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Une solution à la fois écologique et libérale pour les océans


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Tu considere evidement que la valeur d'un terrain ne tien qu'aux nombre de mettre carrés, ce qui est evidement completement …BIP…
  • son positionnement géographique par rapport à des ressources qui n'y sont pas (route, fleuve, habitations…)
  • son entretien, est elle saturée de poluants ou d'angrais,
  • sa composition minérale,
  • l'existance d'une nappe d'eau de petrolle , d'un lac…
  • son climat.
  • la beaute du paysage
  • et evidement l'usage que tu en fait selon tes competences (un agriculteur ou un promoteur pourra en tirer plus qu'une steno dactilo).

Sont une infinite de facteurs qui affectent sa valeur. Ton positionnement ne tient pas 2 minutes.

quand je dis la richesse en terre je parle de la quantité de terre pas de la quantité ramenée en valeur. Ca n'est évidemment pas parce que je valorise un terrain que je dévalorise les autres, de toute façon ça n'est pas la question.

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De toute façon, c'est un calcul absurde. Une famille (4 ou 5 personnes) ne prend pas 4 ou 5 ha d'emblée. En outre, il est plus économique et bien meilleur écologiquement de concentrer les productions en fonction des endroits….

ça ferait un jeu marrant, diviser la terre en 5 milliards de parcelles, puis tirer au sort sa parcelle, puis essayer d'en tirer profit au maximum,…, ou se la couler douce…

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Pas certain de bien tout suivre, notamment certains délires, mais bon, pour en revenir à quelque chose de basiquemenr écolo, le poisson d'élevage, élevé dans des endroits "normaux" est souvent bien moins pollué que le poisson sauvage… :icon_up:

De toute manière, pourquoi raisonner hors contexte existant ?

Ce n'est pas sans intérêt évidemment, mais bon…

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Ca n'est pas de moi mais de Nozick
:icon_up:

Je l'ignorais.

De toutes facon, je n'ai pas dis si j'étais d'accord ou pas, j'ai dit que je trouvais ca drole.
:doigt:

ArnO: Ok, c'est plus clair
:warez:
. Par contre, je manque peut-être vraiment d'magination, mais tu ne m'a toujours pas dit comment on fait pour que les gens sache que ce banc de poisson m'appartient, et comment fait un pêcheur pour savoir si un banc de poissons appartient déjà à quelqu'un d'autre, alors que c'est, je te rappele, la base de mes doutes vis-à-vis de ton histoire de propriété du banc de poissons.
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Invité Arn0
ArnO: Ok, c'est plus clair :icon_up: . Par contre, je manque peut-être vraiment d'magination, mais tu ne m'a toujours pas dit comment on fait pour que les gens sache que ce banc de poisson m'appartient, et comment fait un pêcheur pour savoir si un banc de poissons appartient déjà à quelqu'un d'autre, alors que c'est, je te rappele, la base de mes doutes vis-à-vis de ton histoire de propriété du banc de poissons.
Il peut exister un registre. Je ne vois vraiment pas le problème pratique. Soit il s'agit d'un pêcheur du dimanche à la ligne et il ne pose pas vraiment de problème soit il s'agit d'un pêcheur professionnel et il peut bien prendre la peine de s'informer pour savoir si oui ou non il a le droit de pécher. On connaît les mouvements des poissons, on peut donc savoir selon la date et le lieu à qui ils appartiennent (dans la mesure où il ne s'agit évidemment pas d'identifier chaque poisson ou chaque petit groupe de poisson).

Posséder vingt pourcents d'un groupe de poisson ne signifie pas que sur un groupe de cent mille je possède vingt mille individus bien identifiés et que si un autre pêcheur me prive de certains d’entre eux je peux le poursuivre ! Cela signifie que les autres pêcheurs doivent me laisser au moins vingt pourcents des poissons du groupe (et que je doit de mon coté leur en laisser au moins quatre-vingt pourcents). Même si je dispose de l’usus (j’ai le droit de pêcher), du fructus (j’ai un droit sur la descendance des poissons) et de l’abusus (puisque je peux détruire mes poissons ou vendre mes droits de pêche) cela s’apparente plus concrètement à un quota de pêche (mais perpétuel, individuel et transférable) qu’à un droit de propriété classique. Le principal intérêt par rapport aux système de quota habituel c’est que la régulation se fait par un mécanisme de marché plutôt que par un mécanisme de régulation étatique.

Ce que je décris là est proche, il me semble, des systèmes Néo-zélandais et Islandais qui donne de bon résultat.

(Ceci étant dit je suis pas un spécialiste de la pêche.)

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