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Tout ce qui a été posté par Mégille
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	Oui, j'ai l'impression que la surréaction (tardive) du gouvernement chinois donne de mauvaises idées... Inch Allah, l'OMS va publier un rapport montrant qu'en fait, ça n'est pas super efficace, et on en reparlera plus.
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	Question très con : quelle est la différence entre un intranet et un darknet ? Il me semble que les deux sont simplement des réseaux privées. Je me doute bien que ce serait étrange de parler de "darknet" d'une entreprise, mais dans ce cas, est ce qu'on darknet est seulement un intranet qui n'est pas associé à une organisation particulière ?
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	  Bitcoin et autres cryptomonnaiesMégille a répondu à un sujet de Nicolas Azor dans Cryptomonnaies & Co Article très sérieux et très important https://hackernoon.com/why-satoshi-nakamoto-could-be-god-4ae1dfc19979
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	On est pas obligé d'en faire toute une histoire non plus. C'est tout au plus un troisième candidat, qui n'aurait de toute façon pas été élu, dans une ville où la plupart d'entre nous n'habitons pas. C'est juste un fait divers.
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	  Royaume-Uni & the Skeleton in the CupboardMégille a répondu à un sujet de Poil à gratter dans Europe et international Oui, j'avais écrit mon message à peu près en même temps que ton précédent, sans l'avoir lu. Je voulais dire la même chose.
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	Il me semble que c'est clairement ça. Il s'est d'abord révélé au grand public le 8 déc 2018, en répondant très vulgairement à un tweet de Trump. Bon, il s'est trompé et a écrit "kiss your ass" au lieu de "kick your ass", mais il a réussi à faire oublier ça les jours suivants en partant "en roue libre" en tweetant n'importe quoi. Je crois que son plan consiste bien à faire de la com façon Trump, sans doute parce qu'il estime que c'est la trajectoire nécessaire de la politique à l'ère des réseaux sociaux. Malheureusement pour lui, il n'a pas trop le profil "gorille alpha" d'un Trump, n'importe qui ne peut pas jouer ce rôle.
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	Pas forcément besoin d'être communiste pour avoir envie de cramer une banque centrale... Et c'est lui (Griveaux) qui s'est couché tout seul. Ca aurait été une épine dans le pied, mais il aurait très bien pu continuer sa campagne. Si ça se trouve, on n'en aurait même pas tant parlé que ça s'il n'avait pas eu immédiatement cette réaction.
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	  Qu'est-ce qu'un député LREM à l'assemblée ?Mégille a répondu à un sujet de Neuron dans Politique, droit et questions de société Ce que vous perdez de vue dans cette histoire, c'est que (pour ce qu'on en sait) c'est lui-même qui a choisi de retirer sa candidature dès que la vidéo s'est mise à circuler. Ce n'est pas comme si il avait été harcelé pendant des mois sur cette affaire, et boycotté électoralement spécialement pour ça. Dans ce cas là, ça aurait été un gros truc, mais en l'occurrence, il n'y a que lui à avoir pris ça au sérieux. Pas sur que ça aurait beaucoup gêné les gens, on pardonne souvent bien plus aux politiciens.
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	  Royaume-Uni & the Skeleton in the CupboardMégille a répondu à un sujet de Poil à gratter dans Europe et international Peel était plutôt pas mal aussi, il me semble.
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	Peut-être aussi que le puritanisme américain commence à infuser chez nous ? Quoi qu'il en soit, je me demande si LREM va choisir un numéro 2 de la liste qui fera un score encore pire, ou s'ils choisissent d'investir Villani...
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	En tout cas, on ne remerciera jamais assez les français de Suisse d'avoir élu JSF. On s'ennuie beaucoup moins avec lui.
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	  Qu'est-ce qu'un député LREM à l'assemblée ?Mégille a répondu à un sujet de Neuron dans Politique, droit et questions de société Malheureux ! D'après la psychanalyse, le caca est le don originel, qui reste inconsciemment attaché à l'argent. Détabouiffier le caca, ce serait défendre le capitalisme ! Encore une proposition de libéral, ça.
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	Pas d'accord. Aristote était très clairement fixiste, avec seulement des accidents qui bouleversent un peu l'ordre des choses de ce qui se passe sous la Lune, mais sans changer la nature de quoi que ce soit. Platon était plutôt décliniste, mais ça suppose soit un âge d'or parfait, soit une histoire cyclique, et ce qu'il écrit là dessus relève plus du mythe que de la véritable théorie. Les atomistes étaient partisans de la génération spontanée, rien à voir avec l'évolution. Par contre, il y a quelques choses comme une ébauche de théorie de l'évolution chez certains présocratiques. Chez Anaximandre (qui cherche à expliquer les fossiles d'animaux marins en montagne), il n'y avait que des poissons à l'origine, et en quelques générations à partir de ceux-ci, il y a eu des espèces terrestres. Chez Empédocle (qui cherche à expliquer l'origine des formes de vies complexes), il y a des morceaux simples d'êtres vivants qui apparaissent spontanément, s'agrègent au hasard, et donnent parfois des monstres, parfois des combinaisons viables, et seules ses dernières se reproduisent. Si on fait Anaximandre + Empédocle, ça nous fait presque Darwin, mais il semblerait que personne n'y avait pensée. Et l' "évolutionnisme" du XIX était assez décalé par rapport aux théories de Darwin. Il me semble qu'en anthropologie, ça désigne des théories comme celle de Taylor qui classent les peuples en "plus ou moins évolués" sur un schéma linéaire... Ce que n'a pas grand chose à voir avec le fonctionnement de la sélection naturelle. (on peut en dire autant de l'évolutionnisme de Spencer)
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	Oh, la grosse gauche aussi. Il me semble que l'un des principaux arguments contre le droit de vote des femmes, c'était qu'elles étaient trop religieuses, qu''elles risquaient d'être sous l'influence de leur prêtre, et donc de voter trop à droite.
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	"féminisme radical", ça fait plutôt deuxième vague (années 60 et 70). Aujourd'hui, celles qui s'en revendiquent sont vues comme plutôt réac et transphobe. Le féminisme de troisième vague est très difficile à classer par rapport aux anciennes sub-catégories du mouvement (libéral vs radical, universaliste vs différentialiste, etc). Il y a même une forte critique du concept de "patriarcat" (fer de lance du féminisme radical) chez Butler, qui parle plutôt d' "hétérosexisme".
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	Il y en avait au néolithique, mais pas partout, et encore moins pour tout le monde. Et même s'il y en aura sans doute encore dans quelques millénaires, je ne parierais pas sur le fait que ça reste l'organisation principale de la société. Et encore, ça dépend ce qu'on appelle état. Est-ce qu'un empire, qui ne reconnaît aucune frontière (et donc, aucun territoire stricto sensus), et qui prétend à une souveraineté universelle, est un état ? Est-ce que les "mandala" d'Asie du sud et du sud-est, qui pouvait avoir plusieurs "mandalas" tributaires (inféodés, en quelque sorte) mais aussi être eux mêmes tributaires de plusieurs autres plus gros mandalas à la fois, étaient des états ? (par exemple, le Cambodge qui payait un impôt au Vietnam et à la Chine à la fois)
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	Une succession de poncifs, pas toujours bien maîtrisés, cet article... Et qui s'engouffre naïvement dans plusieurs pièges. Par exemple, au début, on trouve ceci : Alors que plus loin, on voit la domination caractérisée par l'exploitation, c'est à dire, profiter gratuitement de travail de l'autre... J'aimerais bien en savoir en peu plus sur la façon dont les jeunes valides exploitent les vieux et les handicapés ! On pourrait en dire beaucoup aussi sur le concept de "classisme" (je suis surpris que les vrais marxistes ne gueulent pas plus sur ce nouveau concept) qui, mis à coté du sexisme et du racisme, pourrait laisser croire qu'il y a un élément naturel dans la distinction entre propriétaire et travailleur. Je ne suis pas sûr que défendre Murray soit le but recherché. Et puis, même si on veut vraiment prendre la chose dans l'autre sens et dire que les sexes et les races n'ont pas plus de substrats corporels que les classes, reste que ça fait de la distinction de classe une construction sociale et culturelle plutôt qu'une structure d'abord économique. Autre résistance à l'assimilation des classes au reste : si c'était le cas, alors il faudrait considérer les pauvres devenus riches comme des "trans-bourgeois", et considérer qu'au moins de cette façon là, ils sont encore du coté dominé, et discriminés par les dominants. Or, on entend rarement la gauche prendre la défense du self made man ou de Jeff Bezos contre les oppressions systémiques dont ils seraient victimes. Il y a une grosse tension entre une vision matérialiste des inégalités, comme domination et exploitation (à laquelle il faudrait opposer révolution, séparation, subversion, etc), et plutôt humaniste, comme exclusion (à laquelle il faudrait opposer gentillesse et inclusivité). La première conception échoue à recouvrir tous les groupes qu'on voudrait protéger (queers, invalides, etc), et prise strictement, elle aboutie à des postures généralement perçu comme réac (TERF, vieux marxistes, ou ces dé-coloniaux dont on ose pas parler...). Mais la deuxième vision ne permet plus de parler de domination, puisque celle-ci est par définition asymétrique, alors que l'exclusion peut tout à fait être mutuelle (quand les français et les belges se vannent mutuellement, par exemple). L'exclusion peut tout au plus être vu comme un outil possible de la domination, mais en aucun cas comme une domination en elle-même, justifiant une radicalité politique. Les gens sont dans un flou politique incroyable. Quelques autres perles, au hasard : Alors que les gays n'érotisent jamais la violence. Jamais jamais. C'est pour ça que les costumes de cuir, voir pire, les détournements d'uniforme de policier avec des accessoires bdsm, c'est tout de suite connoté très hétéro. Messieurs, ne dites plus, "je cherche une tchoin", dite : j'apprécie les relations aromantiques, avec des femmes, ou des hommes trans qui ne se plient pas trop aux stéréotypes patriarcaux. Si vous avez plusieurs amis, dites le, ça aussi c'est subversif, vous méritez sans doute des aides. Sinon, je suis surpris de façon général par l'investissement des hommes trans dans le lesbianisme. Idem pour Sam Bourcier, assez iconique. Mes.sieurs.dames, si vous n'êtes pas des femmes, en quoi êtes vous lesbiennes ? Ou alors, est-ce que moi aussi je peux être lesbienne ? Ou plutôt, si je cesse de m'identifier comme homme, mais en sortant toujours avec des femmes, est-ce que ça continuerais à faire de moi un hétéro ? (par symétrie avec les situations). Est-ce que ce n'est pas transphobe, de dire ça ?
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	Ca marche bien en Suisse aussi. Et en Finlande, parait-il.
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	Par contre, chose intéressante, chez les romains, lors de la fellation, c'est celui qui utilisait sa bouche qui était considéré comme "actif". Donc pour eux, sucer un ado = okay, se faire sucer = gayyy. Jules César était victime de quelques moqueries à cause de ça. Chez les grecs, plus précisément, la pédérastie était une institution, une initiation presque, qui unissait un homme mur, l'amant, ou "éraste", et un jeune homme, l'aimé, ou "éromène". Mais ce n'était pas forcément sexuel. Ca l'était anciennement, mais c'était déjà en train de disparaître à l'époque classique. En Acadie, avoir des rapports sexuels avec son aimé était extrêmement mal vu, mais à Sparte, c'était encore la règle. Les athéniens disaient "lacédémoniser" (de "Lacédémone", ie Sparte) pour dire "sodomiser". A l'époque de Platon, l'opinion athénienne était partagée. Socrate et Platon étaient du parti chaste, mais je soupçonne Platon d'avoir été véritablement homosexuel, et d'avoir été amoureux successivement de Socrate, de Théétète (un homme de son âge ! mais je ne sais pas si ils ont consommé), puis d'Aristote. Chose moins su : pour les grecs, c'étaient les gaulois qui étaient vu comme des grosses tata. L'historien Diodore de Sicile décrit des plans à trois entre hommes gaulois, et s'étonnent qu'ils ne soient pas plus atiré par leurs femmes, qui étaient pourtant très belles.
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	A ouai, ok, j'ignorais qu'elle étais candidate.
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	Mon dieu, le malaise... je n'ai pas réussi à regarder la vidéo d'une traite. Du coup, le boulot de Schiappa, c'est regarder des vidéos politiques sur youtube ?
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	  Passage TV de libéraux (ex Habemus Madelinus)Mégille a répondu à un sujet de Bézoukhov dans Actualités Distinguer justice de égalité est la base. Ca permet des réductions à l'absurde. On imagine un monde égalitaire. Puis que quelqu'un offre un cadeau, ou créer une oeuvre. etc. Donc si justice = égalité, alors, la générosité et la créativité sont des vices.
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	Chose intéressante, autant on entend quelques voix dire "oui mais quand même, ce n'était pas respectueux de sa part", autant, de l'autre coté (qui me semble tout de même être majoritaire au sein des opinions exprimées) on parle uniquement des menaces de morts, et pas un mot sur les insultes misogynes et homophobes, et les menaces de viol. Ne sachant pas où se placer, la gauche préfère rester silencieuse ?
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	Quoi, ce libertin, qui subventionne ce gauchiste de Molière, et qui suit les idées économiques de ce proto-bolchevik de Colbert ? Louis XII, s'il vous plaît. En plus, il mettait des porcs-épics partout, il était sans doute au parti libertarien.
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	  Je raconte ma life 8, petits suisses & lapidationsMégille a répondu à un sujet de Cugieran dans La Taverne J'ai perdu un an de ma vie à étudier l'art pla... J'ai rendu trois fois "rien" en guise de projet, à chaque fois avec une explication différente. La première fois, ça a bien marché. A la troisième, ils ont commencé à comprendre que je me foutais un peu de leur gueule.

 
         
					
						 
					
						 
					
						