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Calvin

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Tout ce qui a été posté par Calvin

  1. Ca me gêne, c'est une très belle île.
  2. En même temps, je vis à Marseille, je peux indiquer aussi quelques endroits pour des stages ! Tirs à la kalach réguliers pour mettre dans l'ambiance.
  3. Alors que l'UMP fait des faux tous les mois depuis moins de deux décennies.
  4. Je propose la Seine Saint Denis. Ce ne serait qu'un juste retour des choses !
  5. Un peu comme moi ! Donc... Bienvenue à toi ! (N'étant pas sectaire, je salue aussi tous les nouveaux venus !)
  6. Cette info permettrait effectivement de répondre à la question initiale de Gio : "Pourquoi Piketty et pas un autre ?"
  7. Justement, c'est une élection européenne... N'est-il pas idiot pour ceux qui veulent donner du poids aux PP européens de voter ici pour le PP, mais de ne jamais voter pour eux à des élections purement françaises ?
  8. La différence entre les économistes libéraux, les auteurs libéraux et les autres, adeptes de l'interventionnisme, c'est que pour les premiers, ils collent à la réalité et énoncent leurs visions qui expliquent cette réalité. Les keynésiens, pikketiens et autres krugmanniens, essaient de faire coller la réalité à leur visions. Ce sera chaque fois renouvelé, depuis Marx, Keynes et autres. Parce que Hayek est finalement toujours moderne. Bastiat l'est aussi pour la situation française, alors que le pays a sacrément évolué ! Bastiat 2.0 reviendrait ? Il dirait la même chose ! Piketty a eu besoin de réinventer Keynes, Roosevelt, Marx peut-être. Pour cela, il suffit de choisir les expériences qui valident son modèle et oublier les autres. Et bien choisir la méthode. Pikkety, c'est du GIEC appliqué à l'économie. L'air du temps, d'où son succès.
  9. Le trolling ne marcherait pas tant que ça. Les gens sont tellement persuadés que ceux qu'ils appellent les ultralibéraux, sont des sales riches qui ont des milliards cachés à Singapour. Ils ne peuvent imaginer qu'il y en a dans toutes les classes sociales (en très très petit nombre, certes), y compris chez les fonctionnaires ou assimilés. Et s'ils en voient coller des affiches pour le Collectif Antigone, ils diront que ce sont juste des paumés payés par des financiers apatrides. Pour eux, le libéralisme, c'est la mise à mort du peuple par la mondialisation dérégulée. Etre de la classe moyenne et libéral, c'est comment dire... Does not compute...
  10. Euh, Maître, comment puis-je effacer le post où j'ai parlé de celui qu'il ne faut pas, en évoquant une certaine gifle ? J'ai même dit que j'ai voté pour lui, mais j'ai dû rêver... S'tait pas possible... Nan, sérieux quoi... Sinon, à la place, veux bien la prendre la gifle.
  11. Bon, ben y a qu'à plaire à la gauche, donc. Ainsi, ce sera frontières ouvertes à l'immigration et fermées aux marchandises. euh... wait....
  12. Rien sur les terres rares ? sur l'extraction en Chine ?
  13. Ben, on dit qu'on est pour l'immigration pour séduire à gauche, et pour la mondialisation pour séduire à droite. J'ai pas bon ?
  14. Il a aussi réussi un beau coup de troll : la gifle ! Il a obtenu le dernier vote (à ce jour) de ma vie. Je me suis décidé pour lui ce jour-là.
  15. Il y avait (a ?) en France, Génération Ecologie portée par Brice Lalonde qui, une fois passé au gouvernement, avait mis beaucoup d'eau dans son vin, et dilué sa vision écologiste autoritaire pour accepter l'industrie, le nucléaire, voire le marché. Mais ça, c'était avant le grand boom de l'écologie façon Voynet, et la gauche plurielle qui a eu comme effet de laminer les autres partis verts. Le peu que tu présentes de ce parti est intéressant, très suisse, aussi, d'ailleurs, mais peut se heurter au fait que la concurrence sur les partis écolos ne me semble pas le futur. Autant, l'écologie doit faire partir des thèmes majeurs de tous les partis, ce que tu dis bien, autant ce qui reste d'activistes risquent d'étouffer l'émergence des autres courants. L'écologie est devenu un pré carré, avec les bons écologistes et les mauvais écologistes. Ce parti est clairement chez les mauvais ! Sur le papier cela peut faire changer les mentalités sur le terme "libéraux", dans les faits,... faut voir !
  16. Vi, je suis un immigré libéral longtemps clandestin ! Au fait, on le récupère où, le Permis Libéral ??
  17. Justement ou a contrario de façade, Ventura, j'étais proche des socs, car ils parlaient de responsabilité "à leur façon", puisque la citoyenneté engendrait le contrôle, bla bla bla. J'ai mis longtemps à comprendre que ce n'était qu'une posture...
  18. Je parlais bien de moi : "1. L'avez-vous toujours été ? Bien sûr que non ! Je ne me suis découvert libéral que quelques mois après mon inscription ici."' Et comme tu dis (à ta façon !) : 14. Faut-il avoir certaines "prédispositions" dans le caractère ? Non. A part la lâcheté, qui est rédhibitoire. Et sinon, il y avait des trucs entre le 1. et le 14.
  19. 1. L'avez-vous toujours été ? Bien sûr que non ! Je ne me suis découvert libéral que quelques mois après mon inscription ici. 2. Naît-on libéral ou le devient-on ? Je pense personnellement qu'on le devient, puisque l'environnement familial, de l'intérieur, est une construction qui apparait non libérale, aux yeux d'un enfant. 3. Le cas échéant, comment l'êtes vous devenu ? J'ai voté jusqu'en 2007, premier tour des présidentielles, pour Bayrou (à cause de la claque !). J'ai été dubitatif sur Sarkozy, mais je me suis dit qu'il peut faire quelque chose... Quand la tendance s'est rapidement inversée, avant la crise, j'ai commencé à me détourner définitivement des élections. Et, lorsque la crise est arrivée, j'ai compris que les politiques étaient tous responsables. J'ai commencé à chercher des critiques de l'interventionnisme. J'ai atterri une premier fois ici, en invité. Je me suis inscrit en 2010, pour lire tranquillement. J'y ai découvert le blog d'h16 ici même, et cela a changé ma vie. Mon coming-out libéral personnel fut mon premier commentaire sur le blog d'h16 ! 4. Est-ce le fruit d'une lente maturation, ou y a t-il eu un "déclic" précis à un moment donné ? Auparavant, j'étais farouchement anti-américain et anti-tatchérien. Ces gens (Tatcher, Reagan) me paraissaient extrémistes. A cause du biais français, surtout. Puis, j'ai fait un voyage aux USA, et mon esprit a commencé lentement à changer. Si jeune, j'ai été plutôt proche du centre-gauche, j'ai constamment varié entre centre-gauche et centre-droit. Une position médiane, consensuelle, molle... Je n'aime pas la radicalisation. Cela me permettait d'être non-partisan, de ne pas faire de prosélytisme, de me tenir à l'écart des discussions. Et puis, je me suis surpris à voter pour A. Madelin aux présidentielles. 5. Si oui, lequel ? Ma première rencontre avec le libéralisme, c'est la lecture de JF Revel. A l'époque, j'avais déjà rejeté le socialisme qui m'avait animé dans ma découverte de la politique. Je lisais Le point en réaction contre le Monde, Libération. Mais seuls les éditoriaux de JFR m'intéressaient vraiment. Puis, j'ai perdu de vue la politique pour devenir mouton, sans opinion, inclassable, indifférent. J'ai redécouvert Revel grâce à son livre de Mémoires ("le voleur dans la maison vide"), pour une "bête" raison : nous avons fréquenté le même collège... Mais son histoire m'a transformé, découvert qu'il a été un candidat PS pour Mitterrand avant de devenir son plus éloquent adversaire. J'ai compris que son retournement n'était pas une traîtrise, mais bien une prise de conscience. J'ai alors lu tous les essais de JF Revel, qui m'a attiré vers le libéralisme. Je dit "vers", car je ne voyais aucun parti qui me représenterait ! 6. Une rencontre ? Aucune, malheureusement. Je serais ravi de rencontrer des vrais libéraux sur Marseille... 7. Une lecture ? Déjà dit, Revel. Mais ce qui a achevé ma conversion, c'est "l'obsession anti-américaine". 8. Un événement ? Le premier pas vers le libéralisme a été la chute du Mur. Mais surtout la volonté (éphémère) de F. Mitterrand de reconnaître les putschistes contre la fin de l'Union Soviétique. Là, j'ai épousé, à tout jamais, l'idéal de liberté. En dehors des partis qui ne me convainquaient plus, je votais (jusqu'en 2007, donc) pour le programme qui était le moins anti-liberté à mes yeux (et, fatalement, pour l'opposition quelle qu'elle soit). 9. Lorsque vous comparez votre façon de penser "avant" et "après", qu'est ce qui a changé ? Je raisonne différemment qu'avant sur chaque problème. Avant, il fallait qu'il y ait une solution. Maintenant, je pense qu'il faut surtout poser les bonnes questions et trouver les bon diagnostics. 10. Approchez-vous les problèmes de la même manière ? Non. Première question que je me pose : est-ce un problème ? Puis, est-ce que légiférer/intervenir le résoudra ? Est-ce que cela peut empirer ? Est-ce que cela peut être contourné ? Et ensuite, quelles ressources/libertés seront sacrifiées ? En général, je n'ai pas besoin d'aller plus loin pour savoir si je vais rejeter ou non le problème ! 11. Au fond, pour quelle(s) raison(s) n'étiez-vous pas libéral avant ? Le besoin que tout problème et toute injustice soient résolus. Il fallait une intervention, une action venant d'en haut, mais validée par la démocratie. Il fallait, à mes yeux, une élite éclairée. Puis, je me suis rendu compte que la lumière était éteinte depuis un paquet d'années... 12. Bref, comment, pour quelles raisons, devient-on libéral ? Dans mon cas, quand on apprend à relativiser ! 13. N'importe qui peut-il le devenir ? Oui. Il suffit de se rendre compte que les idéaux sont les mêmes mais que la manière d'y arriver est différente. Cela ne change pas la personne mais l'outil. 14. Faut-il avoir certaines "prédispositions" dans le caractère ? Non. A part la lâcheté, qui est rédhibitoire.
  20. Merci de faire gaffe. Il y a des jeunes garçons innocents comme moi qui regardons ce fil et nous sommes perturbés par ces dernières images !!
  21. M-Etat-Donne : puissante drogue aux subventions permettant de supporter l'ultralibéralisme qui sévit dans ce pays.
  22. Est-ce que la mise en place d'un smic officiel en Allemagne peut avoir eu un effet positif chez les germanophones de Suisse ?
  23. Tant pis. Bon, je suis d'accord avec toi. Mais, sinon, le but, ce n'est pas d'avoir des élus ou une majorité, mais de canaliser une part des votes abstentionnistes pour qu'il y ait moins d'élus. Si les presque 50% de votes blancs et abstentionnistes suivaient...
  24. C'est quoi le principe du parti du vote blanc ?? Un truc rigolo, c'est une liste qui s'engage à ce que chaque élu potentiel : - ne siège pas, ne prend aucune de décisions, - refuse les émoluments. Une économie pour le pays, et le vote blanc est enfin respecté.
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