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L'anti-racisme en France, un système d'oppression


Tramp

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Tout comme Hollande.

Hollande donne plus de travail au conseil constitutionnel et on ne peut pas dire que ce soit un organe judiciaire très impartial et honnête dans son interprétation de la constitution.

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mais qu'est-ce que c'est que cette bande de fanboys royalistes? le moteur c'est pas top alors on remet des pedales? pourquoi pas remettre au gout du jour la peau de bete a la place des shorts?

on est sur liborg ici, pas sur le fanclub du Puy du Fou

Ah c'est pas moi, c'est Eltourist qui se fait passer pour PABerryer :D
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C'est mignon mais un certain Thomas Jefferson lui a répondu avant même qu'il écrive :

Mais lorsqu'une longue suite d'abus et d'usurpations, tendant invariablement au même but, marque le dessein de les soumettre au despotisme absolu, il est de leur droit, il est de leur devoir de rejeter un tel gouvernement et de pourvoir, par de nouvelles sauvegardes, à leur sécurité futur e. Telle a été la patience de ces Colonies, et telle est aujourd'hui la nécessité qui les force à changer leurs anciens systèmes de gouvernement. L'histoire du roi actuel de Grande-Bretagne est l'histoire d'une série d'injustices et d'usurpations répétées, qui toutes avaient pour but direct l'établissement d'une tyrannie absolue sur ces États. Pour le prouver, soumettons les faits au monde impartial:

Il a refusé sa sanction aux lois les plus salutaires et les plus nécessaires au bien public. Il a défendu à ses gouverneurs de consentir à des lois d'une importance immédiate et urgente, à moins que leur mise en vigueur ne fût suspendue jusqu'à I'obtention de sa sanction, et des lois ainsi suspendues, il a absolument négligé d'y donner attention.

Il a refusé de sanctionner d'autres lois pour l'organisation de grands districts, à moins que le peuple de ces districts n'abandonnât le droit d'être représenté dans la législature, droit inestimable pour un peuple, qui n'est redoutable qu'aux tyrans.

Il a convoqué des Assemblées législatives dans des lieux inusités, incommodes et éloignés des dépôts de leurs registres publics, dans la seule vue d'obtenir d'elles, par la fatigue, leur adhésion à ses mesures. A diverses reprises, il a dissous des Chambres de représentants parce qu'elles s'opposaient avec une mâle fermeté à ses empiétements sur les droits du peuple. Après ces dissolutions, il a refusé pendant longtemps de faire élire d'autres Chambres de représentants, et le pouvoir législatif, qui n'est pas susceptible d'anéantissement, est ainsi retourné au peuple tout entier pour être exercé par lui, l'État restant, dans l'intervalle, exposé à tous les dangers d'invasions du dehors et de convulsions au-dedans.

Il a cherché à mettre obstacle à l'accroissement de la population de ces États. Dans ce but, il a mis empêchement à l'exécution des lois pour la naturalisation des étrangers; il a refusé d'en rendre d'autres pour encourager leur émigration dans ces contrées, et il a élevé les conditions pour les nouvelles acquisitions de terres. Il a entravé l'administration de la justice en refusant sa sanction à des lois pour l'établisse ment de pouvoirs judiciaires.

Il a rendu les juges dépendants de sa seule volonté, pour la durée de leurs offices et pour le taux et le paiement de leurs appointements.

Il a créé une multitude d'emplois et envoyé dans ce pays des essaims de nouveaux employés pour vexer notre peuple et dévorer sa substance. Il a entretenu parmi nous, en temps de paix, des armées permanentes sans le consentement de nos législatures. Il a affecté de rendre le pouvoir militaire indépendant de l'autorité civile et même supérieur à elle. Il s'est coalisé avec d'autres pour nous soumettre à une juridiction étrangère à nos Constitutions et non reconnue par nos lois, en donnant sa sanction à des actes de prétendue législation ayant pour objet: de mettre en quartier parmi nous de gros corps de troupes armées; de les protéger par une procédure illusoire contre le châtiment des meurtres qu'ils auraient commis sur la personne des habitants de ces États; de détruire notre commerce avec toutes les parties du monde; de nous imposer des taxes sans notre consentement; de nous priver dans plusieurs cas du bénéfice de la procédure par jurés; de nous transporter au-delà des mers pour être jugés à raison de prétendus délits; d'abolir dans une province voisine le système libéral des lois anglaises, d'y établir un gouvernement arbitraire et de reculer ses limites, afin de faire à la fois de cette province un exemple et un instrument propre à introduire le même gouvernement absolu dans ces Colonies; de retirer nos chartes, d'abolir nos lois les plus précieuses et d'altérer dans leur essence les formes de nos gouvernements; de suspendre nos propres législatures et de se déclarer lui-même investi du pouvoir de faire des lois obligatoires pour nous dans tous les cas quelconques.

Il a abdiqué le gouvernement de notre pays, en nous déclarant hors de sa protection et en nous faisant la guerre. Il a pillé nos mers, ravagé nos côtes, brûlé nos villes et massacré nos concitoyens. En ce moment même, il transporte de grandes armées de mercenaires étrangers pour accomplir l'œuvre de mort, de désolation et de tyrannie qui a été commencée avec des circonstances de cruauté et de perfidie dont on aurait peine à trouver des exemples dans les siècles les plus barbares, et qui sont tout à fait indignes du chef d'une nation civilisée. Il a excité parmi nous l'insurrection domestique, et il a cherché à attirer sur les habitants de nos frontières les Indiens, ces sauvages sans pitié, dont la manière bien connue de faire la guerre est de tout massacrer, sans distinction d'âge, de sexe ni de condition.

Dans tout le cours de ces oppressions, nous avons demandé justice dans les termes les plus humbles; nos pétitions répétées n'ont reçu pour réponse que des injustices répétées. Un prince dont le caractère est ainsi marqué par les actions qui peuvent signaler un tyran est impropre à gouverner un peuple libre.

Nous n'avons pas non plus manqué d'égards envers nos frères de la Grande-Bretagne. Nous les avons de temps en temps avertis des tentatives faites par leur législature pour étendre sur nous une injuste juridiction. Nous leur avons rappelé les circonstances de notre émigration et de notre établissement dans ces contrées. Nous avons fait appel à leur justice et à leur magnanimité naturelle, et nous les avons conjurés, au nom des liens d'une commune origine, de désavouer ces usurpations qui devaient inévitablement interrompre notre liaison et nos bons rapports. Eux aussi ont été sourds à la voix de la raison et de la consanguinité. Nous devons donc nous rendre à la nécessité qui commande notre séparation et les regarder, de même que le reste de l'humanité, comme des ennemis dans la guerre et des amis dans la paix.

En conséquence, nous, les représentants des États-Unis d'Amérique, assemblés en Congrès général, prenant à témoin le Juge suprême de l'univers de la droiture de nos intentions, publions et déclarons solennellement au nom et par l'autorité du bon peuple de ces Colonies, que ces Colonies unies sont et ont le droit d'être des États libres et indépendants; qu'elles sont dégagées de toute obéissance envers la Couronne de la Grande-Bretagne; que tout lien politique entre elles et l'État de la Grande-Bretagne est et doit être entièrement dissous; que, comme les États libres et indépendants, elles ont pleine autorité de faire la guerre, de conclure la paix, de contracter des alliances, de réglementer le commerce et de faire tous autres actes ou choses que les États indépendants ont droit de faire; et pleins d'une ferme confiance dans la protection de la divine Providence, nous engageons mutuellement au soutien de cette Déclaration, nos vies, nos fortunes et notre bien le plus sacré, l'honneur.

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Hollande donne plus de travail au conseil constitutionnel et on ne peut pas dire que ce soit un organe judiciaire très impartial et honnête dans son interprétation de la constitution.

 

+1

 

Franchement aussi je me demande: existe-t-il une seule institution etatique qui soit impartiale et honnete ? Je ne pense pas que ce soit possible.

 

Au passage, les juristes apparement se disputent pour savoir si le conseil constitutionel fait enfaite partie ou pas du judiciaire.

En autre a cause de sa composition:

Dans plusieurs pays (USA, Japon), leur equivalent est compose de juges.

En France ce sont des politiciens nommes a la fois par ceux de l'executif et du legislatif.

Il ce situe donc dans une zone assez floue par rapport a la separation des pouvoirs.

 

 

[site du conseil constitutionel] C'est une juridiction dotée de compétences variées, notamment du contrôle de conformité de la loi à la Constitution. Le Conseil constitutionnel n'est pas une cour suprême au-dessus du Conseil d'État et de la Cour de cassation.

 

Enfin certains juristes sont d'accord pour le classifier dans le judiciaire et d'autres juristes ne sont pas d'accord.

Mais la pluspart sont d'accord pour dire que c'est un organe avant tout politique et assez etrange dans sa structure.

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Dans la définition que donne NoName, Singapour est une monarchie. Pas de droit divin et pas héréditaire mais niveau partage du pouvoir Lee Kuan Yew c'était pas un role model.

Singapour n'est pas une monarchie, ou alors c'est une façon de parler qu'il faut expliquer. De ce que mon frère qui y est allé m'a expliqué, la curiosité politique de Singapour c'est plutôt un parti unique avec beaucoup de moyens qui a une influence culturelle démesurée.

c'est pour ça que j'ai dit que c'était un cas particulier, puisqu'on a à faire (affaire?) à un ovni politique.

  

 

Je dirais pas ça. Notez que pour décrire le caractère absolument sale d'une monarchie, on a glissé de monarchie à monarchie absolue. 

 

Le problème vient de la définition de monarchie. si on appelle une Monarchie un pays avec un roi, non, parce qu'on s'en branle au final de saoivr si on a un président, un prince ou un roi. Si on appelle monarchie un pays avec un pouvoir executif écrasant, pas besoin qu'elle soit absolue pour que ce soit un probleme.

Et je n'ai pas dit qu'une monarchie était foncièrement antilibérale ou bien que la démocratie c'était le top, simplement que la rengaine de Hoppe sur "le monarque a plus d'incitatifs à bien gérer le pays blablabla" ne tiens pas la route une fois mis à la lumière des faits, et que la corrélation "démocratie & libéralisme" est meilleure que celle de "monarchie & libéralisme".

 

 

  :lol: Il y a bien un autre fil ou d'aucuns trouveraient cool que Maduro soit cramé ou finisse comme Ceaucescu, donc bon, on n'est plus à ça près.

tu m'étonnes que ça serait cool

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Le problème vient de la définition de monarchie. si on appelle une Monarchie un pays avec un roi, non, parce qu'on s'en branle au final de saoivr si on a un président, un prince ou un roi. Si on appelle monarchie un pays avec un pouvoir executif écrasant, pas besoin qu'elle soit absolue pour que ce soit un probleme.

Je dis juste qu'il ne faut pas confondre la racine du mot et sa définition.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Monarchie

 

Et je n'ai pas dit qu'une monarchie était foncièrement antilibérale ou bien que la démocratie c'était le top, simplement que la rengaine de Hoppe sur "le monarque a plus d'incitatifs à bien gérer le pays blablabla" ne tiens pas la route une fois mis à la lumière des faits, et que la corrélation "démocratie & libéralisme" est meilleure que celle de "monarchie & libéralisme".

Dans ce cas, mis à la lumière des faits, le libéralisme ne fonctionne pas puisque chaque fois qu'il est mis en oeuvre, il est grignoté par le socialisme qui conduit invariablement au totalitarisme :P

Mais bon quoi qu'il en soit, ce n'était pas mon point que de dire que la monarchie valait mieux ou moins bien ni que tu t'étais prononcé à ce sujet. Ce que je remarque, c'est que jusqu'ici, les démocraties ont fait tellement de dégâts en ayant porté au pouvoir tellement de tarés que je ne leur donne pas plus ma préférence. Je continue de penser que ce sont des questions de pouvoirs données par la constitution et la possibilité ou non de la changer qui priment sur le régime en tant que tel.

 

tu m'étonnes que ça serait cool

Quand un libéral dit qu'il est pour la liberté de circulation mais ça dépend quand même, il faut être pragmatique, on l'allume à juste titre.

Quand un libéral dit qu'il est contre la peine de mort, sauf si le mec est vraiment super méchant, on l'allume pas.

Moi pas comprendre.

Aucun être humain ne mérite que la mort lui soit donnée en dehors d'un état de légitime défense. Pas même Maduro.

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Quand un libéral dit qu'il est pour la liberté de circulation mais ça dépend quand même, il faut être pragmatique, on l'allume à juste titre.

Quand un libéral dit qu'il est contre la peine de mort, sauf si le mec est vraiment super méchant, on l'allume pas.

Moi pas comprendre.

Aucun être humain ne mérite que la mort lui soit donnée en dehors d'un état de légitime défense. Pas même Maduro.

tu comprendrais si tu faisais un effort. je suis toujours contre la peine de mort, même pour Maduro. Par contre j'ai aucune objection au fait qu'on l'empale au sommet d'une colline sans autre forme de procès.

c'est illégal. ouais et alors ?

tout mon problème avec la peine de mort vient de sa légalité et de considérer ça comme un mode normal de résolution du problème.

 

 

Je dis juste qu'il ne faut pas confondre la racine du mot et sa définition.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Monarchie

dans la cas présent ce qui est intéressant c'est bien sa définition originel et non ce qu'elle est devenue. 

 

Dans ce cas, mis à la lumière des faits, le libéralisme ne fonctionne pas puisque chaque fois qu'il est mis en oeuvre, il est grignoté par le socialisme qui conduit invariablement au totalitarisme  :P

Mais bon quoi qu'il en soit, ce n'était pas mon point que de dire que la monarchie valait mieux ou moins bien ni que tu t'étais prononcé à ce sujet. Ce que je remarque, c'est que jusqu'ici, les démocraties ont fait tellement de dégâts en ayant porté au pouvoir tellement de tarés que je ne leur donne pas plus ma préférence. Je continue de penser que ce sont des questions de pouvoirs données par la constitution et la possibilité ou non de la changer qui priment sur le régime en tant que tel.

mis à la lumière des faits, sur le long terme, c'est bien la liberté qui grignote du terrain sur le pouvoir.

 

et ton point sur la démocratie et la constitution, très intéressant, sauf que les monarchies ont mis bien plus de tarés au pouvoir que les démocraties; et que les constitutions des démocraties sont globalement meilleures que celles des monarchies, ne serait-ce que parce que contrairement aux monarchies, les démocraties ont un truc qui ressemble vaguement à une constitution.

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tu comprendrais si tu faisais un effort. je suis toujours contre la peine de mort, même pour Maduro. Par contre j'ai aucune objection au fait qu'on l'empale au sommet d'une colline sans autre forme de procès.

Je ne vois pas la différence.

c'est illégal. ouais et alors ?

Ouais bon ça je m'en fous un peu.

tout mon problème avec la peine de mort vient de sa légalité et de considérer ça comme un mode normal de résolution du problème.

Alors que le mien vient du fait qu'on s'octroie le droit de donner la mort et que je ne sais pas à quel titre. J'ajoute que j'aimerais connaître la définition de "normal". C'est très vague ça. Pour moi, le mode normal de résolution du problème Maduro, c'est le marché qui rentre par la porte de derrière quand tu lui fermes la porte de devant.

dans la cas présent ce qui est intéressant c'est bien sa définition originel et non ce qu'elle est devenue.

Ben c'est toi qui le dis ça. Parti de Louis XIV, évidemment qu'il vaut mieux une démocratie.

Moi je ne limite pas la monarchie à la monarchie absolue. En ce sens, beaucoup d'autres catégories de monarchies font jeu égal avec la démocratie sur le plan des libertés.

Du coup, aujourd'hui en 2016, pour moi, l'un ne vaut pas mieux que l'autre.

mis à la lumière des faits, sur le long terme, c'est bien la liberté qui grignote du terrain sur le pouvoir.

Ca c'était de la provoc, d'ou le smile.

et ton point sur la démocratie et la constitution, très intéressant, sauf que les monarchies ont mis bien plus de tarés au pouvoir que les démocraties; et que les constitutions des démocraties sont globalement meilleures que celles des monarchies, ne serait-ce que parce que contrairement aux monarchies, les démocraties ont un truc qui ressemble vaguement à une constitution.

En excluant toute autre forme de monarchie que celle que je qualifierais d'absolue (dont la constitutionnelle) et sans ramener les faits à une époque récente, tu as raison.

Ajoutons aussi qu'en démocratie, à la place de me faire imposer des trucs par une personne, je peux m'en faire imposer par 49% des personnes. Au final, je suis baisé quand même... et ça on le constate tous les jours. Quand ça devient n'importe quoi, on a vu plus de rois se faire renverser que de démocraties.

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Alors que le mien vient du fait qu'on s'octroie le droit de donner la mort et que je ne sais pas à quel titre. J'ajoute que j'aimerais connaître la définition de "normal". C'est très vague ça. Pour moi, le mode normal de résolution du problème Maduro, c'est le marché qui rentre par la porte de derrière quand tu lui fermes la porte de devant.

on ne s'octroie pas un droit qui n'existe pas, c'est justement là toute l'idée. On le bute sans se cacher derrière son petit doigt en disant "c'est la peine de mort, la justice blabla". On le bute parce que c'est un fils de pute qui mérite de crever, et pas d'une mort délicate, et surtout derrière on dit pas "je suis innocent je l'ai pas tué, enfin j'avais le droit donc cépapareil" alors qu'on devrait dire "je l'ai buté, vous voulez me condamner pour avoir mis fin aux agissements d'un tyran ? faites-le". Quand à normal, ça veut dire exactement ce que normal veut dire, et c'est vague à propos.

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on ne s'octroie pas un droit qui n'existe pas, c'est justement là toute l'idée. On le bute sans se cacher derrière son petit doigt en disant "c'est la peine de mort, la justice blabla". On le bute parce que c'est un fils de pute qui mérite de crever, et pas d'une mort délicate, et surtout derrière on dit pas "je suis innocent je l'ai pas tué, enfin j'avais le droit donc cépapareil" alors qu'on devrait dire "je l'ai buté, vous voulez me condamner pour avoir mis fin aux agissements d'un tyran ? faites-le". Quand à normal, ça veut dire exactement ce que normal veut dire, et c'est vague à propos.

 

Ok alors on s'entendra pas là dessus. Je trouve que c'est toujours une mauvaise solution que de donner la mort. Je ne me suis pas réjoui quand les Kouachi se sont fait buter, ni Ben Laden, ni Saddam, ni Khadafi. J'aurais préféré qu'on juge Hitler et Staline. Bref, pour moi c'est pas une option. Mais je comprends ton point de vue.

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Ok alors on s'entendra pas là dessus. Je trouve que c'est toujours une mauvaise solution que de donner la mort. Je ne me suis pas réjoui quand les Kouachi se sont fait buter, ni Ben Laden, ni Saddam, ni Khadafi. J'aurais préféré qu'on juge Hitler et Staline. Bref, pour moi c'est pas une option. Mais je comprends ton point de vue.

de la même manière que je comprend le tiens :)

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Ok alors on s'entendra pas là dessus. Je trouve que c'est toujours une mauvaise solution que de donner la mort. Je ne me suis pas réjoui quand les Kouachi se sont fait buter, ni Ben Laden, ni Saddam, ni Khadafi. J'aurais préféré qu'on juge Hitler et Staline. Bref, pour moi c'est pas une option. Mais je comprends ton point de vue.

On peut aussi considérer que le jugement est préférable mais que leur donner la mort me donnera aussi le sourire. De toute façon le jusqu'au-boutisme de ce genre de personnage ne te laisse pas beaucoup de choix quant à l'issue, donc autant se contenter de la deuxième alternative (la mort).
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On peut aussi considérer que le jugement est préférable mais que leur donner la mort me donnera aussi le sourire. De toute façon le jusqu'au-boutisme de ce genre de personnage ne te laisse pas beaucoup de choix quant à l'issue, donc autant se contenter de la deuxième alternative (la mort).

 

Il n'y a pas 36 façons de donner la mort :

 

- involontairement,

- volontairement (meurtre),

- en légitime défense,

- par la peine de mort.

 

Tout le reste, pour moi ça rentre dans les circonstances atténuantes ou aggravantes...

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