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Derfel

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Tout ce qui a été posté par Derfel

  1. Un rapport remis au président de la République, le 8 mars 2011, à l’occasion de la journée de la femme préconise que les administrations de l’État soient contraintes d’employer un pourcentage minimal de cadres supérieurs de chaque sexe.
  2. L'exit tax ! pour les personnes qui veulent fuir la Fraôncee
  3. UE/ETATS-UNIS/ANTITERRORISME : ACCORD SWIFT : EUROPOL ET USA SE CONTENTENT DE CONTACTS ORAUX Source : Europolitique
  4. Le Conseil d’Etat a décidé de rejeter l’article de la loi de Finances visant à imposer aux entreprises participant au plan d’allocation de quotas de CO2 européen d’en acheter 10 % dès 2011. http://europa.eu/rapid/pressReleasesAction…;guiLanguage=fr
  5. Derfel

    Bar du football

    Logique… Petite déception pour Arsène Wenger…
  6. http://www.lesechos.fr/entreprises-secteur…m?xtor=RSS-2059
  7. Le 7 mars 2011, le Conseil de l'Union européenne a approuvé l'adhésion de la principauté du Liechtenstein à l'espace Schengen.
  8. Préférons les morts compétents aux vivants magouillants…
  9. http://www.lesechos.fr/economie-politique/…m?xtor=RSS-2059
  10. Je vais améliorer cela Chitah ^–^ Trouducu convient parfaitement h16
  11. Jaurès de retour à Normale sup! Tristan Sadeghi, dix-huit ans, étudiant en droit à l'université Paris-I La Sorbonne. Le débat sur Jaurès a fait salle comble, vendredi dernier, dans une École normale supérieure (ENS) dont le personnel est en grève depuis deux mois contre la précarité des statuts. Organisé par les Amis de l'Humanité du 5e arrondissement de Paris, il a été introduit par Charles Silvestre, secrétaire national de l'association et auteur de Jaurès, la passion du journaliste (1). Patrick Le Hyaric, directeur de l'Humanité, devait participer au débat mais a été excusé du fait de ses obligations de député européen. Entré premier à l'ENS, devant le philosophe Bergson, Jaurès était un homme politique de premier plan, grand orateur, mais aussi brillant homme de plume. À cet égard, on se souvient évidemment de sa défense du capitaine Dreyfus, dans la Petite République, ainsi que de ses articles pour la classe ouvrière dans l'Humanité, journal qu'il a fondé et dirigé jusqu'à sa mort (il y publia plus de 2650 textes!). Comme l'a fait remarquer l'historien Jean-Numa Ducange, les écrits de Jaurès - et c'est quelque part malheureux - restent d'une profonde actualité. Après que l'acteur Charles Gonzales a lu quelques textes de Jaurès, c'est justement cette actualité qui fut au coeur des interventions de la salle. Par exemple, Jaurès disait que les instituteurs sont «les responsables de la patrie», car ils enseignent aux élèves non seulement à lire mais aussi à penser (la Dépêche de Toulouse, 15janvier 1888). Ne peut-on s'en inspirer dans le combat contre l'actuelle (contre-) réforme de l'éducation? Charles Silvestre a rappelé que Jaurès fut l'un des promoteurs de la loi sur la laïcité de 1905 («le maire à la mairie pour les affaires administratives, le curé à l'église pour la religion, l'instituteur à l'école pour les éléments de la science et de la morale»), mais aussi un fervent défenseur de la classe ouvrière croyant profondément aux capacités d'agir de celle-ci. «C'est du côté des dirigés que se sont trouvées les qualités dirigeantes», écrivait-il ainsi. L'avenir ne l'a pas démenti, puisque c'est un ancien métallurgiste, Ambroise Croizat, qui sera, de 1945 à 1947, le «ministre de la Sécurité sociale». Ne peut-on pas également lire Jaurès pour s'organiser? N'oublions pas qu'il a réussi à unir les gauches dispersées au sein de la SFIO (17% des voix en 1914), combat toujours d'actualité: à l'instar de Jaurès en son temps, la vraie gauche (et non le «social libéralisme», concept oxymorique) ne doit-elle pas s'unir au sein du Front de gauche, afin de faire émerger une véritable République sociale, capable de «faire surgir un ordre nouveau»? Source : L'Humanité Ce point de vue là aussi fait rêver : L'histoire universelle vue depuis le monde arabe En quoi les révolutions arabes forcent-elles notre regard sur le retour de la politique? Émotion. Émerveillement, bien sûr, face au vent de liberté qui a soufflé, ce mois de février2011, sur le monde arabe. Lundi dernier, Jean d'Ormesson publiait dans le Figaro un article insistant sur un point: l'imprévisibilité de la révolution. Elle fut, en effet, inattendue, et, par là même, un rude coup porté aux apôtres du différentialisme forcené façon Huntington, ces oiseaux de malheur qui se bornent à voir dans les cultures arabes des blocs farouchement identitaires, sourdes à tout autre catégorie de pensée, et dont l'idée même de liberté (trop occidentale) devait leur être à jamais étrangère. Or ces révolutions, qu'on le veuille ou non, nous démontrent l'exact contraire. Elles nous forcent le regard, premièrement sur le fait que le propre des idées est de s'arracher de leur sol natal et de voyager. Retour de l'histoire, donc. Imprévisible mais pas un hasard; c'est mécanique, beau et implacable. La deuxième chose que nous ayons apprise, par ces révolutions, c'est que l'espace de la politique n'est jamais donné par avance. Il se conquiert. En brisant les chaînes de la tyrannie, les peuples arabes ont regagné l'espace politique dont ils furent spoliés durant de trop nombreuses années. Ils nous ont prouvé, par la plus belle des dialectiques, que, contrairement à ce que pensait Marx, ce sont les hommes qui ont plus d'imagination que l'histoire. Ils nous ont montré par l'exemple que nous n'étions pas non plus, depuis la chute du mur de Berlin (n'en déplaise à Fukuyama), entrés dans un long dimanche tranquille épuré d'idées indépassables, mais que, en un mot, la liberté était toujours une réalité du monde, portée par la voix déliée de centaines d'hommes et de femmes; une réalité dont on se souvient dans la mémoire vive, d'abord, puis que l'on consigne dans le livre des aventures de la liberté. Bien entendu, nous ignorons, à l'heure actuelle, les conséquences de la révolution; et nous sommes bien payés, en France, pour savoir qu'à 1789 succèdent 1793, la Terreur et les comités, Robespierre et Saint-Just, la paranoïa persécutrice de Marat, l'Ami du peuple, ou, inversement, l'emboîtement du pas libéral qui est aujourd'hui notre apanage. Mais l'important, au fond, n'est pas là. Ce qui compte c'est l'événement, l'acte. Dans notre vieille Europe, squattée par de vieux fantômes révolutionnaires, la philosophie libéro-capitaliste a élu demeure, et, malgré ce que Bernard-Henri Lévy semble prêcher dans Ce grand cadavre à la renverse, elle a eu sa part dans l'évincement de la notion de liberté. Cela pour deux raisons: d'abord parce qu'elle nous met sous le joug de son fer de lance, à savoir le marché économique et financier, ensuite parce que le credo de cette philosophie -et nous avons suffisamment d'exemples- est l'obsession de la sécurité, je veux dire, de sa propre sécurité intérieure, de sa survie biologique: faire vivre et laisser mourir, voilà l'odieux impératif catégorique. Il suffit de remonter à Hobbes pour voir que la pensée politique du XVIIesiècle identifie la liberté politique à la sécurité (serait-ce Hobbes, le premier libéral?). On comprend alors pourquoi Sarkozy, dans son cynisme imbécile, aspirait, lors de sa campagne, à liquider l'héritage de Mai 68. Car ce à quoi s'adressait le mouvement profond de Mai 68 était, précisément, cette démocratie gestionnaire et bureaucratique que servent les dévots du libéralisme. Aujourd'hui, il est aisé de constater que la gigantesque sphère de l'économie et de la finance, accompagnée par cette démocratie gestionnaire dont je parlais plus haut, a englouti la sphère de la politique, c'est-à-dire, précisément, cette sphère où la parole de l'homme, parce qu'elle fait acte, est le flambeau menant vers la liberté. Les révolutionnaires arabes l'ont admirablement compris. Ils ont, en un mot, extrait l'animal politique aristotélicien du tombeau dans lequel il était voué à rester muet, et, ultimement, à disparaître. En ce sens, c'est l'homme dans son essence ontologique profonde que le souffle arabe anime et fait vivre, nous éveillant à notre propre mémoire révolutionnaire, dissipant par là même le ciel noir et fané qui leur servait d'ombrelle, et nous forçant le regard sur cette sphère de la politique que nous, Français et Occidentaux, dans notre schizophrénie joyeuse, croyons être un fait acquis, mais qui n'est, au fond, qu'un dangereux simulacre. Qu'on se le dise: une société politique n'est jamais réglée comme une nécessité biologique. Un homme encore moins, aussi paradoxal que cela puisse être. Mieux: l'homme échappe totalement à ce mouvement cyclique. Il est une perpétuelle naissance, ou, devrais-je dire, avec Hannah Arendt, «une pure capacité de commencer». Dans le contexte où nous parlons, cette capacité de commencer est une vertu qui alimente le souffle de liberté et dont nous trouvons, aujourd'hui, au coeur de ces mois de février et mars qui seront à jamais arabes, des exemples criants qui doivent nous rappeler que le réel n'est jamais le donné brut, mais qu'il surgit, le plus souvent, à partir d'une conjonction d'événements plus étranges que la fiction. Dans le domaine des affaires humaines, en effet, nous connaissons l'auteur des miracles. Ils sont toujours humains. Trop humains. Par Ludovic Berton, vingt ans, étudiant en licence de Philosophie à l'université de Strasbourg.
  12. Derfel

    Immobilier

    La chambre des notaires de Paris vient de présenter la conjoncture immobilière de l’année 2010, marquée par un record historique des prix de l’ancien dans la capitale. La reprise était annoncée pour 2010, et tant en volumes qu’en prix, les statistiques se sont avérées exactes. En Ile-de-France, 200000 transactions ont été réalisées, du « jamais vu » selon Thierry Delesalle, notaire à Paris. Les prix des logements ont également encore augmenté avec une hausse de 14,1% en un an. Par rapport à 2009, les prix des appartements anciens à Paris ont augmenté de 17,5% et enregistrent un record historique avec 7330 €/ m² au 4e trimestre 2010. Le cap des 8000 € sera certainement franchi dans les mois à venir. Le volume de ventes réalisées est également conséquent (+32%) mais reste tout de même inférieur (-9%) à celui des "belles années" (entre 1999 et 2007). En petite et en grande couronne, les ventes d’appartements neufs, dopées par les mesures fiscales incitatives, ont respectivement augmenté de 61% et 45% par rapport à 2009. Pour 2011, le président de la Chambre des notaires de Paris, Christian Lefebvre, ne se risque pas à des prévisions à long terme compte tenu du contexte actuel, mais assure que l’engouement des Français pour l’immobilier reste important.
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