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Tout ce qui a été posté par Mégille
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Le gouvernement serait-il sous l'emprise d'une secte crypto-nazi ? http://menace-theoriste.fr/qui-veut-la-peau-de-la-miviludes/
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J'aime bien cette classification (même s'ils vont peut-être maintenant devoir la changer), car elle m'a permis de beau troll à propos du glyphosate... C'était amusant de rappeler que l'agence la plus pessimiste le classait tout de même en dessous du saucisson en terme de dangerosité.
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En même temps, personne ne sait ce qu'il veut dire, ce "fraternité". On a qu'à le remplacer par propriété, ça règlera le problème !
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Ministère de la Kultur
Mégille a répondu à un sujet de Bisounours dans Politique, droit et questions de société
S'il te plait, dis moi que ce n'est pas juste une vanne et que ça a réellement eu lieu !- 1 680 réponses
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D'autant plus que sur l'éducation, il y a de très bons passages chez Mill sur les dangers d'une école publique. Il me semble qu'il était plutôt en faveur d'un système comparable à ce qu'on appelle les chèques éducations.
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Écologie, développement Duracell & topinambours
Mégille a répondu à un sujet de ModernGuy dans Politique, droit et questions de société
Une traduction pour les non-barbarophones ?- 5 510 réponses
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Canada, politique & sirop d'érable
Mégille a répondu à un sujet de Tramp dans Europe et international
Et il me semble qu'en Australie, les liberals sont la droite, donc je ne pense pas que l'on puisse faire des généralités sur les liberals anglo-saxons. -
Économicisme, juridicisme et autres mots moches
Mégille a répondu à un sujet de Lancelot dans Philosophie, éthique et histoire
Je dirais même que ça créer une sacrée... différance -
Rien ne dit qu'elle a menti, hein... Seulement... elle aurait du regarder la définition du mot "harcèlement" dans le dictionnaire avant. Ou demander à son avocat, je sais pas.
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Économicisme, juridicisme et autres mots moches
Mégille a répondu à un sujet de Lancelot dans Philosophie, éthique et histoire
Et bien, dire une théorie politique, ça me semblerait déjà plus pertinent. Il semble dire que le libéralisme est équivalent au jusnaturalisme (qui est bien une théorie du droit, pour le coup), mais il y a aussi des pas mal de libéraux qui ne sont pas de l'école des droits naturels (Mill, Mises, Hayek...), et de jusnaturalistes non libéraux (Thomas d'Aquin, Grotius, Filmer...). Mais en plus de ça, c'est aussi une théorie économique, et une théorie des relations internationales. -
Devient-elle un homme quand elle ne les a plus ? ? #genderfluid #AmIDoingItRight?
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J'avais lu, dans la littérature secondaire, des allusions comme quoi, vers la fin de sa vie, il aurait envisagé de s'écarter du libéralisme pour aller vers le socialisme. Et bien du coup non, je suis rassuré. Il leur accorde tout de même des points et il est charitable envers eux, mais il cherche systématiquement des solutions libérales aux problèmes que voient les socialistes. C'est un libéral un peu plus modérée que Spencer après lui, mais c'est bien un libéral. Ce n'est pas lui qui a définit le mot, mais c'est tout comme. Ces fans actuels sont des liberals, mais ils en font un mauvais usage (tout comme Mélanchon qui lit souvent du Hugo lors de ses meatings...). J'ai souvenir d'un genre de best of de Ben Shapiro sur youtube dans lequel il fait une belle défense du libéralisme classique à coup de JS Mill face à des étudiants américains qui avaient voulu faire les malins.
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Économicisme, juridicisme et autres mots moches
Mégille a répondu à un sujet de Lancelot dans Philosophie, éthique et histoire
*pna oui désolé, je ne sais pas quel Poutou m'a pris ! Il me semble que même le dernier des "brutalistes" qui se contenterait de l'économie autrichienne ou du pna resterait un libéral, un mauvais libéral peut-être, un déviant, un idiot, mais pas autre chose que libéral pour autant. La première école autrichienne n'était pas spécifiquement libérale, effectivement. Menger se situait dans la tradition caméraliste germanique et était un interventionniste modéré, et à coté de l'aile libérale de Bohm Bawerk (d'où viennent Mises et Schumpeter), il y avait la branche socialiste de Von Wieser et de ses disciples (Ernst Mayer, et le jeune Hayek). Mais cette première école, en Autriche et de langue allemande, s'est plus ou moins dissoute dans l'économie orthodoxe, et c'est seulement Mises qui l'a fait revivre et l'a constituée comme un système excluant les orientations dominantes chez les néo-classiques. Un économiste autrichien aujourd'hui, c'est un héritier de Mises, éventuellement à travers Rothbard. Les courants socialistes des débuts sont rejetés, et sont a posteriori considérée comme non-autrichiens, même les hayékiens sont regardés de travers. -
Et bien, ils ont quand même échoué à le faire de leur vivant (surtout du vivant de Marx), et il faut reconnaître qu'ils ont été aidé par le fait que leurs prédécesseurs et leurs concurrents étaient de beaux branquignoles (à l'exception peut-être de Proudhon).
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Je viens de lire In defense of anarchism de Robert Paul Wolff. A part la troisième partie, tout est très bon, je comprends que Rothbard ait aimé.
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Usucampion !
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Économicisme, juridicisme et autres mots moches
Mégille a répondu à un sujet de Lancelot dans Philosophie, éthique et histoire
Assez d'accord avec toi sur la nature du libéralisme qui ne dépend pas directement de tel ou tel système de justifications (on est d'ailleurs une tradition étonnement diversifié en terme de fondement différents envisagés pour les mêmes conclusions, je pense pas que d'autres doctrines soient dans ce cas). Remarque en passant (mais je crois que tu es d'accord là dessus) être autrichien en économie ou être monomaniaque du npa, est bien suffisant, même sans être nécessaire, pour être libéral ; et l'économicisme et le juridicisme ne sont pas propre au libéralisme (les fans respectivement de Keynes et de Kelsen sont bien pire que les pires d'entre nous). Ce juridicisme m'a marqué particulièrement chez Daniel Tourre, qui présente le libéralisme comme une philosophie du droit avant d'être quoi que ce soit d'autre, ce qui me semble un peu réducteur. Par contre, je ne suis pas sûr que la réduction au seul npa puisse être qualifié ainsi, puisqu'il s'agit d'une norme presque plus morale que juridique. -
Alors que s'ils augmentent les dividendes, c'est justement parce que (peut-être à cause du sommet pour le climat) les actionnaires ont moins confiance ? Il me semble que lorsque tout va bien, on demande peu voire pas du tout de dividendes, comme les actionnaires de google.
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Réchauffement climatique
Mégille a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
Surtout, il me semble que l'écologie politique y est assez bien implantée. Ils exportent, même. Peut-être que c'est allé de pair avec une opposition à l'écologisme devenu acceptable ? A propos de eux et du RCA, remarquons qu'ils font partie des quelques pays qui vont non pas perdre, mais gagner de la surface, grâce au rebond post-glaciaire. En fait, ils y croient secrètement, mais ils font mine de rien, parce qu'ils ont bien compris qu'ils seront les grands gagnant de cette histoire. ?? (usage de smiley expérimental et non maîtrisé) -
Réchauffement climatique
Mégille a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
Intéressant ! Je suis surpris par le scepticisme des scandinaves. Pour la Norvège, pas tellement, vu que ce sont de gros pétroliers, mais les autres ? Concernant l'appréciation du risque pour leur propre vie, ca me semble correspondre à l'impact que risque effectivement d'avoir le changement sur les différents pays. Étonnant que les gens soient aussi lucide (relativement les uns aux autres, je veux dire, pas forcément dans l'absolu). -
Je dirais, entre 1.8 et 0.8 milliards d'années avant le présent. Chiant, rien ne se passe. Sinon, j'ai fini le Socialisme de Mill, et il n'est définitivement pas socialiste. Il fait beaucoup d'effort pour ne pas les écraser, mais en gros, il détruit presque entièrement leur critique du capitalisme, et leurs espoirs de réussir à faire quoi que ce soit sans les incitations économiques individuelles, mais il leur dit "allez-y, tentez le coup, entre vous, à petite échelle, on vous regarde. Surprenez moi !".
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Écologie, développement Duracell & topinambours
Mégille a répondu à un sujet de ModernGuy dans Politique, droit et questions de société
Oui, mais ce ne sont pas justes deux grandes théories random. Ce sont deux morceaux complémentaires de la même grande théorie : refus poétique de la modernité au profit d'un passé atemporel au sein duquel un ordre naturel aurait régné, rejet du libéralisme et de la démocratie, esthétisation de l'éthique... C'est une seule et même vision du monde, vue de deux cotés différents.- 5 510 réponses
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Écologie, développement Duracell & topinambours
Mégille a répondu à un sujet de ModernGuy dans Politique, droit et questions de société
Il me semble qu'aux dernières élections, le FN était l'un des seuls à franchement défendre le nucléaire. Pareil en France, à l'exception de Ofray (dont on peut se demandé s'il est vraiment de gauche), les critiques contre Greta venaient surtout de la droite et de l'ed. On voit aussi aux US, en Europe du nord et en NZ (il me semble) de plus en plus les bruns et les verts se poser en seules alternatives l'un vis-à-vis de l'autre. Ca me semble très étonnant vu la proximité de leurs systèmes de pensée, mais surtout inquiétant, j'ai peur que l'écofascisme en vienne à être considéré comme centriste...- 5 510 réponses
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Prochainement, au Canada : une loi pour interdire l'usage d'une conjugaison en italien qui déplaît le plus à notre interlocuteurice. Oui, mais là il n'est pas question que du plus grand nombre, il est question des départements de recherche en science sociale aux USA... On pourrait attendre de ces milieux qu'ils ne se fassent pas avoir aussi facilement, surtout quand ils ont les armes pour contrer ce genre d'idées. Je suis moi même en train de le découvrir...
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Je suis en train de lire Socialisme de Mill (j'en suis aux 2/3). Très bonne petite lecture, et Mill y est beaucoup moins indulgent envers le socialisme que je ne m'y étais attendu. Ce n'est pas Bastiat, mais parfois, pas loin. Là où j'en suis, il se contente d'appeler à un meilleur contrôle de la qualité des marchandises (il a peur que la concurrence, sitôt qu'il y a suffisamment d'acteurs, n'y suffise pas), mais pas forcément par l'état. Il appelle notamment à la création d'associations de consommateurs qui s'en chargeraient eux mêmes. Il se plaint aussi qu'après avoir été trop cruelle avec les emprunteurs en défaut de paiement, la loi est désormais trop clémente envers eux, ce qui est une atteinte au droit des prêteurs, et qui profite principalement aux capitalistes au détriment du reste de la société. On peut y voir une critique libérale des sociétés à responsabilité limitée, j'imagine, mais j'ai un peu de mal à contextualiser. Quoi qu'il en soit, il réfute empiriquement que le capitalisme appauvrisse qui que ce soit, et conceptuellement que la concurrence soit au détriment des producteurs, puisqu'ils en profitent d'autant plus en tant que consommateurs. On peut juste regretter qu'il ne s'attaque qu'à des socialistes niais assez mineurs (Charles Fourier, son disciple Victor Considerant, Louis Blanc et Robert Owen), et qu'il passe à coté des systèmes plus conséquents de Proudhon et de Marx. Pour Marx, ça peut se comprendre, il était un inconnu à coté de tous ceux là à l'époque, mais il me semble que Proudhon était une petite star. Un marxiste ou un proudhonnien seront donc assez imperméables aux critiques de Mill (d'où peut-être le manque de postérité de ce petit livre), mais vu qu'on revient à un socialisme naïf et moralisateur, c'est étonnamment d'actualité. Ca marche très bien contre Piketty, notamment. Je n'ai pas encore fini, et il a encore une petite cinquantaine de pages pour prévariquer, mais pour l'instant, il reste du bon coté.