Flashy

Je t'invite à te renseigner sur Sikorski avant de considérer qu'il s'agit d'un 'poutinophile" au prétexte qu'il est lucide sur les américains. http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/europe/ukraine/10737838/Ukraine-crisis-Poland-asks-Nato-to-station-10000-troops-on-its-territory.html http://www.bbc.com/news/world-europe-31753943 Toute son action semble indiquer qu'il se préparait à un conflit militaire avec Poutine. Gros poutinophile, quoi.

Je cite Sikorski, le ministre polonais poutinophile, vulgaire et beauf : Alors oui, c'est wikipédia, mais il me paraît à peu près certain que la diplomatie polonaise n'était pas "poutinophile" en 2014. Le lien vers l'article du Spiegel : http://www.spiegel.de/international/europe/polish-foreign-minister-sikorski-in-the-limelight-in-ukraine-crisis-a-972239.html#js-article-comments-box-pager

Le gouvernement polonais poutinophile. Amusant. C'est bien connu que la Pologne et la ligne gouvernementale en 2014 étaient poutinophiles. Pour revenir à des choses plus sérieuses, qui a lu le "Grand Echiquier" de Brzezinski?

J'ai souvent entendu dire que le Gouvernement français était ultra-libéral.

La distinction serait plutôt dictature "froide" et dictature "chaude". La première n'exige que l'obéissance, ou à tout le moins la passivité. La seconde exige l'adhésion sincère des masses. Inutile de préciser dans quel type de dictature le risque "totalitaire" est le plus fort.

Vous connaissez la loi NOTRe (pour loi portant Nouvelle Organisation Territoriale de la République)? Vous pouvez la lire ici : http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do;jsessionid=93C943C24C27074D0337EF5713507353.tpdila08v_2?cidTexte=JORFTEXT000030985460&categorieLien=id Vous avez entendu parler de cette loi dans le cadre du redécoupage des régions. Mais saviez-vous qu'elle contient des tas d'autres trucs, dont du LOL en barre? Saviez-vous que la clause de compétence générale, qui permet à une collectivité territoriale de se saisir de tout sujet ne relevant pas de l’Etat dès lors qu'elle justifie d'un "intérêt local", est supprimée pour les départements et régions? Osef, me direz-vous. Mais saviez-vous que les départements et régions sont actionnaires de nombreuses sociétés. En rapprochant ces deux données, on aboutit à un cas où l'actionnaire de la société (régions ou départements) n'a plus le droit d'être actionnaire, ce qui conduit : a) à brader les actions ou, à défaut, b ) à liquider la société. Si la chose se confirme (je ne suis pas publiciste), ce serait énorme. EDIT : ça ne pourra pas s'appliquer au domaine culturel, je suis tristesse . J'espère qu'on aura quelques cas rigolos, dans le domaine des transports ou autre.

Les "gens du Nord" = Bonduelle, quelques gros patrons, les cultureux et cinq anonymes de Gauche.

Ce n'est pas ici qu'on a abordé le thème du "chimérisme"? http://www.lepoint.fr/insolite/il-decouvre-qu-il-est-a-la-fois-le-pere-et-l-oncle-de-son-bebe-02-11-2015-1978888_48.php

Mets une balise spoiler.

Y a aussi un classement de l'évasion fiscale, citant le "danger asiatique" (c'est le "péril jaune" nouvelle génération, je suppose). http://www.lemonde.fr/economie/article/2015/11/02/evasion-fiscale-le-palmares-des-pays-les-plus-opaques_4801671_3234.html

J'ai déjà entendu parler de cette légende du canapé tueur.

Pour ma part, j'espère que leur agenda politique va passer en entier. Rien de plus radical pour faire échouer une idéologie de ce genre que de la mettre en oeuvre. J'espère également que cet agenda politique sera appliqué ailleurs qu'en France. Au Canada, par exemple.

Le quota s'applique à l'effectif de la boîte. Quid pour les cabinets d'avocats? Ou d'architectes? Dans un cabinet avec 50/60 avocats libéraux et 5/6 salariés (le comptable + 3 ou 4 secrétaires), tu pourras avoir 3 stagiaires max. Normal. Concrètement, cela va limiter l'offre de stage. La concurrence entre élève-avocats va augmenter ; ils seront prêts à faire plus de concessions sur la gratification ou devront se reporter sur des stages de moins bonne qualité, faute de places dans les grosses structures.

Elle a un petit quelque chose Aurélie Filippetti dans le visage.

Ou les amis d'amis, ça arrive aussi. Exemple concret : j'avais un dîner hier soir pour l'anniversaire d'une amie avocate. Il y avait plein d'avocats à la table. A un moment, et pendant 30 bonnes minutes, ça s'est mis à parler dossiers chiants et frais professionnels. Heureusement, ça a été qu'une phase, mais merde quoi : on est en WE, pas besoin de parler boulot. Je déteste les gens infoutus de parler d'autre chose que boulot, argent et impôts.

Ils ont bien conscience que ça n'a aucune chance de marcher. Cela fait des décennies, si ce n'est plus, que les fiscalistes savent que celui qui est visé par l'impôt n'est pas nécessairement celui qui va en subir les effets in fine. Ce n'est en rien un secret, c'est de la logique élémentaire. Je pense qu'ils s'en branlent, concrètement. Donner l'impression d'agir est suffisant.

J'ai pas le son, mais elle a quelque chose d'antipathique. Un côté hautain, voire hargneux dans le visage. Elle raconte quoi? Les autres sont méchants et la comprennent pas?

L'enseignement, aussi. J'en connais aussi, et j'affirme que la grosse différence entre eux et moi est l'origine sociale. Etant d'une famille de prolos, j'en ai mais alors absolument rien à foutre de certains de leurs états d'âmes. Du genre à croire qu'aller à la Fiac devrait être essentiel pour élever l'âme du prolo, qui au vu de son travail harassant ne peut que rentrer chez lui s'affaler dans le canapé pour boire de la bière, et qu'il faut donc tout faire pour bien les éduquer, pour leur bien (je déforme à peine le propos, qui concernait le vote FN du prolo). Ils ont une sorte de fixette sur les beaux principes et les belles idées, mais en ont rien à foutre du réel. Typiquement le genre à croire que bannir un mot, c'est changer la réalité. Bref, le terme est vague, les contours sont indéfinis, mais ça renvoie bien à quelque chose.

Dire que Zemmour est un bobo, ce serait un peu comme dire que Trump est un hipster parce qu'il a une coupe de merde et qu'il dénonce ce qui est mainstream. La bonne conscience conformiste prend divers visages à travers le temps. Le bobo en est une variété relativement récente. Ce ne sera ni la première, ni la dernière.

Ce sont des critères cumulatifs. Un bobo, ce n'est pas qu'un riche qui mange bio. Un bobo, c'est avant tout un casse-couille ayant bonne conscience. T'as 3 critères : le statut social, le mode de vie ET la bonne conscience conformiste.

Faire du vélo et manger bio ne sont pas les critères principaux . C'est une astuce visuelle, mais la vraie confirmation vient quand le bobo ouvre la bouche.

Un bobo, c'est socialiste. A ne pas confondre avec le catho bien pensant de droite.

Bobo = personne plutôt aisée (mais qui culpabilise), qui fait du vélo, va manger du bio, va traiter de facho ceux qui ne pensent pas comme lui, se pense à la pointe du progrès, un rebelle (vive le Che) terriblement conformiste, un conscientisé aux yeux fermés.

Je ne prétendais pas à l'exhaustivité, j'ai éliminé 5 ou 6 dépêches trop peu précises ou relatant de "simples" bagarres et agressions. Et ces dépêches ne constituent qu'une partie infinitésimale de la réalité, celle qui arrive aux oreilles de journalistes. En remontant au mois d'août, j'ai trace d'un attroupement d'enfants de 5 à 13 ans qui ont saccagé une école maternelle : http://www.lexpress.fr/actualite/societe/melun-22-enfants-ages-de-5-a-13-ans-saccagent-une-ecole-maternelle_1704192.html En remontant à mai, j'ai une attaque à l'explosif et à l'acide en classe, à Ivry : http://m.leparisien.fr/une/ivry-une-bouteille-d-acide-lancee-en-pleine-classe-30-05-2015-4816881.php Tout cela laisse rêveur, notamment quand on voit que la réponse consiste à acheter des iPad pour lutter contre l'ennui. Avec une cellule de veille, il serait facile de dresser un tableau "journalistique" jour par jour des agressions et dégradations des professeurs et des écoles.

On peut violer quelqu'un par la bouche avec autre chose qu'un pénis. Vous manquez cruellement d'imagination. Je peux faire une recherche de jurisprudence pour démontrer mon propos.