fryer Posté 24 mars 2020 Signaler Posté 24 mars 2020 On peut pas imposer la prise de CP. Faut 2 mois de délai de prévenance. RTT ça dépend des boîtes. Après entre le respect du droit et l’opportunité ça va dépendre des boîtes (et des trésoreries)
Loi Posté 24 mars 2020 Signaler Posté 24 mars 2020 Y a pas exception du fait qu'on est en "état d'urgence sanitaire"?
poney Posté 24 mars 2020 Signaler Posté 24 mars 2020 il y a 18 minutes, cedric.org a dit : Plusieurs personnes dans mon entourage sont dans ce cas. Congés forcés, et puis si ça dure c'est chomage. Chômage ouais, mais pas congé. Moi j'en ai eu 2 mais c'était des congés prévus et comme je glandouille plus que je télétravaille, je ne les ai fait changer J'ai une semaine en avril, je dois discuter avec mon chef.
fryer Posté 24 mars 2020 Signaler Posté 24 mars 2020 à l’instant, Loi a dit : Y a pas exception du fait qu'on est en "état d'urgence sanitaire"? non. Le projet de loi actuellement en navette - pour que le gvt prenne des ordonnances conditionne même la pose forcée de seulement 6 congés, à la conclusion d’un accord collectif d’entreprise ou de branche
Largo Winch Posté 25 mars 2020 Signaler Posté 25 mars 2020 On en est à 730 000 personnes en chômage partiel À cela s'ajoutent plus d'1 Milliard d'arrêts maladies... Coût : 2,2 milliards d'euros par semaine Le Maire a provisionné 8 Mds. Il en faudra plus du double. Pour 6 semaines de confinement, ça fera au moins dans les 15 - 20 milliards (le nombre de chômage partiel va continuer de progresser)... 3
Liber Pater Posté 25 mars 2020 Signaler Posté 25 mars 2020 Ça fait beaucoup d'arrêts maladie en France..
Marlenus Posté 25 mars 2020 Signaler Posté 25 mars 2020 17 minutes ago, Largo Winch said: On en est à 730 000 personnes en chômage partiel Coût : 2,2 milliards d'euros par semaine 3000€ par personne et par semaine? Tu calcules cela comment?
Largo Winch Posté 25 mars 2020 Signaler Posté 25 mars 2020 Effectivement, ça ne colle pas bien. C'est pourtant les chiffres qui circulent un peu partout. Par exemple : Quote Selon la CFDT, le chômage partiel coûterait déjà 2 à 2,5 milliards d’euros par semaine, dont 760 à 950 millions pour l’Unédic (assurance chômage). Ce n’est qu’un début, assure Éric Chevée, vice-président de la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME). Des milliers de chefs d’entreprise, comme moi, ont du mal à se connecter sur le site des Direccte (1) et leurs demandes ne sont pas encore prises en compte. Quote Autre signe du coup de frein à l'activité: quelques jours seulement après la mise en place d'un dispositif de chômage partiel visant à éviter des licenciements massifs, 730.000 salariés en bénéficiaient déjà. Et M. Le Maire a prévu que les 8,5 milliards d'euros provisionnés par l'Etat et l'Unedic, pour couvrir 15% des salariés durant deux mois, ne seraient pas suffisants.
poney Posté 25 mars 2020 Signaler Posté 25 mars 2020 que pourraient-être les ~1.8 milliards manquant entre les 800 millions de l'Unedic et le cout de 2,5 milliards ?? A supposer que la CFDT ne raconte pas n'imp
Cortalus Posté 25 mars 2020 Signaler Posté 25 mars 2020 il y a 12 minutes, Largo Winch a dit : Effectivement, ça ne colle pas bien. C'est pourtant les chiffrres qui circulent un peu partout. Par exemple : J'imagine qu'ils ajoutent au coût apparent des indemnités versées (sur la base de 84 % du net normalement mais ils ont annoncé qu'ils feraient 100 %) les cotisations patronales non perçues (environ 50 % du brut) et les impôts qui ne seront pas encaissés à cause de l'arrêt de la production (TVA sur la valeur ajoutée, IS sur le résultat...). Si l'on élargit le panorama au-delà de la vision de l'état prédateur, il faudrait en fait prendre en compte la totalité de la valeur ajoutée non produite (grosso modo, la diminution du PIB marchand qu'on va constater). Mais si on se place du point de vue de l'entreprise, l'approche par la valeur ajoutée est insuffisante car il faut ajouter aux pertes les facteurs de production non salariaux à coûts fixes (comme les loyers, les crédits-baux, les licences d'utilisation...) et le cas échéant les stocks périssables qui ne pourront pas être consommés dans la production. J'en oublie probablement...
Marlenus Posté 25 mars 2020 Signaler Posté 25 mars 2020 Sinon c'est marrant, je viens d'avoir un échange sur le sujet avec des personnes résolument optimistes: -En 2008 on avait une crise, on s'en est sorti sans trop de casse. -Depuis 2008 les économistes ont appris de leurs erreurs et nous ne reproduirons pas les mêmes, alors oui on aura une petite crise, mais rien de problématique en tout cas largement inférieur à ce que l'on a connut à l'époque. A ce niveau, j'ai même plus l'impression que l'on puisse parler d'optimisme. 1
Loi Posté 25 mars 2020 Signaler Posté 25 mars 2020 Après l'épisode que l'on connait aujourd'hui, j'imagine bien une crise bis façon 2011, avec une putain de problématique de financements des dettes des Etats. On en parle peu, mais l'Italie ça va être un carnage absolu, ça fait des années qu'ils sont dans la rouge... + l'effet covid désormais!
Frenhofer Posté 25 mars 2020 Signaler Posté 25 mars 2020 il y a 14 minutes, Marlenus a dit : Sinon c'est marrant, je viens d'avoir un échange sur le sujet avec des personnes résolument optimistes: En 2008 on avait une crise, on s'en est sorti sans trop de casse. (1) Depuis 2008 les économistes ont appris de leurs erreurs et nous ne reproduirons pas les mêmes, alors oui on aura une petite crise, mais rien de problématique en tout cas largement inférieur à ce que l'on a connut à l'époque. A ce niveau, j'ai même plus l'impression que l'on puisse parler d'optimisme. Ils sont hors-sol, tes copains. Ils ne doivent pas s'y connaître beaucoup. (1) Ça c'est le syndrome 'c'était pas du vrai communisme, vous verrez cette fois ça marchera'.
Rincevent Posté 25 mars 2020 Signaler Posté 25 mars 2020 il y a 58 minutes, Loi a dit : On en parle peu, mais l'Italie ça va être un carnage absolu, ça fait des années qu'ils sont dans la rouge... + l'effet covid désormais! Ça ne fait pas "des années". De mémoire, depuis l'unification italienne, le budget a été équilibré trois fois. Trois misérables années sur 150. 2
Loi Posté 25 mars 2020 Signaler Posté 25 mars 2020 Sauf que là ça prend des proportions dingues, leurs prochaines émissions obligataires risquent d'être folkloriques...
Lugaxker Posté 25 mars 2020 Auteur Signaler Posté 25 mars 2020 il y a une heure, Marlenus a dit : Sinon c'est marrant, je viens d'avoir un échange sur le sujet avec des personnes résolument optimistes: -En 2008 on avait une crise, on s'en est sorti sans trop de casse. -Depuis 2008 les économistes ont appris de leurs erreurs et nous ne reproduirons pas les mêmes, alors oui on aura une petite crise, mais rien de problématique en tout cas largement inférieur à ce que l'on a connut à l'époque. A ce niveau, j'ai même plus l'impression que l'on puisse parler d'optimisme. Quelle naïveté. Ils vont subir une grande désillusion quand ils comprendront que si on arrête la quasi-totalité de l'économie pendant plusieurs mois, on ne peut pas s'attendre à ce que la situation reste à peu près la même. Même si les États s'endettent et les banques centrales impriment de la monnaie, ça n'augmentera pas la richesse globale. Tout le monde sera plus pauvre après le confinement généralisé (mis à part certains qui auront bien profité des milliards débloqués). 1
h16 Posté 25 mars 2020 Signaler Posté 25 mars 2020 Il y a 5 heures, Largo Winch a dit : On en est à 730 000 personnes en chômage partiel À cela s'ajoutent plus d'1 Milliard d'arrêts maladies... Coût : 2,2 milliards d'euros par semaine Le Maire a provisionné 8 Mds. Il en faudra plus du double. Pour 6 semaines de confinement, ça fera au moins dans les 15 - 20 milliards (le nombre de chômage partiel va continuer de progresser)... Et ça c'est l'estimation des coûts d'arrêt, pas des répercutions économiques qui font un x2 ou x4 sur le total
h16 Posté 25 mars 2020 Signaler Posté 25 mars 2020 Il y a 2 heures, Lugaxker a dit : Quelle naïveté. Ils vont subir une grande désillusion quand ils comprendront que si on arrête la quasi-totalité de l'économie pendant plusieurs mois, on ne peut pas s'attendre à ce que la situation reste à peu près la même. Même si les États s'endettent et les banques centrales impriment de la monnaie, ça n'augmentera pas la richesse globale. Tout le monde sera plus pauvre après le confinement généralisé (mis à part certains qui auront bien profité des milliards débloqués). Le Maire annonçait je ne sais plus où une récession à -1% cette année. C'est rikiki. En 2009, on se tapait -2.2%. On peut donc déjà tabler au moins sur -4% , mais il me paraît pas irréaliste de tabler sur un chiffre plus gros, genre -6% voire -8% Je vous laisse faire le calcul du carnage que ça représente, mais ça va secouer. 1
Wayto Posté 25 mars 2020 Signaler Posté 25 mars 2020 On connaît le nombre de morts que représente la perte d'1 point du PIB ? (Si ce genre d'étude existe).
Calembredaine Posté 25 mars 2020 Signaler Posté 25 mars 2020 il y a 18 minutes, h16 a dit : Le Maire annonçait je ne sais plus où une récession à -1% cette année. C'est rikiki. En 2009, on se tapait -2.2%. On peut donc déjà tabler au moins sur -4% , mais il me paraît pas irréaliste de tabler sur un chiffre plus gros, genre -6% voire -8% Il me semble que plus de la moitié des actifs sont en confinement. Il n'y a que 25% de personnes en télétravail et 20% de chômage partiel. Par conséquent, 8% de récession me paraissent ridicules. 30% me paraissent plus plausibles. Sauf si, bien sûr, on comptabilise le pognon magique qui va inonder le pays (99,99% des gens n'en verront pas la couleur, ceci dit). 1
poney Posté 25 mars 2020 Signaler Posté 25 mars 2020 il y a 18 minutes, Wayto a dit : On connaît le nombre de morts que représente la perte d'1 point du PIB ? (Si ce genre d'étude existe). Bonne question, si je cherche ... - Un papier de la WHO : WHO GUIDE TO IDENTIFYING THE ECONOMIC CONSEQUENCES OF DISEASE AND INJURY https://www.who.int/choice/publications/d_economic_impact_guide.pdf Citation Zhang and Zhang (2005) estimate the effect of initial life expectancy on the ratio of investment to GDP for 76 countries in the period 1960-1989, showing that a 10% increase in initial life expectancy can raise the investment ratio by 2.4% and lead to nearly 1% increase in the growth rate (in a sensitivity analysis, however, the effect of life expectancy on the savings rate is inconclusive). This supports the suggestion made by Bloom et al (2003) about an off-setting effect of higher retirement expenditures. In addition, the effects of longevity on savings estimated by Zhang and Zhang (2005) are decreasing on life expectancy - that is, they become weaker as life expectancy increases. This is in line with the theoretical results presented by Aísa and Pueyo (2004), which suggest that health and growth compete for resources as life expectancy increases. C'est dans l'autre sens de ta question mais c'est un début de réponse Citation Chakraborty (2004) also finds a very strong positive relationship between health and income growth. When regressing only life expectancy on the 1990 GDP level per worker, his results suggest that longevity explains about 81% of the cross-country variation in income levels. In his growth regression, the coefficient on life expectancy in 1970 is around 6 times higher than that on school enrolment rates, pointing to a much bigger role for health than education. Sala-I-Martin et al. (2004) employ a Bayesian framework to assess the relative contribution of several variables in explaining economic growth. The authors find 11 variables that are robustly correlated with growth and health (as proxied by life expectancy in 1960) is found to be the 5th most significant ou encore Citation Turning to studies estimating the effect on income of malaria, Gallup and Sachs' (2001) find that countries with intensive malaria grew 1.3% less per person per year. They calculate that a 10% reduction in malaria was associated with 0.3% higher growth. Growth between 1965-1990 for countries with malaria has been 0.4% per annum compared to average growth for other countries of 2.3%. Further, more than one third of countries with severe malaria (11/29) had negative growth between 1965 and 1990. McCarthy, Wolf and Yu's (2000) growth regressions suggest a significant negative impact of malaria morbidity on GDP per capita growth. This result is robust to extensive sensitivity analysis, which includes the estimation of both a pooled specification and seemingly unrelated regressions and the inclusion of generic dummies for Africa and for sub-Saharan Africa to pick up country-idiosyncrasies. They further estimate the hypothetical growth effect of eliminating malaria morbidity by country and year, which exceeds 0.25% for about 25% of the sample and peaks at 3.22% for Malawi. Artadi and Sala-I-Martin (2003) predict that had Africa had no Malaria over the last four decades, its annual growth rate would have been 1.25% higher than it actually was. Their estimate of foregone growth from lower life expectancy is 2.07% per year. Gallup et al. (1998) put the reduction in growth rates due to malaria at 1.3%, while Shepard et al (1991) find a growth reduction of 0.6%. Sinon apprenez qu'en 2006 la commission EU a sorti un papier sur les conséquences macro économiques des pandémies ... https://ec.europa.eu/economy_finance/publications/pages/publication708_en.pdf Et on lis notamment ceci : Citation We have estimated the costs of a pandemic using a macro-model for the EU-25. We report GDP losses under various assumptions. In our baseline scenario we find for the first year of a pandemic, that is for 2006, a supply effect of - 1.1 per cent of GDP and a demand effect of - 0.5 per cent, totalling a fall in GDP of - 1.6 per cent. These effects diminish sharply for 2007 and 2008 but a long-run negative effect of - 0.6 per cent remains due to the reduction in the labour force caused by the pandemic. Additional effects can be added to this scenario. If we do so, we end up with an estimate of the GDP loss ranging between 2 and 4 per cent. Our results are in line with those of recent studies that explore the macroeconomic effects of a pandemic for other countries and regions. Our estimate of the macroeconomic cost of a pandemic in Europe is high, as we have investigated a rather severe medical scenario with a mortality rate higher than that of the Spanish influenza in Europe in 1918-1920. Still, such a pandemic does not have to spell economic disaster for Europe. The macroeconomic effects of a future pandemic as estimated here are roughly of the same size as those of a major recession. 2
poney Posté 25 mars 2020 Signaler Posté 25 mars 2020 Je continue meme si je n'ai trjs pas la réponse : -1gdp = +x%death mais https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/16051615 Commentary: economic growth is the basis of mortality rate decline in the 20th century--experience of the United States 1901-2000. Citation Economic growth, cumulatively over at least a decade, has been the central factor in mortality rate decline in the US over the 20th century. The volatility of rapid economic growth as it departs from its major trend, has a very short-term effect (within a year) to increase mortality-partly owing to adaptation to new technology and the adjustment of the formerly unemployed to new jobs, social status, and organizational structures. Le papier complet est ici/ , on peut peut-etre déduire que ça fonctionne dans l'autre sens aussi (en particulier year to year) Effect of the Great Recession on regional mortality trends in Europe https://www.nature.com/articles/s41467-019-08539-w Pas sur de comprendre toutes les subtilités mais Citation Results show that the countries and regions with the largest (smallest) economic slowdown were also those with the largest (smallest) strengthening of the declining mortality trend. This procyclical evolution of mortality rates is found to be stronger during the cold part of the year, showing that it also depends on the seasonal timing of the underlying causes of death. Citation Our results show that the countries and regions with the largest (smallest) economic slowdown were also those with the largest (smallest) strengthening of the declining mortality trend. We must emphasize that this result is only generally valid as a relative comparison between societies Citation We further explored the association between pre- vs. post-crisis changes in GDP and mortality trends by using daily temperatures and mortality rates (Supplementary Fig. 2) to express this association as a function of the temperature percentile, and in this way, to provide a description of the seasonal dependence of the association, i.e., results corresponding to cold (warm) percentiles show the association between trend changes for the coldest (warmest) days and months of the calendar year Citation This result suggests that the strength of the association between macroeconomic expansion and increase in mortality in the cold part of the year may perhaps be determined by the seasonal character of the major causes of death, as for instance fatalities due to influenza and other respiratory diseases have a clear seasonality, rather than the direct effect of extreme temperature days and cold spells during the harshest weeks in winter. This effect could be in turn related with the interaction of these causes of death with some of the effects of recessions, such as changes in atmospheric pollution (i.e., better air quality during recessions would exacerbate to a lower extent pre-existing cardio-respiratory diseases), unemployment (larger rates would reduce the transmission of infectious diseases at the workplace), or bad habits (e.g., the reduction in the consumption of alcohol would improve the physiological response to these diseases). 2 1
Cthulhu Posté 25 mars 2020 Signaler Posté 25 mars 2020 Les gauchistes pseudo-subtils qui pensent qu'on peut mettre un pays entier à l'arrêt sans vraie conséquence commencent à m'agacer sérieusement. 4
Solomos Posté 25 mars 2020 Signaler Posté 25 mars 2020 17 hours ago, Mathieu_D said: Ici c'est chômage partiel. On a été briefé sur le fait que toute tentative d'utiliser les outils informatiques des groupes pouvaient chagriner l'administration et retoquer le chômage partiel donc les gens sont priés de ne rien foutre et de toucher à leurs culs. C'est chomage partiel chez ton client ou chez ton employeur ? tu es toujours consultant ?
L'affreux Posté 25 mars 2020 Signaler Posté 25 mars 2020 Il y a 2 heures, h16 a dit : On peut donc déjà tabler au moins sur -4% , mais il me paraît pas irréaliste de tabler sur un chiffre plus gros, genre -6% voire -8% Je ne vois pas comment ça pourrait être peu. Si la plupart des gens s'arrêtent de travailler durant 6 semaines, on perd 11% de productivité. Plus la désorganisation qui fera que les mois restants seront moins efficaces.
Arna Posté 25 mars 2020 Signaler Posté 25 mars 2020 il y a une heure, Cthulhu a dit : Les gauchistes pseudo-subtils qui pensent qu'on peut mettre un pays entier à l'arrêt sans vraie conséquence commencent à m'agacer sérieusement. La Front page de Reddit est remplie de ce type de meme avec un topping gloire à Sanders. Ils rendent fou. 1
Rübezahl Posté 25 mars 2020 Signaler Posté 25 mars 2020 il y a 24 minutes, L'affreux a dit : Je ne vois pas comment ça pourrait être peu. Si la plupart des gens s'arrêtent de travailler durant 6 semaines, on perd 11% de productivité. Plus la désorganisation qui fera que les mois restants seront moins efficaces. Je ne voudrais pas paraître optimiste, mais il me semble que la productivité a été très élevée juste après-guerre (39-45). Perso je crois que, sauf dans les pays très obtus, il y a quand même des conneries contre-productives qui vont être allégées.
poney Posté 25 mars 2020 Signaler Posté 25 mars 2020 oui, il peut y avoir un effet de rattrapage post épidémie ; il est aussi tout à fait possible que dans une économie fortement tertiarisée, le télétravail diminue l'impact d'une recession beaucoup plus fortement qu'on l'imagine
Jesrad Posté 25 mars 2020 Signaler Posté 25 mars 2020 6 hours ago, Marlenus said: Sinon c'est marrant, je viens d'avoir un échange sur le sujet avec des personnes résolument optimistes: -En 2008 on avait une crise, on s'en est sorti sans trop de casse. -Depuis 2008 les économistes ont appris de leurs erreurs et nous ne reproduirons pas les mêmes, alors oui on aura une petite crise, mais rien de problématique en tout cas largement inférieur à ce que l'on a connut à l'époque. A ce niveau, j'ai même plus l'impression que l'on puisse parler d'optimisme. Ah oui, ‘les économistes’ tu sais ce sont les fonctionnaires chargés de produire l’économie. Ils ont corrigé la procédure, maintenant ça roule droit.
Tramp Posté 25 mars 2020 Signaler Posté 25 mars 2020 il y a 1 minute, poney a dit : oui, il peut y avoir un effet de rattrapage post épidémie ; il est aussi tout à fait possible que dans une économie fortement tertiarisée, le télétravail diminue l'impact d'une recession beaucoup plus fortement qu'on l'imagine ca + le fait qu’on travaille avec d’autres pays.
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