Marlenus Posté 7 novembre 2018 Signaler Posté 7 novembre 2018 15 minutes ago, Tramp said: Tuerie de polytechnique 1989. Pour le coup cela validerait la thèse de Zagor.
Tramp Posté 7 novembre 2018 Signaler Posté 7 novembre 2018 Je pensais que c’etait 99 au temps pour moi
Tipiak Posté 8 novembre 2018 Signaler Posté 8 novembre 2018 Les garçons sont déjà des gros sexistes : https://mobile.lemonde.fr/societe/article/2018/11/08/les-inegalites-femmes-hommes-prennent-racine-des-le-plus-jeune-age_5380399_3224.html?xtref=https://discover.google.com/ Et les terrains de foot prennent plus de place que les terrains de... heu... les terrains de non-sport ? En tout cas c'est sûrement très très oppressant. Il y avait eu un post epic sur Liborg sur le sujet un jour, avec une fonction d'utilité de chaque mètre carré de la cour, et un marché du mètre carré, etc. Je sais plus qui était l'auteur de ce post ni où il est mais il faudrait le ressortir, c'était marrant ^^ 1
Lancelot Posté 8 novembre 2018 Signaler Posté 8 novembre 2018 Ce qui illustre bien le principe que démolir leurs conneries ne sert qu'à avoir un répit temporaire avant qu'ils les ressortent fièrement quelques mois plus tard comme si rien ne s'était passé.
Mégille Posté 8 novembre 2018 Signaler Posté 8 novembre 2018 C'est un vieux truc, j'avais vu déjà ce type d'étude en "géographie féministe" il y a des années. Pendant ce temps, en été, je faisais de l'animation dans un centre de loisir, et les petits garçons jouaient avec des jeux de construction dans les coins de la pièce pendant que les petites filles faisaient des dessins sur les tables au milieu. (et les petites filles étaient beaucoup plus réticentes à laisser les garçons jouer avec leurs jouets féminins que l'inverse)
Neomatix Posté 8 novembre 2018 Signaler Posté 8 novembre 2018 il y a 2 minutes, Mégille a dit : "géographie féministe" 2
Johnathan R. Razorback Posté 8 novembre 2018 Signaler Posté 8 novembre 2018 il y a 9 minutes, Neomatix a dit : => 2
poincaré Posté 8 novembre 2018 Signaler Posté 8 novembre 2018 Il y a 3 heures, Mégille a dit : C'est un vieux truc, j'avais vu déjà ce type d'étude en "géographie féministe" il y a des années. Pendant ce temps, en été, je faisais de l'animation dans un centre de loisir, et les petits garçons jouaient avec des jeux de construction dans les coins de la pièce pendant que les petites filles faisaient des dessins sur les tables au milieu. (et les petites filles étaient beaucoup plus réticentes à laisser les garçons jouer avec leurs jouets féminins que l'inverse) Même expérience dans un camp scout. Et quand j'en parle à des féministes, on me rétorque que ces différences ne sont que des constructions sociales largement intégrées à l'école et dans le cercle familial. Je veux bien entendre le discours sur les représentations, les stéréotypes, la pression sociale qui existent, évidemment, mais de là à nier toute forme de spontanéité... Que les différences existent avant tout entre des individus ne veut pas dire qu'on ne peut en trouver entre les sexes; et que celles-ci ne sont pas naturelles.
Azref Posté 8 novembre 2018 Signaler Posté 8 novembre 2018 Il y a 1 heure, poincaré a dit : Même expérience dans un camp scout. Et quand j'en parle à des féministes, on me rétorque que ces différences ne sont que des constructions sociales largement intégrées à l'école et dans le cercle familial. Je veux bien entendre le discours sur les représentations, les stéréotypes, la pression sociale qui existent, évidemment, mais de là à nier toute forme de spontanéité... Que les différences existent avant tout entre des individus ne veut pas dire qu'on ne peut en trouver entre les sexes; et que celles-ci ne sont pas naturelles. Le plus amusant, c'est de voir certains dire que les hommes et les femmes sont complètement identiques et interchangeables partout, tout en demandant des quotas partout, parce que "les femmes apportent un point de vue différent". 4
Rübezahl Posté 8 novembre 2018 Signaler Posté 8 novembre 2018 une fois passée la 20° dissonance cognitive, on n'entend plus les sonneries.
C’est un message populaire. Cortalus Posté 8 novembre 2018 C’est un message populaire. Signaler Posté 8 novembre 2018 Il y a 11 heures, Tipiak a dit : Les garçons sont déjà des gros sexistes : https://mobile.lemonde.fr/societe/article/2018/11/08/les-inegalites-femmes-hommes-prennent-racine-des-le-plus-jeune-age_5380399_3224.html?xtref=https://discover.google.com/ Et les terrains de foot prennent plus de place que les terrains de... heu... les terrains de non-sport ? En tout cas c'est sûrement très très oppressant. Il y avait eu un post epic sur Liborg sur le sujet un jour, avec une fonction d'utilité de chaque mètre carré de la cour, et un marché du mètre carré, etc. Je sais plus qui était l'auteur de ce post ni où il est mais il faudrait le ressortir, c'était marrant ^^ J'avais pondu ça l'année dernière : Le 25/07/2017 à 00:34, Cortalus a dit : Il y a tellement d'absurdités dans ces propos sur la répartition de l'espace entre individus dans la cour de récréation que je ne sais pas par où commencer. Mais bon je me lance. La première réflexion que cela m'inspire est qu'on se précipite sur une seule explication potentielle du phénomène observé sans avoir envisagé les autres et sans réaliser le moindre test qui permettrait de "falsifier" cette hypothèse. En l'espèce, on constate que dans une surface limitée certains individus occupent une plus grande part de l'espace que d'autres. Ces individus se caractérisent par leur mouvement dans l'espace dans le cadre d'un jeu. On observe également que ce sont des garçons. Rien qu'avec ça j'ai déjà plusieurs hypothèses à tester. L'hypothèse "les individus qui se livrent à des activités impliquant d'importants mouvements dans l'espace occupent plus d'espace en moyenne que les autres" me semblent digne d'être testée (par exemple dans des écoles non mixtes pour éliminer le facteur sexe). Bref, ce serait pas mal d'avoir un peu de méthode scientifique. Quand je dis "le problème n'est pas les garçons, c'est les pratiquants du foot", je ne fais pas qu'une boutade, je relève qu'une hypothèse concurrente est ignorée, probablement parce qu'elle ne colle pas avec des opinions préétablies. Ensuite, on peut discuter pourquoi pas de la propension des individus selon leur sexe à se livrer à différentes activités. Mais c'est une toute autre problématique. Par ailleurs, l'idée que l'espace est dominé par les individus qui l'occupent le plus d'un strict point de vue quantitatif est franchement risible. Ce raisonnement ne tient que si l'on suppose que tous les individus dans l'espace donné ont exactement le même niveau d'utilité pour chaque unité de surface, ou autrement dit, si chaque individu a exactement la même intensité de préférence pour la quantité de surface occupée. C'est une situation purement virtuelle. Un groupe d'élèves qui jouent aux billes, à Pokemon ou à Magic aura une utilité marginale par unité de surface disponible supplémentaire qui décroîtra bien plus rapidement qu'un groupe adepte d'un sport collectif. Bref, un espace limité peut parfaitement être occupé de manière différente sur le plan strictement quantitatif par les individus tout en maximisant l'utilité pour l'ensemble de la population et chaque individu en particulier. Par ailleurs, l'occupation de l'espace ne génère pas de l'utilité uniquement en fonction des mètres carrés. Ou alors, on part d'un autre présupposé stupide, à savoir que toutes les unités de surface sont parfaitement homogènes. Or, un emplacement à l'ombre, un banc, un équipement de jeu, etc., constituent des points d'intérêts spécifiques dans une cour de récréation. Il n'y a pas de caractéristiques homogènes entre toutes les unités de surface. L'utilité de ces points d'intérêts pour chaque individu dépendra de ses préférences personnelles (chaque individu à ses propres fonctions d'utilité). L'un préférera plus d'espace au soleil, l'autre moins d'espace à l'ombre. Avant de déclarer péremptoirement que le groupe qui occupe le plus de m2 domine les autres, peut-être donc faudrait-il étudier d'autres facteurs d'utilité localisés dans l'espace ? En l'absence de coercition exercée par un ou plusieurs individus, on aura en fait dans la cour de l'école comme partout ailleurs un ordre spontané qui émergera car les individus ont des préférences différentes, ce qui rend possible les échanges. La seule problématique est donc bien l'existence ou non d'une coercition. Refusons les conneries des SJW. Défendons les valeurs libérales et la raison. 1 6
Tipiak Posté 8 novembre 2018 Signaler Posté 8 novembre 2018 il y a 7 minutes, Cortalus a dit : J'avais pondu ça l'année dernière : C'est ça ! Toujours aussi pertinent
Mathieu_D Posté 9 novembre 2018 Signaler Posté 9 novembre 2018 Fouyaya : Eating less meat is a climate priority, whatever the sceptics say https://theconversation.com/eating-less-meat-is-a-climate-priority-whatever-the-sceptics-say-105884
RaHaN Posté 9 novembre 2018 Signaler Posté 9 novembre 2018 Le 02/10/2018 à 09:25, Lancelot a dit : Les politiques de discrimination positive existent sans aucun doute dans la recherche. Je vois régulièrement passer des offres d'emploi qui disent explicitement que les candidatures de "femmes et groupes minoritaires" seront considérées en priorité. Psycho/socio j'imagine plutôt, non ? Le 29/10/2018 à 19:24, Alchimi a dit : Regardez-moi ces mâles alphas parler chiffon dans le fil du féminisme. Poussez pas, je connais la sortie Ce moment J'avais pas lu le fil depuis mi-septembre, j'imaginais un visiteur hésitant à s'inscrire car ras-le-bol des féministes en bois, et qui tombe sur des hommes racontant quel lessive ils utilisent. Emouvant Le 06/11/2018 à 01:19, Rincevent a dit : On note que personne ne se plaint de la discrimination des hommes qui cherchent à avoir des emplois féminins. Je dis ça, je dis rien. Meh.. Spoil pas mon idée d'article-troll, j'suis tellement bien placé pour ça !
Dardanus Posté 9 novembre 2018 Signaler Posté 9 novembre 2018 Dans le type discours débile plein de contradictions, cet article du Figaro Madame : Titre de l'article : "Le temps où l’homme blanc hétéro était le seul à pouvoir parler gastronomie est fini" (longtemps on a vécu dans une sorte de dictature (sic) ajoute-t-elle ) http://madame.lefigaro.fr/cuisine/verane-frediani-elles-cuisinent-livre-feministe-gastronomie-femmes-chefs-061118-151649 morceaux choisis : Il faut montrer aux petits garçons qu’eux aussi, plus tard, devront se faire à manger et que ce n’est pas le rôle de leur épouse (évidemment, elle ne sait pas cuisiner et compte sur monsieur). Les qualités des femmes en cuisine sont celles des hommes (et dans ce cas intérêt de la parité ?). 1
Azref Posté 9 novembre 2018 Signaler Posté 9 novembre 2018 Ce truc "homme blanc hétéro" c'est vraiment l'expression à la mode. Comment être raciste sans la culpabilité qui va avec en quelque sorte. Et tout le monde se vautre là dedans.
Extremo Posté 9 novembre 2018 Signaler Posté 9 novembre 2018 9 minutes ago, Azref said: Ce truc "homme blanc hétéro" c'est vraiment l'expression à la mode. Comment être raciste sans la culpabilité qui va avec en quelque sorte. Et tout le monde se vautre là dedans. C'est pas du racisme quand tu t'attaques à un groupe privilégié.
Azref Posté 9 novembre 2018 Signaler Posté 9 novembre 2018 à l’instant, Extremo a dit : C'est pas du racisme quand tu t'attaques à un groupe privilégié. Oui, ils redéfinissent le mot pour en enlever la culpabilité.
Mégille Posté 9 novembre 2018 Signaler Posté 9 novembre 2018 C'est surtout que le racisme/sexisme/etc est compris non plus comme une attitude individuelle blâmable (auquel cas on devrait en effet se contenter de dire que la misogynie, l'homophobie, etc, sont tout au plus plus fréquents), mais un élément structurel de la société, qui se trouve être l'oppression de divers groupes par les hommes blancs hétéros etc. A partir de là, un sexisme/autre envers le groupe "dominant" est une contradiction dans les termes. Et pour s'en convaincre, on prend ça comme une hypothèse de travail, on s'en sert comme d'une grille d'interprétation de n'importe quel phénomène social, on cherche, on trouve, et la boucle est bouclée.
poincaré Posté 10 novembre 2018 Signaler Posté 10 novembre 2018 Le 08/11/2018 à 19:20, Azref a dit : Le plus amusant, c'est de voir certains dire que les hommes et les femmes sont complètement identiques et interchangeables partout, tout en demandant des quotas partout, parce que "les femmes apportent un point de vue différent". Oui c'est incohérent, surtout qu'on tombe dans le collectivisme basique et idiot : en quoi les femmes auraient un avis fondamentalement différent de celui de leurs compères masculins ? Le problème dans la justification des quotas, c'est qu'un paramètre essentiel est totalement occulté : la question des préférences individuelles. J'en parlais encore récemment avec un féministe (et "un peu communiste", un vrai petit chaton) et selon lui, les quotas ne devraient pas nécessairement amener à une représentation strictement égalitaire entre les sexes. Les femmes devraient pouvoir être majoritaires que les hommes dans une filière donnée, mais pas l'inverse. Autrement dit, on interdit la surreprésentation masculine. Donc je lui parle de son domaine de prédilection : quid de la recherche en sciences exactes, où la plupart des femmes ne se dirigent pas spontanément ? Il a bloqué pendant trois secondes avant de s'entêter dans la nécessité d'expérimenter... Bon je lui ai tout de même dit qu'il analysait la réalité avec un filtre complètement biaisé, inutile de dire qu'il n'a pas apprécié.
0100011 Posté 10 novembre 2018 Signaler Posté 10 novembre 2018 1 hour ago, poincaré said: Les femmes devraient pouvoir être majoritaires que les hommes dans une filière donnée, mais pas l'inverse. Autrement dit, on interdit la surreprésentation masculine Donc comme un humain sur deux est un homme et que seule les femmes peuvent être surreprésentées on fait quoi des hommes qui n'ont plus de place une fois qu'un secteur est surinvesti par des femmes ? Payes ta théorie de Ramsay.
Bézoukhov Posté 10 novembre 2018 Signaler Posté 10 novembre 2018 il y a 12 minutes, Kassad a dit : Donc comme un humain sur deux est un homme et que seule les femmes peuvent être surreprésentées on fait quoi des hommes qui n'ont plus de place une fois qu'un secteur est surinvesti par des femmes ? D'où la nécessité politique d'avoir au moins un sexe supplémentaire en plus du sexe féminin et du sexe masculin. Ces informaticiens sont tellement binaires... PS : oui, ça m'amuse de marquer sexe trois fois dans un sujet sur les social justice couillons. 1
GilliB Posté 10 novembre 2018 Signaler Posté 10 novembre 2018 Chez certaines amibes il y a 50 sexes différents, les rapports sexuels sont féconds uniquement avec un partenaire de l'un des 49 autres sexes. Elles ne connaissent pas leur bonheur... 49 manières de faire l'amour.
0100011 Posté 10 novembre 2018 Signaler Posté 10 novembre 2018 4 minutes ago, GilliB said: Elles ne connaissent pas leur bonheur... 49 manières de faire l'amour. Non il 49*50/2 = 1225 manières digférentes (+50 si on prend en compte l'auto-sexualité) ! Et on passe au carré si on accepté le fait que le genre et le sexe ne coïncident pas forcément.
poincaré Posté 10 novembre 2018 Signaler Posté 10 novembre 2018 Il y a 3 heures, Kassad a dit : Donc comme un humain sur deux est un homme et que seule les femmes peuvent être surreprésentées on fait quoi des hommes qui n'ont plus de place une fois qu'un secteur est surinvesti par des femmes ? Payes ta théorie de Ramsay. Je pense qu'il répondrait que ce n'est pas un problème à partir du moment où les hommes sont des privilégiés, donc qu'ils peuvent trouver du travail beaucoup plus facilement que les femmes dans tous les secteurs. Et que si certains restent sur le carreau et bien tant pis, il faut privilégier les femmes. Une sorte de justice rendue après des siècles de patriarcat
Atika Posté 10 novembre 2018 Signaler Posté 10 novembre 2018 Je ne peux pas croire le témoignage de Poincaré voyons On m'a dit que le féminisme se battait pour l'égalité et qu'il ne fallait pas en avoir peur wait
GilliB Posté 10 novembre 2018 Signaler Posté 10 novembre 2018 Il y a 1 heure, Kassad a dit : Non il 49*50/2 = 1225 manières digférentes (+50 si on prend en compte l'auto-sexualité) ! Et on passe au carré si on accepté le fait que le genre et le sexe ne coïncident pas forcément. Humm.. je suis de une amibe de sexe 1 je peux avoir des rapports féconds avec les sexes [2..50] donc 49. Je ne peux pas être une amibe avec 50 sexes différents en même temps. Beaucoup de poissons sont hermaphrodite, mais pas en même temps (diachronique), les mérous sont femelles jeunes et quand le male dominant meurt, la femelle dominante devient male. PS la notion de male/femelle en biologie est très polluées pas un anthropomorphisme. Déjà chez les oiseaux c'est la femelle qui détermine le sexe (systeme ZW ) Lire https://fr.wikipedia.org/wiki/Détermination_du_sexe Sans parler de la parthénogénèse (insectes sociaux), ni de du sexe suivant la température de l'incubation (tortue), etc.. On considère que le male est celui qui apporte le gamète de plus petite taille. Et chez les plantes c'est aussi compliqué.
0100011 Posté 10 novembre 2018 Signaler Posté 10 novembre 2018 12 hours ago, GilliB said: Je ne peux pas être une amibe avec 50 sexes différents en même temps. So XX siecle. Tu peux peux être une amibe 43 dans le corps d'une amibe 27 (mais sexuellement préférer les 13)... 2
Lancelot Posté 11 novembre 2018 Signaler Posté 11 novembre 2018 21 hours ago, poincaré said: Je pense qu'il répondrait que ce n'est pas un problème à partir du moment où les hommes sont des privilégiés, donc qu'ils peuvent trouver du travail beaucoup plus facilement que les femmes dans tous les secteurs. Et que si certains restent sur le carreau et bien tant pis, il faut privilégier les femmes. Une sorte de justice rendue après des siècles de patriarcat Je confirme, des gens qui pensent comme ça j'en ai rencontré plusieurs dans les milieux académiques. Les plus modérés pensent simplement que oui, certes, ça fout la merde, mais comme ça part d'une bonne intention il faut le supporter.
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