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Tout ce qui a été posté par F. mas
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Je crois que les nains de jardin sont formellement interdits par le règlement.
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pff.. paysans… <–<
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quoi le glock ? Il est super, le glock 17 !
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Boh, on peut toujours rêver. Et pour info, les lauréats ne correspondent pas nécessairement au profil que tu suggères. Même les plus récents (Ostrom, Sen, Merton, etc.).
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+1 ou Israel Kirzner.
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En même temps, ce n'est pas ce que dit l'article. Il est question d'un propos rapprochant les juifs du triomphe contemporain de l'intérêt : : "Keynes associated the quest for immortality and the willingness to defer gratification with the Jews. “Perhaps it is not an accident that the race which did most to bring the promise of immortality into the heart and essence of our religions has done the most for the principle of compound interest and particularly loves this most purposive of human institutions.”"
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J'apprends au détour d'un article que JM Keynes aurait été antisémite. http://cafehayek.com/2012/09/keynes-savings-and-the-jews.html Je trouve un peu tiré par les cheveux de rapprocher l'aversion keynésienne pour l'épargne des stéréotypes associés au judaïsme, mais intéressant de montrer que la grande star associée à toutes les politiques de relance contemporaines n'est pas non plus une sorte de saint laïc complètement dépourvu de négativité.
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+1 Quand est-ce que tu nous paies un coup pour fêter ça ?
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Le fil des séries (dont beaucoup trop se bousémotivent)
F. mas a répondu à un sujet de Brock dans Sports et loisirs
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C'est so nouvelle droite des années 70 !
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Jeune libéral cherchant à se situer
F. mas a répondu à un sujet de Carlito dans Philosophie, éthique et histoire
Eternel féminin ? Je te croyais nominaliste ? -
Je suis plutôt Hayek, Oakeshott et McIntyre ici plutôt que Mises (ou même Marx ). Sur le point précis du libéralisme politique, je pense en effet que son vocabulaire (puis ensuite ses théorisations) est une création postérieure aux changements de l'organisation de la production. C'est parce que Montesquieu voit les modifications entraînées par la société commerciale qu'il en parle comme du changement majeur dans l'esprit des lois, c'est parce que Hume perçoit l'organisation capitaliste comme au bénéfice du plus grand nombre qu'il prend la plume pour reconsidérer la justice comme vertu artificielle, etc. Maintenant, ce qui fait que mon propos n'est pas marxiste, c'est que je ne pense pas que l'antériorité de la production sur l'idéologie soit une loi générale qui régisse la marche du monde dans son entier : il arrive que la production théorique précède l'organisation sociale ou politique (par exemple en ce qui concerne le républicanisme moderne). C'est un peu la question de l'oeuf et de la poule. De plus, je ne pense pas que la production théorique se réduise à la formalisation d'intérêts socio-éco divergents produits par l'organisation des modes de production. La théorie a une certaine autonomie et produit des effets indépendamment de son contexte social-historique.
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Le MRAP "étrillé" en cassation sur la liberté d'expression
F. mas a répondu à un sujet de Bastiat dans Politique, droit et questions de société
Tiens, sur la racialisation des rapports sociaux, comme c'est un universitaire qui le dit (probablement de gauche, ce qui est un peu une tautologie), ça fait tout de suite plus sérieux http://www.lemonde.fr/politique/article/2012/09/27/il-y-a-une-ethnicisation-des-rapports-sociaux-en-france_1766672_823448.html -
Disons qu'il existe plusieurs groupes d'individus exaspérants dans le rer et le tromé : certains groupes de touristes (pas tous), qui se plantent devant tout le monde sans se soucier du reste, certains autochtones qui sont tellement pressés qu'ils montent dans la rame sans laisser passer ceux qui sortent ou ne font pas l'effort de se déplacer en situation d'affluence (en fait ceux qui n'ont pas vraiment compris ce qu'était un équilibre de coordination : si tout le monde respectait certaines règles de conduite basiques, le tout prendrait moins de temps). J'en vois d'autres : les filles qui jacassent ou ceux qui font profiter tout le wagon de leurs conversations privées sur téléphone mobile, les mecs bourrés qui sortent de soirées et qui se prennent pour des oufs, les saltimbanques qui jouent dans le métro ou qui chantent de leur voix de fausset pour gagner un peu de pognon (que tu croises 5 ou 6 fois par jour), etc.
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Je laisse en général un pourboire de cet ordre là, sauf si le service a été particulièrement déplaisant ou malhonnête (et à Paris, plus qu'ailleurs en province, ça arrive). Quand je ne le fais pas, ça me gêne toujours, parce que je trouve ça limite incorrect ou méprisant pour le personnel. Je ne crois pas être le seul dans ce cas et je ne suis pas spécialement prodigue. Je connais plein de gens qui font la même chose par ailleurs, et qui ne viennent pas de Mars non plus. edit : je ne sais pas si je mets exactement 12%, mais je mets toujours un peu plus.
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Je comprends : tu n'as pas les bons amis en fait.
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On peut lui répondre qu'il confond tout, qu'il ne connait pas bien le sujet qu'il prétend aborder, et qu'il devrait s'occuper de choses à sa portée (la bagnole la télé le tiercé). Si on peut admettre que le capitalisme a bouleversé l'organisation politique du moyen âge et introduit la figure du bourgeois à côté de ceux qui prient, ceux qui combattent et ceux qui travaillent (l'embelli commerciale due à la naissance des villes après mille ans d'un système de production quasi inexistant), on ne peut pas dire que du jour au lendemain, la société féodale s'est transformée en société commerciale complète. (une lecture conseillée : le capitalisme tome 1 de Jean Baechler) On peut encore moins affirmer que le libéralisme a précédé l'émergence de ladite société commerciale : ses théoriciens ne sont pas la "cause" du monde moderne, mais se situent à l'intérieur de sa dynamique, et pas nécessairement pour la justifier purement et simplement. Quand Smith, Montesquieu ou Locke écrivent, ils se situent déjà au sein du monde moderne, et apparaissent comme une tendance interne à la Modernité, sans la résumer, puisqu'ils seront pour certains très critiques du système économique positif de leur temps (par ex Smith, qui prend la plume pour critiquer le bullionisme). (plusieurs lectures conseillées : "Les trois vagues de la Modernité", republié dans la philosophie politique et l'histoire, de Leo Strauss ; Quelle justice ? quelle rationalité ? sur l'émergence du libéralisme comme théorie au cours du 18e, et en complément là encore pour bien indiquer que la théorie libérale n'arrive qu'après, et pas nécessairement comme courant dominant : la théorie politique de l'individualisme possessif de McPherson et la liberté avant le libéralisme de Quentin Skinner). Pour affirmer que le libéralisme est la cause du monde moderne, il faudrait donc que la théorie libérale précède la Modernité (politique), et qu'elle soit aussi déjà entièrement constituée au 15e siècle, ce qui est historiquement une connerie. Michéa la fait d'ailleurs avec beaucoup de bonheur dans son "empire du moindre mal", qui confond en un même ensemble les premiers penseurs de la modernité et libéralisme politique (Machiavel, Hobbes, Locke). Si on peut affirmer que certaines caractéristiques du libéralisme sont présentes chez Hobbes et Machiavel, il manque quand même des pièces essentielles qui n'apparaîtront (dans la théorie, pas dans la pratique) que quelques dizaines d'années après voire quelques siècles (la dissociation de la politique et de la justice, de l'Etat et de la société, la division du travail et la spécialisation des tâches, l'insistance sur la propriété, le constitutionnalisme, etc.). Sur l'individualisme : le terme a tellement de sens qu'il est difficile de répondre à ta question. Si on part de l'individualisme au sens d'une méthode, il n'y a pas de lien direct entre individu et émancipation. Si on prend individualisme au sens de Tocqueville, il s'agit effectivement d'une dynamique d'anomie sociale, mais largement entretenue par l'organisation politique (la tyrannie douce). Là encore, je te conseille la lecture de M Oakeshott, qui parle avec la fin du moyen âge de l'émergence de morales de l'individualité (qui ne se résument ni à l'individualisme méthodo ni à l'individualisme tocquevillien, mais se rapportent aux différents projets moraux d'autonomie individuelle modernes) par opposition aux morales collectivistes. (lecture conseillée : Morale et politique dans l'Europe moderne, de Michael Oakeshott). Le libéralisme ne se contente pas d'insister sur la consommation (même si c'est important) : il demande aussi que nous devenions des producteurs indépendants et des individus responsables. Ajouter ces éléments donne une lecture moins partiale du système de production défendu et des vertus qu'ils demandent pour son fonctionnement, qui ne peuvent se résumer à l'hédonisme naïf que ses adversaires accolent en général au triomphe de la "société de consommation". (deux lectures conseillées sur le fondement moral du capitalisme : the liberal mind, de kenneth Minogue, et tout Deirdre McCloskey, ce qui peut prendre du temps).
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ah, je me souvenais que tu en avais parlé, mais je n'avais pas vu le lien. Enfin, ça mérite quand même un topic en soi.
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http://www.youtube.com/watch?v=0CrvxrhbBoY&feature=player_embedded#!
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Coucou, les nouveaux : présentez-vous !
F. mas a répondu à un sujet de Copeau dans Forum des nouveaux
boh, fais pas ta Cécile Duflot… -
surtout, n'oubliez pas que l'argent ne dort jamais
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C'est devenu un peu désuet mais ça me fait toujours sourire (peut être par nostalgie)
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Du libéralisme (ou pas ?) en Angleterre
F. mas a répondu à un sujet de Hayek's plosive dans Europe et international
Pas autant que Susan Boyle quand même. -
Le MRAP "étrillé" en cassation sur la liberté d'expression
F. mas a répondu à un sujet de Bastiat dans Politique, droit et questions de société
oh oui, là, il dit ça pour qu'on parle un peu de lui parce qu'il n'est plus au pouvoir. C'est juste une petite boule puante pour exister.
