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Vilfredo

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À propos de Vilfredo

  • Date de naissance 13/12/2000

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    in his imagination
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    Philosophie des sciences, philosophie politique, psychologie, biologie, littérature anglaise

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  1. C'est ce qu'on appelle l'intersectivité
  2. D’accord. Mais même avec cette précision, 1) la situation n’est pas symétrique à celle du médecin 2) la position féministe sur le droit de disposer de son corps n’est pas incohérente
  3. Ben c’est justement ce qui est discutable. Pour le point sur la souffrance morale, on continue de mettre sur le même plan la souffrance de la conscience (Raskolnikov) et la souffrance physique. Je ne dis pas que l’un est pire que l’autre, je dis que ce n’est pas la même chose, donc que l’argument féministe n’est pas incohérent, comme le suggérait @Pelerin Dumont je parlais seulement de l’accusation d’incohérence Pourquoi? Tous ces gens ne sont dans le corps de personne d’autre. Pourquoi voudrait-on les tuer? C’est la raison invoquée pour “tuer” un embryon ou un fœtus et la raison pour tuer ces gens qu’il faut comparer. Pour se rendre compte qu’elles n’ont rien à voir. On peut et on doit juger des raisons. Ou alors la position est que la vie est sacrée, mais on entre dans un tout autre débat.
  4. Bah non. On a une femme dont le corps est déjà dans un état non désiré, pour présenter les choses de façon impersonnelle, ce qui n’est pas et ne sera pas, quoi qu’il fasse, le cas du (corps du) médecin. Il y a une différence entre agir de telle sorte qu’on suit ou ne suit pas ce que nous dicte notre conscience, et mettre un terme à une intrusion à son droit de disposer de son propre corps, ou exercer ce droit, plus exactement (sauf en cas de viol, on ne peut pas le considérer comme enfreint). Je suis désolé de faire une différence aussi étroite entre action et corps (physique), ou entre le moyen et l’action, mais à moins que la femme menace physiquement le médecin, l’intégrité du corps du médecin n’est pas menacée, alors que celui de la femme, oui. Ce qui peut être en jeu, c’est la conscience du médecin, pas son corps. Ce qui est de toute façon en jeu, c’est le corps de la femme. après je n’ai jamais dit qu’en jouant à ne pas comprendre, on ne pouvait pas paraphraser la situation de façon suffisamment malhonnête pour faire disparaître les différences. C’est, bien entendu, toujours une possibilité
  5. C’est très malin de mettre sur le même plan (“droit de disposer de son corps”) avortement et prostitution
  6. Je vois pas ce qu’il y a de si évidemment légitime dans la confusion entre la conscience et le corps, du moins à titre juridique. Sans être contre la clause de conscience, c’est effectivement un peu problématique d’avoir le droit d’avorter si, comme en Italie je crois, 3/4 des médecins refusent par objection de conscience (droit abstrait). Pour être simple, d’un côté c’est la liberté d’action (ou de mouvement), de l’autre c’est le corps comme objet (ce n’est pas la liberté d’action ou de mouvement qui est primairement concernée dans le cas de la femme qui souhaite avorter). Ce n’est quand même pas tout à fait la même chose, donc je ne vois pas la confusion.
  7. C’est à dire ceux qui s’opposaient à l’idée qu’on soit contre le fait d’être pour?
  8. Le “ha ha ha” rend ça encore mieux modos, ne changez rien plz
  9. Oui. En attendant je sors de 20h d’épreuves (étalées sur trois jours), je vais aller me Taper la Cloche. J’arrive jamais à manger pendant les épreuves. Aujourd’hui tout le monde toussait (par cycles: un gros éternuement et c’est parti, tout le monde se racle la gorge, comme des mouches qui se précipitent dans une fente quand il y a une tempête). Le mec qui lisait les consignes de sécurité était romanesque: sexa un peu simplet qui nous lisait “le discours pour votre concours” (tu parles d’un discours), il commence par un bonjour à tous qui a fait hausser tous les sourcils de la salle, il butait sur un mot sur deux, hier les sujets étaient en retard, il s’est interrompu en plein “discours”, et il nous a expressément dit qu’il avait pas la moindre idée du retard. Ah et il finissait toujours par “fermeture des portes et ouverture des sujets”, au bout de la troisième fois c’était un gag
  10. J’ai rêvé que je faisais bien la cuisine
  11. "Autrui ou aux truies: comment faut-il écrire? Cet article tranche la question une fois pour toutes!"
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