Aller au contenu

Vos poètes préférés


magistre

Messages recommandés

Quels sont vos poètes préférés ? Voici mes choix :

Baudelaire, Les Fleurs du mal

Mallarmé, Poèmes

Rimbaud

Paul Verlaine

Paul Valéry

Guillaume Appolinaire

Saint John Perse

Carmina Burana, la collection classique des poèmes latins médievaux

Novalis

Goethe

Heine

Rainer Maria Rilke, peut être le plus grand poète de tous…

William Blake

W. Shakesepare

Shelley

Keats

T.S. Eliott

Dante

Petrarca

Walt Withman

Emily Dickinson - vraiment exceptionnelle et fascinante

George Bacovia, le poète patron de ma ville natale, une ville qui a d'ailleurs fortement inspiré l'athmosère sombre de ses poèmes

Lucian Blaga

Mihai Eminescu

Rabindranath Tagore

Omar Khayyam

et quelques anciens.

Lien vers le commentaire

Je ne lis pas de poésie, même si, quand il m'arrive de tomber dessus, ça me plaît.

J'aime bien Emily Dickinson, mais il faut se limiter à moins de 10 vers à la fois sous peine sauter de 10e étage.

J'aime bien la Légende Des Siècles, même si je n'en ai lu que de cours passages.

Lien vers le commentaire

Mes poètes préférés sont les Parnassiens, les symbolistes et autres précurseurs du surréalisme.

Les premiers qui me viennent à l'esprit : Leconte de Lisle, Saint-Paul Roux, Cros, Mallarmé, Lorrain, de Gourmont, Verhaeren et Breton.

Une très bonne introduction :

Lien vers le commentaire
proposer les traductions anglaises des poètes français, que snobisme !!!

Si j'ai commis un tel acte de mauvais goût, alors le snobe c'est Amazon.fr :icon_up:

J'aime bien Emily Dickinson, mais il faut se limiter à moins de 10 vers à la fois sous peine sauter de 10e étage.

Une femme fatale donc ! :doigt:

Lien vers le commentaire
Mes poètes préférés sont les Parnassiens, les symbolistes et autres précurseurs du surréalisme.

Les premiers qui me viennent à l'esprit : Leconte de Lisle, Saint-Paul Roux, Cros, Mallarmé, Lorrain, de Gourmont, Verhaeren et Breton.

Une très bonne introduction :

Rémy de Gourmont, je n'ai lu de lui que son Esthétique de la langue française, qui est un recueil d'essais fort sympathique et admirablement écrit:

Beaucoup lu les classiques français poétiques du XIXe (mais aussi les poètes mineurs comme Laforgue ou Corbière - un peu), puis ceux du début du XXe. Mais j'ai ensuite découvert la poésie médiévale (Rutebeuf, Dante, Pétrarque). Pour la Renaissance, le meilleur reste à mon sens du Bellay. La Délie de Maurice Scève m'avait fortement impressionné, sans pour autant qu'elle m'ait plu. La poésie baroque française, en revanche, m'a plus séduit (aussi cérébrale que celle des poètes de la Renaissance, mais plus sensuelle et plus crue aussi). Je songe en particulier à Jean de Sponde:

Sans oublier les sonnets de Shakespeare (dans la traduction de Pierre-Jean Jouve, poète et prosateur trop oublié de nos jours):

Pour la poésie contemporaine:

Lien vers le commentaire

D'ailleurs, j'ai du mal à lire de la poésie, sauf quand elle est narrative (si on peut le dire ainsi), dans le genre du roman inachevé ou de la légende des siècles, si vous avez des conseils de lecture dans cette direction je suis preneur.

Lien vers le commentaire
Je comprends d'où te vient ce rapport… poétique à l'histoire. :icon_up:
Or, sans savoir le nom dont la terre le nomme,

J'ai vu luire le ciel dans les yeux de cet homme ;

Cet homme au front serein vient de la part de Dieu.

J'ai mal à croire que cela te mette en peine que j'apprécie de genre de poésie :doigt:

Lien vers le commentaire
D'ailleurs, j'ai du mal à lire de la poésie, sauf quand elle est narrative (si on peut le dire ainsi), dans le genre du roman inachevé ou de la légende des siècles, si vous avez des conseils de lecture dans cette direction je suis preneur.

Homer, l'Odysée et l'Illiade :icon_up:

Hésiode, Théogonie, Les Travaux et les Jours

Sophocle, Antigone, Oédipe, Electra…

Aristophane, La Paix, Les Nuées…

Eschyle, L'Orestie, Agamemnon, Les Perses …

Euripide, Iphigénie en Tauride , Les Baccantes, Hécube…

Lucanus, La Pharsale

Virgile, l'Enéide

Arioste, Orlando Furioso

Torquato Tasso, Jérusalem délivré et Jérusalem libéré

John Milton, Paradis perdu

Luis de Camoes, Les Lusiades

Edgar Allan Poe, le Corbeau

Keats, Hyperion

Lord Byron, Don Juan

Lien vers le commentaire

Un des avantages de ma lecture mensuelle de The Atlantic, c'est qu'ils collent poèmes paf en plein milieu d'articles de fond géopolitiques (en fait, un quart de page bas/gauche).

C'est une façon maligne de faire apprécier l'art du poète. C'est comme de piquer une tête dans le gave au milieu d'une après midi étouffante.

Lien vers le commentaire
Un des avantages de ma lecture mensuelle de The Atlantic, c'est qu'ils collent poèmes paf en plein milieu d'articles de fond géopolitiques (en fait, un quart de page bas/gauche).

Elvifrance faisait de même il y a quelque vingt-cinq ans. Un peu de Dante, de Shakespeare, ou de Verlaine avant la grosse artillerie.

Lien vers le commentaire
Un des avantages de ma lecture mensuelle de The Atlantic, c'est qu'ils collent poèmes paf en plein milieu d'articles de fond géopolitiques (en fait, un quart de page bas/gauche).

Dominique de Villepin doit être pigiste là-bas.

Lien vers le commentaire

J'ai dernièrement commencé la lecture des Satires de Juvénal. Le vocabulaire est très difficile (mon dictionnaire ne m'a jamais été aussi fidèle) mais le poète décrit bien la société romaine de son époque, sans concession.

Lien vers le commentaire

Sylvia Plath & Ted Hughes. Par nostalgie.

Il faudrait que je me mette un peu plus sérieusement à Milton, et plus intensément aux deux auteurs précités. Une relecture des Chants du Comte de Lautréamont, dans un autre genre, s'avérerait également salutaire.

:icon_up:

Lien vers le commentaire
???

C'est un poète prétentieux pratiquant l'art du foutage de gueule à un degré que même les dadaïstes avaient eu peine à atteindre.

Concernant son rapport à de Gaulle, Saint-John Perse/Alexis Léger avait colporté dans l'entourage de Roosevelt (fort réceptif à ce genre de propos) que de Gaulle était un danger politique, un aspirant dictateur.

Lien vers le commentaire

J'ai du mal avec la poésie narrative. Je préfère l'abstraction d'un Apollinaire, d'un Verlaine ou d'un Rimbaud, aux récits à rimes de Victor Hugo (ce qui n'enlève rien à son génie).

Un recueil comme "Une saison en enfer" de Rimbaud incarne, pour moi, le summum de l'exploitation de la langue française.

Lien vers le commentaire
Sylvia Plath & Ted Hughes. Par nostalgie.

J'ai récemment lu "La cloche de détresse" (roman) de Plath : c'est pas mal du tout. On voit que c'est avant tout une poétesse ; son livre est bourré d'images et d'évocations poétiques souvent réussies.

Sinon, je n'ai jamais été fort sensible à la poésie. Mallarmé est le plus intéressant, ex aequo avec Verlaine. Jacques Brel dans les contemporains. + Les Orientales de Hugo.

Lien vers le commentaire

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

×
×
  • Créer...