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Tout ce qui a été posté par Mégille
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Oui, je l'ai entendu dire aussi. Après, reste à voir si les pratiques de séductions homosexuelles sont corrélées à celles des hétéros. Si les hommes draguent moins les femmes là haut, se draguent-ils moins entre eux pour autant ? Voilà du boulot pour les sociologues.
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Rien de scientifique, désolé ! J'ai juste une amie qui s'y est inscrite, et qui se plaignait d'être trop timide pour aborder les autres, et que personne ne l'abordait non plus (alors qu'elle est très attirante). Par contre, il semblerait que ça marche un peu mieux aux USA, étonnamment.
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TIL que la principale application de rencontre pour lesbienne, "HER", marche très peu en France, car personne n'y fait jamais le premier pas (les femmes... lol)
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Jordan B. Peterson
Mégille a répondu à un sujet de Eltourist dans Politique, droit et questions de société
Même si ce n'est pas un grand philosophe où un chercheur de premier plan, et que ce qu'il dit relève pour ainsi dire du sens commun, j'ai l'impression que ce Jordan Peterson fait beaucoup de bien, ou en tout cas, peut en faire. Est-il connu un peu en France, ou le trend est-il resté chez les anglo-saxons ? (je n'en parle pas autour de moi, danger, féministes...) -
La mauvaise (crypto)monnaie remplace-t-elle la bonne ?
Mégille a répondu à un sujet de Mégille dans Cryptomonnaies & Co
J'aurais tendance à dire qu'une monnaie n'est rien d'autre qu'une marchandise qui se met à servir de monnaie, c'est à dire, à être utilisé pour les fameuses 3 fonctions dont parlent Aristote. Qui se réduisent d'ailleurs non pas à 2, mais à une seule, puisque la fonction "réserve de valeur" n'étant que l'utilisation différée de la fonction "intermédiaire d'échange", et que absolument n'importe quoi peut servir d'unité de compte (si ça m'amuse, je peux mesurer la valeur de mes vêtements en banane), mais que la valeur d'échange n'ayant de pertinence qu'au sein des échanges justement, il est plus commode d'utiliser l'intermédiaire d'échange comme unité de compte. La question de la source de la valeur ne pose pas de problème particulier, pas plus que quoi que ce soit d'autres, en tout cas. Les gens en veulent. Si on veut creuser dans les sources psychologiques (mais c'est en abandonnant l'économie), j'ai l'impression que ce qui se met à servir de monnaie est d'abord désiré par frivolité, coquetterie et luxure (or, joli coquillage, etc), mais ça ne change pas grand chose. Et que les vices des hommes soient plus fiables nous permet d'être sûr que les objets de nos vains désirs trouverons toujours des débouché ! Quand à pourquoi telle marchandise se met à servir de monnaie plutôt que telle autre... il y a déjà pas mal d'explication classique. Pour l'or, par exemple, incorruptibilité, divisibilité, rareté, facile à reconnaître, facile à transporter, etc. Ceci dit, certaines choses qui ne remplissent pas ces critères sont parfois choisi tout de même. Par exemple, les graines de cacao chez les méso-américains, ou les "rai" de l'île de Yap, en Micronésie (des pierres d'une tonne !). J'imagine que le choix s'explique en parti par des critères culturelles, pas entièrement économique. Tes questions semblent supposer que les monnaies ne sont plus des marchandisent, et ne sont plus "matérialisées", ce que je crois être faux. Les monnaies sont toujours des marchandises, et elles le sont par définition, puisque l'on en échange en en achetant (lorsque l'on vent autre chose) et en en vendant (lorsque l'on achète autre chose). La théorie de la monnaie marchandise, qui s'oppose, j'ai l'impression, aux théories qu'on pourrait appeler "fonctionnalistes" de la monnaie (monétarisme, keynésianisme), est d'abord une certaine explication de ce qu'est la monnaie (mais de cette même monnaie dont parle les autres théories), avant d'être une prescription sur ce qu'elle doit être. Quant à la dématérialisation que tu constates, je ne crois pas que ce soit une véritable disparition du support monétaire qui laisserait les fonctions "creuses". J'ai plutôt l'impression que l'on passe, ou plutôt, que l'on est déjà passé, de monnaies-biens à des monnaies-services. La monnaie-crédit est sans doute la première de ces monnaies-services, mais elle n'exclue pas la diversification des services pouvant faire office de monnaie, ce que l'on voit justement arriver avec les cryptos. Un service pouvant tout aussi bien s'échanger qu'un bien sur le marché, et la distinction entre bien et service étant de toute manière floue, je ne vois pas de changement fondamental dans tout ça. Donc on est, d'une certaine façon, toujours "matérialisé". Quand aux conséquences de tel ou tel "matérialisation", je pense qu'on a d'abord, préalablement, certaines spécificités de chaque marchandise, et que ce sont ces spécificités préalables qui ont pour conséquence d'en rendre possible l'usage comme monnaie. A toi, et au gens autour de toi, de choisir la marchandise qui te semble la plus apte à servir de monnaie (or, coquillage, gros cailloux d'une tonne, promesse de banquier, promesse de politicien, blockchain, etc). Il me semble que si on est pour la concurrence des monnaies, on ne peut, en plus de ça, que ce permettre des spéculations sur ce qui marchera le mieux. Sur le marché des monnaies, l'or, le crédit, les cryptos et les gros cailloux rivaliseront, et la bonne monnaie sera celle qui marchera. Si c'était possible / facile, j'imagine que ça ferait perdre beaucoup de son charme au bitcoin, qui deviendrait donc une bien moins bonne monnaie. Et qui, partant de là, disparaîtrait (puisque les gens l'accepteraient de moins en moins), à moins qu'un législateur n'ait la mauvaise idée de lui donné cours légal. Auquel cas, la loi de Gresham ferait son oeuvre, justement. Mais justement, l'euro a cours légal. Les gens sont forcés de l'accepter comme moyen de paiement, et tu sais donc toujours que tu pourras t'en débarrasser en le filant à quelqu'un d'autre. Que le bitcoin soit meilleurs ne fera que pousser les gens à utiliser d'autant plus leurs euros plutôt que leurs btc. -
La mauvaise (crypto)monnaie remplace-t-elle la bonne ?
Mégille a répondu à un sujet de Mégille dans Cryptomonnaies & Co
En réfléchissant à cette histoire d'inflation et de déflation... je m'aperçois que cette hubris de la société de consommation que mes amis de gauche reprochent au capitalisme est en fait due aux Etats et leurs banques centrales. C'est évident en fait, je me demande comment j'ai fait pour l'ignorer jusqu'à présent. Par contre, au sujet des cryptos, et de la loi de Gresham : Si cette dernière marche lorsqu'il y a cours légal, et qu'aujourd'hui de très mauvaises monnaies (=inflationnistes) ont justement cours légal, est-ce que s'attendre à ce que de bonnes monnaies (BTC par exemple) trouvent une place n'est pas un espoir aberrant ? (a moins qu'il ne s'agisse d'un pari sur la faillite de l'Etat ?) -
Jordan B. Peterson
Mégille a répondu à un sujet de Eltourist dans Politique, droit et questions de société
Précisément -
Du coup, sur ce point là, on peut dire qu'il a gagné son pari...
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Jordan B. Peterson
Mégille a répondu à un sujet de Eltourist dans Politique, droit et questions de société
Ce qui risque de rendre la chute beaucoup plus douloureuse pour eux... ils risquent d'avoir un petit aperçu de ce contre quoi leurs adversaires les mettent aujourd'hui en garde, et de se mettre à regretter vivement d'avoir eux même lancé la machine à réduction de la liberté d'expression et d'abandon de l'égalité de droit. -
(trop tard pour éditer, zut) je dis "héros" à moitié en plaisantant, mais à moitié quand même, parce que c'est une propriété d'Etat qu'il récupère...
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http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2018/02/02/97001-20180202FILWWW00191-un-chinois-derobe-800-metres-de-route.php Un héros libertarien !
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Ethique du clonage humain ?
Mégille a répondu à un sujet de Extremo dans Philosophie, éthique et histoire
Effectivement. Mais comme je l'ai signalé précédemment, si on considère qu'il devrait être illégitime de donner vie à quelqu'un sous prétexte qu'il sera malade etc, on pourrait considérer qu'il devrait être illégal de ne pas avorté d'un foetus trisomique, par exemple. -
Ces phrases qui vous ont fait littéralement hérisser le poil 2
Mégille a répondu à un sujet de Mathieu_D dans La Taverne
Et oui, je suis le 0.0001% de l'humanité qui se rend à l'évidence lorsqu'il a tort face à d'autre gens sur internet. Je ne savais pas comment vous le dire... et puis, vous êtes gentils aussi, tous, même si vous vous foutez toujours sur la gueule. J'aime bien. -
Ces phrases qui vous ont fait littéralement hérisser le poil 2
Mégille a répondu à un sujet de Mathieu_D dans La Taverne
Anarchiste non-anarcap. Donc un peu con. https://www.libertaire.net/ -
Ces phrases qui vous ont fait littéralement hérisser le poil 2
Mégille a répondu à un sujet de Mathieu_D dans La Taverne
Lu sur un forum anarcon* : Bravo jeune fille, tu as compris ce que c'est que d'être un homme sexuellement actif. Pas trop dur l'oppression patriarcale, sinon ? *Oui, je troll** **oui, il m'arrive d'aller sur des forums que pour troller*** ***oui, c'est la raison initiale pour laquelle j'étais venu ici, mais vous avez fini par me convaincre -
A vrai dire, je suis surpris que ce genre de réaction ne soit pas plus fréquente ! D'un point de vu marxiste, il serait très facile de rejeter comme de l'idéologie bourgeoise toute la gauche actuelle. Après tout, ceux qui osent ne pas manger bios et auxquels il arrive de siffler les filles dans la rue, ce ne sont pas les représentant de la classe dominante (serait-ce que cette dernière cherche à se donner bonne conscience ?). De plus, même dans ces revendications socio-économiques, la gauche se fait plus la protectrice d'un lumpenproletariat élargi que de la classe des travailleurs à proprement parler. Chose intéressante : ceux qui s'opposent plus ou moins clairement à cette gauche sans s'opposer à la gauche historique ont tendance à croire qu'elle fait le jeu du capitalisme (lol). Si ils ne remarquent pas pour autant qu'il s'agit, pour le néoféminisme, l'antiracisme etc, de revendications communautaires et non pas de véritables libertés individuelles, peut-être avouent-ils tout simplement être contre la liberté ?
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Ethique du clonage humain ?
Mégille a répondu à un sujet de Extremo dans Philosophie, éthique et histoire
Ah oui, s'il faut condamner moralement les envies de clonages comme relevant de la mégalomanie, de la soif de toute puissance, etc... je suis assez d'accord. Mais je ne suis pas sûr qu'il faille empêcher ceux qui le veulent de le faire, tant que les droits des clones sont respectés. -
Ethique du clonage humain ?
Mégille a répondu à un sujet de Extremo dans Philosophie, éthique et histoire
Alors, on est d'accord, tuer quelqu'un pour prendre ses organes, c'est pas gentil, même si c'est un clone ! Quand je dis que certaines personnes voudront faire des clones entiers, je pensais surtout à des gens qui le voudraient juste "histoire de". Ecrire leur nom dans les livres d'Histoire des sciences, avoir l'impression de devenir immortel en faisant vivre un deuxième eux, ou tout simplement pour vérifié que c'est possible... Je suis sûr qu'il y a des gens prêts à payer une fortune pour ça. Et il n'est pas si évident que ça de l'interdire. (bon, bien sûr, il va aussi falloir interdire les clones à des fins d'esclavage sexuelle... ne rigolez pas, ça fait parti des projets de Rael, et il a du pognon) Oui, mais en l'interdisant, est-ce que tu ne réduit pas la liberté des cloneurs ? Et au nom de quoi, de la liberté de qui ? Des enfants/clones qui vont peut-être naître ? -
Ethique du clonage humain ?
Mégille a répondu à un sujet de Extremo dans Philosophie, éthique et histoire
Cloner un humain entier est clairement dépourvu d'intérêt d'un point de vu instrumental, mais tu trouveras toujours des tordus, des sectes raéliennes et des mécènes à savant fou prêts à dépenser des fortunes pour ça. Donc ça finira peut être bien par avoir lieu. A vu de nez, j'ai envie de dire que ça ne fait que généraliser la possibilité de naissance d'une nouvelle personne, et que rien ne distingue éthiquement un clonage d'une GPA, d'une PMA, ou d'une fécondation à l'ancienne. Certe la nouvelle personne aura le même ADN que celui dont il est le clone, mais l'identité génétique et l'identité personnelle/morale sont deux choses différentes, ne serait-ce que parce que plusieurs personnes peuvent naturellement avoir le même génotype (vrai jumeaux) et qu'une même personne peut en avoir plusieurs (caryotype en mosaïque). Par contre, si on suppose qu'un parent a un devoir moral envers son enfant (ce que j'ai tendance à croire), quelqu'un a-t-il une responsabilité comparable envers le clone ? Si non, alors il n'y a rien de mal à laisser traîner un bébé clone auprès des poubelles parce qu'on a pas envie de s'en charger. Ca me semble bizarre. Si oui, alors qui ? Celui dont il est le clone ? L'équipe qui a effectué le clonage ? seulement le chef de l'équipe ? le commanditaire / celui qui a payé pour, le clonage ? L'institution /personne morale qui a servit de cadre légal au travail des cloneurs ? Un autre problème, est qu'il me semble que ton adn porte une trace de ton vieillissement, et qu'un clone de toi sera déjà aussi "vieux" que toi en étant nourrisson. Ce qui lui réservera sans doute une vie pas des plus agréables. A-t-on le droit de faire naître quelqu'un pour lui faire subir de tels tourments ? Attention, si on défend ça, on pourrait être mené à juger que l'avortement devrait être obligatoire pour les porteurs de certaines maladies congénitales... voire, que la reproduction devrait être interdite, si on a une approche suffisamment pessimiste de la vie. -
La mauvaise (crypto)monnaie remplace-t-elle la bonne ?
Mégille a posté un sujet dans Cryptomonnaies & Co
Question un peu con, mais dont je ne parviens pas à trouver la réponse tout seul. Je crois me rappeler d'une vieille loi édicté par Copernic ou Oresme, je ne sais plus, selon laquelle "la mauvaise monnaie remplace la bonne". A une époque où les banques centrales n'existaient pas, où thalers, écus et florins circulaient, de façon sans doute pas tout à fait libre, mais plus qu'aujourd'hui, c'était peut être un constat empirique. Et je comprends la logique derrière : on veut se débarrasser de la mauvaise sitot qu'on l'a en main, donc tout le monde se met à plus l'utiliser, et c'est elle qui devient la norme. Alors, cette "loi", paradoxe, sophisme, ou véritable problème pour le marché des cryptos ? -
Islamo-gauchisme / Gauche régressive
Mégille a répondu à un sujet de Johnathan R. Razorback dans Philosophie, éthique et histoire
C'est déjà plus que ce que propose la droite (et parfois la gauche aussi), à coup de lois vestimentaires idiotes, et donc, à peu près tout ce que la communauté musulmane demande à la France, sans pour autant essayer de les embarquer dans un projet socialo progressiste bizarre ou ils ne se reconnaissent pas. Quand je dis "prendre le défense", je voulais juste dire leur montrer, rhétoriquement, que le libéralisme est leur ami ! -plus que la gauche. -
Islamo-gauchisme / Gauche régressive
Mégille a répondu à un sujet de Johnathan R. Razorback dans Philosophie, éthique et histoire
Tu veux dire, comme Alain de Benoist, par exemple ? Sinon, je ne comprends pas ce que tout le monde trouve à Walzer. Sa théorie des "sphères de justice" est complètement con, s'il la poussait jusqu'au bout, il devrait dire que le simple usage de la monnaie relève de la "tyrannie" telle qu'il la définit. Dans le genre communautarien, je préfère de loin Sandel. Je doute qu'il y ait un lien profond entre l'Islam et la gauche. A ce qu'il me semble, la plupart des musulmans sont "de droite" par leurs valeurs, et pas qu'un peu. Mais ils perçoivent, à juste titre, les politiciens de droite comme leurs ennemis, alors ils votent à gauche. Les politiciens de gauche le savent, et en bons clientélistes décomplexés, s'en servent. Ce qui est presque étonnant, c'est la force de cette conscience stratégique chez eux, qui s'est clairement manifesté à l'encontre de Valls : par gauchisme traditionnel, il s'oppose à l'Islam, ou au moins à l'Islamisme, ça met en danger l'alliance, on le marginalise. Par contre, courtiser ainsi les musulmans est un choix assez étonnant. Je veux dire, ils sont quoi, 3% ? 7% max. Et je suis sûr qu'il y a une bonne partie d'abstentionniste. Qui sont donc les pro-Islam dont les voix sont recherché ? Ca pourrait être les autres immigrés qui se disent "si on s'en prend aux musulmans maintenant, ma communauté pourrait être la prochaine sur la liste", mais étonnamment, quand je passe en revue mentalement mes connaissances d'origines italiennes, portugaises ou polonaises... bein, ils ne sont pas vraiment musul-friendly non plus... Donc simple virtue signaling de la part de la gauche ? Ou alors, stratégie (occulte) des ultra-urbains, cosmopolites et déracinés, pour montrer aux cul-terreux qui s'est les patrons ? L'autre grande question c'est : est-ce que nous autres libéraux ne devrions pas tenter de prendre ce rôle de défense des musulmans ? Avec comme discours "contrairement à la droite, et tout comme la gauche, on vous accepte comme humain sans discrimination, mais contrairement à la gauche, nous n'avons pas l'intention de vous réunir son la bannière de valeurs qui ne sont pas les vôtres, et nous n'avons pas l'intention de vous les faire avaler à court ou long terme" -
Tu veux dire, à part en soutenant Pétain ?
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Réchauffement climatique
Mégille a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
Oui, j'ai aussi tendance à croire que le bilan risque d'être plutôt positif, mais -sous l'hypothèse du réchauffement- il serait étonnant qu'il n'y ait pas de conséquences négatives pour qui que ce soit, c'est à dire, sous l'hypothèse de l'origine anthropique, de tort causé à certains par d'autres, mais de façon trop diffuse pour permettre une négociation entre eux (en tout cas, on dirait). Et il me semble que la taxe pigousienne est la solution classique aux externalités négatives. Coase a montré que ce n'était pas nécessaire lorsque les droits de propriété étaient clairement attribués et lorsque les coûts de transaction sont suffisamment bas, mais ces deux conditions ne semblent pas remplies ici. -
Réchauffement climatique
Mégille a répondu à un sujet de Jérôme dans Politique, droit et questions de société
Sans doute. Tout comme c'est pour ça que les libertariens sont plus enclin à en douter, malgré un quasi-consensus de la communauté scientifique. Mais douter d'une question de fait pour maintenir une réponse à une question de droit, c'est assez dangereux, et c'est laisser insinuer qu'il faudrait renoncer au libéralisme si un véritable réchauffement avait lieu. Je ne suis pas sûr que ce soit la meilleure façon d'aborder le problème, donc.