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Il ne faudrait pas beaucoup broder pour faire un article court et cinglant pour CP ! :)

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Il y a 5 heures, Rincevent a dit :

Il ne faudrait pas beaucoup broder pour faire un article court et cinglant pour CP ! :)

J'y avais songé mais je préfère louer que blâmer dans mes critiques cinématographiques.

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à l’instant, Dardanus a dit :

J'y avais songé mais je préfère louer que blâmer dans mes critiques cinématographiques.

Je comprends ; mais si tu ne souhaites pas taper sur ce film en particulier, tu peux aussi déboucher sur une critique générale du cinéma pseudo-engagé, ce genre taillé sur mesure pour les mutins de Panurge.

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En ce moment j'enchaine les déceptions  cinématographiques.

Je suis allé voir Deux fils de Moati fils. Parfois j'essaie de voir un film français. La critique se voulait élogieuse.

Très typique d'un certain cinéma français où on devient facilement réalisateur quand on est dans le milieu et de surcroit fils de quelqu'un.

Nous sommes à Paris, nos personnages n'ont pas de problèmes d'argent et vivent dans un vaste appartement. Papa a cessé pourtant de travailler comme médecin depuis deux ans et passe son temps à écrire de la mauvaise littérature non publiable. Fiston aîné est en thèse depuis deux ans  mais cette thèse reste à l'état de songe. Fiston cadet est au collège hésitant (pas très longtemps) entre ardeur mystique et attirance pour une de ses camarades de classe.

Et…rien. Les personnages flottent dans de relations confuses renvoyant à de vagues souffrances anciennes. Autour de personnages principaux sans épaisseur, les autres rôles ne sont guère que des silhouettes encore plus évanescentes.

Vincent Lacoste rejoue encore et toujours le jeune homme velléitaire. Poelvoorde est toujours aussi fade que dans mon souvenir.

C'est une comédie dramatique parait-il. En fait, ni drôle, ni triste, ni rien.

Ce n'est pas désagréable, c'est juste insignifiant.

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Le 14/02/2019 à 06:45, Dardanus a dit :

Vu Vice d'Adam McKay qui relève d'un genre aussi prolifique que soporifique, le biopic. Nous avons le nec plus ultra de la modernité hollywoodienne : un mixte entre Sacha Guitry et S.M. Eisenstein. C'est rigolo dans la narration (mais bon Sacha faisait déjà cela il y a 80 ans) et très lourd dans l'intention.

Les républicains, camp du Mal au service des "ultra riches" (ici je mets des images du Cato Institut et de Heritage Foundation), manipulant les crétins réacs de l'Amérique profonde, ne songent qu'à semer la mort et la destruction. Depuis le couple infernal Kissinger-Nixon jusqu'au "héros" de cette histoire : le médiocre Dick Cheney, homme de l'ombre, qui va manipuler l'ectoplasmique W. Bush (dont le portrait pour le coup est sans doute proche de l'original). Dick a une obsession, faire du président, l'homme le plus puissant du monde qui agit comme il l'entend (ici je place une image de Roosevelt, pas Franklin Delano, faut pas déconner tout de même, mais Théodore).

Quelques moments de répit dans ce sombre cloaque où la lutte contre le réchauffement, pour les droits civiques et le bonheur de l'humanité est systématiquement saboté par l'infâme Cheney. Ainsi Jimmy Carter fait-il installer des panneaux solaires sur le toit de la Maison Blanche que s'empresse de démanteler le sinistre Reagan. Seule l'élection messianique d'Obama met un terme, hélas provisoire, à ce long règne de turpitudes diverses. Remarquons que les Clinton ne sont pas bien considéré par le progressisme hollywoodien : monsieur n'est même pas cité et madame n'apparait que pour approuver l'intervention contre l'Irak.

Cela aurait pu être un film dénonçant le capitalisme de connivence et le machiavélisme politique mais le côté trop orienté du message l'affaiblit cruellement.

 

Pour avoir vu la bande-annonce et lu des entretiens du cinéaste, c'était hélas bien prévisible.

Sans tomber dans un passéisme trop idéaliste, ça fait de la peine quand on voit le niveau qu'avait le cinéma hollywoodien de gauche des années 70. Je pense à un film comme Network, qui pourtant ne fait pas dans la dentelle, mais a une énergie telle qu'on n'a pas le temps de s'arrêter sur les côtés les plus lourds.

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1 hour ago, Carl Barks said:

Sans tomber dans un passéisme trop idéaliste, ça fait de la peine quand on voit le niveau qu'avait le cinéma hollywoodien de gauche des années 70.

Y a eu une inversion des talents entre séries et films dans les années 2000. Les bons scénaristes ne vont tout simplement à Hollywood mais sur Netflix and co. Le festival de Cannes va doucement sombrer dans l'insignifiance.

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il y a 4 minutes, Fagotto a dit :

Dans Network les gauchistes ne sont pas épargnés d'ailleurs.

C'est vrai et c'est très drôle, mais c'est moins l'idéologie qui est visée que le fait qu'ils soient aussi incapables que les autres de résister au grand capital et à l'hydre médiatique.

 

il y a 2 minutes, Kassad a dit :

Y a eu une inversion des talents entre séries et films dans les années 2000. Les bons scénaristes ne vont tout simplement à Hollywood mais sur Netflix and co. Le festival de Cannes va doucement sombrer dans l'insignifiance.

Sûrement, mais il y a des exceptions. Je trouve généralement les David Fincher très bien scénarisés et il a plutôt tendance à canaliser les tendances horripilantes d'un Aaron Sorkin.
C'est vrai que Fincher lui-même s'est mis à la série, mais je n'ai pas été transcendé par Mindhunter. Même s'il y a beaucoup de qualités, je trouve paradoxalement les dialogues plus téléphonés que dans ses films.

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5 minutes ago, Carl Barks said:

Sûrement, mais il y a des exceptions

Exactement mais maintenant les exceptions ont changé de camps.

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Les bons scénaristes sont quand même plutôt toujours sur HBO amha.

 

Tiens j’ai vu La Favortie de Yorgos Lanthimos. J’ai bien aimé, c’est assez différent du précédent (qui était lui même assez différent - mais moins de son prédécesseur), même si la même cruauté s’exprime avec brio. Visuellement très convaincant, bien joué (Rachel Weisz excellente, Emma Stone et Olivia Colman bonnes mais un peu en dessous) , quelques extravagances (fish eyes, chorégraphies bizarres, costumes apparemment en jean) qui ont fait parler mais que je n’ai trouvé ni géniales ni pesantes... je trouve que ces aspects ont été survendus, pour moi ils participent à la dimension comique pince sans rire du film qui est plutôt plaisante. Je regrette un peu la fin sans surprise qui réaffirme un propos déjà bien établi, j’aurais aimé être un peu plus intrigué ou désarçonné.

 

Sinon je pense que le film a potentiellement un sous texte politique intéressant associé à son propos principal (ma copine, avec qui j’ai vu le film, n’est pas convaincue).

 

Je le recommande.

  • Love 1
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Bon j'ai vu Vaïana avec ma gamine (4 ans).

Et ben c'est un super film. J'ai bien aimé et comme papa je suis content que m'a fille l'ait vu.

C'est un shonen Disney, c'est vraiment bien. Pas de romance gnangnan, que du positif, une héroïne persévérante qu'on peut donner pour modèle.

Pas de mariage !!! J'en vois qui demandent des héroïnes lgbtiqtrucs mais là pour une fois on a une histoire de Disney où l'héroïne n'a aucune relation romantique avec personne, le père qui vous parle a vraiment apprécié. (j'ai récupéré des livres de contes il y a quasi-systématiquement un mariage à la fin, et ça me peine d'y voir la fin idéale de chaque aventure)

  • Yea 5
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6 minutes ago, Mathieu_D said:

Bon j'ai vu Vaïana avec ma gamine (4 ans).

Et ben c'est un super film. J'ai bien aimé et comme papa je suis content que m'a fille l'ait vu.

C'est un shonen Disney, c'est vraiment bien. Pas de romance gnangnan, que du positif, une héroïne persévérante qu'on peut donner pour modèle.

Pas de mariage !!! J'en vois qui demandent des héroïnes lgbtiqtrucs mais là pour une fois on a une histoire de Disney où l'héroïne n'a aucune relation romantique avec personne, le père qui vous parle a vraiment apprécié. (j'ai récupéré des livres de contes il y a quasi-systématiquement un mariage à la fin, et ça me peine d'y voir la fin idéale de chaque aventure)

 

Et sinon, Mathieu, dites moi êtes vous heureux dans votre mariage? lol

 

#jemeprendspourunpsy

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3 minutes ago, NicolasB said:

 

Et sinon, Mathieu, dites moi êtes vous heureux dans votre mariage? lol

 

#jemeprendspourunpsy

Je n'aime pas que ma fifille me parle de mariage. C'est *ma* fifille.

  • Haha 1
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il y a 30 minutes, Anton_K a dit :

Les bons scénaristes sont quand même plutôt toujours sur HBO amha.

 

Tiens j’ai vu La Favortie de Yorgos Lanthimos. J’ai bien aimé, c’est assez différent du précédent (qui était lui même assez différent - mais moins de son prédécesseur), même si la même cruauté s’exprime avec brio. Visuellement très convaincant, bien joué (Rachel Weisz excellente, Emma Stone et Olivia Colman bonnes mais un peu en dessous) , quelques extravagances (fish eyes, chorégraphies bizarres, costumes apparemment en jean) qui ont fait parler mais que je n’ai trouvé ni géniales ni pesantes... je trouve que ces aspects ont été survendus, pour moi ils participent à la dimension comique pince sans rire du film qui est plutôt plaisante. Je regrette un peu la fin sans surprise qui réaffirme un propos déjà bien établi, j’aurais aimé être un peu plus intrigué ou désarçonné.

 

Sinon je pense que le film a potentiellement un sous texte politique intéressant associé à son propos principal (ma copine, avec qui j’ai vu le film, n’est pas convaincue).

 

Je le recommande.

 

Il faut que je vois The Killing of a Sacred Deer d'ailleurs. J'avais bien aimé - bien qu'imparfait, Canine.

  • Yea 1
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1 hour ago, NicolasB said:

Vu que je n'ai que des garçons je ne peux pas comprendre ;)

Ben disons que je n'aime pas qu'elle puisse penser que le mariage est la finalité de la vie (ou simplement être en couple). C'est moins pregnant dans les vieilles histoires où le héros est un garçon.

 

  • Yea 2
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Il y a 3 heures, Mathieu_D a dit :

Ben disons que je n'aime pas qu'elle puisse penser que le mariage est la finalité de la vie (ou simplement être en couple). C'est moins pregnant dans les vieilles histoires où le héros est un garçon.

 

 

Le mariage, le mariage. Elle peut aussi entrer dans les ordres !

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Bon, j'ai vu La Mule, parce que quand même.

Ni ennuyant ni transportant, c'est assez plaisant de suivre la progression du papi qui n'a pas encore renoncé à sa vie. Avec surtout de nombreux petits regards sur l'Amérique d'aujourd'hui.

J'ai jeté un œil sur les critiques, je n'en ai trouvé que quelques unes qui s'appuient sur un prisme politique pour donner un sens au film (les inrocks, l'obs un peu et CP évidemment). Les autres préférant appuyer sur le personnage de Clint, ce qui a un certain sens aussi puisqu'il se moque autant de lui-même que de l'image qu'on peut avoir de lui, mais qui ne permet pas de saisir l'ensemble. De mon côté, je crois que la tristesse des seconds rôles m'aura empêché d'apprécier la dimension familiale et rédemptrice du vieux loup.

 

Il y a 5 heures, Anton_K a dit :

Je le recommande.

J'viens de retomber sur le dvd du Lobster qui traînait dans un carton. Je vais me le refaire, et puis j'irai certainement jeter un œil sur le dernier alors !

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Vu le film sur Marie Stuart. Une purge interminable : on attend avec impatience que la hache du bourreau s'abatte que le cou délicat de la reine des écossais, abrégeant son existance et, par la même occasion, nos souffrances.

Un bon 7/10 sur l'échelle Cloud Atlas.

  • Haha 1
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il y a 22 minutes, Bisounours a dit :

Tu as pas dû tout bien comprendre, la critique de Télérama est excellente

 

https://www.telerama.fr/cinema/marie-stuart,-reine-decosse-feministe-et-splendide,n6145074.php

 

Oui, le message amené à coup d'obusier de 105 mm était probablement trop subtil pour moi.

On peut ajouter les dialogues creux et ampoulés ("les hommes sont trop cruels"), les personnages secondaires mono-dimensionnels ("je suis un méchant vraiment très très méchant"), le côté "inclusif" qui n'apporte rien si ce n'est un caution "woke", etc.

 

Le sujet laissait pourtant la possibilité à un traitement bien plus fin, dommage.

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"Un bon 7/10 sur l'échelle Cloud Atlas. " Parce qu'il y a une échelle négative de Cloud Atlas maintenant. Snif.

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Le 18/02/2019 à 13:36, Mathieu_D a dit :

Bon j'ai vu Vaïana avec ma gamine (4 ans).

Et ben c'est un super film. J'ai bien aimé et comme papa je suis content que m'a fille l'ait vu.

C'est un shonen Disney, c'est vraiment bien. Pas de romance gnangnan, que du positif, une héroïne persévérante qu'on peut donner pour modèle.

Pas de mariage !!! J'en vois qui demandent des héroïnes lgbtiqtrucs mais là pour une fois on a une histoire de Disney où l'héroïne n'a aucune relation romantique avec personne, le père qui vous parle a vraiment apprécié. (j'ai récupéré des livres de contes il y a quasi-systématiquement un mariage à la fin, et ça me peine d'y voir la fin idéale de chaque aventure)

 Et puis la chanson de l'héroïne te reste bien dans la tête, pire que la reine des neiges.

 

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Il y a 3 heures, Ultimex a dit :

Vu le film sur Marie Stuart. Une purge interminable : on attend avec impatience que la hache du bourreau s'abatte que le cou délicat de la reine des écossais, abrégeant son existance et, par la même occasion, nos souffrances.

Un bon 7/10 sur l'échelle Cloud Atlas.

J’hésite entre te faire confiance sur Marie Stuart et te demander ce que tu reproche à Cloud Atlas?

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Le 18/02/2019 à 15:21, Mathieu_D a dit :

Ben disons que je n'aime pas qu'elle puisse penser que le mariage est la finalité de la vie (ou simplement être en couple). C'est moins pregnant dans les vieilles histoires où le héros est un garçon.

Oulà, franchement mes souvenirs de lecture de conte traditionnels ne me laissent pas cette impression.

Et oui je ne parle pas que des versions disney mais bel et bien des vieux contes traditionnels de pas mal de pays occidentaux. Et quelques asiatiques ou africains aussi.

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Il y a 4 heures, Alchimi a dit :

J’hésite entre te faire confiance sur Marie Stuart et te demander ce que tu reproche à Cloud Atlas?

Concernant Marie Stuart, ma compagne n'a pas aimé non plus.

Quant à Cloud Atlas, de ce que je m'en souviens : scénario mièvre et indigent, maquillages ratés...

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5 hours ago, Soda said:

 Et puis la chanson de l'héroïne te reste bien dans la tête, pire que la reine des neiges.

 

La mienne après avoir vu le film, elle avait 3 ans et demi, utilisait la lampe halogène du salon pour faire comme le mat du bateau de Vaiana tout en chantant cette chanson (version espagnole). 

  • Haha 1
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Je suis allé voir Vice de Adam McKay. Les jours passant, la sensation qui m'en reste est une certaine frustration. J'ai trouvé le film bon formellement (très bien joué par tous les acteurs à l'écran sans exception, bien mis en scène, bien rythmé, tirant parti d'un humour potache pas déplaisant juxstaposé au choc de la violence en toile de fond), et je crois que ces qualités ont été bien établies par la critique. Les problèmes majeurs sont à mon avis les suivants, et son malheureusement sérieux :

 

Quant aux motivations et à la lisibilité du personnage, le film ne sait pas sur quel pied danser. Cheney rentre en politique apparemment pour que sa femme ne le prenne pas pour un raté, et il s'avère être un fonctionnaire zélé et servile donc parfait pour le job. Sa relation au pouvoir est mal décrite, l'idée est surement d'en montrer une fascination précoce (dès la rencontre avec Rumsfeld) mais c'est fait de manière un peu brouillonne et ça ne reste pas en tête. Et à un moment donné à la faveur d'un saut dans le futur on le découvre maître du jeu, convoitant un pouvoir illimité entre ses propres mains, et plus du tout suiveur. Cette soif de pouvoir est illustrée par l'évocation un peu trop redondante de la "théorie de l'exécutif unitaire". Mais pour quoi Cheney est-il en quête de pouvoir? On ne sait pas trop. On ne le voit pas tirer un plaisir d'abus envers des personnes, en fait sur le plan personnel le type semble décent. Ses intérêts financiers personnels sont évoqués de manière fuyante, jamais clairement définis, et sa profession de foi néo-conservatrice à la fin du film sonne faux et m'a fait totalement sortir de la scène d'adresse au spectateur et de la fin du film. (On pense bien sûr aux adresses au spectateur dans House of Cards, sauf que ces dernières parvenaient à renverser la perspective du public de manière crédible en lui faisant partager les motivation occultes d'un homme politique. Ici c'est le contraire, on est sensé rendre crédible une motivation idéologique par un apparté. Cela ne marche pas, peut être que c'est voulu, mais alors c'est trop tordu).

 

On pourrait dire que c'est la particularité de Cheney d'être une sorte d'homme d'appareil suivant le flot, incarnant la corruption du système même, sans véritable intériorité, mais visiblement le film essaie aussi d'en dire plus (justifications psychologiques du début, scène d'adresse à la fin, mise en parallèle avec son côté "bon père de famille"). Le problème, j'ai l'impression, c'est que ces véritables failles d'écriture du personnage sont sensées passer, parce qu'on "sait bien qu'on a affaire à un pourri corrompu qu'on va aimer détester, donc évidemment il y a des intérêts cachés, évidemment c'est un néo-con sécuritaire, etc... et on ne va pas pousser le vice jusqu'à essayer de vraiment comprendre le type". Mais ça c'est plus un préjugé qui transparaît dans la mise en scène et le méta-film, mais qui n'est pas supporté par le film lui même.

 

Bref, dommage, parce que le film a beaucoup de qualités, et on a l'impression que son défaut est une certaine paresse excusée par la connivence du camp du bien (là scène post-générique est, à ce titre, accablante*)... malheureusement c'est symptomatique de l'époque.

 

* edit : ce qui me fait d'ailleurs penser à un autre problème, bien identifié celui là : le film revendique une sorte de factualité et de didacticité totalement mal placée vue l'excentricité relative du traitement, et quand il s'aventure à des "analyses géopolitiques" celles-ci sont plutôt tirées par le cheveux.

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