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Démission du gouvernement belge


Invité rogermila

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Tu ne crois pas que le rattachisme fait son bout de chemin au sein des partis traditionnels, auquel cas, le pourcentage peut en réalité être gonflé?

Non. Jamais. Premier principe de l'homme politique : plutôt tête de souris que queue de lion. Les politiques francophones belges n'ont aucune envie de jouer les parents pauvres de province dans le système politique français.

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Mais comme je vois vraiment mal les Flamands renoncer à Bruxelles, j'augure de la disparition de la XIIe République française avant celle de la Belgique.

Pour commencer je sens qu'on va longtemps chambrer notre Barman de choc sur ses prévisions au doigt mouillé.

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Je plussoie la position de Lucilio. La Belgique va se diriger vers une quasi-confédération car c'est le souhait politique (alors que je reste convaincu qu'un référendum re-nationaliserait le pays).

Par contre, il ne faut pas croire qu'une confédération sera un grand soir libéral; le flamand sera fautif de l'austérité et des accords socio-économiques survivront du système fédéral pour maintenir la politique citoyenne et festive avec moins d'intensité.

Mais, même si Gendebien se frotte les paumes en ce moment, il n'y a aucune chance de voir un rattachement prochainement.

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Les chaines françaises appuient sur le champignon en ce moment avec cette histoire de possible rattachement.

Sur la 5, "C dans l'Air" de mardi était intitulé : Wallonie, 26 ème région française ?

De tout ce qui ce passe en Belgique avec la politique c'est vraiment ces froancais qui m'énervent le plus :icon_up: . c'est déjà assez compliqué comme ça. ils n'y comprenent rien et n'ont rien à faire là dedans !

Et pour ce qui est des ratachistes se sont des lâches. Certains extrêmistes flamands veulent peut-être une scission de la Belgique, mais ne se soumettent pas comme des chiens devant un nouveau maître.

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Et pour ce qui est des ratachistes se sont des lâches.

Je dirais plutôt de foutus complexés.

…c'est déjà assez compliqué comme ça.

En fait, pas tant que ça. S'agit surtout et très bêtement d'une histoire de gros sous.

Parce que le coup du "conflit identitaire", laissez-moi rire 30 secondes. Quand un ministre flamand s'appelle Leterme et une autre francophone Onkelinckx, on se doute bien que cette histoire de communauté, c'est du flan caramel mou.

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Invité rogermila
En fait, pas tant que ça. S'agit surtout et très bêtement d'une histoire de gros sous.

Parce que le coup du "conflit identitaire", laissez-moi rire 30 secondes.

Ce n'est pas une affaire de gros sous.

Il fallait voir hier les reportages (tournés par des français) montrant des flamands insultant des wallons devant les bureaux de vote.

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Il fallait voir hier les reportages (tournés par des français) montrant des flamands insultant des wallons devant les bureaux de vote.

Des Flamands. Voilà.

Et on peut parfaitement insulter pour des sous. C'est classique en France d'ailleurs.

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De tout ce qui ce passe en Belgique avec la politique c'est vraiment ces froancais qui m'énervent le plus :doigt: . c'est déjà assez compliqué comme ça. ils n'y comprenent rien et n'ont rien à faire là dedans !

Et pour ce qui est des ratachistes se sont des lâches. Certains extrêmistes flamands veulent peut-être une scission de la Belgique, mais ne se soumettent pas comme des chiens devant un nouveau maître.

Mais oui c'est la faute à l'étranger si des arriérés flamands nationalistes et des parasites socialistes wallons se tapent sur la gueule!? :icon_up:

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Ce n'est pas une affaire de gros sous.

Il fallait voir hier les reportages (tournés par des français) montrant des flamands insultant des wallons devant les bureaux de vote.

Et c'est une minorité

Va en Flandre, rencontre des gens et tu verras que la plupart ne savent pas ce que c'est BHV, ont les même préoccupations que les francophones et sont souvent sympathiques surtout si tu fais preuve d'un peu de bonne volonté en engageant la conversation en flamand.

Juste comme partout une minorité d'extrémistes et un certain nombre qui ne connaissent que la Wallonie via les faits divers à Charleroi :icon_up:

Alors forcément à entendre à longueur de journée que les Wallons sont tous fainéants et alcooliques et qui vivent sur le dos des flamands, ça laisse des traces…

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En fait, pas tant que ça. S'agit surtout et très bêtement d'une histoire de gros sous.

Parce que le coup du "conflit identitaire", laissez-moi rire 30 secondes. Quand un ministre flamand s'appelle Leterme et une autre francophone Onkelinckx, on se doute bien que cette histoire de communauté, c'est du flan caramel mou.

Je suis pas sûr. Ce n'est qu'une question linguistique, c'est clair. On ne se bat pas autant que pour la langue d'un territoire. Néanmoins les flamands ont du mal à accepter que Bruxelles est passé de flamande à francophone en très peu de temps. Mais il y a aussi les idées politiques qui sont différentes. Ils n'ont tout simplement pas la même mentalité.

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Néanmoins les politocards flamands ont du mal à accepter que Bruxelles est passé de flamande à francophone en très peu de temps.

Corrigé.

Les Flamands se foutent de Bruxelles comme de leur première chemise. Ils veulent pas y vivre malgré les ponts d'or que leur promet le gouvernement flamand pour essyer une ridicule reconquista démographique.

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  • 2 weeks later...
Invité rogermila
Ne dis pas de sottises : les rattachistes ont fait 0,6% aux élections (1,5% au niveau francophone). 35.743 voix, point barre.

:icon_up:

ça va très vite.

Sondage sur les Wallons et l'avenir de la Wallonie, réalisé par l'Ifop pour Le Figaro Magazine .

- 32% des sondés sont favorables au rattachement de la Wallonie à la France.

- Et 96% des Wallons jugent grave la situation. Pour 38% d'entre eux, elle est même «très grave».

http://www.lefigaro.fr/international/2010/…ir-francais.php

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- 32% des sondés sont favorables au rattachement de la Wallonie à la France.

Ils se cachent bien alors, personnellement, à part une prof et un gars dans mon quartier qui colle des affiches RWF je n'en ai jamais rencontré

Vouloir le rattachement, c'est l'aveu qu'une Wallonie indépendante se ferait laminer économiquement.

Seule et avec les politiciens actuels c'est sur, avec bxl c'est tout de suite plus viable économiquement

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Ils sont quand même pour le chèque-éducation, la dépolitisation de l'administration, la limitation dans le temps des allocations de chômage, la baisse des charges sur les salaires, contre l'hystérie écolo.. en ce qui me concerne c'est le choix le moins pire.

tu disais ?

Louis Laurent, seul élu du PP à la chambre :

Le PP ? « Il assume ses idées, il n’a pas peur de dire tout haut ce que les autres pensent tout bas. Si je m’engage, c’est pour des valeurs libérales avec la possibilité de parler de tout comme à l’UMP en France. » Vraiment ? « Surtout avant que Nicolas Sarkozy ne soit président. Si on ne parle pas, on va vers des dérives inqualifiables. Mais les idées de droite ne sont plus en odeur de sainteté au MR. »

UMP, libéralisme…. plop :icon_up:

Vu le bonhomme, je vois mal comment il pourrait faire bouger les choses de façon positive

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  • 2 weeks later...
Invité rogermila

Comment accoutumer progressivement la population au rattachement d'une partie de la Belgique à la France. :icon_up:

L'Italien Alessandro Petacchi a remporté la première étape du Tour de France 2010 dimanche à Bruxelles au terme d'un final chaotique avec trois chutes collectives dans les deux derniers kilomètres
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Invité rogermila

Un responsable de la RTBF, un dénommé Jean- Pierre Jaqmin, dit que les flamands regardent massivement les programmes de la VRT et très peu les chaines des Pays-Bas alors que les wallons regardent davantage France 2, France 3 ou TF1 que la RTBF.

ça signifie déjà beaucoup de choses.

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Un responsable de la RTBF, un dénommé Jean- Pierre Jaqmin, dit que les flamands regardent massivement les programmes de la VRT et très peu les chaines des Pays-Bas alors que les wallons regardent davantage France 2, France 3 ou TF1 que la RTBF.

ça signifie déjà beaucoup de choses.

La réponse est simple : RTBF :icon_up:

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  • 1 month later...
Invité rogermila

La Belgique, à supposer que ce pays existe toujours, est vraiment au fond du gouffre

La situation serait donc tellement inextricable que certains redoutent qu’une seule chose puisse alors sauver la Belgique : des spéculations contre notre pays, qui provoqueraient un sursaut face à l’urgence de former un gouvernement…

Voilà qui en dit long sur les difficultés de l’heure. Et sur le temps que prendra encore le processus de formation gouvernementale. D’autant qu’en Flandre, Bart De Wever détiendrait un tel capital sympathie qu’il ne devrait nullement se précipiter. Ses électeurs patienteront pour qu’il obtienne plus pour sa Flandre…

A ce rythme, la rentrée parlementaire aura lieu, le 12 octobre, sans gouvernement.

Même la présidence belge de l’Union européenne toucherait doucement à sa fin sans nouvelle coalition.

Au point que certains se préparent mentalement à négocier, non plus un gouvernement belge, mais la séparation du pays.

http://www.lesoir.be/actualite/belgique/el…pire-791261.php

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Mais comme je vois vraiment mal les Flamands renoncer à Bruxelles, j'augure de la disparition de la XIIe République française avant celle de la Belgique.

J'aurais dû parier une bonne bouteille de whisky avec Lucilio.

En Belgique, le scénario de la séparation se précise

Entre les francophones de Wallonie et les néerlandophones de Flandre, les tensions ne cessent de s’accroître.

C’est une « mission de médiation » qui ressemble à une mission de la dernière chance avant une éventuelle scission de la Belgique en deux Etats indépendants, la Flandre et la Wallonie. Le roi Albert II l’a confiée aux présidents de la Chambre et du Sénat, qui doivent trouver, à partir d’aujourd’hui, une solution au malaise.

Car la Belgique, dont la devise est L’union fait la force, pressent désormais comme « possible » la dislocation du pays. Ainsi Laurette Onkelinx, la vice-Première ministre socialiste (le PS est le premier parti francophone) dit « vouloir s’y préparer plutôt que de la subir ».

Depuis près de trois mois (les élections législatives ont eu lieu le 13 juin), le sort de la Belgique est entre les mains du président du premier parti de Flandre (29,5% des suffrages, 27 des 150 députés fédéraux), Bart De Wever, le leader nationaliste de la NV-A (Nouvelle Alliance flamande) qui prône avec force l’indépendance de la Flandre. Ses négociations avec le PS sur la formation d’un gouvernement fédéral ont échoué, la NV-A exigeant le transfert de trop de compétences fédérales (dont la justice, la sécurité routière, etc.) aux régions.

Le parti nationaliste flirte avec les libéraux

Il revendique pour la Flandre, de plus, une autonomie financière accrue, ce qui anéantirait le système de Sécurité sociale nationale et appauvrirait la Wallonie, selon le PS. La région francophone est économiquement plus défavorisée. La NV-A refuse aussi de refinancer Bruxelles, pourtant choisi par la Flandre comme sa capitale, alors que n’y résident que 5,3% d’habitants d’expression flamande.

La Belgique est-elle donc sur le point d’imploser avec une Wallonie qui pourrait demander son rattachement à la France ? Ce scénario, encore considéré comme impossible il y a un an, commence bel et bien à s’écrire. De Wever et ses troupes nationalistes sont entièrement voués à la cause indépendantiste, inscrite dans leur programme. Bart De Wever, estiment les analystes belges, pourrait jouer le pourrissement de la situation politique pour forcer un retour aux urnes. Dans l’espoir d’empocher alors, non plus 29,5% des voix en Flandre, mais jusqu’à 50%, selon certains sondages. Cela forcerait la marche vers une séparation du pays même si, constitutionnellement, ce scénario semble difficile à réaliser.

Officiellement, le parti nationaliste flamand dit « espérer un accord ». Mais il flirte désormais avec les libéraux, jusqu’à présent écartés des négociations (au profit des sociaux-chrétiens et des écologistes) pour tenter de former un gouvernement de droite radicale, en pointe sur les questions de l’immigration et de la rigueur budgétaire.

http://www.leparisien.fr/international/en-…010-1058032.php

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Invité rogermila

La Belgique est très mal barrée.

Un responsable important du parti socialiste francophone, Philippe Moureaux a été le premier à briser le tabou d'une éventuelle scission en évoquant dans une interview vendredi la scission du pays.

«On est jusqu'à présent dans un processus de délitement de l'Etat. On va peut-être entrer dans l'organisation progressive de la séparation», a-t-il dit.

Si les négociations pour former un gouvernement restent dans l'impasse, les Belges pourraient être convoqués à nouveau devant les urnes, avec un risque de radicalisation accrue de l'électorat flamand.

Dimanche, plusieurs dizaines de milliers de Flamands ont participé à une manifestation annuelle consistant à faire le tour de Bruxelles à vélo ou à pied pour rappeler aux francophones qui résident dans la capitale et sa banlieue qu'ils vivent entourés de la Flandre, et pour bien marquer le caractère néerlandophone de leur territoire.

http://www.lefigaro.fr/international/2010/…la-scission.php

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Le fameux caractère néerlandophone de leur territoire :icon_up:

Une étude récente menée par des flamands vient de montrer que dans les 6 communes à facilités, seuls 14% des jeunes couples parlaient néerlandais à la maison et à peine 40% dans l'entièreté de la périphérie bruxelloise.

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J'aurais dû parier une bonne bouteille de whisky avec Lucilio.

http://www.leparisien.fr/international/en-…010-1058032.php

Un article du parisien (français, donc) …

Un article du figaro, français donc.

Bilan : on peut y lire l'affolement de celui qui voit un combat de lions alors qu'il n'y a en réalité que deux petits ours qui se grattent un peu les côtes.

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Invité rogermila
Un article du figaro, français donc.

Euh……La presse belge n'est guère plus optimiste sur la suite des évènements.

L’éventualité d’une évaporation de la Belgique ne doit pas nous faire peur. Voilà, en substance, le message que plusieurs ténors socialistes (dans l’ordre d’apparition Philippe Moureaux, Laurette Onkelinx et Rudy Demotte) ont délivré ce week-end.

…………Nous avons limité l’analyse à l’hypothèse d’un État Wallonie-Bruxelles, en partant du principe que ce serait la piste privilégiée par les habitants de la capitale (et peut-être des communes à facilités) en cas de scénario post-belge. Et l’on imagine mal qu’en pareilles circonstances, les citoyens n’aient pas leur mot à dire.

Outre les questions de la sécurité sociale et des finances publiques traitées ci-dessous, une scission aurait de multiples impacts, notamment territoriaux: quel serait le sort des accès ferroviaires et routiers à Bruxelles? Les Wallons pourraient répliquer à d’éventuelles menaces de blocage, avec l’arme de l’eau potable. Un quart de l’eau consommée en Flandre vient en effet de Wallonie. Cela peut peser dans une telle négociation, comme l’a déjà rappelé à plusieurs reprises le ministre wallon Benoît Lutgen.

Les partis francophones, qui ne souhaitent pas un scénario séparatiste, s’y préparent toutefois. Ils ont formé le groupe 4P3U (quatre présidents, trois universitaires), qui a déjà eu l’occasion de tester divers modèles.

http://www.lecho.be/actualite/economie_-_p…-3154.art?ckc=1

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Euh……La presse belge n'est guère plus optimiste sur la suite des évènements.

T'inquiète : même mode de fonctionnement, même lectorat, mêmes subventions, mêmes peignes-zizi qui la produisent. Même résultat donc, même classement vertical.

Maintenant, dans la rue, dans la vie de tous les jours … tout le monde s'en fiche et ce qui gêne surtout, c'est que les administrations soient en affaire courante. Point. M'est avis que le bazar peut encore durer quelques mois sans que ça porte préjudice à qui que soit réellement.

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Comme le rappelait mélodius, le point crucial est ce qu'il adviendrait de Bruxelles dans une scission. Les Flamands croient que Bruxelles est 50% flamande et les francophones pensent que c'est plutôt 10 ou 20%. Sans Bruxelles, le séparatisme flamand et sa théorie d'une redistribution à sens unique des riches Flamands vers les francophones paresseux deviennent nettement moins fondés.

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