Aller au contenu

Mégille

Tribun de la Plèbe
  • Compteur de contenus

    5 940
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    28

Tout ce qui a été posté par Mégille

  1. Mégille

    Vidéos comiques

    Tiens je n'avais jamais remarqué qu'il y avait Desproges parmi les journalistes !
  2. Mégille

    Tweets rigolos

    Mouai... Tesla est pas le seul à vendre des voitures électriques non plus, hein. Ca m'a bien l'air d'être l'un de ces "mésinvestissements" dont parlent nos autrichiens, qui ont lieu lorsqu'on joue un peut trop avec le taux d'intérêt par création monétaire. Il est cool et tout, je dis pas, mais il est pas homme-le-plus-riche-du-monde cool. Lex Luthor Bezos remplissait mieux ce rôle.
  3. Sur etoro je vois que le btc est pas loin des 40k $. A ce rythme là, il passe devant le yen japonais d'ici la fin de l'année, non ?
  4. Mégille

    Tweets rigolos

    what. C'est pas possible, c'est une bulle. J'ai du voir deux tesla dans ma vie, max. Ca rapporte tant que ça ? Ou alors c'est les fusées ? J'imagine que la grosse augmentation de masse monétaire du dollar us explique le rapide enrichissement de lui et de quelques autres par une redistribution à l'envers, mais comment les gadgets farfelus de Musk peuvent passer devant Amazon ou Microsoft ?! (et... on compte ses btc, dans sa fortune, ou pas ?)
  5. C'est pas "misdeavor", délit ? Il me semble que le président est sensé pouvoir être destitué en cas de "crime or misdeavor", ce que je comprenais "pour ses crimes et délits".
  6. Aussi étonnant que ça puisse paraître, l'un n'exclut pas l'autre. A partir du moment où tu reconnais l'autre comme un ennemi digne d'être combattu, tu lui reconnais aussi des forces, et tu vas chercher à avoir à ta disposition toutes les armes qu'a l'autre. Ce n'est qu'à partir de la fin des années 70 qu'on s'est mis, pendant une grosse décennie environ, a faire de l'inverse des soviets (j'imagine que c'est cette petite fenêtre temporelle qu'on appelle "néolibéralisme", même si beaucoup n'ont pas remarqué qu'elle a été fermée il y a 30 ans). Mais c'est parce qu'à ce moment là, l'URSS n'apparaissait plus comme triomphante et qu'on se rendait bien compte de la défaite de son modèle. C'est à ce moment aussi que même la Russie et la Chine ont commencé à privatiser des trucs. Mais avant ça, en occident, c'était l'âge d'or du keynésianisme en économie et du "marxisme occidental" en philosophie. Coté éco, on a Samuelson (mr synthèse orthodoxe) qui écrit dans les années 50 que le succès de l'urss est la preuve de la fausseté des théories de Hayek, et dans les années 60, on a Robinson (hétérodoxe, mais tout de même reconnue alors comme posant un défi sérieux à l'orthodoxie) qui prédit que le succès de la Corée du nord sera la preuve de la supériorité de la planification. Et en philo, c'est simple, sur cette période, ils sont tous communistes, à très peu de choses près, même les premiers analytiques. Il n'y a que Quine aux USA qui est conservateur, et qui chasse tous les "continentaux" (dont le communisme est susceptible d'être contagieux) des facs de philos (mais loin de disparaître, ils se sont simplement réfugiés dans les facs de lettres et de shs). Bref, paie ton repoussoir. Un phénomène similaire a eu lieu lors de la seconde guerre mondiale, avec les pays libres qui, tout en faisant mine de s'y opposer sur le fond, ont adopté de gros morceaux du modèles fascistes, i.e. l'état-providence.
  7. Allemagne ? Corée ? Taïwan, Hong Kong/RPC ? Jamais entendu parlé.
  8. Oh, ils finiront par s'effondrer sur eux-mêmes, comme l'urss. Mais ils vont avoir tout de même avoir le temps de nous transmettre toutes sortes de mauvaises idées d'ici là.
  9. Je vois pas mal de limites à la comparaison. Les chrétiens étaient persécutés assez occasionnellement (moins systématiquement qu'on a tendance à l'imaginer), parce qu'ils s'opposaient à un état de fait ancien, ou en tout cas, à un mouvement de fond d'assez longue durée. Au contraire, les sjw sont caractérisés par la vitesse fulgurante à laquelle ils tentent de changer les valeurs communes. Ils restent eux-même l'élément nouveau, comme l'étaient pour le coup les chrétiens à l'époque. C'était les chrétiens qui étaient "la gauche", et leur sociologie était visiblement similaire, puisqu'ils draguaient principalement les classes populaires urbaines. Les païens et les gentils, c'est à dire, littéralement, les pecnos et les gens de la haute, correspondent eux aussi assez bien à la sociologie de "la droite" (sauf en période de retournement de la gauche en fascisme, comme aujourd'hui). La volonté de n'épargner personne des sjw aussi ne ressemble pas tant à l'esprit des anciens païens.
  10. Entre le confinement, le traitement des ouighours qui n'est pas pour déplaire à certains commentateurs du figaro et de 20 minutes, et ça qui va faire rêver la gauche, j'ai bien peur que la Chine soit bien partie pour être notre modèle. Ils sont en train de nous défoncer la fenêtre d'Overton pour en faire une véranda.
  11. Mégille

    Actualité Covid-19

    Mais du coup, il sert à rien, le confinement irlandais ?
  12. Il y a beaucoup de cultures différentes en Iran, et je suis sûr que les autres valent aussi le coup d'œil, même si je les connais moins... Tranchons : les cultures iraniennes ! (et je remarque que tu ne me reprends pas sur le fait que j'ai utilisé "azeri" pour dire "azerbaijanais", alors que la majorité des azeris sont justement en Iran, espèce de correcteur sélectif !)
  13. Pour le coup, vu qu'a priori ça comprend Dieu et les anges, ça mérite d'être pris en considération...
  14. A votre avis, l'Iran est suffisamment pragmatique pour accepter de *ne pas* raser Israel en échange de *ne pas* se faire raser quelques villes, ou non ? Je me doute que ça bouleverserait pas mal la géopolitique de la région, mais je ne me rends pas bien compte du risque véritable de part-en-couillage. D'un coté, je ne vois pas comment qui que ce soit pourrait vouloir une telle catastrophe, mais d'un autre, j'ai beaucoup de mal à comprendre la perspective iranienne sur les relations internationales, autrement que sous un prisme théologique (peut-être parce que je ne suis pas encore assez renseigné). Bon, après, je me dis que le Chine est déjà armée depuis Mao, que le Pakistan l'est aussi, et peut-être la Corée du nord, et jusqu'à présent tout va assez bien... Donc j'ai envie d'être optimiste, et de ne pas trop modérer mon envie de militer pour le droit des iraniens à la b.n.à.u.r. Mais tout de même, c'est un tourment constant, d'être à la fois un admirateur à la fois d'Israel et de la culture iranienne. Encore pire que d'être fan à la fois de SoD et du hard rock de propagande azéri.
  15. Petite contradiction dans son discours : si la grande variété des sujets favorise ceux qui ont un fort capital culturel, alors, on peut trouver ça injuste, mais ça n'est pas une loterie... A partir du moment où on décide d'évaluer entre autre les connaissances de l'élève (je pense qu'il vaudrait mieux se contenter d'évaluer ses capacités de raisonnement, mais soit), alors évidemment qu'avoir un capital culturel aide. Et qu'importe si c'est en partie dû à l'environnement familial ? La familiarité avec les programmes d'histoire géo et de français aussi. Et surtout, il ne faudrait pas oublier que la culture, ça ne se transmet pas par les gènes... La mienne en tout cas ne me vient ni de ma prolo de mère ni de mon beauf de père. Que les élèves fassent un petit effort, merde. Et que les profs fassent un effort pour leur donner envie de faire cet effort. Avec moi ça marche très bien. (bon, en même temps, avec mes classes de 10 petits bourgeois catholiques blancs, je me la coule douce...) Donc même à supposer que ce soit un facteur moindre, la variabilité due aux correcteurs me semble plus dramatique que celle due aux sujets. Je ne sais pas très bien ce qui pourrait être fait... Supprimer le bac et l'éducation national serait un bon début. Mais évidemment, si on me donnait moins de notions à traiter, ou plus de temps pour les enseigner, je ne me plaindrais pas. Edit : je pense à un truc. Le monsieur de la vidéo (pas Mr Phi, l'autre, celui qui dit "république" une phrase sur deux) m'accuserait sans doute d'avoir une approche méritocratique, à propos de cette histoire de capital culturel. Mais justement non. Dans un concours de musique, le jury cherche à évaluer qui est le meilleur musicien, et il y a des chances que celui qui a un bon environnement familial soit aidé pour ça. Mais ce serait justement vouloir éviter ça qui supposerait un jugement de valeur, selon lequel, le candidat moins favorisé, quoi, "mérite", plus, puisqu'il aurait fait plus d'effort.
  16. TIL Graveyard Seamounts. Voilà ce qui se passe quand on donne à un métaleux le pouvoir de nommer des trucs :
  17. Mais dans ce cas, faut-il aussi laisser de coté les tentatives de meurtre ? Même s'il n'y a pas d'intention de tuer, un comportement irresponsable peut augmenter suffisamment les chances de tuer quelqu'un d'autre pour que l'on puisse attendre de la personne qu'elle l'évite. J'ai entendu parler d'un couple de youtubeurs... Pour une vidéo, l'une avait tirer sur l'autre qui se protégeait avec une Bible. Evidemment, ça n'a pas suffit, et un darwin award a été gagné. Je ne sais pas comment ça s'est réglé juridiquement... Mais ici, il n'y avait aucune intention de tuer (que l'on sache). Imagine maintenant que le fusil ait été dysfonctionnel, et n'ai pas tiré. Faut-il alors considérer qu'aucun mal n'a été fait ? Mais qu'il y aurait bien eu crime si la tireuse avait en fait bel et bien l'intention de profiter de la stupidité de son mari pour le tuer de cette façon là ? Oui, je comptais sans doute écrire quelque chose comme "... alors il faut considérer que le quatrième aussi", my bad.
  18. En effet, mais qu'en est-il de celui qui, sans le savoir, peut se douter qu'il a des chances de l'avoir ? Par exemple, s'il participe fréquemment à des orgies gays sans protection. Qu'il n'ai pas une certitude absolu de l'avoir suffit à rendre son cas qualitativement différent ? Pourtant, même celui qui a été testé positif au vih n'en a sans doute pas une certitude absolu, j'imagine que ce test là aussi a son taux de faux positifs, aussi fin soit-il.
  19. Ne pas porter de capote ne signifie pas avoir le sida... A partir de combien d'orgies gays dois-je considérer comme une agression mon habitude de coucher sans capote sans avertir mes partenaires de mes risques ? (et renoncer à mon poste d'eurodéputé ?)
  20. La différence c'est que l'on a pas un droit opposable au boulot ou au sexe, alors qu'on a bien un droit de ne pas se faire fusiller ou empoisonner. Qu'on ait de toute manière bel et bien ces droits est ce qui reste à expliquer. Une question de justice dans les peines est peut-être suffisante. Si je fais courir à quelqu'un un risque de 1% de chopper une maladie à laquelle il a 1% de chance de succomber, je mérite un dix-millième de la peine que j'aurai mérité si j'avais, par négligence, failli commettre un homicide involontaire, et que la victime n'y avait échappé que par miracle. J'imagine que c'est souvent suffisamment bas pour ne pas mériter une procédure. (après petite recherche, un homicide volontaire sans circonstance aggravante, c'est jusqu'à 5 ans de prison et 75k€. Divisé par 10000, ça fait environ 7,50€ et 4h de colle... J'ignore si, et comment, en droit français, est susceptible d'être puni le fait d'avoir fait courir un risque mortel à quelqu'un par négligence, mais sans le tuer, mais du coup j'imagine que c'est encore moins que ça). Remarque que ça autorise des punitions plus conséquentes selon la maladie et selon les risques. Il me semble normal que soit punissable le fait de baiser sans capote, en ayant le sida, en le sachant, et sans en avertir son ou sa partenaire. Pourtant, baiser entre personne consentante me semble aussi être un droit assez élémentaire. Et je ne vois qu'une différence de degré entre ça et discuter sans masque et sans être vacciné en période de pandémie (mais avec quand même pas mal de degrés entre les deux !). Bien entendu, tout ça ne justifie pas n'importe quel usage du droit au nom de la santé publique... Le droit doit rester un outil pour permettre aux individus de régler leurs différents paisiblement, et pas un outil entre les mains du planificateur pour accomplir un projet quelconque, autrement, ce n'est plus du droit.
  21. Je te propose une autre petit classement des actions nuisibles/pouvant violer le droit d'autrui (par exemple, je peux tirer un coup de fusil dans une direction donnée, et quelqu'un peut se trouver au bout.) L'action, ou sa conséquence néfaste possible, peut être intentionnelle ou non (je peux tirer pour m'amuser, et ne pas savoir qu'il y avait quelqu'un à tel endroit), c'est une distinction importante. Et d'autre part, intentionnelle ou non, l'action peut avoir ce résultat ou non. Que je cherche à tirer sur quelqu'un ou non, la balle est susceptible de le toucher, ou non. J'ai l'impression que tu cherches à exclure la dernière case, celle des actions non-intentionnelles pouvant nuire mais n'ayant pas effectivement nuit, du domaine des devoirs de droit, au nom de l'évitabilité. Je ne pense pas que ce soit pertinent, puisque le mal fait, ou pouvant être fait, reste évitable à un coût (subjectivement) plus ou moins élevé, indépendamment du fait qu'il soit intentionnel ou effectivement réalisé. La victime, ou victime potentielle, de mon coup de feu aurait très bien pu se trouver ailleurs... Mais ça reste vrai que j'ai cherché à la tuer ou non, et que je l'ai effectivement tué ou non. Il me semble que si on considère chacun des trois autres cas condamnables (volontaire et réussi, volontaire et raté, involontaire et "effectif" -les juristes ont sans doute un terme précis, mais je ne le connais pas.) Et puis, il me semble qu'il y a une continuité entre tous ces actes. Imagine que je sais avoir un poison mortel parmi mes épices, mais que je suis susceptible de ne pas savoir dans quel bocal elle se trouve, ceux-ci étant mal étiquetés. Si je sers un invité en sachant parfaitement lui offrir du poison, et à son insu, il s'agit clairement d'un homicide volontaire. Si je lui offre du poison en étant sûr que ça n'en est pas, j'imagine que c'est un homicide involontaire. Mais si je lui offre un plat, en pariant sur le fait que je ne l'empoisonne pas, mais sans en être sûr... Là ça devient intéressant. Si je n'ai qu'une très faible certitude de ne pas servir du poison, et mon invité, une très forte certitude de ne pas s'en voir offert, il me semble évident que je suis en tort en faisant courir activement un grave danger à cette personne. Si on fait varier mon degré de certitude, on arrive à une situation banale : je ne peux jamais être absolument certain que mes épices ne contiennent pas un poison mortel à mon insu, mais je n'ai aucune raison de m'attendre à ce que ce soit le cas. C'est ma situation habituelle. Si on fait varier le degré de certitude de l'invité, on peut imaginer qu'à un certain moment, il a conscience du risque qu'il court et en prend pleinement la responsabilité. Mais ces deux choses là varient par degré. Et il me semble que le fait d'avoir un comportement sanitairement prudent ou non se situe quelque part dans ce flou.
  22. Bonne année Liborg ! Réjouis-toi car le grand soir ancap n'a jamais été aussi proche !* *offre sans garantie de proximité absolue dudit grand soir
  23. C'est ironique, quand même, d'avoir réservé le mot "austérité" en politique au bon sens budgétaire. Parce que je vois difficilement ce qu'on pourrait imaginer de plus austère que la politique sanitaire actuelle.
  24. @Vilfredo Pareto Pas sûr que le caractère intentionnel et déterminé (par opposition à seulement probabiliste) d'une agression soit nécessaire pour qu'elle soit condamnable. Si un mal-voyant prends la voiture sans ses lunettes, et qu'il tue malencontreusement quelqu'un, il me semble qu'on pourra, moralement, le tenir pour responsable non seulement de cette mort accidentelle, mais aussi d'avoir par négligence pas mal contribué à ce que ça puisse avoir lieu. Pourtant, cette mort n'était ni intentionnelle, ni certaine. Le fait de contaminer quelqu'un en ayant manqué de précaution me semble un peu analogue, quoi qu'à une autre échelle. Pour juger de la gravité de cette quasi-agression, il faudrait prendre en compte à la fois le niveau de confiance que le quasi-agresseur peut avoir en sa santé (si a de bonnes raisons de croire qu'il n'est pas contagieux, ce n'est évidemment pas la même chose que s'il a des symptômes et vient de recevoir le résultat positif d'un test pcr), et le niveau de danger auquel sont exposés les "quasi-victimes". Dans un pays ou beaucoup d'enfants sont allergiques aux fruits à coque, je peux concevoir qu'on juge fautif de mettre des arachides dans un repas de cantine en toute connaissance de cause, mais sans savoir si des allergiques seront servis. Là encore, on a un "crime", une quasi-agression, ni intentionnelle, ni certaine (il pourrait n'y avoir aucun allergique). Et encore une fois, c'est évaluatif. A partir de quel pourcentage d'enfants allergiques dans la population en général le cuisinier doit-il être tenu pour responsable ? Et en deçà de quel seuil faut-il considérer que c'est à l'enfant de faire attention plutôt qu'à la société de s'adapter ? Il peut sans doute y avoir des règles formelles qui tranchent ce genre de cas, et il en faut, mais elles ne sont pas données naturellement, elles sont à négocier lorsque la situation se présente. Que l'on traverse une épidémie fait bouger la première des deux variables que j'ai évoqué : on se met à avoir un peu plus de raisons de croire que l'on puisse être contagieux. Mais on reste effectivement dans une continuité avec la situation ordinaire, ou l'on est toujours susceptible de pouvoir transmettre quelque chose à notre insu. (maintenant que j'y pense, ça s'applique aussi très bien au MST. Un sidactif, qui sait l'être, et qui couche sans protection, par négligence plus que par mauvaise intention, mais tout de même sans prévenir son ou sa partenaire - peut-il être tenu pour responsable ? Il me semble que oui, même si les chances de transmission ne sont pas forcément très hautes. Et s'il ne sait pas s'il est sidactif, mais qu'il a de plus ou moins bonnes raisons de soupçonner l'être ? La limite avec la situation ordinaire n'est pas facile à tracer). Attendre plus de précautions en période d'épidémie au nom d'une volonté de réduire les contaminations en général, pour la santé publique - ça par contre, ça me semble mauvais, puisque ça détourne le devoir de droit de sa vocation pour les mettre au service d'un projet collectif. Je précise que j'estime que même avec un risque modéré d'être contaminé, le calcul des chances de tuer quelqu'un reste assez bas, et que la juste peine risque de ne pas être bien haute, pas forcément assez pour justifier une intervention de la force.
×
×
  • Créer...