Aller au contenu

Libéralisme et moment de solitude


Messages recommandés

En dépit d'une profonde phobie sociale

J'en étais sûr ! J'étais sérieux quand j'ai dit que je suis phobique social et que c'est pas marrant. T'es déjà allé chez un psy ? (c'est une vraie question)

(Et sinon j'ai rien compris à ton pavé et pas tout lu :icon_up:)

Lien vers le commentaire
M'enfin c'est sûrement + facile quand on est étudiant en économie… on trouve des gens intéressés par l'économie dans notre entourage. Tu fais quoi Yul ? :icon_up:

Ah ? Les étudiants en économie parlent d'économie entre eux, maintenant ? Dans ma fac, on parle de vacances ou de soirées. Parfois, quand on est vraiment sérieux, on parle de maths. Mais d'économie, jamais. Connait pas.

Lien vers le commentaire

Rooohh, mais si y'a bien 1 ou 2 d'étudiants sur tout l'amphi qui s'intéressent vraiment à l'économie. En 3ème année dans le parcours "économie" (c'est à dire ni management, ni compta), il doit y en avoir une proportion encore + grande ! Faut tomber dessus quoi… sinon effectivement, la plupart vont en boite, parlent de filles et de types de bières :icon_up:

Lien vers le commentaire
Bah justement c'est bien, non ? :doigt:

Perso j'ai décidé de ne plus parler d'économie IRL, sauf rares exceptions.

je suis phobique social

Euh, non c'est pas super x) Je vais pas en boite (sinon je fais une crise cardiaque), les filles je connais pas beaucoup, et la bière j'en bois rarement, et j'aime pas vraiment. Je suis le mec chiant qui lit des livres, mais je suis sympa :icon_up:

Lien vers le commentaire
Euh, non c'est pas super x) Je vais pas en boite (sinon je fais une crise cardiaque), les filles je connais pas beaucoup, et la bière j'en bois rarement, et j'aime pas vraiment. Je suis le mec chiant qui lit des livres, mais je suis sympa :icon_up:

Et vous le vivez mal?

Vous voudriez être normal?

PS : il n'y a rien de pire auprès des filles que de passer pour le mec sympa.

Lien vers le commentaire
Et vous le vivez mal?

Vous voudriez être normal?

:mrgreen:

Euh, non c'est pas super x) Je vais pas en boite (sinon je fais une crise cardiaque), les filles je connais pas beaucoup, et la bière j'en bois rarement, et j'aime pas vraiment. Je suis le mec chiant qui lit des livres, mais je suis sympa :icon_up:

On peut lire des livres et s'amuser à côté, mais bon. Trouver le juste milieu :doigt:

Lien vers le commentaire
Et vous le vivez mal?

Vous voudriez être normal?

Ce qui est chiant surtout, c'est que je n'ai absolument aucune confiance en moi, je suis limite parano ("personne ne m'aime, tout le monde me déteste"), je pense que dès que je parle à quelqu'un je le dérange, j'ai l'impression que tout le monde m'observe et se moque de moi… et quand quelqu'un me montre de l'amitié ou de l'affection j'ai du mal à y croire, et quelques heures + tard je me dis que cette personne ne voudra jamais me revoir parce que je suis une m****… Du coup je reste enfermé chez moi, et mes rares amis doivent me pousser pour que je sorte !

Mais je devrais plutôt aller raconter ça sur un forum spécialisé, ou à un psy ! :icon_up: Je suis en train de pourrir le topic de Yul du coup… enfin c'est dans le même thème joyeux des "moments de solitude"

PS : il n'y a rien de pire auprès des filles que de passer pour le mec sympa.

Je sais, je sais :doigt:

Lien vers le commentaire
puisque tu as été amèrement déçu que je n'y réponde pas, ce qui m'étonne vu que je suis un peigne-zizi, je vais y répondre maintenant.

D'abord, je ne suis pas quelqu'un de simple, et je ne cherche pas à le paraître. Maintenir des apparences ne m'intéresse en général pas. D'autre part, je passe un temps considérable à écouter les autres, d'abord parce que je suis abominablement curieux et que le moindre fait trivial m'intéresse, le sujet de l'humanité dans son ensemble et de ses particularités me passionne, et ensuite parce que les gens se confient spontanément à moi: il m'arrive souvent que de parfaits inconnus ou de vagues connaissances se mettent d'un coup à me raconter leur vie.

En dépit d'une profonde phobie sociale, qui a tendance à me faire redouter les rapports sociaux à cause de traumatismes anciens, et doit jouer un rôle dans mon addiction à internet, je suis très très à l'aise socialement. J'ai une capacité d'adaptation au milieu qui m'a été très utile dans le journalisme. Cette capacité je l'ai apprise sur le tard et à la dure, parce que je n'étais à ma place nulle part et qu'il m'a fallu faire une série de grands écarts. Je vais te donner un exemple trivial: je n'ai pas l'accent du sud. Je n'ai jamais vécu que dans le sud, ma famille aussi, et en ce qui la concerne, ça fait un sacré bail. En plus je viens d'une campagne enclavée où l'on a parlé français qu'assez récemment. Or très tôt j'ai parlé avec un accent pointu qui heureusement s'est atténué avec le temps. Pourquoi ? je n'en sais rien. En français, qui a beaucoup de voyelles, le "o" peut être ouvert ou fermé. Dans le sud il est tout le temps fermé, et moi il m'arrive de l'ouvrir. A moins que ça ne soit l'inverse ? En tout cas, je prononce correctement "rose" la plupart du temps, ce qui est très rare chez un méridional à cause du souvenir morphologique de l'occitan. Or, dans le sud si tu n'as pas le bon accent tu es catalogué étranger, et dans mon cas, pire que tout, parisien. Les gens du sud sont un peu froids avec les étrangers, sauf évidemment lorsqu'il y a un intérêt derrière, comme dans l'industrie du tourisme. Le peu d'accent du sud que j'ai pris je le perds très facilement, et quand je vais à Paris on a du mal à me croire quand je dis que j'habite Toulouse. Et cette histoire d'accent c'est une bricole. Je ne te parle même pas des problèmes que m'ont posé mon éducation. Bon, tu vas dire que je geins et que je ne fais que parler de moi et que c'est une digression sans intérêt. Mais ce que j'essaye de te faire comprendre, car j'aime bien, moi, que les autres me comprennent, et je n'hésite pas à gaspiller mon temps à l'occasion, c'est que je suis depuis toujours un étranger. Fondamentalement. Le libéralisme en la matière ne me change pas. Je reste un étranger dans mon pays. Donc certaines choses qui te paraissent évidentes ne le sont pas pour moi, et réciproquement. Et je ne ressens pas les choses de la même manière. Pourtant je m'efforce à une certaine lucidité, même si je n'y arrive pas toujours. Pour moi, si on devait aller au fond du fond du libéralisme et ne garder que le concept le plus essentiel, plus que l'amour de la liberté j'y verrais la lucidité.

Alors, tu penses sans doute que ce que je viens d'écrire entre en contradiction avec ce que tu as pu constater sur ce thread. Les conversations que je relate, je ne les ai pas eues avec n'importe qui. D'abord, et comme tu t'en doutes, il ne s'agit que d'extraits, du moment politique de conversations portant sur tout autre chose et bien plus longues. D'autre part ce sont des conversations avec des intimes. Je ne fais jamais mystère de mon mépris pour les syndicalistes ou les pisse-copie de Libé, mais vis à vis de personnes que je ne connais pas, où si le contexte ne s'y prête pas, je ne vais jamais plus loin que de brèves remarques ironiques si le sujet est abordé. Comme tous les Français méprisent ceux que par ailleurs ils envient, ça passe. Il y a l'exception de Causeur, dans les commentaires duquel je polémique. Je dis ça, mais ce n'était pas le cas il y a deux-trois ans, où je commettais bourde sur bourde. Il m'arrive encore parfois de me scandaliser quand on me sort une énormité, mais je ne prolonge pas l'affaire en bataille d'arguments. Quand je ne peux éviter le débat, je dévie sur "non, nous les libéraux nous n'aimons pas non plus Sarkozy, qui manque de style et qui n'est pas un libéral etc…". Donc, pourquoi j'emmerde mes proches avec mes idées, ce que je ne fais que rarement avec les personnes qui ont la chance de ne pas me connaître ? Parce que leur avis a de l'importance à mes yeux, et que je suis horriblement déçu quand des personnes que j'estime me sortent des banalités apprises par coeur ou se complaisent dans un comportement grégaire absurde. Alors, si j'avais un autre caractère, j'enterrerais la déception au fond de mon coeur, en silence, et tout irait bien. Je le fais parfois. Sauf que j'ai un caractère volcanique, capable de rester en sommeil longtemps, avec juste quelques fumeroles, puis d'exploser d'un coup. J'ai le goût de la polémique, du débat. Une idée ne vaut pour moi que confrontée. Et j'aime gagner.

Est-ce qu'en postant mes mésaventures rhétoriques, je cherchais des conseils ? Oui et non. A vrai dire, j'avais vaguement dans l'idée de raconter une anecdote, une sorte de billet de correspondant de guerre. je suis journaliste de formation. Eventuellement ça aurait lancé le sujet des mécanismes du conformisme français. J'ai raconté les autres anecdotes parce que je me suis pris au jeu, parce que j'aime écrire, et que je trouvais intéressant de parler de quelque chose de concret, de vécu, pas seulement de théorie sur les fonctions légitimes de l'Etat ou de faits racontés par un article. Apparemment, je me suis trompé. Quant à mon relationnel, qui n'a jamais été dans mon esprit le sujet, je le gère. Mal peut-être, mais tu n'es pas mieux placé que moi pour en juger, ce que ton comportement prouve largement. Et si tu crois lire entre les lignes je te suggère des double-focales.

Enfin, tu parles de mon ego. Je ne vais pas nier l'ampleur de mon ego. Je voudrais néanmoins te faire remarquer qu'une personne qui donne un conseil, et je ne doute pas que ce conseil soit bien intentionné et le fruit de l'expérience, mais qui attend en retour qu'il soit suivi comme un ordre, avec un "yes sir !", sur la seule foi de la sagesse intrinsèque de ses paroles, puis qui se paye la tête de la personne à qui elle a donné le conseil en question, pour le fun, parce qu'elle a le sentiment de ne pas avoir été comprise, et que de toute façon elle a raison, manque singulièrement d'humilité, et je n'irai pas mesurer son ego parce qu'on ne vend pas dans le commerce des mètres ruban qui dépassent le kilomètre. J'ai goûté la fine allusion à mon pseudo, du niveau du reste de ton humour et dans le droit fil de ta signature. Hélas, ça fait un moment que Bigard me lasse, même si j'aime bien son sketch de la chauve-souris. Je commets des erreurs d'inexpérience ? Tu viens d'en commettre une avec moi. "Faire le mec sympa et parler gentiment d'autre chose" ? J'ai pu constater tout le crédit que tu accordais à ce conseil par l'effort que tu as produit dans sa mise en pratique.

:icon_up:

Lien vers le commentaire
et quand quelqu'un me montre de l'amitié ou de l'affection j'ai du mal à y croire, et quelques heures + tard je me dis que cette personne ne voudra jamais me revoir

La est le point positif!

Si vous pensez que cette personne ne voudra jamais vous revoir, alors peu importe ce qu'elle pense de vous, soyez vous même et advienne que pourra.

La vie c'est simple soyez vous même, ne reniez jamais votre nature profonde, et apprendre à se connaitre soi même (un minimum, parce que c'est le boulot de toute une vie) avant de vouloir connaitre les autres.

Et le jour ou tu te connaitra toi même et que tu sauras ce que tu attends de la vie, tout ira mieux!

En attendant la lecture de Sénèque ma parait appropriée.

Lien vers le commentaire
La est le point positif!

Si vous pensez que cette personne ne voudra jamais vous revoir, alors peu importe ce qu'elle pense de vous, soyez vous même et advienne que pourra.

La vie c'est simple soyez vous même, ne reniez jamais votre nature profonde, et apprendre à se connaitre soi même (un minimum, parce que c'est le boulot de toute une vie) avant de vouloir connaitre les autres.

Justement, je ne suis pas vraiment timide avec les gens que je ne connais pas, mais énormément avec les gens que je connais un peu. J'ai surtout du mal à revoir les gens, à garder le contact (même par internet). A ce qu'il paraît, c'est parce que j'ai tellement une mauvaise opinion de moi-même que je préfère que les gens ne me connaissent que de manière superficielle, pour qu'ils ne puissent pas me connaître réellement et découvrir que je suis "nul" :icon_up: Et aussi parce que je me dis que si je leur parle, je les dérange (même si je sais qu'ils me trouvent sympa quoi)…

Lien vers le commentaire
Justement, je ne suis pas vraiment timide avec les gens que je ne connais pas, mais énormément avec les gens que je connais un peu. J'ai surtout du mal à revoir les gens, à garder le contact (même par internet). A ce qu'il paraît, c'est parce que j'ai tellement une mauvaise opinion de moi-même que je préfère que les gens ne me connaissent que de manière superficielle, pour qu'ils ne puissent pas me connaître réellement et découvrir que je suis "nul" :icon_up:

Mais pourquoi les gens auraient-ils besoins de vous connaitre réellement?

Pourquoi parler de vous aux gens?

N'avez-vous donc point d'autre sujet à aborder que vous?

Et aussi parce que je me dis que si je leur parle, je les dérange (même si je sais qu'ils me trouvent sympa quoi)…

Si vous dérangez, on ne vous répond pas c'est aussi simple que ça.

Lien vers le commentaire
Justement, je ne suis pas vraiment timide avec les gens que je ne connais pas, mais énormément avec les gens que je connais un peu. J'ai surtout du mal à revoir les gens, à garder le contact (même par internet). A ce qu'il paraît, c'est parce que j'ai tellement une mauvaise opinion de moi-même que je préfère que les gens ne me connaissent que de manière superficielle, pour qu'ils ne puissent pas me connaître réellement et découvrir que je suis "nul" :icon_up: Et aussi parce que je me dis que si je leur parle, je les dérange (même si je sais qu'ils me trouvent sympa quoi)…

Tout le monde a des amis qui sont nuls, sinon j'en aurai pas autant. :doigt: C'est pas un souci, ne force pas la main des gens, mais appelle une paire de fois demander des news meme si tu osef totalement. C'est pas compliqué, ça vient ça part les amis. Et quand on te propose une soirée ou une sortie, tu y vas, même si c'est nul a priori.

Lien vers le commentaire
  • 2 weeks later...

je m'étais promis de ne plus reposter dans ce thread, et de le laisser mourir, mais je ne résiste pas à la tentation de faire un petit épilogue:

j'ai eu des nouvelles du gauchiste qui avant que je ne fasse ma crise d'épilepsie (qui n'a rien à voir), me faisait la leçon sur le consumérisme, les marchés financiers et les riches qu'il faut faire payer. La femme d'un pote travaille avec lui. Enfin, quand je dis "travaille"… Il est dans un machin public (pas eu la présence d'esprit de demander lequel), il n'en branle pas une quand il est présent, et il cumule les arrêts-maladie bidons. Et il ne se cache même pas pendant ces arrêts maladie, tout le monde le croise genre dans une boutique ou au café. Bon, c'est pas un méchant type, il m'a porté secours, mais ce sont vraiment tous les mêmes.

Lien vers le commentaire

quoi tous les memes, les gauchistes? tu te rends compte des conneries que tu racontes?

en plus tu baves sur un gars qui t'as aidé, juste parce qu'il est pas d'accord politiquement avec toi…s'il voyait ca il regretterait probablement de pas t'avoir laissé avaler ta langue :mrgreen:

tiens je te decerne un :icon_up::doigt::mrgreen:

yul-brynner-the-king-and-i2.jpg -- petit Yul mal agir! Grand Yul pas content du tout!

Lien vers le commentaire
j'ai eu des nouvelles du gauchiste qui avant que je ne fasse ma crise d'épilepsie (qui n'a rien à voir), me faisait la leçon sur le consumérisme, les marchés financiers et les riches qu'il faut faire payer. La femme d'un pote travaille avec lui. Enfin, quand je dis "travaille"… Il est dans un machin public (pas eu la présence d'esprit de demander lequel), il n'en branle pas une quand il est présent, et il cumule les arrêts-maladie bidons. Et il ne se cache même pas pendant ces arrêts maladie, tout le monde le croise genre dans une boutique ou au café. Bon, c'est pas un méchant type, il m'a porté secours, mais ce sont vraiment tous les mêmes.

Même si j'ai une piètre estime de lui, je ne vois pas d'incohérence entre ce qu'il dit et ce qu'il fait

Lien vers le commentaire

Je tenais à signaler en tant que nouveau membre, que ma théorie libérale est vraiment pourrie pour draguer. D'où lanécessité d'une certaine connaissance en écolo-socialo-boboisme car après tout en tant qu'homo oeconomicus il faut savoir aller outre nos valeurs quand ça en vaut la peine xd

Lien vers le commentaire
quoi tous les memes, les gauchistes? tu te rends compte des conneries que tu racontes?

en plus tu baves sur un gars qui t'as aidé, juste parce qu'il est pas d'accord politiquement avec toi…s'il voyait ca il regretterait probablement de pas t'avoir laissé avaler ta langue :icon_up:"

je n'ai pas été très fin……. ma remarque était particulièrement conne…… tu as tout à fait raison, il faut s'abstenir de ce genre de généralisation débile, je suis désolé…….

je ne bave pas parce qu'il n'est pas d'accord, je fais remarquer que comme la plupart des gauchistes que j'ai rencontré planqués dans le public, ses leçons de morale sur la citoyenneté-les riches qui sont des voleurs- etc… ne l'empêchent pas de se la couler douce aux frais du contribuable, bien au contraire, qu'il n'y a donc aucune cohérence entre la "vertu" qu'il prône et la manière dont il gagne sa vie. Ou plus exactement si, mais à un niveau inconscient. L'Etat est la fiction qui lui permet de s'absoudre lui-même. Ca faisait trois jours que je l'entendais déblatérer des conneries plus grosses que lui sur l'économie de marché (sans rien dire jusqu'à ce que je craque), et même si je lui suis gré de son aide, et que je n'ai jamais dit que les gauchistes avaient tous mauvais fond, quoique je les méprise, je constate une fois de plus la double pensée, le double standard, qui sévit dans ce marais où social-démocratie et extrême-gauche s'interpénètrent. Et dans son cas ça m'est pénible de le constater, parce que c'est quelqu'un de gentil malgré tout. L'anti-libéralisme tire décidément sa force sur les esprits de son imbrication avec le sens moral, pour l'affirmer ou le contourner ou les deux en même temps, mais bon, rien de neuf de ce point de vue.

Plus ça va plus je me dis que je commettais une erreur en voulant parler de réalité économique avec des gens que la réalité économique n'intéresse pas (ils préfèrent leurs fantasmes), ou même de mettre en relief leurs nombreuses contradictions, ce qui ne fait que les rendre encore plus agressifs; et que le meilleur moyen d'amener un anti-libéral sur des positions libérales, c'est de lui parler valeurs morales.

Lien vers le commentaire
je n'ai pas été très fin……. ma remarque était particulièrement conne…… tu as tout à fait raison, il faut s'abstenir de ce genre de généralisation débile, je suis désolé…….

Des majuscules au début des phrases, et pas plus de trois points de suspension à la fois, merci.

Lien vers le commentaire
Je tenais à signaler en tant que nouveau membre, que ma théorie libérale est vraiment pourrie pour draguer. D'où lanécessité d'une certaine connaissance en écolo-socialo-boboisme car après tout en tant qu'homo oeconomicus il faut savoir aller outre nos valeurs quand ça en vaut la peine xd

Qu'est-ce qui cloche dans ta théorie de drague ? Y a rien de plus sexy qu'un baroudeur libertarien. Dans le fond, les filles aiment pas les mous, c'est juste que, comme les mecs, elles ont a priori une affinité pour ce qui leur est familier, c'est à dire pas nos idées.

Lien vers le commentaire

Je sais que les filles n'aiment pas les mous, c'est pour ça que lorsque je veux tabasser quelqu'un je me débrouille pour qu'il y ait des filles. Mais ce qu'elles aiment c'est les faux bad boy, si jamais tu leur dis que tu osef de la faim dans le monde et que les malheurs des autres t'indifférent voir te font franchement rire alors là ça devient plus compliqué. :icon_up:

Lien vers le commentaire
je n'ai pas été très fin……. ma remarque était particulièrement conne…… tu as tout à fait raison, il faut s'abstenir de ce genre de généralisation débile, je suis désolé…….

je ne bave pas parce qu'il n'est pas d'accord, je fais remarquer que comme la plupart des gauchistes que j'ai rencontré planqués dans le public, ses leçons de morale sur la citoyenneté-les riches qui sont des voleurs- etc… ne l'empêchent pas de se la couler douce aux frais du contribuable, bien au contraire, qu'il n'y a donc aucune cohérence entre la "vertu" qu'il prône et la manière dont il gagne sa vie. Ou plus exactement si, mais à un niveau inconscient. L'Etat est la fiction qui lui permet de s'absoudre lui-même. Ca faisait trois jours que je l'entendais déblatérer des conneries plus grosses que lui sur l'économie de marché (sans rien dire jusqu'à ce que je craque), et même si je lui suis gré de son aide, et que je n'ai jamais dit que les gauchistes avaient tous mauvais fond, quoique je les méprise, je constate une fois de plus la double pensée, le double standard, qui sévit dans ce marais où social-démocratie et extrême-gauche s'interpénètrent. Et dans son cas ça m'est pénible de le constater, parce que c'est quelqu'un de gentil malgré tout. L'anti-libéralisme tire décidément sa force sur les esprits de son imbrication avec le sens moral, pour l'affirmer ou le contourner ou les deux en même temps, mais bon, rien de neuf de ce point de vue.

Plus ça va plus je me dis que je commettais une erreur en voulant parler de réalité économique avec des gens que la réalité économique n'intéresse pas (ils préfèrent leurs fantasmes), ou même de mettre en relief leurs nombreuses contradictions, ce qui ne fait que les rendre encore plus agressifs; et que le meilleur moyen d'amener un anti-libéral sur des positions libérales, c'est de lui parler valeurs morales.

Non il n'y a pas d'incohérence, un exemple d'incohérence c'est par exemple mon père ex agent immobilier dans un département bastion de la gauche (Isère) qui se retrouve avec des vendeurs qui eux aussi spéculent avec leur bien pour par exemple réaliser.
Lien vers le commentaire

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

×
×
  • Créer...