Aller au contenu

Freezbee

Membre Adhérent
  • Compteur de contenus

    8 119
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    37

Tout ce qui a été posté par Freezbee

  1. Normalement, dans ce cas de figure on tape deux fois avec la main pour prévenir l'adversaire... Ça fait un peu amateur cette histoire.
  2. Une structure de près de 2 km de diamètre découverte à proximité de Stonehenge :
  3. Pour de futurs profs de math, ça craint :
  4. Freezbee

    Tweets rigolos

    Alléliua ! C'est un miracle. ?
  5. @RaHaN Pendant que tu passes dans le coin... sais-tu s'il y a un lien établi entre ce genre de sport et d'autres addictions ? J'ai fait récemment la connaissance d'un type qui prépare un ultra et qui m'a dit qu'il avait eu des problèmes d'addiction par le passé (et donc il a besoin de la CAP pour s'équilibrer). Je pressens que ce n'est pas un cas isolé (je parle de ceux qui font ça sérieusement, pas simplement un footing de temps en temps).
  6. @Calembredaine Moi non, j'adore la couleur orange. En outre, elles sont assorties à ma tenue de sport : Mais si cela te gêne rien ne t'empêche de regarder ailleurs...
  7. Ça dépend des gens. Il y a une formule bidon qui donne fréquence max = 220 - âge, mais ce n'est qu'une moyenne. Pour ma part, à trente ans j'étais en endurance à 150-155 pulsations (c'est-à-dire que je pouvais parler tranquillement) et ma fréquence max était 213 pulsations. L'important, c'est surtout le souffle qui te donne une estimation de ton allure (endurance, seuil, sprint, etc). En ce qui concerne la natation, ce ne sont pas les mêmes muscles qui travaillent, donc tu ne vas peut-être pas profiter complètement de tes acquis dans ce domaine... @poney pour le cardio, la brasse doit bien faire travailler le cœur à mon avis. C'est assez assez physique comme technique de nage. @POE en principe, pour la VMA je crois que c'est la vitesse maxi que tu peux tenir pendant 6 minutes (ce qui suppose de partir avec une bonne idée de ton niveau). Perso, je ne me suis jamais servi de ça, je tenais compte de ma fréquence cardiaque (en sachant ou était la zone rouge). autre chose sur la FC : prendre un café avant d'aller courir peut la faire grimper en flèche. Une dernière anecdote, concernant le soeil : un jour je courais une quinzaine de kilomètre dans une pinède (à l'ombre donc). Ma fréquence était à environ 155 pulsations. À un moment j'ai dû prendre une route pendant quelques centaines de mètres (au soleil) et je me souviens que ma fréquence cardiaque est tout de suite montée à 165-170... la température joue donc pas mal.
  8. Quand j'étais jeune et plus affûté, avant les séances de fractionné j'attendais de transpirer (enfin, je sentais quand j'étais prêt, un peu comme la voiture le matin). Et ça prenait 1 km l'été, 2 km l'hiver... De toutes façons, j'avais déjà un bon kilomètre à faire pour aller au stade.
  9. En effet, en courant une fois par semaine tu ne progresseras pas beaucoup. De plus, contrairement à ce qu'on pourrait croire, tu accrois le risque de blessure. Peut-être vaudrait-il mieux courir moins longtemps deux fois par semaine et réserver une sortie plus longue au week-end ?
  10. Ah oui, une dernière remarque sur le « zero » semelle : ça peut être utile en course (chaussures plus légères) tout en s'entraînant pour les sorties longues avec des chaussures plus amorties. Généralement, les chaussures de course sont plus légères et plus fragiles... Mais en zero drop, il existe des chaussures très amorties. Par exemple chez Altra, la marque citée par @poney :
  11. En fait, on parle de zero drop, c'est-à-dire pas de différence de niveau entre le talon et la pointe du pied (ce qui paraît plus naturel). Après, rien n'empêche de prendre des semelles bien amorties : je me vois mal courir longtemps sur du bitume avec des semelles crêpes (ça chauffe et c'est très dur comme surface). Quant à la rando, par chez moi je marche sur des sentiers côtiers ; c'est l'idéal : la terre est meuble, il y a peu de dénivelé et peu de caillasse. Pas besoin de gros amortisseurs... et le seul intérêt de mes grosses chassures de rando (imperméables), c'est qu'elles permettent de passer dans les flaques et dans la boue. En revanche, en montagne, j'imagine qu'il faut effectivement des talons rembourrés (surtout en descente).
  12. Freezbee

    Tweets rigolos

    La précarité touche tous les milieux :
  13. Bon, alors j'ai commandé, reçu et testé les Adidas Ultraboost 20. Le seul intérêt que je leur trouve, c'est leur look orange flashy (plus joli en vrai qu'en photo) : Pour l'instant, je me contente de marcher 2,5 km un jour sur deux (et j'augmenterai la distance quand la douleur au niveau des tendons diminuera). Je les ai donc enfilées hier et, dès les premiers pas, j'ai ressenti une gêne avec le talon (je ne sais pas comment dire, l'impression de ne marcher que sur les talons). De surcroît, ce matin j'avais plus mal qu'avant ! Si j'ai arrêté de courir il y a longtemps, en revanche ces dernières années je faisais pas mal de rando (plutôt de la marche forcée à 7-8 km/h) avec des chaussures zero drop (ou faible drop en tous cas). La différence est flagrante, et je ne veux pas m'habituer à porter de nouveau des talons hauts... À la limite, je préfère encore courir dans mes chaussures de rando d'hiver... ... ou d'été : En plus, les semelles Vibram des Merrell ont l'air d'être très durables (au détriment d'un peu de grip) contrairement à celles des Adidas qui sont à la fois très fines et tendres (elles ne risquent pas de faire 1 000 km à mon avis) : Bref, je les ai renvoyées... Je connaissais la marque Altra (j'ai eu une paire de chez eux autrefois) et je crois que je vais regarder ce qu'ils ont comme chaussures zero drop bien amorties. Peut-être une version trail.
  14. Freezbee

    Nécrologies

    Pourchassé par les nazis, il vit caché dans un trou pendant trois jours avec sa mère et sa sœur (son père est mort au début de la guerre de cause naturelle) et voit la population du ghetto méthodiquement éliminée. Mais sa mère et sa sœur finissent par être arrêtées et le jeune Zeev ne les reverra jamais. Il arrive à fuir le ghetto avec son oncle, sa tante, un cousin et ils vivent jusqu'à la fin de la guerre cachés par deux familles catholiques de Lvov (aujourd'hui en Ukraine), qui seront ensuite désignées "Justes parmi les Nations". Pour éviter d'attirer le soupçon, Zeev Sternhell et les siens se font passer pour des catholiques pratiquants : "Je n'ai cru en Dieu que quand j'étais catholique", plaisantera-t-il en 2011 dans À voix nue sur France Culture. Zeev Sternell explique dans cette même émission qu'il leur a été d'autant plus facile de jouer ce rôle que sa famille ne parlait pas yiddish (la langue germanique de nombreux Juifs d'Europe de l'Est) mais le polonais. L'hébreu et l'armée plutôt que le yiddish et la synagogue En 1946, il s'installe en France chez un oncle et une tante, apprend le français au collège et au lycée à Avignon avant de s'installer en Israël en 1951. Sioniste de gauche non-marxiste, il découvre l'hébreu "qui n'est pas une langue si difficile", affirmait-il. L'hébreu, le kibboutz et l'armée plutôt que le yiddish et la synagogue ; le jeune Zeev est l'Israélien typique des années cinquante. Au sein de la brigade Golani (l'une des plus prestigieuses du pays), il prend part comme officier d'active à la guerre de Suez (1956) puis, comme réserviste, aux guerres des Six-Jours (1967), du Kippour (1973) et du Liban (1982). Cette expérience des guerres israélo-arabes, aussi douloureuses furent-elles, lui confirme la spécificité et l'unicité de la Shoah pendant la Seconde Guerre mondiale : "Quand mes amis ou mes soldats étaient tués à côté de moi, je savais qu'ils était tués comme des êtres humains et non pas chassés comme des bêtes dans les rues du ghetto." Dans un sens, Israël n'est pas une affaire politique pour moi. C'est bien plus basique, bien plus essentiel, c'est un retour à l'Humanité et à la vie humaine, car dans le ghetto, vous perdiez votre humanité et votre identité d'Homme. Vous cessiez d'être tout à fait humain. Vous n'étiez plus une personne. Le fascisme, une Histoire française ? Zeev Sternhell devient parallèlement un professeur renommé d'Histoire et de science politique. Diplômé de l'université hébraïque de Jérusalem – où il devient professeur et directeur de département en 1981 – et de Sciences Po à Paris, il devient spécialiste du fascisme et développe une théorie osée. Selon lui, le fascisme est une idéologie "anti-Lumières" et "ni droite ni gauche" qui trouve ses racines en France dès le XIXe siècle, notamment chez les nationalistes Barrès et Maurras, le populiste général Boulanger, l’anarchiste Proudhon et le marxiste Georges Sorel. Il en profite pour dynamiter la thèse des trois droites de René Rémond et n'en retenir que deux : une droite acceptant la démocratie libérale et une droite révolutionnaire. Pour Sternhell, la droite révolutionnaire puise son mode d'action dans la Révolution française devenue "Révolution nationale" sous Vichy. Pour lui, le régime du Maréchal Pétain n'est donc pas une parenthèse mais une continuité, il n'y a pas eu de "Vichy accident". Il développe ces raisonnements dans sa thèse Maurice Barrès et le nationalisme français (1969) et dans La Droite révolutionnaire, 1885-1914 : les origines françaises du fascisme (1998). Mais pour de nombreux historiens français comme Serge Bernstein et Michel Winock ou Jacques Julliard, Sternhell est dans l'erreur, car il minore le rôle fondamental de la Première Guerre mondiale et de la crise des années 1930 dans l'émergence du fascisme. Et rien ne peut ancrer le régime conservateur et réactionnaire de Vichy dans l'héritage de la Révolution française. Dans L'Histoire refoulée. La Rocque et les Croix-de-Feu, et le fascisme français (2019), Zeev Sternhell explique pourtant combien le culte du chef, chez les Croix-de-Feu, a contribué à façonner un modèle martial dans les années 1920 et 1930. Malgré toutes ces controverses, il est fait chevalier des Arts et Lettres en 1991. "Pas seulement sioniste mais super-sioniste" D'autres controverses ont poursuivi Zeev Sternhell dans son propre pays. À l'encontre de celui qui fut toujours résolument engagé à gauche, chroniqueur éditorial de longue date pour le quotidien Haaretz. Car même s'il se déclarait "pas seulement sioniste mais super-sioniste", il n'a cessé de dénoncer l'occupation de la Cisjordanie et de Gaza (évacuée en 2005) après la guerre des Six-Jours. Parmi les fondateurs de La paix maintenant, il le faisait dans Les Mythes fondateurs d'Israël : le nationalisme, le socialisme, et la prise de l'État juif (éditions Princeton University) : Aucun leader n'a été capable de dire qu'il manquait à la conquête de la Cisjordanie l'assise morale de la première moitié du XXe siècle, à savoir les circonstances de détresse dans lesquelles Israël a été fondé. Un peuple tellement persécuté méritait un abri et aussi d'un État bien à lui. Alors même que les conquêtes de 1949 étaient la condition essentielle à la fondation d'Israël, la tentative de conserver celles de 1967 avait un goût très fort d'expansion impérialiste. Porte-parole d'une solution politique établissant un État de Palestine aux côtés d'Israël, opposé à la colonisation, bête noire de la droite annexionniste, menacé physiquement, il avait écrit dans Le Monde que "en Israël pousse un racisme proche du nazisme à ses débuts". Fin 2019, en compagnie de 126 autres intellectuels juifs du monde entier, il avait critiqué la résolution votée par l'Assemblée nationale (française) voyant dans "l’antisionisme une des formes contemporaines de l’antisémitisme". Pour Vincent Lemire, directeur du Centre de recherche français à Jérusalem, "par son enfance au coeur de la Seconde Guerre mondiale et par son parcours académique entre la France et Israël, Zeev Sternhell avait acquis une lucidité et une connaissance intimes des possibles dérives fascisantes des régimes démocratiques. Tout ceci avait forgé son engagement politique, mais sa grille de lecture était loin de faire l'unanimité, en Israël comme en France". Au-delà de ses combats intellectuels et politiques, le sioniste et francophile Zeev Sternhell rêvait que "les Juifs deviennent un peuple comme les autres" et que "les Français réalisent que depuis 1945 ils vivent libres, dans un pays heureux".
  15. Je ne sais pas qui a eu l'idée de mettre ces vignettes « your data » sur la photo que tu as postée, ça gâche tout.
  16. @Sekonda Il y en a au moins dix...
  17. Oui, c'est exactement ce que je vais faire. L'idée c'est de monter en charge trèèès progressivement et de revenir au niveau antérieur si ça fait mal. J'ai appris que le repos n'était pas une bonne idée pour soigner d'une tendinite : on guérit le tendon en le faisant travailler. Du coup, effectivement il faut que je garde en tête que je repars de zéro... en fait, au moment où ces tendinites sont survenues, j'avais passé quelques temps à arrêter, reprendre, arrêter à nouveau, etc. et le niveau baisse à chaque fois.
  18. Oxfam, toujours à la pointe de la lutte contre les inégalités (article du Canard) :
×
×
  • Créer...