Rincevent

Elles ont très probablement raison. Je le déplore, mais je tente de le faire comprendre aux quelques homos que je connais suffisamment bien.

Je prends ça comme une chose extrêmement positive, pour ma part.

This is Liborg liborging !

Alors il y a boue et boue, hein.

Merci. De lien en lien, je trouve un commentaire antérieur de ce concept (et de son symétrique, la Brahmin left) dans cet article de blog, plus synthétique et qui réinsère l'idée dans le paysage des sciences politiques contemporaines. Morceau choisi : Hé, on n'est plus très loin d'écrire "the people of bits and ideas" / "the people of atoms and matter", formulation déjà vue ailleurs. Je relirai tout ça au repos (mais je crains qu'on ne colle un peu trop à la vieille dichotomie bourdieusienne entre capitaux économique et culturel, dans laquelle la frontière entre électeurs de gauche et de droite aurait simplement subi une légère rotation.)

Tu as un pointeur pour que je puisse mieux comprendre ce concept ?

Ce sont quand même de drôles de peuples, les Slaves de l'Est. Le niveau de cruauté me semble assez inhabituel. (Et il y a même des billes intéressantes sur les structures familiales, notamment pourquoi la famille à l'ukrainienne est si bordélique comparée aux autres types familiaux des pays slaves).

Si par "les politiques" tu songes "les gens qui sont élus ou veulent être élus", il va falloir élargir ta définition. Si en revanche tu y inclus les militants, alors tu as un coup de retard, parce que c'est déjà le cas, depuis des années. Il y a une vaste littérature pseudo-scientifique sur les concepts de "fair machine learning", de "ethical AI", de "algorithmic debiasing" et autres prétextes pour toujours remonter plus en amont dans le contrôle du marché des idées.

Dans ce rôle, quand je vois Jonathan Cohen, je ne peux pas m'empêcher de penser à ça :

"Neutral AI", qu'ils disent. Et il y en a encore pour les croire.

On blâme McK (et ils méritent d'être blâmés, hein) mais on oublie de mentionner que c'est la même boîte de communication politique (ou plutôt de gouvernance par les sondages) qui conseille la gauche (c'est Madame qui s'en charge) et la "droite" (c'est Monsieur qui s'en occupe).

Tiens, on devrait peut-être parler de sous-continent ibérique.

Qui a dit "inbuilt bias" ?

(J'irai dire ça à mes amis pieds-noirs, ça va leur plaire, tiens).

Une unité de calcul a une activité variable, en effet, et consomme davantage d'électricité (et de réfrigération) en activité qu'au repos.

Genius. (Tu es donc prêt à pondre un article à ce sujet pour CP ).

Demandez-lui, chiche !

Je ne vois pas pourquoi tu me cites, ce n'est pas ma position (je considère que c'est en bonne partie orthogonal, au moins en première approche).

Oui j'ai entendu dire ça.

J'aurai surtout appris que Cyril Drevet est toujours vivant.

Tu en dis trop et pas assez. 1- Kézaco qu'une courbe ZC ? 2- Comment ça s'interprète ? 3- Quelle gueule a celle courbe pour la BdF ? 4- Quelle conclusion en tirer ?

Aux parties prenantes les moins "élastiques" (au sens économique) du système français de production de films. À un bout les SOFICAs et autres sociétés de financement (généralement des joint-ventures banque-télévision), à l'autre bout les têtes d'affiches. Ce sont eux qui se rincent et aspirent les fonds du CNC.

Ce n'est pas le sujet du fil. Ici on parle alimentation (voire supplémentation, de temps en temps).

Evidemment, c'est plus facile d'avoir un bon produit densité-température-durée quand tu n'as plus vraiment de contrainte sur le facteur durée. Bien entendu, c'est même leur principal avantage (et il est écrasant). Mais un système qui fonctionne par impulsions, c'est un système qui va être en permanence soumis à accélérations et décélérations, montées et descentes en température (et en pression), et ainsi s'user beaucoup plus vite qu'un système continu. Après, on est arrivé à faire de très bons systèmes par impulsions (au hasard, n'importe quel moteur à explosion), mais les contraintes font qu'à puissance égale le système par impulsion sera plus vite soumis à la fatigue de ses matériaux et de ses articulations. Après, je serai heureux que Helion finisse par aboutir à quelque chose de rentable, ne serait-ce que parce que ça ferait la nique à tous les demi-habiles qui ne juraient que par ITER ou autre projet public.

J'ai vu passer ça en effet, ça semble intéressant, mais je garde une certaine méfiance envers les systèmes de fusion par impulsion (plutôt que continue). C'est potentiellement assez malin, mais j'ignore si le rendement est bon.