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Domi

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Tout ce qui a été posté par Domi

  1. Domi

    Coût de l'épidémie

    Ma manière de répondre : Réduction d'espérance de vie de la première vague : Un mois et demi en moyenne, donc 3 mois pr les 60.000 morts. Si on retient l'hypothèse de Macron, nous aurions 400.000 morts sans confinement, donc le confinement nous aurait permis d'éviter 340.000 morts soit 17 mois d'espérance de vie Cependant, les pays comparables qui n'ont pas confiné autant n'ont pas eu tant de morts en plus (cf Suède ou Etats-unis) Chiffres pour 100.000 H France : 93 EU : 104 Suède : 85 Si je double la différence EU - France (pour annuler l'influence des Etats démocrates qui ont confiné), cela fait 11 décès pour 100.000 habitants Rapporté à la population de la France cela fait 7500 morts évités par le confinement soit en terme d'espérance de vie 0,375 mois gagnés ou 11 jours. La question pourrait être posée ainsi, est-ce qu'un individu "normal" s'imposerait les contraintes que nous avons subies depuis un an pour gagner 17 mois d'espérance de vie ? pour gagner 11 jours ? Dans le premier cas peut-être, dans le second c'est très douteux. Pour compléter l'hypothèse, il faudrait tenir compte des séquelles d'un covid qu'on a assez régulièrement (notamment ds l'hypothèse Macron), des autres morts évités par le confinement (autres maladies infectieuses, accident de la route) et des morts provoqués par le confinement (cf le post de Megille). Economiquement, il faudrait tenir compte du fait que les mesures sont "stabilisées". Il n'est donc pas possible de recourir à l'emprunt pour les financer, il n'y a plus de restaurants, de salles de sports, de spectacles, de stades de foot etc. Du coup, l'impact sur le chômage serait plus faible une fois que les gens se seraient reconvertis. Remarque importante : Soit une population où tous les gens meurent à 85 ans. 1 % des gens ont 80 ans et plus. Arrive un virus qui tue tous ceux qui ont 80 ans et plus. On suppose que cette catégorie avait 2,5 année à vivre en moyenne. Quel est l'impact du virus sur l'âge moyen de décès de la population de départ si le virus ne dure qu'un an ? 2,5 années /100 soit 1/40 d'année Quel est son impact sur l'âge moyen de décès de la population de départ si le virus dure 85 ans ? 5 ans Quel est son impact sur le calcul de l'espérance de vie la première année ? 5 ans Comme le calcul de l'espérance de vie intègre l'effet de la maladie si elle était permanente, il est légitime de la comparer à des mesures permanentes.
  2. Domi

    Pandememe

    Ce serait une bonne idée En moins lourd peut-être, associer les répliques aux images de la scène (les trois dernières répliques).
  3. Domi

    Pandememe

    Pas un pandememe, mais une tentative personnelle d'adaptation d'un dialogue célèbre. OSS 117 et Dolores marchent dans une favela de Rio. OSS 117 : Cette ville est absolument magnifique ! Et je m'y connais ! Ah... Diable, comment font les gens ici pour ne pas salir leurs souliers. Dolores : La plupart n'en ont pas ! OSS 117 : Ah ah ah ! Elle est bonne celle-là ! Pas de souliers ! Ah ah j'avoue ! Dolores : Vous savez Hubert, la vie n'est pas toujours facile pour les gens ici ! C'est d'ailleurs le propre des dictatures. OSS 117 : Une dictature ! Comme vous y allez ! Vous êtes bien sympathique Dolorès, mais épargnez-moi vos analyses politiques ! Savez-vous seulement ce que c'est qu'une dictature ? Une dictature, c’est quand les gens sont populistes déjà, qu’ils portent des armes et des chapeaux de Cow Boy et votent pour un milliardaire teint en blond. C’est ça, une dictature, Dolorès ! Dolores : D'accord... Et comment vous appelez un pays où le parlement n’est consulté que pour la forme, où l’on est enfermé pour des motifs arbitraires, où la presse est achetée par l'Etat et où il faut un permis pour circuler ? OSS 117 J'appelle ça la France, mademoiselle ! Et pas n'importe laquelle ! La France du président Macron!
  4. En plus, c'est l'un des restaurants touchés lors des attentats du 13 novembre 2015...
  5. Domi

    Décès de Walter Williams

    Tiens j'avais regardé les épisodes de "Free to choose" durant le premier confinement et je découvre que je le "connaissais" Il apparait après 29 minutes
  6. Pour les récipiendiaires, OK. Pour la réglementation, il faudrait connaitre la proportion des métiers urbains qui n'existent que du fait de la réglementation. Enfin, il reste à évaluer les dépenses et services publics spécifiquement urbains ou ruraux.
  7. En attendant la réponse de Lancelot, l'article qu'il cite (dont je n'ai lu que la vulgarisation) a tout l'air d'une bonne piste. Dans l'expérience où l'ordinateur livre une somme inégale le joueur lui retire de l'argent pour se venger.
  8. Bonne idée de sujet. Désolé de ne pas pouvoir contribuer "sérieusement" comme tu le souhaiterais. L'article de Reason fait échos à ce que je sentais, à savoir le fait que "l'anti-racisme" qui confine parfois au "racisme inversé" est quand même de nature différente. Je m'étais déjà posé la question des différents traits de personnalité favorisant l'étatisme et le socialisme. Pour moi, la nomenclature est la suivante : 1°) Tendance dirigiste (le but de l'Etat est un objectif global, économique ou environnemental, indépendamment de toute idée égalitariste). Exemple : le saint-simonisme, le planisme etc L'erreur peut-être autant intellectuelle (difficulté à comprendre la supériorité d'un ordre spontané qu'un ordre construit) que psychologique. Du côté des dirigeants, on peut mettre la mégalomanie, le goût de la domination et aussi le besoin de contrôle (comme mécanisme pour rassurer) Du côté des dirigés, la soumission mais également le narcissisme par procuration. 2°) Tendance égalitariste On a la tendance à la victimisation décrite ici mais aussi le mythe du sauveur mais aussi l'altruisme mal compris (ex l'abbé Pierre). Désolé par d'articles... En revanche, pour faire échos au titre du thread :
  9. Il faudrait préciser l'objet du débat. Consiste-il à dire que les villes sont plus socialistes que les campagnes ? Qu'il y a un transfert illibéral net de richesses des campagnes vers les villes via les impôts, la dépense publique et la réglementation ? Que ce transfert est tel que sans lui les métropoles que nous connaissons disparaitraient en libéralie ? Qu'en l'état actuel des choses les campagnes auraient intérêt à faire sécession ? Les deux premières possibilités me semblent plutôt probables, sans certitudes. Pas les deux dernières.
  10. Au fait, tu parles de la durée de la maladie pour un patient individuel ou de la durée de l'épidémie (au niveau d'une population) ?
  11. Mmh je ne m'étais pas posé la question, donc je te dirai oui. Mais du coup en pensant à ta question je trouve une partie de l'explication à la mienne. S'il doit y avoir le même nombre de contamination en tout dans les deux cas (because immunité collective), alors quand le pic est plus haut et que la montée a été plus rapide, il faut mécaniquement que la descente le soit également. Alors je comprends que ça marche pour la totalité de l'épidémie (aplatir la courbe) mais pas à l'intérieur des vagues comme nous avons eu.
  12. Les vagues épidémiques sont en gros en forme de cloches. Cela suppose que le rythme de la phase descendante suive celui de la phase montante. Par exemple si J0 représente le pic de nouvelles hospitalisations, si on est passé de 500 hospitalisations par jour à J - 10 à 1000 h/J à J - 5, on devra passer de 1000 H/J à J + 5 à 500 h/j à J + 10. Autre manière de le dire si tu as une courbe exponentielle ascendante dont le rythme est X 2 ts les 5 jours dans un cas, tu auras une courbe exponentielle "descendante" à X 1/2 ts les 5 jours. Pour 3 en phase ascendante ce serait 1/3 en phase descendante, 4 ce serait 1/4, ainsi de suite. Evidemment, je formule tout ça avec mes mots. J'espère que les matheux ne relèveront pas l'approximation du vocabulaire. Ma question est la suivante : en quoi le confinement si on lui prête un effet sur l'évolution de l'épidémie devrait-il avoir un effet semblable ? Est-ce que cela ne correspond pas davantage à un phénomène naturel ? Si c'est bien le confinement est-ce qu'il y a une explication mathématique ? Est-ce que cela est expliqué par les modélisateurs ? Intuitivement, j'aurais tendance à me dire que lorsque la montée est plus rapide la descente doit être plus lente. Par ex si un confinement divise par trois le taux de reproduction du virus si celui-ci est de 2 au départ passera à 0,66 et de 1,5 passera à 0,5. Mais bon l'intuition n'est pas toujours juste.
  13. J’ai brièvement parcouru le rapport de cette ONG. Ce rapport que tu trouves factuel me semble largement biaisé par l’idéologie d’extrême-gauche. Ceci dit je l’ai à peine survolé et il y a probablement des éléments factuels intéressants. Ce qui est le plus problématique dans ce rapport est l’insistance sur les droits créances. Je soupçonne fortement que l’interprétation de ce critère par cette ONG conduira à ce que les multinationales soient coupables d’exister. Même si elles donnent à leurs employés un salaire dix fois supérieur à ce qu’ils gagnent dans leur pays, elles resteront coupables de ne pas offrir assez de droits sociaux, culturels à la santé par rapport à ce qu’exige l’ONG. Cela alors que la multinationale en question améliorerait les conditions d’existence de ces employés bien plus que ne pourrait jamais le faire n’importe quelle ONG. Tu me répondras peut-être que ma vision des multinationales est irénique. Il ne s’agit pas d’affirmer que cela se passe comme cela dans la réalité (encore que sur le long terme, elles permettent pas mal de progrès) mais que les critères de l’ONG sont biaisés de telle sorte que même la meilleure multinationale pourrait être condamnée. Après avoir fait cette remarque, il est évident que des multinationales se livrent à des violations des droits humains du point de vue libéral (expropriation, travail forcé, pollutions particulièrement graves). Le travail des enfants et les normes de sécurité sont davantage dans une zone grise. Mais je te pose la question : en quoi cela serait-il spécifique aux multinationales ? Comme tu le remarques toi-même, la question est la plupart du temps celle de l’Etat de droit dans les pays dans lesquels les multinationales ou leurs filiales interviennent. Tu peux être certain que dans les pays où les multinationales peuvent se permettre d’avoir recours au travail forcé, c’est que le travail forcé est assez développé dans le pays en question et que ceux qui en sont victimes ne travaillent pas dans leur majorité pour des multinationales. Encore une fois, mettre les multinationales au centre de l’équation est une erreur. Au contraire, les pays capables de permettre à des multinationales de se développer (ceux où elles naissent et où elles ont leur siège social) sont en général les plus respectueux de l’Etat de droit. Si tu élargis ton horizon et que tu étudies très sommairement l’histoire (tout aussi sommairement que moi), tu constateras que la violence et l’exploitation économique des hommes sont la règle. Par exemple, si tu observes le moment où les sociétés entrent dans un processus de civilisation lorsqu’apparaissent l’écriture, l’Etat et les villes, c’est à dire au moment où on peut les étudier de manière un peu plus précise, tu verras qu’elles étaient constamment en guerre et que des pratiques comme le servage, les sacrifices humains ou l’extermination des peuples vaincus étaient très communes. Or il est bien difficile de parler de capitalisme ou d’imaginer des sociétés multinationales dans de tels environnements. Ceci dit, même si nos multinationales ne sont pas la cause des problématiques du travail forcé dans d’autres pays, que faire devant la possibilité qu’elles y aient recours ? Je te cite à nouveau : On peut déduire de ta réponse qu'il y a en gros trois options : 1/ puisque le commerce international permet potentiellement aux multinationales d’avoir recours au travail forcé et autres pratiques condamnables, il faut interdire aux multinationales d’y avoir recours. Plus largement, il faudrait interdire le commerce dans le sens sud-nord des produits fabriqués par les travailleurs des pays pauvres pour les consommateurs des pays riches. Le problème est que cette solution serait globalement pire pour les populations locales. C’est dans les pays initialement pauvres où les gens ont le plus travaillé pour les pays riches que les populations se sont le plus enrichies. C’est le problème principal, plus important que de savoir si les multinationales sont à égalité avec les entreprises locales. 2/ Ne rien faire. C’est au pays où les produits sont fabriqués de s’occuper des conditions de travail de sa population. Cette solution paraît quelque peu cynique. 3/ Poursuivre les multinationales lorsqu’elles violent les droits humains. A première vue, c’est la solution la plus équilibrée. Mais la question est qu’est-ce qu’on met derrière les droits humains ? S’agit-il de l’interprétation libérale de la propriété de soi ou d’une extension de nos droits sociaux ? Et là on risque d’arriver indirectement au résultat de l’option 1. Dans ce cas, l’option 2 serait préférable.
  14. Cela me parait plus crédible que la thèse médiatique selon laquelle c'est parce que les jeunes se sont trop relâchés en juillet et n'ont pas respecté les mesures barrières que les vieux sont morts en Novembre...
  15. Pic du nombre de personnes hospitalisées premier confinement : 14 avril Ce pic est en décalage avec les nouvelles hospitalisations, lui-même en décalage avec les contaminations. En tenant compte d’un décalage de 12 jours on a un pic de contamination le 2 avril. Pic des personnes hospitalisées second confinement : 16 novembre. Cela correspondrait à un pic de contamination le 4 novembre. Le 25 janvier est à peu de chose près le jour le plus froid de l’année (tendance qui se dégage si on fait une moyenne sur un grand nombre d’années). Le 2 avril est arrivé 68 jours après le 25 janvier. Le 4 novembre précède de 82 jours le 25 janvier. On peut donc se demander si certaines tendances de températures ne favorisent pas l’expansion de la maladie.
  16. Le problème me paraît très surévalué. On peut concevoir deux formes d’excès de puissance des grandes sociétés dans le cadre des règles ou par leur capacité à imposer des règles hors marché qui leur soient favorables. Dans le premier cas, si elles avaient réellement le pouvoir de dicter leurs conditions au marché, le ratio bénéfice / chiffre d’affaire devrait être au moins supérieur à 50 %. Or ce n’est pas le cas (?), même de très grosses sociétés. Sur la question de savoir qui impose ses conditions des très grosses sociétés ou de l’Etat, on peut demander qui était le plus puissant Jacques Cœur ou Charles VII ? Fouquet ou Louis XIV ? de Mikhaïl Khodorkovski ou de Poutine ? Les actionnaires des grandes sociétés entre l’impôt sur les sociétés, l’impôt sur le revenu et l’impôt sur les successions ne sont guère favorisés par rapport à une situation de marché libre. Certaines règlementations restrictives peuvent les favoriser mais le fait que de nouvelles grandes sociétés émergent, à l’exemple des Gafa aux EU montre que cela a ses limites. Mon sentiment est que les grandes démocraties sont davantage conçues pour favoriser l’électeur médian (donc au point de vue des revenus) que les actionnaires des grandes sociétés.
  17. Bonjour et bienvenue à toi. Je ferai une remarque générale sur les questions que tu poses. Le libéralisme peut être vu comme une théorie de justice (axiomatique) ou défendu pour ses conséquences. La question est celle de l’opposition possible entre les deux questions. Lorsque deux jeux de principes sont en opposition, il semble plus rationnel d’en retenir un et un seul mais plus raisonnable de chercher un équilibre entre les deux. Pense par exemple au dilemme philosophique traditionnel dans la question de savoir si la vie bonne correspond à la recherche du bonheur ou de la vertu ? La logique voudrait que nous préférions radicalement une des deux options. Mais qui voudrait un peu plus de bonheur obtenu de manière particulièrement infâme et qui accepterait un immense malheur obtenu par un peu plus de vertu ? Pour en revenir à la réfutation possible du libéralisme en raison de ses conséquences, il y a plusieurs de manières de répondre : 1/ Pour certains le libéralisme doit être défendu quelle qu’en soient les conséquences parce qu’il est juste. 2 / Le libéralisme a toujours des conséquences heureuses, 3/ Le fait que dans certains cas, les conséquences du libéralisme ne soient pas heureuses et que cela légitime une contrainte imposée à l’individu (l’attention sur les conséquences peut prévaloir sur les questions de justice), ne délégitime pas nécessairement le libéralisme. Ce serait le cas seulement si ces cas représentaient la règle et non l’exception. Or comme par ailleurs, la légitimation d’une contrainte implique des conséquences nettement positives (pour que l’aspect conséquences l’emporte sur l’aspect justice), la réfutation du libéralisme supposerait que deux conditions soient remplies : - les cas où du point de vue des conséquences la contrainte est supérieure à la liberté doivent être la règle et non l’exception, - A l’intérieur de ces cas, la supériorité de la contrainte sur la liberté doit être particulièrement marquée. Tu ne seras pas étonné que je sois plus proche de la troisième réponse. Il n’y a donc pas besoin d’adhérer aux deux premiers types de réponse pour défendre une société libérale.
  18. Domi

    Actualité Covid-19

    Ah ? Mon père était en 4ème année de médecine en 1969 et il m'a dit n'avoir absolument pas entendu parler de la grippe de Hong kong.
  19. Il n'est pas à l'endroit exact indiqué par google maps comme entrée du centre, tout en en étant très proche.
  20. C'est de là que la scène à 00 : 39 seconde a été filmée : https://www.google.fr/maps/@50.9232139,-0.064721,3a,75y,16.69h,79.53t/data=!3m6!1e1!3m4!1stHy-UB4h8gl5fKIuX6v5Pg!2e0!7i13312!8i6656
  21. J'ai retrouvé là où il se trouve à 0 : 34 et a priori, il irait dans la mauvaise direction : https://www.google.fr/maps/@50.9217831,-0.0643628,3a,75y,319.15h,80.72t/data=!3m6!1e1!3m4!1sD2imINwyB0RerVFfdt-I7Q!2e0!7i13312!8i6656 Ensuite, il y a une coupure et je ne peux identifier le lieu correspondant à l'entrée du centre.
  22. J'ai tenté de reconnaitre les lieux par google map, sachant que google map signale le centre anti-covid mais l'image a été prise en 2011. Ils n'est pas évident de dire si la configuration des lieux a changé ou si l'endroit du tournage est différent. Ce serait tellement gros que le fake parait qd même plus probable.
  23. Courage à toi ! Tu n'es pas seul. Enfin, on a une indication. On sait que c'est un journaliste qui prononce "peux" avec un T.
  24. Pour ceux qui ont du talent que moi, il y a peut-être de bonnes idées de dialogues concernant les mesures toutes plus absurdes les unes que les autres envisagées récemment : Pour donner une idée du fond plus que de la forme, par exemple : - enfin, plus d'hésitation de compromis, de faux semblants, il faut des mesures fortes. Détention des fichés S, Régulation des cryptos monnaies, lutte contre la haine en ligne par une commission spéciale, suppression de l'anonymat sur internet. - ça n'est pas contradictoire de protéger la liberté d'expression en réduisant celle-ci ? - il en faut en finir avec l'angélisme. - tu veux que celui qui diffuse une caricature de Mahomet sur internet donne son nom et son adresse ? - (hésitation)... non, bien sûr que non, ce n'est pas ce que je veux bien sûr. Ce n'est pas eux qui sont visés.. - ils pourront rester anonyme ? - signe de tête hésitant et positif ... - Et les autres, non ? - gène pour répondre... - Mais comment tu distingues les deux ? Tu leur permet d'abord d'être anonyme et tu enlèves l'anonymat ensuite ? - (très vite) non ! surtout pas ! (temps de réflexion), on pourrait créer des commissions de l'anonymat qui statueraient sur les demandes...
  25. Tu avais alors écrit : Donc je ne pense pas que nous soyons fondamentalement en désaccord.
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