Tipiak

J'ai hâte de découvrir la liste des loisirs d'oisifs et celle des loisirs de non-oisifs.

Celeste et Inside à obtenir gratuitement : https://www.epicgames.com/store/en-US/collection/free-games-collection Idem pour Dirt Rally : https://www.humblebundle.com/store/dirt-rally?partner=systemreqs

Ferdinand Piëch : https://arstechnica.com/cars/2019/08/ferdinand-piech-dies-father-of-the-porsche-917-and-bugatti-veyron/

Un lancement sur un site en NZ, qui est apparemment "the world’s first private orbital launch complex/range" depuis 2016. https://arstechnica.com/science/2019/08/behind-the-scenes-at-earths-most-beautiful-rocket-launch-site/ Et pour ceux comme moi qui découvrent que c'est de la glace qu'on voit s'effriter au décollage sur l'image, l'explication : "All these rockets use oxygen as the oxidizer component of their propellant. The Saturn 5 also used hydrogen in some of its engines (upper stages). They are stored in liquid state, which requires very low temperatures (below -183c for oxygen, below -253c for hydrogen). Despite insulation, some of the outside surfaces can get cold enough to condense and freeze moisture out of the air, so there will be accumulations of ice. When the vehicle launches, acceleration and vibration shakes it loose so it falls away." https://space.stackexchange.com/questions/5854/what-are-the-droplets-particles-falling-off-rockets-at-launch

Ils peuvent aller chercher des bières à Calvingrad s'ils veulent mais j'ose espérer que celles livrées soient un peu plus exotiques que ce qu'on trouve à la Coop ^^

Je crois pas qu'il soit très intéressé par les alcools forts. Par contre les bières je sais qu'il aime ça.

Merci pour les avis. Je crois que ça va finir par être une livraison de 6 bières artisanales suisses chaque mois. Ça fait moins 80s @Alchimi ? Trop gros, passera pas

Mééheu ! Puis y'a des abonnements qui coûtent bonbon : The Economist à l'année c'est 350 chf minimum (320 €). Je pensais culture plutôt dans le sens culture générale, découvrir des pratiques dans des régions reculées, ou des métiers et secteurs d'activités importants mais dont on entend peu parler, ou des débats qui font rage loins de chez nous, etc. C'est pas tout à fait ce que je cherchais mais c'est pas une mauvaise idée ! Ils livrent pas en Suisse mais je vois qu'il y a des abonnements similaires pour les bières d'ici, ça pourrait lui plaire. Connaissais pas, et ça rentre pas mal dans mes critères. Merci, je note. Quelqu'un connaît bien Wired ? C'est bien ? J'avais ça en tête en plus de The Economist et du National Geographic (mais le Nat Geo j'ai peur que ce soit trop "la Nature c'est beau blablabla" et "la société moderne met en danger la nature et les traditions primitive ancestrales pleines de sagesse blablabla").

C'est bientôt l'anniversaire de mon frère et on cherche un cadeau pour lui. Je pensais à un abonnement pour un magazine ou journal de qualité. Vous avez des idées ? Vous êtes abonnés à des trucs intéressants ? Profil : 28 ans, ingénieur, assez orienté sciences et technique mais aussi économie, sujets de société / culture... Pas trop socio-philo-psycho, faune et flore, arts...

Oui : https://en.m.wikipedia.org/wiki/Free_public_transport

Ça a sûrement déjà été relevé mais la section commentaire des articles de Contrepoints sur mobile c'est vraiment pas la joie. Tous les commentaires apparaissent les uns à la suite des autres sans qu'on sache quand ils ont été postés (on a juste la date au jour près, si bien que souvent on sait même pas s'ils sont affichés du plus récent au plus ancien où l'inverse...) et surtout on ne sait pas qui répond à qui. On se retrouve avec un mélange de commentaires hors contexte sans queue ni tête ; impossible d'en tirer quoi que ce soit. Heureusement on peut toujours afficher la version pour ordinateur mais combien de personnes le feront ?

Étrange de le voir bombé comme ça quand on est habitué au point de vue qu'on voit partout. https://phototraces.smugmug.com/Portfolio/

Nan mais y'a pas que l'argent et la richesse qu'elle confond, tout est à revoir. Les hypothèses sont nulles, les raisonnements sont faux, les phrases n'ont pas de liens logiques et l'imaginaire l'emporte sur la réalité. J'ai "let's agree to disagree" pour passer à autre chose.

Réponse de Mademoiselle ThePoorGetPoorer : J'abandonne, donc. Elle a envoyé un mail à un de ses profs d'éco pour avoir "un avis d'expert" sur la phrase The rich get richer and the poor get poorer. Je crains le pire...

Yep, c'est principalement de là que j'ai tiré mes chiffres pour argumenter et je lui ai mis un lien vers la page Extreme Poverty.

Perso je pose la question : "Tu penses que cette personne vivrait mieux sans ce travail ?"

J'ai choisi le premier mode Je lui ai déjà demandé un truc similaire dans mon mail précédent. Après avoir utilisé le mot "exploité" à un moment puis avoir dit à propos des inégalités "J'imagine que si les plus riches s'enrichissent plus vite que les plus pauvres, ça aura un impact dans le pouvoir d'achat des plus pauvres" (sic...) je lui ai répondu "On est toujours le riche de quelqu'un : quand tu trouveras un travail après tes études tu feras partie des 1% les plus riches du monde en termes de revenus. Est-ce que ce sera parce que tu auras exploité des pauvres comme tu le sous-entendais un peu plus haut ? Que penses-tu que sera ton "impact sur le pouvoir d'achat des plus pauvres" ?" Le piège semble avoir fonctionné puisqu'elle a à nouveau esquivé / répondu un truc flou à côté de la plaque : "Si j'ai un travail dans une compagnie de pétrole (re-sic) ou si je travaille à Nestlé etc., oui j'aurais quelque chose sur la conscience et j'espère pouvoir trouver un travail dans une entreprise qui a des valeurs qui s'alignent avec les miennes." J'espérais très fortement qu'elle me réponde ça à mon dernier mail, ça aurait été une réponse rassurante car assez intéressante et pertinente, mais soit ce concept ne lui a pas effleuré l'esprit soit elle ne sait pas s'exprimer et tenir une vraie conversation. Et si c'est le 2e cas ça me saoule de faire du baby-sitting intellectuel en lui expliquant ce qu'elle pense. J'ai résumé au max la conversation donc ça se voit pas trop mais pour l'instant on parle surtout de pauvreté absolue et à l'échelle mondiale. Et pour ça la Banque Mondiale utilise un seuil de pauvreté absolu (les revenus des individus sont donnés en ppa) et non pas relatif, pour voir justement ce qu'on peut acheter avec ce qu'on gagne. J'ai aussi utilisé des données moins financières de la richesse comme le taux de mortalité infantile, la sous-nutrition, l'accès à l'eau potable, etc. J'ai un peu tout ça en tête mais vu le dialogue de sourd qui commence déjà à s'installer alors qu'on en est qu'au début et en train de manipuler des idées simples, je crois qu'on va pas aller très loin. Idem, j'ai déjà tout ça en tête mais je crois que ce serait pousser mémé dans les orties que d'avancer ce genre de choses à ce stade. De ce que j'ai compris de certaines de ces remarques, je crois qu'elle pense que (A) ce que gagnent les riches les pauvres le perdent, ou a minima (B) que si les riches s'enrichissent plus vite que les pauvres c'est mal parce que les pauvres pourraient s'enrichir plus vite si la richesse créée par les riches était transférée vers les pauvres. (A) Dans le doute j'ai casé que j'étais pas d'accord avec cette vision des choses et elle n'a pas rebondi dessus, donc je ne sais pas si elle est d'accord ou pas. (B) Comme l'a dit Mégille il faut montrer que lutter contre l'inégalité peut empêcher de lutter contre la vraie pauvreté. Ou commencé par lui demander si elle est sûre que lutter contre l'inégalité est nécessairement bon pour lutter contre la pauvreté. Et si oui, jusqu'à quel point ? 100% d'égalité de revenus ? Je pense qu'elle dirait non. Du coup comment on trouve le juste milieu ? Faire remarquer que c'est une question complexe, etc., etc. Ah ouais direct ! Tu penses que ça lui fera changer d'avis ? Ah tiens c'est cool ça comme formulation pour engager la conversation sur le cas (B) au-dessus. - - - On s'est un peu perdu de vue pendant 2-3 ans et j'ai l'impression qu'elle s'est bien gauchisée / NPC-isée depuis. Avant elle était écolo en mode "j'aime les plantes, les chatons et les ours polaires", rien de grave, elle était plutôt de bon sens à côté. Mais là je découvre plein d'idées stupides en vogue sur lesquelles elle a l'air d'avoir aucun recul et qu'elle défend mordicus. Elle a dû être happée par le côté chair de l'écologie-pastèque. Je pense aussi qu'il y a une forme de je-m'en-foutisme dans ses messages, il y très peu de soins dans ses réponses et répond souvent à côté de la plaque, c'est super chiant de suivre la conversation et de débattre dans ces conditions. Du coup finalement je me suis pas trop foulé pour ma réponse. J'ai remis une dernière fois son nez dans son caca, en étant encore plus explicite et en précisant bien que je parle de pauvreté absolue et pas relative. J'ai dit que si j'arrivais à la convaincre de prendre ses distances avec le slogan "The rich get richer and the poor get poorer" je serais content, en casant au passage que c'est une "fake news" et qu'elle l'a elle-même implicitement admis à plusieurs reprises, en espérant qu'elle soit à fond contre les fake news Et je lui ai fait remarquer qu'elle a tourné autour du pot à propos de ce qu'elle pensait de sa richesse comparée à celle des pauvres, en copiant-collant ma question initiale. Si après ça elle continue à faire aucun effort sur le fond et la forme et à écrire des trucs sans queue ni tête j'abandonne.

Purée j'ai une partie de conversation par mail avec une amie pas très proche qui commence à me rendre fou. J'arrive pas à savoir si elle est conne / lobotomisée, de mauvaise foi, ou les deux. En résumé ça donne (D elle, T moi) : D - The rich get richer and the poor get poorer. T - Heu non, the poor get richer too (cf sources). D - Oui c'est vrai the poor get richer, mais the rich get richer faster (cf sources), donc je maintiens que the poor get poorer. T - WTF ? Comment tu fais pour affirmer dans la même phrase que les pauvres s'enrichissent ET que les pauvres s'appauvrissent ? Les inégalités c'est un autre sujet. D - Oui les pauvres s'enrichissent mais est-ce que la richesse est également répartie ? Je sais même pas quoi répondre tellement c'est absurde. Je suis choqué (elle a 2 années EPFL validées puis 3 années à HEC Genève), déçu (c'est une amie) et désespéré (ça se passe de commentaires).

Elle doit être souvent excitée.

En moyenne je sais pas, par contre j'ai l'impression que Libé fait des efforts (disons, comparé au reste de la presse mainstream française...) pour présenter différents points de vue en fait. C'est le journal de gauche sur lequel on trouve le plus "régulièrement" des articles ou interviews positivement originaux, voire susceptibles de nous plaire à nous libéraux. C'est un sentiment, peut-être que j'ai des biais de sélection, confirmation ou autres.

T'es clairement tombé sur la pire. Les autres sont des gens biens. Le "film" suit 8 jeunes de leur 16 à 30 ans (entre 2003 et 2016), c'est cool comme idée je trouve. Plutôt que d'avoir des instantanés de types au bol on les voit évoluer durant leurs études et leurs premiers pas dans le monde du travail et ça fait qu'on finit par s'attacher à certains d'entre eux. Ils sont tous de l'unique lycée publique dans le 7e. Le film / docu consiste exclusivement en des passages des jeunes qui racontent leur vie, leur mode de vie. Le plus souvent ça tourne autour des études et de travail mais il y a aussi quelques réflexions à droite à gauche et quelques aperçus d'événements plus personnels. Contenu de la vidéo pour les curieux (TL;DR en bas) : À part la fille qui méprise son père parce que "bouh il accumule des richesses en faisant un travail chiant" et qui est effectivement têtes à claques y compris à l'âge adulte, les 7 autres ont l'air globalement sympas voire très sympas pour certains. Assez fêtards dans l'ensemble. Aucun étalage de richesse en mode fils à papa, pas pourris gâtés ou enfants rois. Ils savent qu'ils ont de la chance et respectent leurs parents. Certains ont plein d'activités extra-scolaires qui n'ont pas l'air d'être imposées par les parents. Quasiment tous sont très intéressés par la musique, jouent d'un instrument et rêvent de se lancer dans cette voie là mais seules deux filles osent ce chemin, les autres sont conscients que ce sera difficile surtout financièrement et font des études classiques, ne serait-ce que "au cas où comme ça j'ai un vrai diplôme" et aussi parce que les parents poussent pas mal dans ce sens là. Il y en a aussi des intéressés et convaincus par leur choix. Pour les études : prépas, grandes écoles, etc ; sciences-po, médecine, droit, ingé, communication pour les trucs "sérieux" / "socialement élevés", école de jazz pour l'une et gloubi boulga d'histoire teinté de trucs d'opéras pour la casse-couille, j'ai pas trop compris son parcours chaotique. À partir de là je les trouve tout à fait matures et réalistes, ils bossent énormément et sérieusement même si certains sont tentés par tout lâcher pour quelque chose de plus fun. Un ou deux changements de voies en cours de route, normal. Évidemment les parents sont derrière eux niveau logements et études payantes si nécessaire. Niveau travail : conseil, comm, dentiste, (futur) avocat, doctorat de physique. Tadaaa, c'est la fameuse reproduction des élites. Tous ceux-là sont bien voire très bien payés après quelques années. Certains aiment ce qu'ils font, d'autres un peu moins mais tous sont satisfaits et ne regrettent pas leur parcours. Celle qui a fait l'école de jazz s'est retrouvé dans un groupe qui parcours la France avec des revenus couci-couça et irréguliers puis est embauchée en tant que guitariste dans un groupe un peu plus en vue où elle est mieux payée. Elle a déjà un enfant à ce moment là et ça la fait réfléchir mais a priori elle restera dans le monde de la musique. Celle de l'opéra bidule continue à tenter de faire des choses dans le domaine mais c'est assez confus et c'est la seule qui continue à beaucoup dépendre de ses parents tout en ayant un futur très incertain, surtout financièrement. Et oui, c'est bien elle la tête à claques qui se plaignait quand elle était plus jeune que son père gagnait beaucoup d'argent... Voilà, rien de très surprenant je crois. Des gens de bonne famille, bourgeois, bien éduqués et assez intelligents et réalistes. Je m'attendais juste peut-être à voir un peu plus d'étudiants en sciences humaines, philosophie, histoire, ce genre de choses. Voire en trucs écolos mais c'était pas encore l'hystérie en 2005. TL;DR : rien de très surprenant, à 1 ou 2 exceptions près c'est le même parcours, des gens bien élevés, beaucoup d'activités extra-scolaires, un peu d'hésitation avec la musique mais finalement études prestigieuses avec soutien financier des parents, boulots "sérieux" et très bien payés à la clé.

Petra Vlhova

Nathalie Lawson (she does mais pas beaucoup et des trucs bizarres)

Beware, Aurélien Barrau a trouvé l'infinity gauntlet : "On est actuellement en train de consommer plusieurs fois les ressources de la Terre chaque année"

Je trouve l'article à côté de la plaque. Imposer un revenu universel des footballeurs hommes et femmes + imposer un pourcentage arbitraire des revenus des sponsors pour les redistribuer aux joueurs et joueuses ? Wtf. Et ce serait le most free-market way de résoudre la controverse ??? On pourrait dire que ça c'est le côté thin libertarianism. Et que du côté thick libertarianism, son idée consiste à dire qu'il faut que les "féministes" crient plus fort sur les grosses société pour qu'elles n'aient d'autres choix que de sponsoriser des trucs dont tout le monde se fout sous peine de shaming. Alors qu'il existe une solution (si tant est qu'il y ait un problème...) bien plus "libérale" au sens large, tolérante, pacifique, qui serait que les gens qui veulent que les footballeuses gagnent plus d'argent n'ont qu'à regarder jouer les footballeuses (les sponsors suivront) et éventuellement inciter calmement les autres à faire de même. Je pense que Pierre Ménès a fait mieux en un tweet : "L’offre la demande tout ça tout ça. Les sponsors, l’affluence tout ça tout ça."