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Guerre civile culture, IDW, SJW & co


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Qu'est-ce que ce type de délire vient faire à une heure de grande écoute chez Hanouna ? 

C'est quoi la suite ? Tout le monde demande ses pronoms à une personne avant de la mégenrer ?

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9 hours ago, Lugaxker said:

C'est quoi la suite ? Tout le monde demande ses pronoms à une personne avant de la mégenrer ?

Oui, c'est exactement ce qu'ils demandent...

 

J'ai oui-dire que dans des boîtes comme Etsy, les employés doivent se balader avec une étiquette indiquant leurs pronoms par exemple.

  • Sad 1
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11 hours ago, Lugaxker said:

Qu'est-ce que ce type de délire vient faire à une heure de grande écoute chez Hanouna ? 

C'est quoi la suite ? Tout le monde demande ses pronoms à une personne avant de la mégenrer ?

 

C'est hyper malsain cette normalisation du concept "d'enfants transgenres". Le fait est qu'un enfant n'y comprend strictement rien.

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il y a 1 minute, Extremo a dit :

 

C'est hyper malsain cette normalisation du concept "d'enfants transgenres". Le fait est qu'un enfant n'y comprend strictement rien.

Oui c'est aussi pour ça que je l'ai partagée ici. J'ai eu des échos comme quoi ce phénomène (des ENFANTS qui changent de genre) était moins rare qu'on puisse le croire. En France hein.

 

Aujourd'hui j'ai vraiment peur que ce type de délire ne gagne en popularité à tel point que ce sera la norme dans 10 ans (en plus de l'écologisme et de l'hygiénisme issu de la crise covidiste). Et dans un monde étatiste, qui dit norme, dit contrainte légale bien sûr.

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Je pensais sincèrement que ce type de délires s'arrêterait net quand ça allait toucher à ses propres enfants.

 

Je me souviens distinctement d'une vidéo postée sur liborg il y a 7-8 ans de ça où on se moquait de parents bobos qui mettaient leurs enfants en école privée pour éviter l'équivalent public de bien moindre qualité. Au moins, ils avaient le mérite de mettre en avant l'avenir de leurs enfants plutôt que leur idées politiques.

 

Le glissement qui s'est fait un moins d'une génération est particulièrement troublant. Même sur d'autres sujets de société comme l'écologie, ça a pris largement plus longtemps à devenir mainstream.

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Et pour rappel, aux USA un psychologue peut se voir retirer sa licence si il tente de raisonner un gamin ou un adolescent qui a décidé de se mutiler (de mémoire, c'est une application des guidelines de l'AGA, c'est classé notamment comme "discrimination" et comme "denial of care" depuis que le MiniVer a pris le contrôle de l'American Psychological Association).

 

Evidemment, ces délires sont en train d'arriver en Europe (petit exemple au Royaume-Uni). Au point où même certains trans se mettent à tirer la sonnette d'alarme. Et de ce que je vois ici, je considère désormais que quiconque de sensé nie le problème en fait partie.

  • Sad 2
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Il y a 11 heures, Cthulhu a dit :

Je pensais sincèrement que ce type de délires s'arrêterait net quand ça allait toucher à ses propres enfants.

Le truc c'est que, en partie, c'est une opération de virtue signaling des parents à l'attention de leur petite communauté

"regardez comme on est super progs en tête de la meute",

mais que en l'espèce l'opération concrète est là assumée par quelqu'un d'autre, en l'occurrence les gosses.

Bénef sans investissement ... ça va en attirer quelques-uns.

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Votre surprise me surprend. Les enfants et l'amour que leurs parents leur portent ne rendent pas ces derniers magiquement intelligents et sages. Vous savez, il existe des mamans et des papas qui font encore exciser leurs bebes donc... Ca fait plus de dix ans que l'on sait sur lib.org qu'il y aura dans les futures generations un tas de gamins deranges par les delires ideologiques de leurs parents. Je me rappelle de cette phrase de Jesrad a ce propos, que je cite de memoire : le business des psy va exploser, si je trouvais un moyen d'y investir mon argent, je le ferais.

  • Yea 4
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Il y a 9 heures, Rincevent a dit :

Et pour rappel, aux USA un psychologue peut se voir retirer sa licence si il tente de raisonner un gamin ou un adolescent qui a décidé de se mutiler (de mémoire, c'est une application des guidelines de l'AGA, c'est classé notamment comme "discrimination" et comme "denial of care" depuis que le MiniVer a pris le contrôle de l'American Psychological Association).

 

Evidemment, ces délires sont en train d'arriver en Europe (petit exemple au Royaume-Uni). Au point où même certains trans se mettent à tirer la sonnette d'alarme. Et de ce que je vois ici, je considère désormais que quiconque de sensé nie le problème en fait partie.

A ce sujet

https://www.nbcnews.com/feature/nbc-out/rand-paul-criticized-trans-gender-mutilation-remarks-rachel-levine-hearing-n1259004

et ce fact-checking qui donne des envies de baffes

https://www.statnews.com/2021/02/26/sen-rand-paul-misunderstands-transgender-medicine-heres-the-truth/

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Il y a 23 heures, Lugaxker a dit :

C'est quoi la suite ? Tout le monde demande ses pronoms à une personne avant de la mégenrer ?

C'est déjà ce qu'il se passe au Canada, tu sais.

Mégenrer quelqu'un est pénalement répréhensible et des sanctions sont déjà tombées.

  • Yea 1
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il y a 5 minutes, poincaré a dit :

C'est déjà ce qu'il se passe au Canada, tu sais.

Mégenrer quelqu'un est pénalement répréhensible et des peines d'amende sont déjà tombées.

C'est pas réduit aux universités ? 

 

Je parlais de la France (c'est pas encore bien là), mais oui certains pays sont déjà bien affectés par le délire. 

  • Yea 1
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il y a 5 minutes, Lugaxker a dit :

C'est pas réduit aux universités ? 

 

Je parlais de la France (c'est pas encore bien là), mais oui certains pays sont déjà bien affectés par le délire. 

Pour l'instant, l'application s'est principalement réalisée dans les universités oui. Des professeurs ont été virés.

Mais ça reste inscrit dans la loi

  • Yea 2
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23 hours ago, Rincevent said:

Evidemment, ces délires sont en train d'arriver en Europe (petit exemple au Royaume-Uni). Au point où même certains trans se mettent à tirer la sonnette d'alarme.

Cela fait longtemps que certains trans tirent la sonnette d'alarme.

Notamment ceux de l'ancienne génération.


Les pionniers, qui en ont pris plein la goule pour changer de sexe.


Mais ils sont cancelled par la communauté trans majoritaire.

 

L'un des meilleurs exemple est Buck Angel.

 

"Ils veulent nier la biologie, ce qui pose problème, car c'est la raison pour laquelle j'ai fait ma transition, pourquoi je suis transsexuel, explique Buck Angel. Je suis né fille et j'ai voulu devenir un homme parce que c'est ce que mon cerveau ressentait. Quand vous commencez à dire que la biologie n'existe pas, vous attaquez ma transition. Or ma transition m'a sauvé la vie"

  • Yea 1
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Des professeurs d'université militent pour la suppression des "classics" (l'apprentissage du monde gréco-romain et de ses textes).

Ce sont d'ailleurs des enseignants des-dits "classics".

 

Car cette matière est intrinsèquement raciste et coloniale. En plus dire que notre civilisation leur doit quelque chose montre bien justement le racisme intrinsèque derrière cela.

 

https://www.lefigaro.fr/vox/histoire/non-l-antiquite-n-etait-pas-raciste-20210311

 

"

En pratique, et au-delà des slogans appelant à «tout brûler», en quoi consiste cette entreprise? D’abord, ses partisans préconisent d’abandonner le mot même de classics ainsi que les départements spécialisés qui y sont consacrés. À les en croire, il ne devrait plus y avoir que des départements d’histoire, de linguistique ou d’archéologie, sans prédominance particulière de la civilisation gréco-romaine. Car c’est là l’autre ambition: briser la suprématie des Grecs et des Romains, pour les remplacer par l’étude d’autres peuples soi-disant «invisibilisés»: Numides, Phéniciens, Carthaginois, Hittites…

Par suite, ces chercheurs se refusent à exiger une bonne connaissance du grec et du latin chez leurs étudiants. Katherine Blouin, professeur associé d’histoire romaine à l’université de Toronto, a appelé à abandonner «l’orthodoxie selon laquelle tous les classicistes devraient avoir une maîtrise de niveau philologique de ces deux langues», jugeant qu’il y avait de la «violence» et de la «cruauté» à attendre des chercheurs en lettres classiques qu’ils connaissent bien le latin et le grec - au motif que la version latine constituerait un «héritage colonial»"

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Quels cons...
S'ils ces peuples sont invisibilisés c'est parce qu'il n'y a pas de source. Tous les amateurs d'histoire Antique aimerait étudier Carthage plus en détail, mais c'est malheureusement impossible.

  • Yea 5
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Comment on en est arrivé à laisser rentrer dans l'unviersité des gens qui la haissent ?

  • Yea 7
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il y a 55 minutes, Marlenus a dit :

jugeant qu’il y avait de la «violence» et de la «cruauté» à attendre des chercheurs en lettres classiques collégiens qu’ils connaissent bien le latin et le grec

Fixed.

  • Haha 1
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Il y a 1 heure, Marlenus a dit :

Numides, Phéniciens, Carthaginois, Hittites

 

Tiens, ils ne parlent pas des peuples germaniques :D ?

 

il y a une heure, Wayto a dit :

Tous les amateurs d'histoire Antique aimerait étudier Carthage plus en détail, mais c'est malheureusement impossible.

 

Faut donc supprimer leurs postes et les remplacer par des mecs qui ont des compétences en archéologie, si ils n'ont plus rien d'intéressant à dire.

 

il y a une heure, NoName a dit :

Comment on en est arrivé à laisser rentrer dans l'unviersité des gens qui la haissent ?

 

La question est de savoir comment l'élite intellectuelle américaine est devenue raciste. Faut mettre les bons mots dessus, et pas le cacher par des périphrases.

  • Yea 3
  • Nay 1
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1 hour ago, NoName said:

Comment on en est arrivé à laisser rentrer dans l'unviersité des gens qui la haissent ?

Je ne sais pas dans le détail comment on y est arrivé, mais en France les 80% de réussite au bac n'ont pas dû aider. Débiter ce genre de conneries, à un niveau psychologique fondamental, est une manière pour des gens médiocres de se rendre intéressants. Si tu ne peux pas être connu comme un super chercheur, au moins tu seras connu (et respecté par une partie de tes collègues et de tes étudiants) comme l'ennemi de la suprématie blanche.

  • Yea 5
  • Sad 1
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Bof, il y a quand même quelques filtres entre le baccalauréat et l'admission en doctorat.

Surtout dans des matières qui n'ont aucune utilité "business" et ne sont pas noyées sous les financements de boîte privées, les places sont chères et c'est dur de comprendre pourquoi on ne prend pas la crème de la crème.

  • Yea 2
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il y a 29 minutes, Bézoukhov a dit :

La question est de savoir comment l'élite intellectuelle américaine est devenue raciste. Faut mettre les bons mots dessus, et pas le cacher par des périphrases.

This.

 

il y a 26 minutes, Lancelot a dit :

Je ne sais pas dans le détail comment on y est arrivé, mais en France les 80% de réussite au bac n'ont pas dû aider. Débiter ce genre de conneries, à un niveau psychologique fondamental, est une manière pour des gens médiocres de se rendre intéressants. Si tu ne peux pas être connu comme un super chercheur, au moins tu seras connu (et respecté par une partie de tes collègues et de tes étudiants) comme l'ennemi de la suprématie blanche.

Amener trop de gens au niveau de l'élite (dont les places ne sont pas extensibles), c'est y intensifier la lutte des places, et in fine risquer de déstabiliser et de fragiliser tout l'édifice. 

  • Yea 1
Posté
Il y a 2 heures, NoName a dit :

Comment on en est arrivé à laisser rentrer dans l'unviersité des gens qui la haissent ?

 

Peut-être parce que pour partie, un certain nombre de débouchés de l'université ne mène qu'à l'université. 

Posté
49 minutes ago, Bézoukhov said:

Bof, il y a quand même quelques filtres entre le baccalauréat et l'admission en doctorat.

Il y a des filtres mais il faut se demander ce qu'ils filtrent. Dans les disciplines totalement déconnectées du monde réel on est en face d'une grosse bureaucratie en roue libre, avec tout ce que ça implique.

  • Yea 7
Posté

Je vois une théorie tourner depuis quelques mois sur des groupes fb américains plutôt conservateurs, ou centristes anti-woke. D'après eux, le mouvement identitariste de gauche, dans ses proportions actuelles en tout cas, aurait été initié par les gros groupes financiers américains immédiatement après le mouvement occupy wall street, afin de détourner d'eux la vindicte populaire. Il y a plusieurs graphiques assez frappant sur l'occurrence de certains termes dans le NYT. Mais bien sûr, le média pourrait très bien s'être contenté de suivre un rapide changement de l'opinion publique indépendant de lui. Les graphiques semblent tous remonter à ce thread : 

 

 

Ce n'est pas tout neuf, et ça a sans doute déjà été discuté par ici, mais j'ai dû passer à coté. Qu'en pensez vous ?

 

A coté, j'ai un peu le nez dans "Private truth, public lies" de Kuran, et je soupçonne qu'on soit dans un type de situation qu'il décrit : un consensus reposant sur une "falsification de préférence" généralisée, susceptible de changer brutalement en prenant tout le monde au dépourvu. Je ne peux pas quantifier la chose, mais j'ai l'impression que voir de plus en plus de critique de la cancel culture, du mouvement woke, etc, dans les médias français, alors que l'identification du phénomène était encore confiné à des sources plutôt confidentielles il n'y a pas si longtemps, au moins en France. J'ai l'impression que ceux qui attaquent le consensus ne le font déjà plus pour le renverser, mais pour l'honneur d'être comptés parmi les précurseurs de son renversement quand celui-ci aura lieu. Si ça se passe de cette façon, j'ai un peu peur que l'on tombe dans l'excès inverse.

  • Yea 1

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