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Patrons agressés et sequestrés


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Me concernant, je crains davantage les bandes de racailles de banlieue que la racaille syndicaliste.

La plus grosse erreur, épuisante et chronophage c'est de s'enquiquiner à se poser ce genre de questions et culpabiliser les uns ou les autres à propos du placement de leur curseur personnel sur une échelle "d'indignation légitime".

Les deux phénomènes sont à éradiquer et de manière prioritaire, point barre. Les moyens diffèrent voilà tout et mélanger les deux sujets c'est déjà faire une confusion dommageable sur les moyens et la façon de les employer.

- Racailles de banlieue : crainte et réaction forte du public mais pipi de chat en action

- Racailles syndicalistes : crainte et réaction faible du public mais pipi de chat en action

Les discussions des derniers posts se résument donc à s'arroser de pipi de chat.

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La plus grosse erreur, épuisante et chronophage c'est de s'enquiquiner à se poser ce genre de questions et culpabiliser les uns ou les autres à propos du placement de leur curseur personnel sur une échelle "d'indignation légitime".

Les deux phénomènes sont à éradiquer et de manière prioritaire, point barre. Les moyens diffèrent voilà tout et mélanger les deux sujets c'est déjà faire une confusion dommageable sur les moyens et la façon de les employer.

C'est Chitah qui a poussé à la comparaison, pas moi. Il demandait une réponse je lui en donnais une (parmi d'autres).

Mais sur le fond je suis tout à fait d'accord avec toi, les deux sont des parasites à erradiquer.

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La plus grosse erreur, épuisante et chronophage c'est de s'enquiquiner à se poser ce genre de questions et culpabiliser les uns ou les autres à propos du placement de leur curseur personnel sur une échelle "d'indignation légitime".

Les deux phénomènes sont à éradiquer et de manière prioritaire, point barre. Les moyens diffèrent voilà tout et mélanger les deux sujets c'est déjà faire une confusion dommageable sur les moyens et la façon de les employer.

- Racailles de banlieue : crainte et réaction forte du public mais pipi de chat en action

- Racailles syndicalistes : crainte et réaction faible du public mais pipi de chat en action

Les discussions des derniers posts se résument donc à s'arroser de pipi de chat.

OK, aucun problème, on en reparle dans quelques semaines, quand sortiront les vrais plans de rigueur, et on mesurera les désagréments provoqués par la racaille syndicale.

Bloquer des autoroutes, des ports, des gares entières, des aéroports, privant ainsi simultanément des centaines de milliers de personnes de leur liberté de mouvement, je n'ai jamais vu avec les racaillous de banlieue. Ces types saccagent dans leur quartier en plus.

Bref, on en reparle dans quelques semaines. :popcorn:

Mais sur le fond je suis tout à fait d'accord avec toi, les deux sont des parasites à erradiquer.

Oui, contrairement à moi qui ait expliqué que les racailles de banlieue ne devaient surtout pas être embêtées n'est-ce pas?

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Bloquer des autoroutes, des ports, des gares entières, des aéroports, privant ainsi simultanément des centaines de milliers de personnes de leur liberté de mouvement, je n'ai jamais vu avec les racaillous de banlieue. Ces types saccagent dans leur quartier en plus.

Bref, on en reparle dans quelques semaines. :popcorn:

Si tu veux, on peut parler des racailles de banlieues qui tuent, violent, volent et pillent. Y'en a aussi. Et y'a pas besoin d'attendre dans quelques semaines, hein.

Bref : kif kif bourricot.

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OK, aucun problème, on en reparle dans quelques semaines, quand sortiront les vrais plans de rigueur, et on mesurera les désagréments provoqués par la racaille syndicale.

Bloquer des autoroutes, des ports, des gares entières, des aéroports, privant ainsi simultanément des centaines de milliers de personnes de leur liberté de mouvement, je n'ai jamais vu avec les racaillous de banlieue. Ces types saccagent dans leur quartier en plus.

Les syndicalistes sont capables de créer des mouvements ponctuels de grande ampleur pour emmerder des millions de gens sur des actions coup de poing concentrées.

Les voyous contemporains (de banlieue et d'ailleurs) emmerdent chaque jour des millions de gens d'une manière diffuse, par des actes isolés.

D'un côté on a des grenades bien calibrées à la fabrication et utilisées régulièrement et de l'autre des bombes ou des bombinettes artisanales qui s'agitent de plus en plus fort dans une grosse marmite de bouillasse quotidienne.

Ce que je voulais dire c'est qu'il vaut mieux traiter les deux sujets de front (*) plutôt que d'en décréter un plus important. C'est le meilleur moyen d'éveiller les consciences de tout le monde sur ce qui pourrait être plus efficace sans laisser d'ambiguïté et de prétextes à la complainte des uns et des autres parce que le sujet qu'ils jugent prioritaire n'est pas traité.

Les libéraux ont la possibilité d'allonger la liste des actions étatiques calamiteuses pour proposer d'autres voies de réflexion et d'action, autant être exhaustif.

(*) calme toi rogermila, ce n'était pas un de tes appels subliminables à la répression bleue marine et républicaine.

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@Salatomatonion : je vais juste synthétiser ce que j'ai écrit. Il y a trois éléments à prendre en compte :

- la couverture médiatique et du coup l'image sociale des troubles créés par les uns et les autres

- la gravité des faits imputés et la largeur de leur impact

- l'impunité dont jouissent les fauteurs de troubles

Concernant ces trois éléments, j'ai le sentiment que la racaille syndicaliste jouit d'une position largement plus favorable pour elle que la racaille de banlieue. Pour le reste, comme mentionné plus haut (notamment par toi), on s'oppose sur du ressenti, pas de quoi fouetter un chat.

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Concernant ces trois éléments, j'ai le sentiment que la racaille syndicaliste jouit d'une position largement plus favorable pour elle que la racaille de banlieue.

Médiatiquement , c'est tout à fait vrai. Les médias sont très complaisants vis à vis des syndicalistes ou des grévistes, peu envers les troublions de banlieue.

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@Salatomatonion : je vais juste synthétiser ce que j'ai écrit. Il y a trois éléments à prendre en compte :

- la couverture médiatique et du coup l'image sociale des troubles créés par les uns et les autres

- la gravité des faits imputés et la largeur de leur impact

- l'impunité dont jouissent les fauteurs de troubles

Concernant ces trois éléments, j'ai le sentiment que la racaille syndicaliste jouit d'une position largement plus favorable pour elle que la racaille de banlieue. Pour le reste, comme mentionné plus haut (notamment par toi), on s'oppose sur du ressenti, pas de quoi fouetter un chat.

J'avais bien compris tout ça. ;)

Toutefois la position favorable me semble surtout marquée pour le point 1. Sur le 2, la gravité n'est pas négligeable (même si le niveau d'acceptation de la population a aussi baissé) et elle est aussi contrebalancée par l'occurrence par rapport aux actions délictueuses des syndicats.

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Concernant ces trois éléments, j'ai le sentiment que la racaille syndicaliste jouit d'une position largement plus favorable pour elle que la racaille de banlieue. Pour le reste, comme mentionné plus haut (notamment par toi), on s'oppose sur du ressenti, pas de quoi fouetter un chat.

Dans les médias c'est très clair.

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Et personne n'a encore parlé des wesh-wesh encartés à la CGT. Peu nombreux mais absolument terribles. :mrgreen:

Bon, maintenant que ce fil semble allègrement pourri par des comparaisons de caniveau, la conclusion de la dernière séquence victimaire où il a sombré s'impose: il faudrait créer un syndicat de défense des voyous basanés un peu trop victimes de discriminations dans les médias souchiens.

Ah, mais on me dit que ça existe déjà.

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Bon, maintenant que ce fil semble allègrement pourri par des comparaisons de caniveau, la conclusion de la dernière séquence victimaire où il a sombré s'impose: il faudrait créer un syndicat de défense des voyous basanés un peu trop victimes de discriminations dans les médias souchiens.

Ah, mais on me dit que ça existe déjà.

J'en parlais hier avec deux amis, il existe beaucoup de gens qui écrivent avec des mots-lubies. Juste pour voir, lance-toi un défi :

- essayer de parler du fond plutôt que d'être dans le méta-discours (en clair, est-ce ce que je lis me semble juste? comment argumenter)

- essaye d'arrêter d'utiliser les termes "pourrir un fil", "trolling", "victimaire", "repentance", "culture de l'excuse", etc.

Si tu tiens le coup, alors ce que j'écris ci-dessus ne sont pas des lubies qui te submergent.

Et honnêtement, question comparaison de caniveau, oser expliquer que le groupusculaire club des Indigènes de la République a un quelconque rapport avec un syndicat comme la CGT relève de l'absurdité pure et simple, c'est honnêtement de la folie furieuse.

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Et honnêtement, question comparaison de caniveau, oser expliquer que le groupusculaire club des Indigènes de la République a un quelconque rapport avec un syndicat comme la CGT relève de l'absurdité pure et simple, c'est honnêtement de la folie furieuse.

La victimologie est la science indispensable pour décoder l'époque, qui pullule de charlatans et d'escrocs dans ce domaine. C'est ce que nous a appris René Girard, dont je ne doute pas que tu connaisses sa théorie du bouc-émissaire.

Pour le reste, ce n'est pas moi qui ai entraîné ce débat dans les égouts.

Un peu d'humour que diable.

nb: sos-potes est bien une espèce de syndicat appararenté

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Disons que pour moi l'action des racailles est plus grave que celle de syndicalistes locaux car paradoxalement l'action des seconds se rapproche de celle d'une bande de voyous alors que celle des premiers est comparable à celle d'une dictature.

Je ne suis pas vraiment d'accord. Il y a violence dans les deux cas, et violence qui s'attaque aux personnes.

Mais dans un cas, celle des syndicalistes ou des paysans, il y a assentiment et légitmisations de ces actes par des sanctions ridicules (quant il y en a). Dans l'autre, il y a de la prison ferme - au moins quand l'affaire est médiatisé.

Bon, maintenant met-toi dans la peau d'un jeune des banlieue. Juste un instant pour voir. Que voit-il : d'un coté des blancs, riches au moins de son point de vu, qui peuvent impunément mettre à sac des supermarchés, des préfectures ou des ministères, bloquer des voies urbaines, enfermer des personnes et qui sont présenté assez fréquemment, si ce n'est comme des héros, au moins comme des personnes "désespérées" et quand il a fait la même chose, lui et ses copains sont arrêtés par la police, condamné en comparution immédiate…

Il peut avoir l'impression d'une justice raciste. Et je ne lui donne pas tord. Pourquoi lui, n'a-t-il pas le droit d'aller se servir chez Go-Sport ?

Le rôle de l'état, c'est d'assurer la sécurité. A partir du moment où - pour des raisons politiques - il arrête d'assumer ce rôle à l'encontre de certaine catégorie de personne, il perd sa légitimité.

La distinction que tu fais entre voyou et dictature est arbitraire. En pratique, les dictatures assoient leur pouvoir grâce à des bandes de voyou. Quand les distributeurs de 20 mn étaient chassé avec des barres de fer, ce n'était pas pour rigoler.

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Je ne suis pas vraiment d'accord. Il y a violence dans les deux cas, et violence qui s'attaque aux personnes.

Mais dans un cas, celle des syndicalistes ou des paysans, il y a assentiment et légitmisations de ces actes par des sanctions ridicules (quant il y en a). Dans l'autre, il y a de la prison ferme - au moins quand l'affaire est médiatisé.

Bon, maintenant met-toi dans la peau d'un jeune des banlieue. Juste un instant pour voir. Que voit-il : d'un coté des blancs, riches au moins de son point de vu, qui peuvent impunément mettre à sac des supermarchés, des préfectures ou des ministères, bloquer des voies urbaines, enfermer des personnes et qui sont présenté assez fréquemment, si ce n'est comme des héros, au moins comme des personnes "désespérées" et quand il a fait la même chose, lui et ses copains sont arrêtés par la police, condamné en comparution immédiate…

Il peut avoir l'impression d'une justice raciste. Et je ne lui donne pas tord. Pourquoi lui, n'a-t-il pas le droit d'aller se servir chez Go-Sport ?

Le rôle de l'état, c'est d'assurer la sécurité. A partir du moment où - pour des raisons politiques - il arrête d'assumer ce rôle à l'encontre de certaine catégorie de personne, il perd sa légitimité.

La distinction que tu fais entre voyou et dictature est arbitraire. En pratique, les dictatures assoient leur pouvoir grâce à des bandes de voyou. Quand les distributeurs de 20 mn étaient chassé avec des barres de fer, ce n'était pas pour rigoler.

Voilà.

Contrairement à ce que dit free jazz (avec qui je viens par ailleurs de m'envoyer des coups à boire dans le centre de Paris en compagnie du délicieux Apollon), je ne cherchais pas à troller, mais simplement à dire, maladroitement, ce que henriparisien exprime ci-dessus. N'épiloguons pas, je pense par ailleurs que nous sommes tous plus ou moins d'accord, et nous en avons parlé tout à l'heure. La racaille syndicale bénéficie de l'impunité presque complète pour leurs forfaits. Les jeunes de banlieue coupables de méfaits, sans réseau, sans poids politique, sans rien, subissent eux (à juste titre d'ailleurs) la dureté du système judiciaire.

Les exemples cités (mise à sac d'un supermarché, intimidation des distributeurs du quotidien gratuit 20minutes, etc.) parlent d'eux-mêmes.

Et au risque de me répéter, si toi la racaille de banlieue tu me lis, je te donne un conseil, dommageable évidemment puisque je t'explique comment perpétrer des délits dans l'impunité : adhère à la CGT. Argent gratuit, violence impunie, etc. Ce monde s'ouvre à toi.

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Contrairement à ce que dit free jazz (avec qui je viens par ailleurs de m'envoyer des coups à boire dans le centre de Paris en compagnie du délicieux Apollon), je ne cherchais pas à troller, mais simplement à dire, maladroitement, ce que henriparisien exprime ci-dessus.

Je confirme les propos du singe, pas totalement mytho, avec qui je reste bon pote et de bon conseil quand on a tué les réflexes idéologiques à coups de chopes.

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Je ne suis pas vraiment d'accord. Il y a violence dans les deux cas, et violence qui s'attaque aux personnes.

Mais dans un cas, celle des syndicalistes ou des paysans, il y a assentiment et légitmisations de ces actes par des sanctions ridicules (quant il y en a). Dans l'autre, il y a de la prison ferme - au moins quand l'affaire est médiatisé.

Bon, maintenant met-toi dans la peau d'un jeune des banlieue. Juste un instant pour voir. Que voit-il : d'un coté des blancs, riches au moins de son point de vu, qui peuvent impunément mettre à sac des supermarchés, des préfectures ou des ministères, bloquer des voies urbaines, enfermer des personnes et qui sont présenté assez fréquemment, si ce n'est comme des héros, au moins comme des personnes "désespérées" et quand il a fait la même chose, lui et ses copains sont arrêtés par la police, condamné en comparution immédiate…

Il peut avoir l'impression d'une justice raciste. Et je ne lui donne pas tord. Pourquoi lui, n'a-t-il pas le droit d'aller se servir chez Go-Sport ?

Le rôle de l'état, c'est d'assurer la sécurité. A partir du moment où - pour des raisons politiques - il arrête d'assumer ce rôle à l'encontre de certaine catégorie de personne, il perd sa légitimité.

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