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Les jeunes ne sont plus intéressés par l'outil-ordi


ernest

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hgggnnnn, la "five-minutes wikipédia science", c'est bien gentil, mais c'est pas cool de diriger directement les gens vers ça.

?

Je pourrais lui conseiller un bouquin, mais je doute qu’il veuille passer des heures à ça…

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Sinon, comme ce topic est parti en sucette, je tiens a dire que la methode a chitah reste probablement la plus rapide avec un CPU généraliste (pas un machin embarqué sans cache…) si on n'a pas besoin de plus de précision… comme quoi hein…

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Sinon, comme ce topic est parti en sucette, je tiens a dire que la methode a chitah reste probablement la plus rapide avec un CPU généraliste (pas un machin embarqué sans cache…) si on n'a pas besoin de plus de précision… comme quoi hein…

Si on a le temps de rentrer la table (i.e. si l'on n'a pas mieux à faire), peut-être.

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Je ne sais pas où poster cela, mais on est dans la section "Technologie et sciences", donc je pense que ça serait approprié.

Un ami à moi m'a renvoyé vers les entretiens d'un scientifique de haut niveau nommé Etienne Klein. Il y parle de son parcours, son métier, et des liens entre philosophie et sciences. Sans être moi-même scientifique, j'ai trouvé ça très intéressant, donc je vous le recommande :

http://www.arte.tv/fr/Les-dossiers-Science/1131406.html

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Une table, ça se précalcule…

Une table, saymal. C'est tout juste bon à faire de l'informatique de gestion, ça, c'est pas un vrai truc de L33t ! (Y a pas un smiley "Gniii" ?).

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Si on a le temps de rentrer la table (i.e. si l'on n'a pas mieux à faire), peut-être.

Table précalculée grâce à un programme de plus haut niveau, tu crois que j'ai tapé 1800 valeurs à la main? :icon_up:

Sinon, comme ce topic est parti en sucette, je tiens a dire que la methode a chitah reste probablement la plus rapide avec un CPU généraliste (pas un machin embarqué sans cache…) si on n'a pas besoin de plus de précision… comme quoi hein…

:doigt:

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Table précalculée grâce à un programme de plus haut niveau, tu crois que j'ai tapé 1800 valeurs à la main? :icon_up:

Rien ne laissait croire le contraire. Ceci dit, tu me rassures tout de même. Ledit programme utilisait quelle méthode ?

Pour l'avoir eu comme prof, il est un peu perché quand même, mais rigolo et intéressant à écouter.

Physicien quantique, spécialiste du concept de temps. J'ai un de ses bouquins. Il a souvent des anecdotes croustillantes au sujet de ses élèves…

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Rien ne laissait croire le contraire. Ceci dit, tu me rassures tout de même. Ledit programme utilisait quelle méthode ?

Comme c'était le langage était de haut niveau, la fonction cosinus et sinus existait en natif, donc pas de méthode!

Il a souvent des anecdotes croustillantes au sujet de ses élèves…

Et nous à son sujet d'ailleurs.. :icon_up:

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Et nous à son sujet d'ailleurs.. :icon_up:

Tu m'intéresses. :doigt: Sinon, de son côté, les anecdotes sont plutôt dans ce ton-là (cette anecdote a été abrégée par rapport à sa version originelle) :

J'ai eu à faire récemment à un jeune étudiant en sciences qui n'était pas d'accord avec la théorie de la relativité d'Einstein pour une raison étonnante : il m'a dit qu'il ne la sentait pas.
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Une table, saymal. C'est tout juste bon à faire de l'informatique de gestion

Heureusement que je sais que tu plaisantes …

(Exemple de table intéressante : celle des coeffs d'une fonction de transfert non stationnaire)

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Pour revenir au sujet, un minimum de compréhension du fonctionnement de l'informatique me semble faite partie de la culture générale d'un diplômé du supérieur au moins pour un travail de cadre.

Par exemple :

* Distinguer les différentes mémoires de l'ordinateur : RAM, ROM, disque dur,

* Comprendre l'acheminement des données sur Internet (multiples chemins),

* Faire la différence entre le web et Internet,

* Sur Internet, faire la différence entre l'exécution coté client / coté serveur,

Un minimum de bases théoriques de ce genre et peu de bon sens permet de résoudre beaucoup de problèmes courants en informatique et pourtant cela n'a pas d'application directe.

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Physicien quantique, spécialiste du concept de temps. J'ai un de ses bouquins. Il a souvent des anecdotes croustillantes au sujet de ses élèves…

C'es marrant pendant un instant j'ai cru que Etienne Klein avait été mon directeur d'école, qui lui aussi faisait de la quantique. Mais c'était juste un homonyme, moi c'était Jean Klein.

Pour revenir sur le sujet je pense avoir eu la chance de suivre un parcours raisonnable en prog. Algorythmique (on a pas touché de pc avant le deuxième semestre globalement et encore…), C, assembleur, C++. Et un petit peu de Java sur la fin. Depuis que je bosse (seulement 2 ans), je ne touche plus que du Java, Javascript.

Pour le coup je trouve quand même la programmation en Java facile et surtout agréable, Eclipse permettant d'écrire très vite (certain diront pisser) du code. Mais ce code peut être de qualité. Mais je dois bien avouer que le C me manque quand même, c'était un défi permanent pour écrire du code qui ne plante pas.

Quand à savoir si le niveau se dégrade, je vois mon école glisser doucement vers un cursus finance. Logique du marché puisqu'il y a des postes et que ça rapporte. Mais du coup les ingénieurs en sortant sont clairement moins calé techniquement.

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Exemple de problème : tu envoies un mail à ton boss avec une pièce jointe, il l'ouvre directement, fait des modifs, et clique sur "Sauvegarder". Sans mon intervention, il aurait perdu son taf puisqu'évidemment, le résultat de ses modifs se trouvait dans les répertoires provisoires d'Outlook.

lol, c'est pas très malin et c'est en même temps si facile de se faire avoir quand n'y connais rien. Dans ce cas ci, il est évident que comprendre le fonctionnement de l'outil permet de gagner en productivité.

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Puisqu’on parle de nerditude, aujourd’hui, un problème avec un UART m’a amené à me poser une question innocente:

est-il possible de retrouver le polynôme générateur à partir de données non bruitées et de leur CRC ? (non, je l’admet, j’ai jamais réussi à comprendre les maths derrière les CRC :icon_up: D’accord, c’est pas comme si j’avais essayé très fort non plus)

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Puisqu’on parle de nerditude, aujourd’hui, un problème avec un UART m’a amené à me poser une question innocente:

est-il possible de retrouver le polynôme générateur à partir de données non bruitées et de leur CRC ? (non, je l’admet, j’ai jamais réussi à comprendre les maths derrière les CRC :icon_up: D’accord, c’est pas comme si j’avais essayé très fort non plus)

Faisons out de même un effort pour ne pas trop dériver.

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  • 2 weeks later...

Je pense que le débat est très bien résumé par la bi-revue de l'ipad faite par d. Pogue pour le New York Time : http://www.nytimes.com/2010/04/01/technolo…amp;ref=general

Le problème de fond est qu'un ordinateur est une machine qui permet de simuler toutes les machines (ce qu'on appelle la programmation) et qu'il diffère en cela des autres machines (comme les fax, les machines à laver, les voitures) pour lesquelles il y a une, ou des, utilisation (une fin pour l'objet). En fait de plus en plus de gens utilisent un ordi comme une machine à consommer de la connaissance et non plus comme une méta-machine : et c'est ça être intéressé par l'"outil-ordi".

In 10 years of reviewing tech products for The New York Times, I’ve never seen a product as polarizing as Apple’s iPad, which arrives in stores on Saturday.

Absurd or revolutionary? Even before its release, the iPad is a polarizing device.

“This device is laughably absurd,” goes a typical remark on a tech blog’s comments board. “How can they expect anyone to get serious computer work done without a mouse?”

“This truly is a magical revolution,” goes another. “I can’t imagine why anyone will want to go back to using a mouse and keyboard once they’ve experienced Apple’s visionary user interface!”

Those are some pretty confident critiques of the iPad — considering that their authors have never even tried it.

In any case, there’s a pattern to these assessments. The haters tend to be techies; the fans tend to be regular people.

Therefore, no single write-up can serve both readerships adequately. There’s but one solution: Write separate reviews for these two audiences.

Read the first one if you’re a techie. (How do you know? Take this simple test. Do you use BitTorrent? Do you run Linux? Do you have more e-mail addresses than pants? You’re a techie.)

Read the second review if you’re anyone else.

Review for Techies

The Apple iPad is basically a gigantic iPod Touch.

It’s a half-inch-thick slab, all glass on top, aluminum on the back. Hardly any buttons at all — just a big Home button below the screen. It takes you to the Home screen full of apps, just as on an iPhone.

One model gets online only in Wi-Fi hot spots ($500 to $700, for storage capacities from 16 to 64 gigabytes). The other model can get online either using Wi-Fi or, when you’re out and about, using AT&T’s cellular network; that feature adds $130 to each price.

You operate the iPad by tapping and dragging on the glass with your fingers, just as on the iPhone. When the very glossy 9.7-inch screen is off, every fingerprint is grossly apparent.

There’s an e-book reader app, but it’s not going to rescue the newspaper and book industries (sorry, media pundits). The selection is puny (60,000 titles for now). You can’t read well in direct sunlight. At 1.5 pounds, the iPad gets heavy in your hand after awhile (the Kindle is 10 ounces). And you can’t read books from the Apple bookstore on any other machine — not even a Mac or iPhone.

When the iPad is upright, typing on the on-screen keyboard is a horrible experience; when the iPad is turned 90 degrees, the keyboard is just barely usable (because it’s bigger). A $70 keyboard dock will be available in April, but then you’re carting around two pieces.

At least Apple had the decency to give the iPad a really fast processor. Things open fast, scroll fast, load fast. Surfing the Web is a heck of a lot better than on the tiny iPhone screen — first, because it’s so fast, and second, because you don’t have to do nearly as much zooming and panning.

But as any Slashdot.org reader can tell you, the iPad can’t play Flash video. Apple has this thing against Flash, the Web’s most popular video format; says it’s buggy, it’s not secure and depletes the battery. Well, fine, but meanwhile, thousands of Web sites show up with empty white squares on the iPad — places where videos or animations are supposed to play.

YouTube, Vimeo, TED.com, CBS.com and some other sites are converting their videos to iPad/iPhone/Touch-compatible formats. But all the news sites and game sites still use Flash. It will probably be years before the rest of the Web’s videos become iPad-viewable.

There’s no multitasking, either. It’s one app at a time, just like on the iPhone. Plus no U.S.B. jacks and no camera. Bye-bye, Skype video chats. You know Apple is just leaving stuff out for next year’s model.

The bottom line is that you can get a laptop for much less money — with a full keyboard, DVD drive, U.S.B. jacks, camera-card slot, camera, the works. Besides: If you’ve already got a laptop and a smartphone, who’s going to carry around a third machine?

Review for Everyone Else

The Apple iPad is basically a gigantic iPod Touch.

The simple act of making the multitouch screen bigger changes the whole experience. Maps become real maps, like the paper ones. Scrabble shows the whole board, without your having to zoom in and out. You see your e-mail inbox and the open message simultaneously. Driving simulators fill more of your field of view, closer to a windshield than a keyhole.

The new iBooks e-reader app is filled with endearing grace notes. For example, when you turn a page, the animated page edge actually follows your finger’s position and speed as it curls, just like a paper page. Font, size and brightness controls appear when you tap. Tap a word to get a dictionary definition, bookmark your spot or look it up on Google or Wikipedia. There’s even a rotation-lock switch on the edge of the iPad so you can read in bed on your side without fear that the image will rotate.

If you have the cellular model, you can buy AT&T service so you can get online anywhere. (Cellular iPads aren’t available until next month; I tested a Wi-Fi-only model.)

But how’s this for a rare deal from a cell company: there’s no contract. By tapping a button in Settings, you can order up a month of unlimited cellular Internet service for $30. Or pay $15 for 250 megabytes of Internet data; when it runs out, you can either buy another 250 megs, or just upgrade to the unlimited plan for the month. Either way, you can cancel and rejoin as often as you want — just March, July and November, for example — without penalty. The other carriers are probably cursing AT&T’s name for setting this precedent.

The iPad’s killer app, though, is killer apps. Apple says that 150,000 existing iPhone apps run on the iPad. They either appear actual size — small and dead center on the screen — or, with a tap, doubled to fill the screen, a little blurry. Still, all the greats work this way: Dragon Dictation, Skype (even voice calls, through its speaker and microphone) and those gazillion games.

But the real fun begins when you try the apps that were specially designed for the iPad’s bigger screen. (When the iPad section of the App Store opens Saturday, it will start with 1,000 of them.)

That Scrabble app shows the whole board without your zooming or panning: a free companion app for your iPhone or Touch is called Tile Rack; it lets you fiddle with your letters in private, then flick them wirelessly onto the iPad’s screen. Newspaper apps will reproduce the layout, photos and colors of a real newspaper. The Marvel comic-book app is brilliant in its vividness and panel-by-panel navigation. (Oops, maybe that app belongs in the review for techies.)

Hulu.com, the Web’s headquarters for free hit TV shows, won’t confirm the rumors that it’s working on an iPad app, but wow — can you imagine? A thin, flat, cordless, bottomless source of free, great TV shows, in your bag or on the bedside table?

Speaking of video: Apple asserts that the iPad runs 10 hours on a charge of its nonremovable battery — but we all know you can’t trust the manufacturer. And sure enough, in my own test, the iPad played movies continuously from 7:30 a.m. to 7:53 p.m. — more than 12 hours. That’s four times as long as a typical laptop or portable DVD player.

The iPad is so fast and light, the multitouch screen so bright and responsive, the software so easy to navigate, that it really does qualify as a new category of gadget. Some have suggested that it might make a good goof-proof computer for technophobes, the aged and the young; they’re absolutely right.

And the techies are right about another thing: the iPad is not a laptop. It’s not nearly as good for creating stuff. On the other hand, it’s infinitely more convenient for consuming it — books, music, video, photos, Web, e-mail and so on. For most people, manipulating these digital materials directly by touching them is a completely new experience — and a deeply satisfying one.

The bottom line is that the iPad has been designed and built by a bunch of perfectionists. If you like the concept, you’ll love the machine.

The only question is: Do you like the concept?

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