénomène 3 est l'inverse des caractéristiques d'une exponentielle. Si l'inflation avait été aussi forte après les années 70 que dans les années 70, alors la courbe bleue serait en croissance beaucoup plus rapide après les années 70 que pendant les années 70. C'est pour la même raison que le bleu ne montait pas vite dans les années 40. -
Présidentielle américaine 2020, l'ultime combat
Domi a répondu à un sujet de PABerryer dans Europe et international
Pour apporter une nuance : sauf erreur la notion de "crime" aux Etats-unis est plus large que chez nous. Cela correspondrait plus à crime et délit chez nous. En france 3 types d'infraction : contraventions, délits et crimes. -
C'est une comparaison d'utilités (raisonnement conséquentialiste assumé) donc il faut intégrer le nombre de morts ou la probabilité de mourir au calcul. En gros, si c'est un bon choix pour individu lambda de risquer 1/1000 de perdre 10 ans d'espérance de vie, alors pour une population un mort sur 1000 habitants perdant 10 ans est acceptable.
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Il me semble que ce qui compte c'est la perte d'espérance de vie pour la population globale justement.
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Le complotisme pour les nuls
Domi a répondu à un sujet de Bisounours dans Politique, droit et questions de société
Un discours complotiste dénonce toujours deux aspects : Un acte hostile à la population, Un discours officiel cachant l'acte en question. Par ailleurs, il y a plusieurs formes de complots présumés : Dans la plus simple, le complot est circonstancié à un pouvoir déterminé. Ex : les démocrates ont truqué les élections américaines pour battre Trump, les attentats du 11 septembre ont été organisés par l'administration Bush. Dans la plus "élaborée" ou délirante selon le point de vue, les titulaires réels du pouvoir sont cachés sur de longues générations (ex les illuminatis) Un peu intermédiaire, il y a le complot "historique". Ex : les deux premières guerres mondiales ont permis de favoriser le pouvoir et l'idéologie Marxiste. Donc, les deux guerres mondiales ont été voulues par leur décideurs pour favoriser le Marxisme. -
Ma manière de répondre : Réduction d'espérance de vie de la première vague : Un mois et demi en moyenne, donc 3 mois pr les 60.000 morts. Si on retient l'hypothèse de Macron, nous aurions 400.000 morts sans confinement, donc le confinement nous aurait permis d'éviter 340.000 morts soit 17 mois d'espérance de vie Cependant, les pays comparables qui n'ont pas confiné autant n'ont pas eu tant de morts en plus (cf Suède ou Etats-unis) Chiffres pour 100.000 H France : 93 EU : 104 Suède : 85 Si je double la différence EU - France (pour annuler l'influence des Etats démocrates qui ont confiné), cela fait 11 décès pour 100.000 habitants Rapporté à la population de la France cela fait 7500 morts évités par le confinement soit en terme d'espérance de vie 0,375 mois gagnés ou 11 jours. La question pourrait être posée ainsi, est-ce qu'un individu "normal" s'imposerait les contraintes que nous avons subies depuis un an pour gagner 17 mois d'espérance de vie ? pour gagner 11 jours ? Dans le premier cas peut-être, dans le second c'est très douteux. Pour compléter l'hypothèse, il faudrait tenir compte des séquelles d'un covid qu'on a assez régulièrement (notamment ds l'hypothèse Macron), des autres morts évités par le confinement (autres maladies infectieuses, accident de la route) et des morts provoqués par le confinement (cf le post de Megille). Economiquement, il faudrait tenir compte du fait que les mesures sont "stabilisées". Il n'est donc pas possible de recourir à l'emprunt pour les financer, il n'y a plus de restaurants, de salles de sports, de spectacles, de stades de foot etc. Du coup, l'impact sur le chômage serait plus faible une fois que les gens se seraient reconvertis. Remarque importante : Soit une population où tous les gens meurent à 85 ans. 1 % des gens ont 80 ans et plus. Arrive un virus qui tue tous ceux qui ont 80 ans et plus. On suppose que cette catégorie avait 2,5 année à vivre en moyenne. Quel est l'impact du virus sur l'âge moyen de décès de la population de départ si le virus ne dure qu'un an ? 2,5 années /100 soit 1/40 d'année Quel est son impact sur l'âge moyen de décès de la population de départ si le virus dure 85 ans ? 5 ans Quel est son impact sur le calcul de l'espérance de vie la première année ? 5 ans Comme le calcul de l'espérance de vie intègre l'effet de la maladie si elle était permanente, il est légitime de la comparer à des mesures permanentes.
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Ce serait une bonne idée En moins lourd peut-être, associer les répliques aux images de la scène (les trois dernières répliques).
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Pas un pandememe, mais une tentative personnelle d'adaptation d'un dialogue célèbre. OSS 117 et Dolores marchent dans une favela de Rio. OSS 117 : Cette ville est absolument magnifique ! Et je m'y connais ! Ah... Diable, comment font les gens ici pour ne pas salir leurs souliers. Dolores : La plupart n'en ont pas ! OSS 117 : Ah ah ah ! Elle est bonne celle-là ! Pas de souliers ! Ah ah j'avoue ! Dolores : Vous savez Hubert, la vie n'est pas toujours facile pour les gens ici ! C'est d'ailleurs le propre des dictatures. OSS 117 : Une dictature ! Comme vous y allez ! Vous êtes bien sympathique Dolorès, mais épargnez-moi vos analyses politiques ! Savez-vous seulement ce que c'est qu'une dictature ? Une dictature, c’est quand les gens sont populistes déjà, qu’ils portent des armes et des chapeaux de Cow Boy et votent pour un milliardaire teint en blond. C’est ça, une dictature, Dolorès ! Dolores : D'accord... Et comment vous appelez un pays où le parlement n’est consulté que pour la forme, où l’on est enfermé pour des motifs arbitraires, où la presse est achetée par l'Etat et où il faut un permis pour circuler ? OSS 117 J'appelle ça la France, mademoiselle ! Et pas n'importe laquelle ! La France du président Macron!
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Le droit de propriété à la francaise
Domi a répondu à un sujet de Rusty dans Politique, droit et questions de société
En plus, c'est l'un des restaurants touchés lors des attentats du 13 novembre 2015... -
Tiens j'avais regardé les épisodes de "Free to choose" durant le premier confinement et je découvre que je le "connaissais" Il apparait après 29 minutes
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Villes Vs Campagne
Domi a répondu à un sujet de Rübezahl dans Politique, droit et questions de société
Pour les récipiendiaires, OK. Pour la réglementation, il faudrait connaitre la proportion des métiers urbains qui n'existent que du fait de la réglementation. Enfin, il reste à évaluer les dépenses et services publics spécifiquement urbains ou ruraux. -
Psychologie expérimentale, psychométrie et cervelle de canut
Domi a répondu à un sujet de Lancelot dans Science et technologie
En attendant la réponse de Lancelot, l'article qu'il cite (dont je n'ai lu que la vulgarisation) a tout l'air d'une bonne piste. Dans l'expérience où l'ordinateur livre une somme inégale le joueur lui retire de l'argent pour se venger. -
Psychologie expérimentale, psychométrie et cervelle de canut
Domi a répondu à un sujet de Lancelot dans Science et technologie
Bonne idée de sujet. Désolé de ne pas pouvoir contribuer "sérieusement" comme tu le souhaiterais. L'article de Reason fait échos à ce que je sentais, à savoir le fait que "l'anti-racisme" qui confine parfois au "racisme inversé" est quand même de nature différente. Je m'étais déjà posé la question des différents traits de personnalité favorisant l'étatisme et le socialisme. Pour moi, la nomenclature est la suivante : 1°) Tendance dirigiste (le but de l'Etat est un objectif global, économique ou environnemental, indépendamment de toute idée égalitariste). Exemple : le saint-simonisme, le planisme etc L'erreur peut-être autant intellectuelle (difficulté à comprendre la supériorité d'un ordre spontané qu'un ordre construit) que psychologique. Du côté des dirigeants, on peut mettre la mégalomanie, le goût de la domination et aussi le besoin de contrôle (comme mécanisme pour rassurer) Du côté des dirigés, la soumission mais également le narcissisme par procuration. 2°) Tendance égalitariste On a la tendance à la victimisation décrite ici mais aussi le mythe du sauveur mais aussi l'altruisme mal compris (ex l'abbé Pierre). Désolé par d'articles... En revanche, pour faire échos au titre du thread : -
Villes Vs Campagne
Domi a répondu à un sujet de Rübezahl dans Politique, droit et questions de société
Il faudrait préciser l'objet du débat. Consiste-il à dire que les villes sont plus socialistes que les campagnes ? Qu'il y a un transfert illibéral net de richesses des campagnes vers les villes via les impôts, la dépense publique et la réglementation ? Que ce transfert est tel que sans lui les métropoles que nous connaissons disparaitraient en libéralie ? Qu'en l'état actuel des choses les campagnes auraient intérêt à faire sécession ? Les deux premières possibilités me semblent plutôt probables, sans certitudes. Pas les deux dernières.
