Lancelot

Non. Elle est sans doute votée par des non libéraux pour des raisons non libérales, mais en soi elle n'est pas liberticide. Au contraire elle augmente la liberté pour tout le monde.

J'ajoute à ma problématique de départ un troisième exemple qui a l'air d'agiter les foules : un marchant (strictement privé et ne recevant aucune subvention) refuse de servir ou d'employer certaines catégories de personnes (noirs, homosexuels, whatever) pour des raisons tout à fait absurdes et haineuses, mais sans aucune autre expression de ces sentiments haineux. On tombera tous d'accord pour dire que cette personne n'est pas d'une compagnie très recommandable, mais le libéralisme a-t-il un mot à dire là dessus ? Je rappelle l'avancée de mes réflexions pour le moment :

C'est... problématique ?

J'ai un peu vomi. Donc on peut discriminer pour des motifs moraux, pas besoin d'être religieux. Tout va bien.

On a le pragmatisme qu'on peut

Une performance d'enfer !

Je renvoie à mon thread "aux frontières du libéralisme" dans la section philo, qui essayait justement d'aborder ce type de problématiques. Ils pourront aussi discriminer les hétérosexuels ou toute autre orientation. Il doit bien y avoir un marché pour une boulangerie safe space réservée aux queers. Bref j'ai l'impression que ça manque sacrément d'imagination dans cette discussion.

À la base ils voulaient s'opposer au monarchisme mais le gars qui a fait le discours était un peu dyslexique. Du coup comme ils ne voulaient pas le vexer ils sont restés comme ça.

Et toute autre orientation sexuelle.

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(pas mal hésité à poster ça dans "images fun")

Tout ça c'est de la White Food. Français, italien, espagnol, anglais, tout ça c'est pareil et interchangeable. C'est pas comme si on avait déjà des différences irréconciliables entre les cuisines régionales françaises.

En parlant de bouffe.

#teammari Je suis pour une séparation stricte des germes entre animaux et humains.

Je suis en train de lire L'Incal pour ma culture personnelle. Je suis obligé de me ranger à l'avis de JIM16. Je veux bien admettre les scénarios rocambolesco-bullshit quand c'est de la littérature pulp, et ç'en est dans une certaine mesure, mais il y a aussi un mélange des genres avec d'un côté des situations et des personnages clichés et ridicules, et de l'autre de la pseudo critique sociale et des pseudo messages philosophiques qui se prennent beaucoup trop au sérieux. Plus grave, la narration est à chier, on est obligé de revenir en arrière toutes les deux cases et de se taper les tartines de texte pour comprendre ce qui se passe. En fait je crois bien que l'action n'est presque jamais montrée, il y a des poses juste avant et juste après puis des explications. Comparé à un Sin City, par exemple, c'est le jour et la nuit. Bon après oui il y a quelques concepts marrants et des visuels saisissants.

Le point de vue, ça dépend de l'objectif.

Là où c'est vicieux c'est qu'avec le rebranding en "dérèglement climatique" c'est confirmé par tout "phénomène climatique extrême" (qu'il fasse trop chaud, trop froid, trop sec, trop humide... quelle que soit la saison). Bien sûr si le problème est qu'il fait trop chaud on recommencera à parler de réchauffement. Et si rien de particulier ne se passe, il y a toujours la dernière défense : "la météo n'est pas le climat". Bref on ne peut pas gagner.

Ça dépend du point de vue.

C'est Laci Green, personnellement je préfèrerais tenter ma chance avec un mixer. Au moins lui ne m'accusera pas de viol.

TIL d'où vient ce gars au début du générique de Malcolm.

Le territoire français est l'appart de qui ? Donc pas le droit de résidence ou de circulation.