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Traductions pour Contrepoints, Wikiberal et autres


Nick de Cusa

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Et dans ce cas, le fichier devrait être à jour. :mrgreen:

https://docs.google.com/spreadsheet/ccc?key=0AghBwvkIquj6dHVkM0VYYW9YNVBfNGdMUXYzMFVxTGc&hl=en_US

(je l'ai mis à jour suite à ce post, pour info)

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How about a Green Tea Party

By Terry L. Anderson

Dans ces temps où la campagne présidentielle se met peu à peu en place, il serait temps de voir émerger quelques leaders environnementaux. Ce qui n’est malheureusement pas le cas. Les démocrates continuent à proposer réglementation sur réglementation et de très coûteux plans en réponse à des problèmes environnementaux, tandis que les Républicains continuent d’affirmer que les problèmes d’emploi et d’économie devraient l’emporter sur la protection de l’environnement.

Le temps est donc venu pour un mouvement qui, grâce à la prospérité économique, s’affairerait à améliorer la qualité environnementale. Le temps est donc venu pour un « Tea Party » vert d’émerger.

Un tel mouvement ne vous conviendrait pas si vous pensez que les bureaucrates de Washington devraient simplement voter des budgets plus conséquents pour permettre de vivre dans un environnement plus propre. Depuis 1980, le budget réel (corrigé de l’inflation) de l’agence de protection de l’environnement est resté relativement stable, et pourtant la qualité de l’air et de l’eau se sont améliorés. La plupart de ses améliorations sont apparues par le biais de la réduction des coûts des technologies dans le secteur privé, et non grâce aux réglementations.

La posture d’un « Tea-Party vert » serait de croire que seuls la prospérité et les encouragements peuvent conduire à des améliorations sur le plan environnemental. Premièrement : la richesse amène la santé. Des Etats-Unis à l’ex-URSS, les statistiques montrent qu’une croissance économique est nécessaire pour mener à des améliorations sur le plan de l’environnement. La croissance n’est pas l’ennemi de l’environnement. Pour atteindre cette croissance, il faudrait que le secteur privé soit renforcé, et que les défenses fédérales soient abaissées. Deuxièmement : le rôle des encouragements. Un « Tea-party vert » utiliserait la carotte plutôt que le bâton de la « régulation » pour permettre des avancées sur le plan de la qualité environnementale, et laisserait librement les prix de l’énergie fluctuer sur les marchés et ainsi faire le choix des sources d’énergie à exploiter. Une alternative aux énergies fossiles ne pourra apparaître que lorsque les entrepreneurs pourront dégager un profit sur des énergies moins chères, plus propres et plus efficaces.

Le gouvernement d’Obama a dépensé des milliards dans les énergies alternatives, en apparence pour créer des emplois et agir sur l’environnement, mais cette action s’est soldée par un échec. L’entreprise de panneaux solaires Solyndra (qui est désormais en faillite) a reçu des subventions pour un total de 535 millions de dollars alors qu’elle n’avait que 1 500 salariés.

De même, la production subventionné d’éthanol encourage la destruction des marécages et fait augmenter l’usage de pesticides et d’herbicides. Quant à elles, les éoliennes ont désorganisé les trajectoires des vols d’oiseaux alors que les champs de panneaux solaires ont détruit les paysages.

Voici quelques politiques pour l’environnement proposées par le « Tea-Party » vert qui ont un intérêt économique car elles comptent sur la force du marché pour mettre au jour ce qui fonctionne :

Le “Tea-Party” vert voudrait que les agences de protection des terres telles que le “Forest Service” (agence en charge de plusieurs dizaines de forêts et de parcs nationaux), le « Park Service » (agence en charge de parcs nationaux notamment) et le « Bureau of Land Management » (agence en charge du domaine public) génèrent des bénéfices sur la propriété fédérale. Avec des terres qui valent des milliards et des milliards de dollars, il n’y aucune excuse pour que le déficit ne cesse d’augmenter. Entre 2006 et 2008, le « Forest Service » a perdu 3,58 milliards de dollars, chaque année, en moyenne. De plus, environ 39 millions d’acres (conversion à effectuer) sont classés dans les terres à risque pour les incendies et 6 autres millions sont en train de mourir du fait de leur infection par des insectes. Leur abattement est actuellement interdit du fait d’actions juridiques.

A l’inverse, entre 1995 et 2005, la confédération des tribus du « Salish-Kootenai » dans le Montana gagnait 2,04 dollars pour chaque dollar dépensé (investi) dans ses forêts –car les arbres, provenant de forêts saines, leur permettait d’obtenir des prix plus élevés. Cela leur permettait ainsi de stabiliser leurs coûts administratifs à un niveau bas. Le tout en conservant un lieu d’habitat pour les espèces en voie de disparation et en améliorant la qualité de l’eau. Le « Tea-party » vert demanderait de l’agence en charge du domaine public, soit de faire du profit, soit de confier la gestion des terres aux agences d’Etat, aux tribus, aux entreprises et compagnies environnementales qui sont experts en manière d’association des problématiques économiques et écologiques.

Le Tea party vert voudrait permettre l’ouverture du marché de l’eau plutôt que de tapping le Trésor américain. Pendant des décennies, des agences telles que le « Bureau of Reclamation » (qui s’occupe de la gestion de l’eau) et le « Corps of Engineers » (le premier constructeur public aux Etats-Unis) ont été subventionnés pour fournir une protection contre les inondations et pour le traitement de l’eau , de l’irrigation bon marché et de l’énergie hydroélectrique. Ces agences ont fait de l’eau une denrée très peu chère, mais elles ont ignoré l’impact environnemental de leurs actions. Preuve en sont les barrages qui ont empêché les saumons de se reproduire, et le développement d’une « irrigation toxique ». Tandis que si la ressource avait été confié au marché, les clients auraient pris en charge le coût total, dont le coût environnemental. Ainsi on aurait réduit la demande en eau et on aurait pu allouer plus de ressources aux installations délabrées comme les stations de traitement des eaux.

Le “tea-party” vert souhaiterait établir (… reste à traduire)

Il faudrait en faire un peu plus pour l’environnement que de se pavaner dans des vêtements faits en matériau recyclés tout en roulant dans une voiture hybride. Et une meilleure qualité de l’environnement ne peut simplement pas être achetée en imposant davantage de taxes et en votant de nouvelles réglementations. Un « Tea Party » vert voudrait permettre à la fois, une meilleure qualité de l’environnement, des coupes de budget et garantir une prospérité économique.

Voilà (enfin) la traduction de l'article sur le Green Tea Party

Une fois de plus, il doit y avoir des fautes dans la traduction ainsi que des lourdeurs qui restent à corriger. Quelques passages assez courts restent à traduire.

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A faire :

http://blogs.telegraph.co.uk/news/danielhannan/100108516/the-eu-has-lost-whatever-legitimacy-it-once-enjoyed/

/!\ : http://blogs.telegraph.co.uk/news/danielhannan/100108480/the-lobbying-strength-of-big-business-is-puny-compared-to-that-of-the-global-ngos/

-> celle-ci semble bien prometteuse

http://blogs.telegraph.co.uk/news/danielhannan/100107908/jose-manuel-barroso-sends-us-the-bill-for-propping-up-the-euro/

Je mets à jour le fichier.

Qui prend ? Messieurs dame, allons-y, CP compte sur vous !

Je note en outre que le texte proposé par OWNI / Bugbrowser n'a trouvé qu'un preneur, MXI, que je remercie, mais … Qui veut aider ?

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Je note en outre que le texte proposé par OWNI / Bugbrowser n'a trouvé qu'un preneur, MXI, que je remercie, mais … Qui veut aider ?

Qui n'avance pas aussi vite que souhaité, désolé :blushing: . Fin de trimestre, fin d'année, tout ça…

Ceci dit, si le relecteur futur peut m'envoyer un message, j'aurais quelques questions/remarques au sujet de ce texte (et en parler avant me permet de revoir la trad' avant de la soumettre à relecture :))

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Qui n'avance pas aussi vite que souhaité, désolé :blushing: . Fin de trimestre, fin d'année, tout ça…

Ceci dit, si le relecteur futur peut m'envoyer un message, j'aurais quelques questions/remarques au sujet de ce texte (et en parler avant me permet de revoir la trad' avant de la soumettre à relecture :))

Je serai ce relecteur :)

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L'article faisait 8 pages… et j'ai bêtement pris le lien et tradit au kilomètre.

Ceci dit, le résumé en première page… résume plutôt bien :).

Ah oui, effectivement, ça fait une belle tartine.

Je vais prendre le temps de relire ça avant de publier. La mise en ligne sera donc certainement moins rapide que d'habitude.

D'ores et déjà, un grand merci pour cet énorme boulot. :chine:

J'ai enfin trouvé le temps de finir ça. C'est un bon article, un peu long, mais intéressant.

Publication demain normalement…

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José Barroso nous envoie la facture de l’Euro

Nous contribuons á peu près ácette hauteur, le reste on le refilera aux Banquiers de Grande-Bretagne.

José Manuel Barroso a l’intention de résoudre la crise de l’Euro grâce áplus de dette, plus de dépense, plus d’intervention et plus d’intégration Européenne– plus, c’est vrai, de toutes ces choses qui font les grands gâchis. D’accord,vous me direz, mais c’est son problème. Si la zone Euro veut s’automutiler, quisommes-nous pour l’en empêcher ?

Le problème, c’est que ces mesures ne vont pas se confiner á la zone Eurocomme le souligne clairement le président de la commission lui-même. Ellesferont partie de la « méthode de la communauté ». Barroso veut que la« solidarité » s’installe entre les membres de la monnaie unique etles non-adhérents. En d’autres termes, pour ne pas trop insister, il veut fairepayer la facture á la Grande Bretagne pour soutenir une monnaie dont elle arefusé de se joindre.

Au cœur de son dispositif se trouve le plan pour l’impôt sur lestransactions financières. Ou se déroulent la majorité des transactions financièresdans l’UE ? Dans la cité de Londres. Pareil á la politique commune depêche, la Grande Bretagne va remplir en façon disproportionnée le pot dont lesautres vont allégrement piocher.

Déjà, la Grande Bretagne s’est fait entrainer dans le tourbillon, en déposant£12.5 milliard pour renflouer l’Euro. Maintenant, on vient chercher quelques£20 milliard supplémentaires. Nous devrions répondre sans équivoque aucune parun « impossible mon bon José ». On s’est gardé la livre sterling.Votre monnaie, ce n’est pas notre problème.


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Lobbying: Les ONG bien plus puissantesque les grandes firmes

Quelles sont les multinationalesréellement politiquement significatives ?

Il est difficile de ne pas admirer George Monbiot pour faire publier l’intégralité de sesrevenus. Comme il le dit, les journalistes font souvent face au problème du« on donne tout mais on prend rien ». Je connais un chroniqueur, parexemple, qui écrit souvent que la Grande-Bretagne a besoin d'exporter plusd'armes, mais qui n'a jamais, à ma connaissance, divulgué le fait qu'il vatirer au frais d'un vendeur d’arme de premier plan. Cela ne l'empêche pasde dénoncer la vénalité et corruption des députés.

Qu’est-ce qui a incité Monbiot à tant de transparence? Il s'expliquecomme suit:

La question desavoir qui paie pour plaider la cause publique est devenue une de mesobsessions. J'ai vu comment les groupes prétendant être des rassemblementsspontanés militants de base, luttant contre la réglementation du tabac ou exigeantque les gouvernements ne prennent aucune décision concernant le changementclimatique, ont en fait été créés et payés par les entreprises: une pratique connuesous le nom astroturfing[ndt : «stratégie de manipulation basée sur un mouvement citoyen d'apparence spontané,mais en réalité orchestré dans un but précis »].

Il semblerait que ce soit une idée, mais il ne s'ensuit pas que ces groupesaient tort de s'opposer à la réglementation. Comme le souligneDelingpole, c'est « la mesattribution d’intention". Vous pouvezavoir á titre personnel un intérêt á déclarer quelque chose, mais il se peutnéanmoins que ce quelque chose soit vrai. Cependant, il est vrai que ces chosesdites doivent l’être de manière transparente.

Curieusement, Monbiot dit rien sur l'argent et l'influence qui s’exerce del'autre côté de la barrière idéologique. Oui, le pétrole, le tabac et (surtout)les lobbies pharmaceutiques sont actifs en politique - chaque jour passé entant que député m'apprend á quel point ils sont actifs. Cependant, les plusfrénétique, sont les lobbyistes de la pauvreté et des ONG vertes: Oxfam, Amisde la Terre, War on Want, le WWF, Greenpeace,et lenon des moindres, Christian Aid (charité chrétienne).

Les multinationales et les ONG mondiales sont des réflexions á l’identique lesunes des autres. Toutes deux se méfient du processus démocratique,préférant s'entendre avec des faiseurs d'opinion clés. Toutes deux, enconséquence, adorent l'UE, ayant immédiatement l'intuition qu’elle a été conçuepour être à l'abri de l'opinion publique. Et pourtant, pour quelque raison,la plupart de ceux qui se plaignent les tendances anti-démocratiques desmultinationales font l’autruche quand il s'agit des lobbys écologiques et descampagnes anti-libre-échange.

Incidemment, et pour anticiper certains de vos commentaires, tous lesdéputés conservateurs enregistrent et publient toute réunion tenue avec deslobbyistes. J'ai pris la décision il y a quelques années den’en avoir aucune. Quand un lobbyiste me demande un rendez-vous, jeréponds que je serais heureux de parler á chacun de ses clients qui sont aussi mesélecteurs, et ce faisant qu'ils devraient entrer en contact directement avecmoi. Je suis, je me rends compte, assez injuste envers la majorité écrasantedes lobbyistes, qui ont une réglementation de leurs sont propres visant àassurer l’éthique de leur comportement. Mais, comme Monbiot, je suisdevenu obsédé par la façon dont ils contournent le processus démocratique. Les pratiquespolitiques transparentes ne vont pas résoudre le problème, mais c'estsurement un début.

2 petites remarques:

1- le lien sur l'aide chrétienne est un article que j'avais déja traduit pour CP (mais j'ai pas fait l'effort de retrouver le lien - donc le lien est l'original du Telegraph)

2- j'ai rajouté un lien pour Astroturfing (a un site francais de traduction dont l'explication de l'expression était correcte).

3- je suis moins actif en ce moment dû au boulot á l'université avec les cours etc.

a +

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Comme il devient clair que l’euro est un instrument de récession, ses supporters abattent leur dernière carte : le quitter, disent-ils, serait compliqué. Ils n’essayent même plus de clamer que le conserver est bénéfique : tout le monde peut voir que ce n’est pas le cas. Au lieu de ça, ils donnent dans le vieux truc « le traitement serait pire que la maladie ». Un retour aux monnaies nationales, nous disent-ils, serait impossible car trop compliqué et coûteux.

Ah vraiment ? Si changer de monnaie entraîne un certains nombres de conséquences pratiques, aucune n’est insurmontable. Par définition, tous les pays dont nous sommes en train de parler ont récemment accompli un tel changement : c’est de cette manière qu’ils ont adopté l’euro en premier lieu. Bizarrement, je ne me souviens pas des Eurocrates, à l’époque, blablater à propos des coûts et complexités immenses pour avoir à remplacer vos billets. Et, en effet, le changement serait plus simple aujourd’hui qu’il y a dix ans, parce que plus de monnaie est digitalisée, et les billets représentent une plus petite part de la monnaie en circulation.

J’ai demandé à un économiste slovaque l’autre jour comment son pays avait géré la transition monétaire lorsqu’il a divorcé de la République tchèque. « Très facilement », a-t-il répondu. « Un vendredi, après que les marchés aient fermé, le directeur de notre Banque Centrale a téléphoné à toutes les banques et leur a dit que, pendant le week-end, quelqu’un de son service viendrait mettre un coup de tampon sur tous leurs billets et que ce serait, jusqu’à ce que de nouvelles pièces et billets soient rendus disponibles, la monnaie qui aurait cours. Le lundi matin, nous avions une nouvelle monnaie ». Ouaip, et aujourd’hui ils auraient souhaité l’avoir conservée, mais c’est une autre histoire.

D’accord, c’est un petit peu plus compliqué que ça, mais juste un petit peu. John Redwood, qui sait tout ce qu’il faut savoir sur les banques, explique exactement comment la Grèce pourrait se libérer de la monnaie unique ici.

Et à propos des dettes libellées en euro ? Comment un pays avec une monnaie nouvellement dévaluée pourrait faire face à ses engagements internationaux ? Il ne pourrait pas. La dévaluation et le défaut de paiement sont—pour une fois l’expression semble pertinente—deux faces d’une même pièce. Personne ne nie sérieusement que la Grèce va refuser d’honorer sa dette. Encaisser le choc d’un défaut sans le boost en compensation pour avoir quitté l’euro représente la pire des options possibles.

Ca ne veut pas dire que ça ne se produira pas. Au contraire, ça reste l’issue la plus probable. Il n’en reste pas moins que tout le débat sonne étrangement familier aux oreilles britanniques. Quand il devint clair que le Mécanisme de Taux de Change Européen (MCE), le torve prédécesseur de l’euro, faisait couler notre économie, l’Establishment dans son ensemble a commencé à avancer le fait que, quelles que soient les failles du système, nous n’avions d’autres choix que de faire avec. En sortir, a déclaré John Major, serait « l’option de l’inflation, l’option des partisans de la dévaluation, une trahison du futur de notre économie »—ce qui est presque exactement ce que disent les politiciens europhiles grecs aujourd’hui. Dans les faits, bien sûr, le reprise économique britannique a commencé aussitôt que nous avons quitté le MCE, et a continué pendant quasiment deux décennies avant que Gordon Brown ne décide de la balayer.

Il faut toutefois se rappeler que cette conséquence heureuse nous a été imposée par les marchés. Presque tous les politiciens, économistes, journaux, académiciens, entreprises et commentateurs ont repris le discours de John Major. Ceux d’entre nous qui se sont opposés à l’entrée dans le MCE en premier lieu étaient isolés et épars. Et que les faits nous aient donné raison ne nous a pas fait bénéficier d’une écoute conciliante la fois suivante. Ca n’est jamais le cas.

Voilà voilà, par contre ayant moins de 100 messages à mon actif je ne peux pas vraiment me charger des liens inclus dans le texte, ça ferait brouillon. Donc voici la liste :

"mais c'est une autre histoire" : http://blogs.telegraph.co.uk/news/danielhannan/100102328/slovakia-baulks-at-joining-yet-another-bailout/

"ici" : http://blogs.telegraph.co.uk/news/danielhannan/100102328/slovakia-baulks-at-joining-yet-another-bailout/

"ça reste l'issue la plus probable" : http://blogs.telegraph.co.uk/news/danielhannan/100102328/slovakia-baulks-at-joining-yet-another-bailout/

"a n'est jamais le cas" : http://blogs.telegraph.co.uk/news/danielhannan/100107205/the-eu-has-failed-who-are-the-truly-guilty-men/

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Encore la planche à billets? (Court)

http://blogs.telegraph.co.uk/news/danielhannan/100109371/more-money-printing-my-masters-are-you-mad/

(NB: le lien pour "half educated economists est à prendre ici, article déjà traduit : http://www.contrepoints.org/2011/09/15/46108-la-crise-et-la-plaie-des-demi-savants)

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Nick

I take this:

Nick

I take this:

Nick je vois que tu es sur la traduction au vue du tableau de traduction, donc évidemment je ne traduit pas Mises de Hannan

Encore la planche à billets? (Court)

http://blogs.telegraph.co.uk/news/danielhannan/100109371/more-money-printing-my-masters-are-you-mad/

(NB: le lien pour "half educated economists est à prendre ici, article déjà traduit : http://www.contrepoints.org/2011/09/15/46108-la-crise-et-la-plaie-des-demi-savants)

je prends la planche á billets.

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Folies monétaires á coup de planche á billets

Selon la BBC, laBanque d’Angleterre a décidé « d’injecter £75 milliard de plus dans l’économie ». Saviez-vous que c’était si facile ? Jeveux dire par là : pourquoi ne pas injecter £500 milliard ? Ou untrilliard. Dans la logique de la BBC, nous serions la nation la plus riche dela planète.

Je ne peux pas croire que je me dois d’écrire ce qui va suivre. Et pourtant,rien de nouveau ne sera fabriqué, inventé ou développé en résultat direct de cesfolies monétaires, il n’y aura pas de nouveaux services disponibles, on necréera pas de nouvelles entreprises. En revanche, l’argent déjà en circulation –l’argent de nos comptes bancaires, du fond de nos poches ou sous notre matelas –perdra de la valeur. En d’autres termes, le gouvernement se sert sur le comptede votre épargne – et en se faisant, entrave la productivité, réduit lesincitations au travail et affaibli la compétitivité de l’économie Britannique.

C’est précisément ce que la Banque d’Angleterre dit sur son site internet :

La stabilité monétaire est l’undes deux corps de métier de la Banque d’Angleterre. La stabilité monétairesignifie la stabilité des prix - une inflation faible - etla confiance dans la monnaie. La stabilité des prix est définiepar le taux d'inflation que le gouvernement s’est fixé, et que laBanque centrale cherche à remplir à travers des décisionsprises par le Comité de politiques monétaires.

L’objectif d'inflation du gouvernement est de deux pour cent oumoins. La Banque d'Angleterre n'a pas réussi à atteindre cetobjectif durant les cinq dernières années, période durant laquelle sesprévisions se sont avérées massivement et systématiquement mauvaises. Etpourtant, le chancelier a décidé de confier le futur de notreéconomie á ces même gens qui l'ont mené dans cette impasse.

Si je devais imprimer des billets de contrefaçons de £20pour acheter des biens, je perpétrerais une fraude: en ce sens que j’achèteraisquelque chose qui possède une valeur réelle avec quelque chose produitmagiquement à partir de rien. Pourtant, quand une banque centrale faitla même chose, les économistes demi-savantsqui dominent nos universités et nos stations de télévision hochentla tête d’un air approbateur et marmonnent des clichés surles «stimulus de la demande».

Pour l’amour du ciel, vous ne pouvez pas continuer á stimuler lademande, sans rien produire. C'est précisément ce qui nous a mis dans cepétrin en premier lieu.

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Pour l'instant, nous n'avons pas développé de partenariat (autorisation de reproduction/traduction) avec le Cobden center.

Autres articles qu'il peut être intéressant de traduire :

- L'essence de l’État providence : le paternalisme (un article du CATO : Paternalism and Principle http://www.cato.org/pub_display.php?pub_id=13741 )

- Un article sur l’Afghanistan (les 10 ans de l'intervention US), thème peu traité sur Contrepoints : Afghanistan: les forces US ne peuvent mettre fin à l'oppression (un article du CATO : U.S. Force Can't End Oppression http://www.cato.org/pub_display.php?pub_id=13749 )

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