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Baisse Tendancielle Du Taux De Profit


Invité Damned

Messages recommandés

Le texte en vert me fait penser à du Fulcanelli….

Moi, plutôt à quelque chose que j'ai déjà entendu …

Pour résumer, plus la science de l'information avance vers cela, plus l'homme recule, et plus les hommes seront inactifs et malheureux pour demain. Et comme nous sommes déjà aujourd'hui les plus malheureux des hommes pour nous être avisés d'inventer, d'échanger, d'avoir cinq doigts au lieu de trois, d'avoir deux jambes au lieu d'une seule, d'avoir deux mains au lieu de rien. Et plus grande sera l'abondance de toutes choses en système capitaliste et plus les hommes seront dénués de tout. Brrr cela fait vraiment froid dans le dos, d'un autre côté, tous les efforts d'imagination des Socialistes, des gens d'ATTAC ou autres, tous les systèmes qu'ils inventent, et toutes les lois et toutes les taxes qu'ils veulent nous imposer en plus, tendent, s'il faut les en croire, à convertir l'insécurité d'un monde à la sécurité illusoire d'une société artificielle, l'inégalité croissante à l'égalité croissante, le chômage au travail, la pauvreté en richesse, bref, quelle régression humaine !

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Pas moi, je ne les jette pas au bucher, le lien sur la bttp est excellent.

J'avais écrit plus haut que tous les marxiens qui se respectaient discutaient de la plus value comme dogme marxiste à contre dire et eux vont plus loin de manière intelligente et non réductible à une équation, genre deug b. Mais la plus value est aussi liée à la bttp …

Une autre manière d'entamer la valeur "travail" est "post industrielle", elle rejoint qq positions de Cohen :

La plus value est aussi cette vertue qu'à la firme, la corporation a chercher des externalités pour compenser *la baisse inexorable de son taux de profit*, elle use et abuse de la technologie de manière peu démocratique, elle peut pulvériser l'esprit du libéralisme.

Voilà un peu de lecture pour vous titiller gentillement, on ne peut discuter de la bttp qu'en s'attachant à des mutations structurelles de l'économie, ce genre de discussions post indus est courantes outre atlantique (ex rifkins, pour vous donner des boutons) :

Transversales, Science et Culture

L'émergence de l'immatériel

René Passet

Pour la première fois dans l'histoire de l'humanité, une révolution socio-économique trouve son origine hors du champ de la matière ou de l'énergie. Avec l'ordinateur en effet - et tout ce qui en découle - les moteurs du développement économique se déplacent vers l'immatériel : l'information n'est ni matière, ni substance, mais mise en forme, manipulation de symboles, codes, messages, interconnexion. C'est l'immatériel qui désormais tire la croissance des économies. Plus que de crise, il convient donc de parler de mutation : ce sont les mécanismes régulateurs des systèmes et les repères de la normalité qui changent.

La conjonction actuelle de deux phases de développement explique la plupart de nos problèmes. Des deux technologies majeures qui caractérisent notre époque :

- l'une, le réacteur nucléaire, marque l'apogée d'une phase finissante de développement - à base énergétique et matérielle - caractérisée par la concentration, le gigantisme, l'organisation hiérarchique, l'importance des bouleversements infligés au milieu ; elle soulève la question de la reproduction des systèmes économiques dans le temps que traduit aujourd'hui l'expression «développement durable» ou «soutenable» ;

- l'autre, l'ordinateur, déplace les forces du développement vers l'information, l'immatériel ; elle favorise par là-même l'émergence de formes de production et de structures en réseaux moins traumatisantes que les précédentes, pour les espaces et les milieux naturels, mais elle peut véhiculer aussi une logique de développement qui ne situe ni les hommes ni les espaces au coeur de ses préoccupations.

Le développement (multidimensionnel) n'est pas une simple croissance.

Le thème du développement durable émerge à partir des années 80, avec l'apparition des pollutions dites «globales» (déchirure de la couche d'ozone, effet de serre, réduction de diversité spécifique…). Ce concept souligne le risque de perturbations des grands mécanismes régulateurs de la planète par les activités humaines. De l'environnement - «ce qui entoure» - nous passons à la Biosphère, système complexe auto-régulé et auto-reproducteur d'interactions, dans les régulations et la reproduction duquel la vie - donc l'espèce humaine - joue un rôle fondamental. D'où un conflit possible entre deux logiques : l'une présidant au processus du développement, et l'autre régissant les mécanismes qui assurent la reproduction du milieu naturel.

Le «développement» est une «croissance complexifiante multidimensionnelle». «Croissance complexifiante», car accompagnée d'un double mouvement de diversification et d'intégration permettant au système de croître en se réorganisant, sans perdre sa cohérence : la firme, en s'étendant, s'organise en services et départements tous interconnectés ; la nation diversifie ses structures et ses activités, mais son homogénéité dépend des relations établies entre ces dernières. «Multidimensionnelle», dans la mesure où, par-delà l'économique au sens strict, est prise également en compte la qualité des relations établies entre les hommes au sein de la sphère humaine et avec leur environnement naturel : une croissance de PIB accompagnée d'exclusion sociale, de déculturation et d'une dégradation du milieu naturel n'est pas un développement.

Pour être «durable», ce développement doit «répondre aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre à leurs propres besoins». L'économie redécouvre ainsi sa dimension «réelle» : ce qui se reproduit dans le très long terme, ce sont les flux de matière et d'énergie que brassent les grands cycles bio-géo-chimiques, et que menacent les flux de matière et d'énergie transformés par les hommes. Considérer le seul aspect marchand des facteurs économiques, indépendamment de leurs autres dimensions, porte atteinte à leur intégrité. Le marché, qui se veut libérateur, devient alors l'instrument d'une dénaturation.

Mise en cause de la relation entre croissance et emploi.

Les responsables politiques adoptent deux attitudes identiques : la foi dans la croissance pour rétablir les équilibres (le plein-emploi notamment) conçus selon les normes du passé, et d'autre part, le refus de prendre en compte les bouleversements fondamentaux de notre époque pour les traiter avec les armes courtes de la conjoncture. Certes, sur le court terme, c'est-à-dire à technologie et organisation constantes, la croissance fait baisser le chômage ; mais sur le long terme, avec les mutations informationnelles et les changements d'organisation liés à l'émergence de l'immatériel, la croissance a pour résultat de supprimer des emplois.

Les trois mutations de l'économie.

Trois mutations sont à l'oeuvre dans l'économie : une mutation fonctionnelle, une mutation organisationnelle, et une mutation du champ lui-même (la globalisation).

1. La mutation fonctionnelle.

L'information représente un facteur relationnel. L'importance de la relation dans les combinaisons productives devient prépondérante. Les dépenses relatives à l'investissement immatériel (investissement intellectuel, recherche, recherche-développement, informatique pour l'évaluation des marchés, la mise en place et l'organisation d'une structure productive.) se situent en amont de la phase de production proprement dite. Ce sont des ensembles intégrés que l'on met en place et qui, tous facteurs condondus, livrent leurs produits sans que l'on puisse distinguer la part de ceux-ci qui revient au travail et au capital.

Deux conséquences en découlent :

- la première concerne directement l'implantation des activités et des hommes dans l'espace. Le relationnel devient prépondérant aussi dans le choix de sa localisation géographique, en fonction de la qualité des infrastructures, des hommes et des activité du «milieu d'accueil».

- le second mécanisme concerne indirectement nos problèmes à travers la formation des revenus. La disparition de la contrepartie productive attribuable à chaque facteur, remet en cause la règle de commutativité qui sous-tendait l'optimisation à la marge. La productivité marginale d'un facteur ne peut plus servir de base à sa rémunération. Ce n'est pas par hasard si, bien avant la «crise», la part des revenus sociaux n'a cessé de croître dans les revenus des ménages, passant de 19% en 1959 à 37% en 1992. L'apparition du RMI, l'émergence de la question du revenu minimum garanti - sous des formes et des appellations diverses - relèvent de la même logique.

2. La mutation organisationnelle.

L'émergence de l'immatériel entraîne des transformations considérables dans l'entreprise intégrée où le moindre incident ou panne localisée, s'étend à l'ensemble et coûte cher. La mise en place de voies latérales permet alors d'établir les contacts directs ; la micro-informatique multiplie les centres de décisions, l'efficacité se déplace vers des structures en réseau. Dans les entreprises, ou unités de production, la tendance est alors à la multiplication des petites ou moyennes dimensions. Mais la déconcentration des formes matérielles n'est possible que par la concentration de l'immatériel : l'information et la finance. C'est parce qu'il concentre l'information nécessaire à la marche de l'ensemble, que le centre peut réaliser leur dispersion. L'immatériel, c'est aussi la finance qui n'est pas matière mais signe, symbole, n'existant qu'à l'état de bits, dont l'ordinateur permet le stockage, le traitement et le déplacement en quantité et à des vitesses sans précédent. Or l'immatériel - l'informatique, la finance… - c'est aussi le pouvoir. Plus que jamais, en dépit de l'efficacité des formes à échelle «humaine» et de l'accent mis sur l'importance de la ressource «humaine» ou de l'investissement «humain», la question de la concentration du pouvoir économique reste posée.

3. Une mutation du champ de la globalisation.

La double évolution des transports et des technologies de l'information fait de la planète un seul et même espace.

La finance, qui se déplace à la vitesse de la lumière (ce sont les ordres de vente et d'achat - et non les titres - qui circulent), accroît son emprise sur l'appareil productif. La logique à laquelle obéit celui-ci n'est plus de produire, mettre en valeur un territoire ou assurer le mieux être des hommes, mais de rentabiliser un patrimoine financier.

Pour conserver - et a fortiori accroître - leurs parts de marché, les entreprises doivent réaliser des gains incessants de productivité : de l'ordre de 8 à 12% par an, selon des responsables d'industries exposés. La conséquence est double.

Concernant l'espace, les firmes se localisent et délocalisent hors de toute perspective territoriale, selon des considérations de pure rentabilité financière à court terme.

A la limite, dans le cas de prépondérance du fincancement boursier, la firme elle-même devient une marchandise comme les autres. Le moindre fléchissemnt de ses titres au-dessous de leur «valeur fondamentale» fournit l'occasion aux «raiders» d'un achat immédiat suivi d'un dépeçage en règle et d'une vente «en pièces détachées». Dans ces conditions, l'obsession du court terme - s'opposant aux perspéctives longues de l'environnement et de la biosphère - domine en permanence la vie de l'entreprise. Concernant la ressource humaine - qui se situe au coeur du développement durable - l'obsession de l'efficience conduit à réinvestir en permanence les surplus de productivité dans l'investissement de productivité au détriment de l'emploi : «les profits d'aujourd'hui font donc les investissements de demain qui, contrairement au célèbre théorème de SCHMIDT, font le sous-emploi d'après demain».

Dans la mesure où le travail reste le principal facteur d'intégration sociale, l'exclusion ne cessera donc de s'aggraver.

Ainsi, le regard fixé sur les «fondamentaux», nos responsables s'acharnent à manipuler quelques instruments conjoncturels dépense, fiscalité, taux d'intérêt dont la portée est dérisoire au regard des problèmes à résoudre. C'est au niveau des mécanismes caractérisant la mutation qu'il convient de porter les stratégies correctrices.

Tant qu'il n'aura pas été mis fin au cercle vicieux des surplus et des investissements, tant que les firmes seront condamnées à réaliser de perpétuelles promesses en matière de productivité, aucune solution durable ne pourra être trouvée à la question de l'exclusion. C'est très certainement au niveau des grands ensembles géopolitiques comme la Communauté Européenne qu'il faudra trouver les protections nécessaire. La vérité des prix, si chère aux partisans du libre échange intégral ne suppose-t-elle pas la protection contre le triple dumping social, écologique ou par le change, actuellement en vigueur ? Si la substitution de la machine à l'homme plaide en faveur du partage du travail, c'est surtout la question de la justice distributive qui est mise en question par l'émergence de l'immatériel. Ce n'est pas par hasard si la part du revenu social croît dans les budgets familiaux et si l'on voit fleurir sous des applications diverses le thème du revenu social garanti. Ainsi, au carrefour où l'histoire hésite entre l'épanouissement des hommes ou la tragédie, tout est à réinventer.

Oui je suis vraiment damned …

Texte interessant! En effet, un des grands defis de l'homme d'aujourd'hui est de réconcilier croissance et environnement! Quand on sait qu'une centaine d'especes disparaissent par jour du fait de l'activité de l'homme, que désormais la terre est en danger a cause de l'homme la reflexion sur le developpement durable devient primordiale.

Certains pensent que pour enverser cette tendance il faudra limiter les comportements polluants de l'homme (voiture, chauffage……). Ceci ne peut pas etre réalisable sans une transformation radicale de l'existence de l'homme….

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Encore un qui veut créer "l'homme nouveau"…

Cela commence à bien faire !

Oui…..en effet pour sauver la planete il faudra trouver des nouvelles manieres de produire et de consommer car les modes de consommation et de production humains actuels sont destructeurs pour les formes de vie qui peuplent notre planete.

Il faut responsabiliser la population car en effet pour moi l'état de santé de la terre et de ses habitants (humains ou non) passe devant mes choix egoistes…..Et surtout devant le choix des entrepreneurs!

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Oui…..en effet pour sauver la planete il faudra trouver des nouvelles manieres de produire et de consommer car les modes de consommation et de production humains actuels sont destructeurs pour les formes de vie qui peuplent notre planete. 

Il faut responsabiliser la population car en effet pour moi  l'état de santé de la terre et de ses habitants (humains ou non) passe devant mes choix egoistes…..Et surtout devant le choix des entrepreneurs!

Ce que tu proposes, c'est d'interférer autoritairement avec le choix des consommateurs - au profit de certains producteurs !

Ensuite, la pollution ne se combat évidemment pas par l'entremise d'un grand programme totalitaire mondial, mais en faisant simplement respecter des règles relevant du droit de la responsabilité que, comme par hasard, les législations étatistes ont enfouies sous un fatras de textes inapplicables - là aussi, au bénéfice de certains entrepreneurs potes du Pouvoir.

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Ce que tu proposes, c'est d'interférer autoritairement avec le choix des consommateurs - au profit de certains producteurs !

Ensuite, la pollution ne se combat évidemment pas par l'entremise d'un grand programme totalitaire mondial, mais en faisant simplement respecter des règles relevant du droit de la responsabilité que, comme par hasard, les législations étatistes ont enfouies sous un fatras de textes inapplicables - là aussi, au bénéfice de certains entrepreneurs potes du Pouvoir.

C'est loin d'etre suffisant……Je ne sais pas si tu es vraiment au courant de la situation d'urgence dans laquelle nous sommes! Le principe du "pollueur-payeur" est loin d'etre une mesure pouvant repondre a cette urgence!

Effectivement les consommateurs doivent changer leur mode de consommation pour des produits dont la production est non polluante, effectivement l'Etat doit soutenir la recherche dans ce domaine…..Mais la seule solution valable reside encore une fois dans l'homme: Il faut un changement de mentalité total.

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C'est loin d'etre suffisant……Je ne sais pas si tu es vraiment au courant de la situation d'urgence dans laquelle nous sommes! Le principe du "pollueur-payeur" est loin d'etre une mesure pouvant repondre a cette urgence!

Effectivement les consommateurs doivent changer leur mode de consommation pour des produits dont la production est non polluante, effectivement l'Etat doit soutenir la recherche dans ce domaine…..Mais la seule solution valable reside encore une fois dans l'homme: Il faut un changement de mentalité total.

Face à cette situation d'urgence, il n'y a qu'une solution : La Mutation Radicale !

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C'est loin d'etre suffisant……Je ne sais pas si tu es vraiment au courant de la situation d'urgence dans laquelle nous sommes! Le principe du "pollueur-payeur" est loin d'etre une mesure pouvant repondre a cette urgence!

Effectivement les consommateurs doivent changer leur mode de consommation pour des produits dont la production est non polluante, effectivement l'Etat doit soutenir la recherche dans ce domaine…..Mais la seule solution valable reside encore une fois dans l'homme: Il faut un changement de mentalité total.

Non, l'Etat ne doit pas soutenir la recherche. Tu as envie d'autres Tchernobyl ?

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Cela ne changera effectivement pas tant que les politocards s'occuperont d'énergie et d'environnement.

Ca c'est assez clair car pour eux ce qui compte ce sont les chiffres de la croissance et la popularité! A mon avis le changement doit venir de la population civile, l'Etat peut ensuite suivre le mouvement.

Ce porc de Busch a refusé de signer les accords de Kyoto. Pourquoi? Le niveau de vie des américains n'est pas négociable selon lui! Quelle honte!

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Ce porc de Busch a refusé de signer les accords de Kyoto. Pourquoi? Le niveau de vie des américains n'est pas négociable selon lui! Quelle honte!

Et il a bien raison. Il y a fort à parier que la recherche états-unienne est la plus avancée au monde dans le domaine du recyclage, des économies d'énergie, des nouvelles énergies, et autres énergies renouvelables.

L'écologie, c'est le progrès, notamment technologique, mais aussi social (responsabilité, éducation, …), surement pas moultes directives et interdications. Sinon les pays les moins pollués de la planète ne seraient pas ceux que l'on croit.

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Ce porc de Busch a refusé de signer les accords de Kyoto. Pourquoi? Le niveau de vie des américains n'est pas négociable selon lui! Quelle honte!

Je n'ai pas l'habitude de défendre Bush (loin de là), mais il me semble que ce soit bien la moindre des choses qu'un chef d'état ne puisse pas négocier le niveau de vie de sa population.

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Et il a bien raison. Il y a fort à parier que la recherche états-unienne est la plus avancée au monde dans le domaine du recyclage, des économies d'énergie, des nouvelles énergies, et autres énergies renouvelables.

L'écologie, c'est le progrès, notamment technologique, mais aussi social (responsabilité, éducation, …), surement pas moultes directives et interdications. Sinon les pays les moins pollués de la planète ne seraient pas ceux que l'on croit.

Je ne partage pas ce point de vue car je pense que la responsabilité, surtout celle des entrepreneurs, passe aussi par des lois! Des lois qui fixent des limites a ne pas franchir en matiere de pollution!

Les Usa sont aujourd'hui, je crois, le premier pollueur du monde, faut pas l'oublier!

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Il était libéral,

En résumé on se rends compte aussi, que les pseudos libéraux ont toujours cette suffisance à imaginer leur théorie comme ayant été inamovible pendant   toute l'histoire …

C'est dommage que vous ayez tout comme votre propre "Maître à penser", une image aussi rétrogade de ce que vous avez souvent tendance à appeler les pseudo-libéraux. Pourriez vous d'ailleurs nous éclairer sur ce que vous insinuer par là, nous serions bien curieux de voir ou d'entendre encore une fois votre pseudo enseignement "révolutionnaire" en matière d'économie ….

De plus nous nous demandons, des deux théories libérales et marxistes, laquelle refuse le plus d'évoluer ou de se réformer, au contraire d'une théorie vivante, qui prend en considération l'aspect naturel des lois économiques du marché (à ce titre nous nous informons que la philosophie libérale est toujours en mouvement, à l'instar du marché, en constante mutation, et selon l'intérêt avant tout souverain des consommateurs et non uniquement du seul profit aveugle des multinationales comme vous le dénoncez. Hélàs, à vous entendre vous nous donnez l'impression

de vous conduire comme ces personnes se prétendant plus "humanistes", par là même plus éclairés que d'autres en matière d'économie. En réalité, elles refusent toujours de se remettre en cause dans leur inertie socio-économique. Quand on voit encore le résultat, de certaines sociétés appliquant à la lettre de Karl Marx,

ce qu'il convient de faire pour produire en masse un soit-disant "bonheur commun" pour l'avenir. Plutôt que de montrer du doigt systématiquement tout

ce qui ne marche pas actuellement dans le capitalisme, ne pensez-vous pas

qu'il serait plus judicieux de vous remettre en cause sur les nombreuses invraisemblances du calcul économique socialiste, ou là, les erreurs sont beaucoup plus lourdes de conséquences pour l'ensemble d'une collectivité. Il

est regrettable qu'avec des gens comme vous, il ne soit toujours pas possible de partager un point de vue sans basculer dans quelque chose de si récurrent à voir ou à entendre dans notre société.

Ps: Laissez plutôt tomber Karl Marx, s'il est encore possible de vous en détacher, hélas comme vous le considérez si bien comme l'un de vos plus grands prophètes économiques vous aurez sans doute du mal à vous en défaire librement.

Bon courage quand même !

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Ce porc de Busch a refusé de signer les accords de Kyoto. Pourquoi? Le niveau de vie des américains n'est pas négociable selon lui! Quelle honte!

Un ami étudiant à l'IAE de Grenoble me fait parvenir ces quelques notes tirées d'un exposé sur le protocole de Kyoto :

Par rapport à ce que l’on peut entendre dans les médias, les américains ne semblent pas vraiment se soucier de l’avenir de notre planète. D’où cette question : les américains sont-ils suicidaires ? Il est vrai que les Etats-Unis est le seul grand pays industrialisé a avoir refusé la ratification du protocole, sous prétexte qu’il portait atteinte à la croissance de son économie, et que ni la Chine ni l’Inde n’y étaient soumis.

Mais différents éléments permettent de redorer le blason de l’Amérique, notamment les décisions prises au niveau des Etats :

- La Californie, l’Etat de New York et d’autres Etats ont pris plusieurs initiatives. Sous l’impulsion d’Arnold Schwarzenegger par exemple, la Californie a adopté des normes très strictes en matière d’émission de GES pour tous les nouveaux véhicules vendus dans l’Etat à partir de 2009.

- Les Etats du Nord-Est ont adopté un système de quotas et d’échanges pour les émissions de CO2 (ce qui est assez comparable au mécanisme d’échange de droits d’émissions de Kyoto).

- Au mois de Mai 2005, 134 villes reparties dans 35 Etats ont signé un projet destiné à entrer en conformité avec les objectifs de Kyoto. Il est bien évident que n’importe qu’elle ville américaine est libre de les rejoindre. Le maire de Seattle (Greg Nickels) qui est à l’initiative de cette action a expliqué aux journalistes que toutes les municipalités signataires s’engageaient à respecter les 7% de réductions de Kyoto, mais qu’il ne tenait qu’à elles de déterminer les moyens les plus adéquats à la réalisation de cet objectif .Liberté chérie quand tu nous tiens…

- Par le biais de la mondialisation Kyoto s’appliquera forcement en grande partie aux Etats-Unis. Des milliers d’entreprises américaines ont des filiales dans les pays qui ont ratifié le protocole et doivent donc redéfinir leur stratégie industrielle hors du territoire US. Mais tous les économistes et les consultants s’accordent à dire qu’il est plus rentable de se restructurer à l’échelle d’un groupe, plutôt qu’à l’échelle de filiales. Par conséquent les sociétés américaines subiront forcement des mutations dues à Kyoto. En ce sens, des dirigeants de Ford ont travaillé en coulisses à définir une stratégie de réduction des émissions de CO2 à l’échelle de tout le groupe. Alcoa (premier producteur mondial d’aluminium) commence également à prendre des mesures visant à respecter les restrictions de Kyoto.

- Même s’il est scrupuleusement appliqué, le protocole ne réduira la hausse prévue des températures d’ici 2100 que de 0.1 degrés, selon les projections de l’ONU. Ce qui est très loin d’être suffisant au regard des projections du Groupe Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat (GIEC), qui évalue la hausse de température à l’horizon 2100 entre 1.4 et 5.8 degrés suivant l’optimisme des scénarios envisagés. On voit bien que la nécessité est d’établir pour 2012 (fin de Kyoto) un deuxième protocole plus restrictif. S’il s’avère cette fois ci efficace, et que les concurrents directs de l’économie américaine (la Chine et l’Inde entre autres) le ratifient, les américains n’auront plus aucune raison de le refuser.

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Face à cette situation d'urgence, il n'y a qu'une solution : La Mutation Radicale !

Un extrait:

Ce Projet implique et réclame une remise en cause et une disparition progressive et totale, au fur et à mesure des transformations individuelles, de toutes les institutions et mentalités qui forment les bases mêmes des collectivités actuelles : l’Etat, la Famille, la propriété privée, le couple exclusif, l’appropriation des enfants, le capitalisme, le martyre animal, le rationalisme, les Eglises, etc.

Je pense que ce projet manque clairement d'ambition. Il faut aller encore plus loin et supprimer purement et simplement la race humaine.

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C'est vrai que la liste des choses a effacer est assez longue: Famille, propriété privée, capitalisme…..C'est vraiment la mutation radicale!

Oui, tout ce qui fait l'homme: le couple, la famille, la propriété privée, la religion, le capitalisme… Ce n'est plus une mutation, c'est une extermination.

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Une extermination avant la disparition de l'homme! Sur, la mutation radicale

est un projet, un concept, bien sympathique et surtout prometteur! :icon_up:

Je préconise que ces abrutis commencent par appliquer ce génial programme à eux-mêmes. Qu'ils m'envoient leur copine, je me charge de la destruction du "couple exclusif".

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Oui effectivement, voila une bien belle, et interessante, initiative pour participer a la "mutation radicale"!

Oui, mais attention hein, je garde seulement les canons (sans doute un vieux réflexe bourgeois machiste). Les autres peuvent continuer leur programme de mutation toutes seules si ça leur chante. :icon_up:

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C'est loin d'etre suffisant……Je ne sais pas si tu es vraiment au courant de la situation d'urgence dans laquelle nous sommes! Le principe du "pollueur-payeur" est loin d'etre une mesure pouvant repondre a cette urgence!

Tu sais les dommages et intérets ne sont pas les seules demandes que peuvent avoir les personnes agressées par la pollution.
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