NoName Posté 7 septembre 2018 Signaler Posté 7 septembre 2018 Moui, alors faut voir aussi comment ça s'est passé. Parce que si ceux qui ont essayé de se barrer on en été empêché on a un souci quand même, surtout que si tu me jettes de la pâté pour chien dans la gueule il y a une possibilité non nulle pour que je réplique avec un lancer de chaise 2
Reykjavik Posté 7 septembre 2018 Signaler Posté 7 septembre 2018 Le 01/09/2018 à 18:53, GilliB a dit : Je ne pense pas que l'ordre ait le droit de limiter le nbre de médecins. Le NC c'est plutôt le ministère de la santé ( ou éducation ?). Après que l'ordre soit d'accord, cela dépend des époques car actuellement, une clientèle à vendre ne vaut plus rien (il y a 40 ans cela valait une demi annuité, ce qui n'est pas rien) Le NC est apparu au début des années 70, le politique faisant le calcul de diminuer l'offre pour diminuer les dépenses (et bon nombres de mauvais médecins s'étaient reconvertis dans la politique, phénomène perdurant de nos jours) et l'ordre justifiant la mesure pour éviter la paupérisation de la profession.
Nick de Cusa Posté 10 octobre 2018 Signaler Posté 10 octobre 2018 une santé bien meilleure pour bien moins cher c'est absolument possible aujourd'hui, sauf si les politiciens l'interdisent https://www.forbes.com/sites/johngoodman/2018/10/02/employers-could-slash-their-health-costs-overnight-so-why-dont-they/?utm_source=followingimmediate&utm_medium=email&utm_campaign=20181002#fa8a1db5421b
Rübezahl Posté 10 octobre 2018 Signaler Posté 10 octobre 2018 https://www.forbes.com/sites/johngoodman/2018/10/02/employers-could-slash-their-health-costs-overnight-so-why-dont-they
Liber Pater Posté 29 octobre 2018 Signaler Posté 29 octobre 2018 Pénurie de médicaments en France : /!\ https://www.francetvinfo.fr/sante/medicament/on-vous-explique-la-penurie-de-medicaments-qui-s-aggrave-en-france_3008871.html /!\
Tramp Posté 29 octobre 2018 Signaler Posté 29 octobre 2018 Nombre de sites restreints parce que les sites doivent avoir l’agrément du régulateur et aux US parce que la FDA n’envoie pas beaucoup d’inspecteurs à l’etranger.
Reykjavik Posté 29 octobre 2018 Signaler Posté 29 octobre 2018 il y a 8 minutes, Liber Pater a dit : Pénurie de médicaments en France : /!\ https://www.francetvinfo.fr/sante/medicament/on-vous-explique-la-penurie-de-medicaments-qui-s-aggrave-en-france_3008871.html /!\ https://www.jim.fr/medecin/videos/e-docs/rupture_dapprovisionnement_de_medicaments_il_faut_siffler_la_fin_de_la_partie__174008/document_jim_tube.phtml
NicolasB Posté 30 octobre 2018 Signaler Posté 30 octobre 2018 ça alors un marché étatisé qui amène des pénuries! What a surprise
Tramp Posté 20 novembre 2018 Signaler Posté 20 novembre 2018 Heureusement que l’Etat est là pour employer pendant 20 ans des gens sans diplôme de médecine. https://www.lemonde.fr/big-browser/article/2018/11/20/une-fausse-doctoresse-neo-zelandaise-a-exerce-pendant-plus-de-vingt-ans-au-royaume-uni_5386030_4832693.html
Mister_Bretzel Posté 21 novembre 2018 Signaler Posté 21 novembre 2018 20 hours ago, Tramp said: Heureusement que l’Etat est là pour employer pendant 20 ans des gens sans diplôme de médecine. https://www.lemonde.fr/big-browser/article/2018/11/20/une-fausse-doctoresse-neo-zelandaise-a-exerce-pendant-plus-de-vingt-ans-au-royaume-uni_5386030_4832693.html Troll : Et alors ? Sans l'État le diplôme devient une valeur marchande sans garantie de qualité, qui peut s'acheter même en étant parfaitement incompétent. J'invoque pour preuve les multitudes de gens perdus du slip sortis de "schools of business" privées où t'apprends à faire des powerpoint et c'est à peu près tout. Pas troll : Comment garantir la qualité d'une formation professionnelle, en particulier médicale, sans l'État ? Des labels privés ? La médecine est pas un domaine simple où l'asymétrie d'information est énorme.
Rincevent Posté 21 novembre 2018 Signaler Posté 21 novembre 2018 Il y a 1 heure, Mister_Bretzel a dit : Pas troll : Comment garantir la qualité d'une formation professionnelle, en particulier médicale, sans l'État ? Des labels privés ? La médecine est pas un domaine simple où l'asymétrie d'information est énorme. La guilde / l'ordre professionnel est une réponse aussi classique que fonctionnelle... dans le cadre d'un marché libre (i.e. la guilde n'a pas de monopole légal, le professionnel n'a pas l'obligation d'en rejoindre une, et il n'y a pas de closed shop / union shop à l'échelle de la profession). 1
NoName Posté 21 novembre 2018 Signaler Posté 21 novembre 2018 Il y a 2 heures, Mister_Bretzel a dit : Pas troll : Comment garantir la qualité d'une formation professionnelle, en particulier médicale, sans l'État ? Des labels privés ? La médecine est pas un domaine simple où l'asymétrie d'information est énorme. Union professionnelle type guilde (syteme convetionnaliste on dirait chez Mintzberg); de plus, les assurances, les associations de patients et les universités de médecines ont tout intérêt à garantir l'intégrité et la qualité de la profession en général, ce qui veut aussi dire qu'ils ont un intérêt certain à pointer du doigt les mauvais médecins. Bon, il y a aussi le problème de la médecine en général qui est qu'on a les aides soignants, les infirmières et pouf on saute direct au médecin thésard, alors qu'on devrait avoir au moins un échelon entre les deux, le médecin mcdonald, spécialisé dans tout ce qui est pas grave et banal (rhumes, ordonnances à renouveler, bobologie, recoudre une plaie, etc...)
Liber Pater Posté 21 novembre 2018 Signaler Posté 21 novembre 2018 il y a 3 minutes, NoName a dit : on devrait avoir au moins un échelon entre les deux, le médecin mcdonald, spécialisé dans tout ce qui est pas grave et banal (rhumes, ordonnances à renouveler, bobologie, recoudre une plaie, etc...) Le généraliste ?
Mister_Bretzel Posté 21 novembre 2018 Signaler Posté 21 novembre 2018 6 minutes ago, Liber Pater said: Le généraliste ? Nurse practitioner : entre l'infirmière et le médecin. Je crois que le gouvernement veut essayer d'installer ça en France. Pas une mauvaise idée, vu comment les généralistes sont saturés.
GilliB Posté 21 novembre 2018 Signaler Posté 21 novembre 2018 Il y a 3 heures, Mister_Bretzel a dit : Troll : Et alors ? Sans l'État le diplôme devient une valeur marchande sans garantie de qualité, qui peut s'acheter même en étant parfaitement incompétent. J'invoque pour preuve les multitudes de gens perdus du slip sortis de "schools of business" privées où t'apprends à faire des powerpoint et c'est à peu près tout. Pas troll : Comment garantir la qualité d'une formation professionnelle, en particulier médicale, sans l'État ? Des labels privés ? La médecine est pas un domaine simple où l'asymétrie d'information est énorme. Comment garantir? C'est le travail des assurances privées de santé. C'est leur intérêt de contrôler la qualité des soignants, pour leur image de marque et pour des pb de responsabilité. Les assurances ont des filières certifiées par leur soins. Actuellement c'est l'état qui contrôle la filière, diplôme d'état, et la secu qui contrôle l'activité des intervenant. Mais une assurance privée peut aussi se planter, comme l'état. PS Je fais de la plongée et en France c'est un diplôme d'état relevant de la féderation sportive (ministere jeunesse & sport), au US ce sont des structures privées la plus connu est la PADI (Professional association of diving instructors) qui labelise les structures de plongées et d'enseignement.
Rincevent Posté 21 novembre 2018 Signaler Posté 21 novembre 2018 il y a une heure, NoName a dit : Bon, il y a aussi le problème de la médecine en général qui est qu'on a les aides soignants, les infirmières et pouf on saute direct au médecin thésard, alors qu'on devrait avoir au moins un échelon entre les deux, le médecin mcdonald, spécialisé dans tout ce qui est pas grave et banal (rhumes, ordonnances à renouveler, bobologie, recoudre une plaie, etc...) Historiquement, c'étaient les officiers de santé (le plus connu étant Charles Bovary). il y a 58 minutes, Mister_Bretzel a dit : Nurse practitioner : entre l'infirmière et le médecin. Je crois que le gouvernement veut essayer d'installer ça en France. Pas une mauvaise idée, vu comment les généralistes sont saturés. Voilà, soit on forme des médecins light, soit on forme des super-infirmières. Le but étant de placer un professionnel autour de bac+5, donc entre le bac+3/4 des infirmières et le bac+8/11 des docteurs en médecine. 2
Tramp Posté 21 novembre 2018 Signaler Posté 21 novembre 2018 Il y a 6 heures, Mister_Bretzel a dit : Troll : Et alors ? Sans l'État le diplôme devient une valeur marchande sans garantie de qualité, qui peut s'acheter même en étant parfaitement incompétent. J'invoque pour preuve les multitudes de gens perdus du slip sortis de "schools of business" privées où t'apprends à faire des powerpoint et c'est à peu près tout. Pas troll : Comment garantir la qualité d'une formation professionnelle, en particulier médicale, sans l'État ? Des labels privés ? La médecine est pas un domaine simple où l'asymétrie d'information est énorme. Conventionnement avec les assureurs, diplômes, ordres professionnels, interdiction de l’escroquerie bien sûr (et donc système judiciaire efficace), publicité...
NoName Posté 21 novembre 2018 Signaler Posté 21 novembre 2018 Il y a 4 heures, Liber Pater a dit : Le généraliste ? non, c'est déjà trop qualifié. En fait, un généraliste c'est un médecin qui a déjà fait la totale de la médecine et qui sait soigner à peu près tout ce qui n'est pas spécialiste. Je pensais plutôt à un sous-médecin qui soit spécialisé pour faire la bobologie et les opérations de routine qui constituent 90% de l'exercice quotidien de la médecine. Parce que concrètement là on a peut être 30 maladies et conditions qui font l'essentiel des journées des médecins: grippes, rhumes, gastros, divers problèmes articulaires, mais également les renouvellement d'ordonnance (genre, mon ex qui devait faire tous les six mois un renouvellement d'ordonnance pour un médicament qu'elle prendra à vie), les visites médicales bateau pour le sport, les vaccins habituels, les otites, etc...
Rincevent Posté 21 novembre 2018 Signaler Posté 21 novembre 2018 il y a 16 minutes, NoName a dit : sous-médecin Tu vends du rêve, là. Blague à part, "Bobologue" me semble un terme prometteur, en attendant mieux.
Antoninov Posté 21 novembre 2018 Signaler Posté 21 novembre 2018 Un ordi avec systeme expert qui oriente les patients encleur posant des questions.
Rübezahl Posté 21 novembre 2018 Signaler Posté 21 novembre 2018 Il y a déjà des cabines de ce genre dans les coins reculés. Qui font les examens basiques. Et une fois ces préliminaires terminés, éventuellement un médecin intervient (à distance). Et les toubibs qui bossent avec une infirmière qui fait aussi tout le trivial d'abord, ça se pratique aussi dans pas mal d'endroits.
RaHaN Posté 22 novembre 2018 Signaler Posté 22 novembre 2018 Le 21/11/2018 à 14:17, Mister_Bretzel a dit : Je crois que le gouvernement veut essayer d'installer ça en France. https://www.ars.sante.fr/la-pratique-avancee-un-nouveau-metier-dinfirmiere-aux-competences-elargies
Bézoukhov Posté 22 novembre 2018 Signaler Posté 22 novembre 2018 Le 21/11/2018 à 19:29, Rübezahl a dit : Et les toubibs qui bossent avec une infirmière qui fait aussi tout le trivial d'abord, ça se pratique aussi dans pas mal d'endroits. En France ? J'aurais dit que le coût du travail était trop élevé pour ce genre de luxe.
Rübezahl Posté 23 novembre 2018 Signaler Posté 23 novembre 2018 Il y a 10 heures, Bézoukhov a dit : En France ? J'aurais dit que le coût du travail était trop élevé pour ce genre de luxe. Pour les cas concernés, il ne s'agit pas de généralistes, mais de spécialistes (chirurgiens). Je me suis mal exprimé en utilisant le mot "toubib". My bad. Sauf erreur, il y a pénurie de chirurgiens, donc ce n'est pas trop surprenant de les voir gérer leur temps efficacement.
calypso13 Posté 23 novembre 2018 Signaler Posté 23 novembre 2018 Oui, d'ailleurs quand je vais chez l'ophtalmolo ce sont des orthoptistes qui me font passer les tests. Pas vraiment des infirmiers, mais c'est le même principe
Adrian Posté 27 novembre 2018 Signaler Posté 27 novembre 2018 Certains préservatifs bientôt remboursés par la Sécu Citation Au micro de France inter, ce mardi 27 novembre, la ministre de la Santé, Agnès Buzyn a annoncé que les préservatifs seront désormais remboursés sur prescription médicale pour aider à lutter contrer le sida. Ce remboursement concernera une marque particulière de préservatifs, qui pourra être prescrite par les médecins, a-t-elle ajouté, sans nommer la marque en question. Selon elle, "on pourra maintenant, quand on est un jeune ou quand on présente des risques particuliers, ou pas d'ailleurs, quand on est une femme ou quand on est un homme, aller voir son médecin et avoir des préservatifs remboursés sur prescription médicale". Consultation + achat remboursé ...
Rübezahl Posté 27 novembre 2018 Signaler Posté 27 novembre 2018 Un petit pas vers les putes assermentées. Un grand pas pour l'humanité. E. µicron I° 1
cedric.org Posté 27 novembre 2018 Signaler Posté 27 novembre 2018 5 hours ago, Adrian said: Certains préservatifs bientôt remboursés par la Sécu Consultation + achat remboursé ... Mais non, on voit bien que cette mesure est soumise à des conditions drastiques : être un homme ou être une femme. On pourrait se dire que rembourser les capotes, c'est pas plus délirant que de rembourser le paracétamol. Jusque la on va dans le sens de l'histoire, comme dirait l'autre pour justifier ses lubies. La ou ça devient complètement con, c'est qu'en plus il faut une consultation (remboursée) pour dire à son toubib "je vais baiser ce week-end".
NoName Posté 27 novembre 2018 Signaler Posté 27 novembre 2018 Ce qui est top c'est qu'en plus si tu es dans un calibre un peu particulier tu l'auras dans l'os avec des capotes de taille pas adaptée et tout. Et puis je parle même pas du problème latex pas latex vu que les pas latex coûtent plus cher: faudra til tester l'autre partenaire pour autoriser la prescription de capotes en polymere ? Et du coup dire à son médecin si on trompe sa femme ou son mec ? 1
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