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Le Café Liberté: Annonces, Compte-rendus, Comments


ricotrutt

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Compte rendu du café Liberté du 06-06-2005 sur les stratégies libérales

Comme cela est devenu courant le Café Liberté de cette semaine n’avait pas de thème précis mais s’est orienté au gré des conversations vers deux optiques principales : un commentaire du vote au TCE par les personnes qui n’avaient pas encore donné leur avis ; puis un débat sur la façon de nous imposer et de diffuser nos idées.

Pour Aurel, le vote NON révèle des fondements pourris de l’union européenne : c’est un projet qui a été mené sans jamais être remis en cause alors que de plus en plus de personnes élevaient leur voix contre une dérive (centralisatrice  notamment). Ce vote est une manière de dire qu’on ne peut pas continuer avec une Europe technocratique. Quant à répondre à la question : « quelle Europe voulons nous ? » ,  Aurel propose déjà d’assurer vraiment les libertés fondamentales énoncées dans le traité de Rome, de mettre en place une concurrence fiscale, mais d’unifier l’identification judiciaire par exemple. Cependant il considère que l’unification diplomatique n’est pas viable et d’ailleurs il s’interroge sur le fait de vouloir mener des politiques communes alors que nous n’avons pas de valeurs communes. Ce n’est pas la politique qui amène le partage des valeurs mais le contraire. En ce qui concerne la France qui s’arc-boute sur son « exception culturelle », il est clair qu’elle est en cela profondément anti-européenne.

Pour Lionel, le vote révèle surtout que le pays est malade : tant que les Français auront le sentiment qu’à l’échelle nationale on va dans le mur, ils refuseront de se projeter à un échelon supérieur. Dans le vote non, il y a selon lui clairement un rejet de l’Europe et un rejet du Libéralisme parce que « l’offre politique » est uniquement anti-libérale. Il rappelle d’ailleurs que l’énorme succès du poisson d’avril de BFM qui annonçait que Chirac démissionnerai si le Oui passait révèle que c’est plus la classe dirigeante anti-libérale qui pose problème, mais que cela est occulté, détourné, par l’uniformité de l’anti-libéralisme.

Un petit vote a montré que très peu des personnes présentes considéraient que ce résultat était un échec. Selon Camille qui s’est introduit récemment au sein d’une réunion gaucharde pour pointer le fait que le gouvernement s’était moqué des grands discours de leurs leaders, la gauche extrême est en pleine désillusion. Désillusion, ou radicalisation ?

Un autre bilan à tirer, c’est que la gauche, même très divisée du point de vue idéologique (c’est à dire au moins autant que les lib-cons et les anarcaps) ont réussi à faire une campagne unitaire et ont été entendus. Pour cela les libéraux ont des leçons à prendre, et vite. D’autant qu’il nous a été rapporté qu’au cours d’une réunion des réformateurs de l’UMP à Bordeaux autour de Juppé il a été annoncé qu’ils allaient se rassembler autour de ….Raffarin ! Ce qui signifie que les gens que nous libéraux convaincus déléguons pour nous représenter au sein de la majorité nous trahissent, ou se plantent.

Peut être qu’un des problèmes majeur est l’absence totale de stratégie libérale, à la différence d’ATTAC par exemple. La gauche extrême sait très bien ou elle veut aller mais ne le dit pas, par contre elle a une stratégie d’action tendue vers cet objectif. Au contraire les libéraux disent où ils veulent aller mais n’ont pas de stratégie d’action pour y aller. Donc ils effrayent sans agir.

Le débat a d’ailleurs porté un certain temps sur le fait de savoir s’il fallait avancer masquer, quitte même à renoncer à l’appellation « libéral » pour prendre le pouvoir et nous révéler ensuite ou bien affirmer nos idées, aller jusqu’au bout de nos opinions, les assumer, et ce afin de faire s’agiter des idées plutôt que vouloir prendre le pouvoir trop vite. Finalement, nous avons convenu qu’il faut choisir soigneusement les thèmes phares que nous défendons parce qu’il est inutile de parler quand les gens d’en face se bouchent les oreilles (donc ne pas avoir comme thème phare la suppression du droit de grève dans la fonction publique) : il faut choisir des thèmes profonds (ne pas demander le service minimum dans les entreprises publiques mais remettre en cause le monopole) et sur ces thèmes s’assumer et aller jusqu’au bout de nos idées.

Aurel a donné sa vision de l’action politique libérale : la politique, c’est la guerre. Nous sommes en guerre, et il nous faut donc des ennemis. Non des ennemis idéologiques, mais des ennemis pour se réunir contre eux. En effet la question d’une réelle conversion au libéralisme va finir par se poser en France. A ce moment là nous devrons affronter un conflit très dur. Il nous faut donc être prêt à ce moment là. C’est un peu un combat de boxe : il nous faut dès maintenant mettre des coups bas à nos ennemis pour les fatiguer (par exemple insister sur le fait que les syndicats ne sont pas légitimes), les user. Alors lorsque le combat viendra, nous pourrons développer un discours positiviste. Il faut par exemple pilonner le modèle français pour qu’il devienne évident qu’un autre est nécessaire. Selon Aurel, cette lutte rend aussi nécessaire une hiérarchie, l’existence d’un Etat major libéral appuyé par les forces libérales françaises. Cependant on peut aussi considérer que les libéraux ne sont pas assez unis ni assez écoutés parce qu’ils ne sont pas assez présents et qu’au lieu de choisir une association à pousser tout ensemble on peut désirer au contraire voir se multiplier les associations afin que se mette en place un réseau et non une hiérarchie.

Il y a indubitablement actuellement en France des bouleversements politiques profonds et la remise en cause des vieux modèles giscardiens et dirigistes. Le libéralisme peut incarner le changement, mais pour ça il faut redoubler d’efforts. Le rejet des élites profite aux « extrêmes » : les libéraux devraient s’engager dans cette brèche, c’est une formidable occasion. Le non français, c’est aussi la parole de gens qui en ont marre de débats d’intellectuels donc méfions-nous de notre tendance à la théorisation et agissons concrètement, rationnellement. D’autant que les libéraux ne sont pas en position de prendre le pouvoir : nous n’avons donc pas un programme sérieux à présenter, il ne sera pas appliqué, nous n’avons pas à réfléchir avant de prendre des engagements ; par contre nous pouvons tirailler ceux qui sont au pouvoir. Profitons de cette position ! Mais attention aussi à ne pas oublier que l’électeur est l’homme du café du commerce, pas le fin politicien. Pour conclure donc il faut que nous ayons une « panoplie » capable d’intéresser les journalistes à le recherche d’anti-élites et également le citoyen lambda. Pour cela seule la promotion des actions, de tous les types d’action, semble pouvoir donner des résultats. C’est donc ce qu’il faut faire.

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Pour cela les libéraux ont des leçons à prendre, et vite. D’autant qu’il nous a été rapporté qu’au cours d’une réunion des réformateurs de l’UMP à Bordeaux autour de Juppé il a été annoncé qu’ils allaient se rassembler autour de ….Raffarin !

Anecdote cocasse rapportée par Lionel: les libéraux réformateurs de l'UMP voudraient se rasembler autour Jean-Pierre Raffarin.

"Liberalism needs the state to win against the state"

Il rapportait aussi que le nom de Shirak avait été un peu chahuté, dans une réunion UMP quand même. Ca sent la fin de règne.

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Pour cela les libéraux ont des leçons à prendre, et vite. D’autant qu’il nous a été rapporté qu’au cours d’une réunion des réformateurs de l’UMP à Bordeaux autour de Juppé il a été annoncé qu’ils allaient se rassembler autour de ….Raffarin ! Ce qui signifie que les gens que nous libéraux convaincus déléguons pour nous représenter au sein de la majorité nous trahissent, ou se plantent.

Je pourrais, mais je ne suis pas d'accord. D'accord, avec des si on mettrait Paris en bouteille. Mais…

Si Chirac n'avait pas été candidat en 2002, parce qu'il aurait été pulvérisé par la justice avant,

Si Raffarin avait remporté les législatives de la droite en 2002 ( en imaginant un régime parlementaire à l'anglaise ) et donc, devenant Premier ministre, aux commandes, sans personne qui puisse le gêner, le harceler,

Et bien je vais vous dire une chose : on aurait été agréablement surpris. Je suis certain ( je peux me planter, mais bon ) que Raffarin aurait repris la même politique économique que Madelin. C'est Chirac qui était LE problème. Raffarin a voulu foncer. C'était sa place, ou ses idées. Au choix. Moi j'aurais démissionné.

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Chirac l'a bloqué…

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Nouvel Obs

Jean-Pierre Raffarin,

un libéral humaniste

Jean-Pierre Raffarin (AP)

R ares sont ceux qui auraient parié sur lui il y a seulement quelques mois. En nommant lundi Jean-Pierre Raffarin à Matignon, Jacques Chirac a propulsé sur le devant de la scène un homme discret, quasi-inconnu du grand public.

Le président de la région Poitou-Charentes, 53 ans, avait pourtant de quoi jouer les modestes: son passé ministériel est pauvre -il n'a guère occupé que le ministère des PME du gouvernement d'Alain Juppé entre 1995 et 1997- et il est sénateur du plus petit parti de la droite, Démocratie libérale.

Le public lui-même ne le connaît guerre. Selon un sondage IFOP réalisé pour Entreprendre (à paraître le 20 mai), 42% des Français déclarent le connaître. Les femmes sont seulement 30% à l'identifier.

Du coup, Jean-Pierre Raffarin osait à peine jusqu'à récemment rêver à un grand ministère de la Décentralisation, lui qui affirmait dans un ouvrage paru en 1988: "nous sommes tous des régionaux".

"Raffarinades"

Face à son principal rival pour Matignon, Nicolas Sarkozy, Jean-Pierre Raffarin a résolument joué la carte de la proximité, multipliant les "raffarinades" que Jacques Chirac a semées dans ses discours tout au long de la campagne: la "France d'en bas", c'est lui, tout comme la "République des proximités" ou "la démocratie humaniste".

Du coup, le sénateur DL a vu sa cote s'envoler quand les Français ont exprimé, le 21 avril dernier, leur refus d'une classe politique énarque, trop parisienne et jugée arrogante. Mais on dit aussi l'homme brillant. Et il faut l'être un peu pour avoir réussi à ne se fâcher avec personne à droite jusque-là.

Cafés Jacques Vabre

Ancien directeur du marketing des cafés Jacques Vabre et de la société Bernard Krief Communication, Jean-Pierre Raffarin sait également manier les médias et ses formules percutantes dans les meetings plaisent aux militants gaullistes.

Né le 3 août 1948 à Poitiers (Vienne), il a longtemps alterné parcours en entreprise et vie publique. Ce giscardien est entré en 1976 dans le cabinet du secrétaire d'Etat au Travail manuel Lionel Stoléru, où il était en charge de la communication.

En 1988, il devient le plus jeune président de région de France, en succédant à René Monory à la tête du Conseil régional de Poitou-Charentes. Dans le même temps, Jean-Pierre Raffarin se frotte aux réalités locales en tant que maire-adjoint de Chasseneuil-du-Poitou, commune qui accueille le Futuroscope. En 1989, il est élu député européen.

Ministre des PME en 1995

Il lui faudra attendre 1995 et la victoire de Jacques Chirac à la présidentielle pour voir sa fidélité récompensée: il hérite du petit ministère des PME, du Commerce et de l'Artisanat dans le gouvernement d'Alain Juppé. Dans la foulée, il fait son entrée au Sénat.

Au moment de la scission de l'UDF, Jan-Pierre Raffarin suit Alain Madelin à Démocratie libérale, dont il devient même vice-président en 1997. Car l'homme, outre qu'il est un européen convaincu, a de solides convictions libérales et affirme vouloir profondément réformer la France. Pour autant, il veut agir en douceur, à l'opposé d'un Alain Juppé.

"Finesse et géométrie"

"On ne peut réformer que par la confiance. L'arrogance et le passage en force n'aboutissent qu'à des impasses", soulignait-il récemment. "La colère des Français est profonde. Elle appelle l'action, mais aussi la modestie", ajoutait-il. "Pour réformer, il faudra autant de finesse que de géométrie". AP

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Bonjour à tous,

Branle-bas de combat contre le projet «  Identité Nationale Electronique

Sécurisée » (I.N.E.S ) prévu pour début 2006 et qui vise à rendre

obligatoire pour tous l'achat d'une nouvelle carte d'identité à puce

permettant de stocker des informations personnelles et pouvant être consulté

à l'insu du porteur. Ce débat sera lancé par Lionel au cours du prochain

Café Liberté, le 20 juin.

Rendez vous donc, lundi 20 juin à 20 H, au Café le Luxembourg, 58, boulevard

Saint Michel, 75006 Paris.

A lundi

L'équipe du Café Liberté

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Le café Liberté d'hier soir (lundi 20 juin) fut assez inhabituel, car et Camille, maître de cérémonie, et Lionel, qui devait animer et présenter le débat, étaient absents.

En l'occurence, nous ne fûmes que 6 personnes présentes - ce qui n'est pas le pire score connu. J'étais présent ainsi qu' Etienne, P.-A., un membre de Liberté Chérie que nous revîmes après un long "congé paternité" - félicitations à l'heureux papa - ainsi qu'un intervenant extérieur qui venait en observation, se déclara honnêtement non-libéral et "hors tendances". Le pauvre, au bout d'une heure de discussions et 3/4 à se payer la tronche du grand MamamouChichi, il comprenait plus rien: "attendez, mais, heu, vous êtes pas de l'UMP?" A ton avis :warez: ?

Le débat fut bien peu centré. Je tentais de lancer le débat sur INES, malheureusement, je n'avais pas révisé. Je comptais juste arriver, poser mon cul sur la chaise, bouffer en écoutant un exposé à moitié somnolant, et me voilà quasiment bombardé animateur, ce fut une catastrophe :icon_up:

Bref, je tentais de lancer le débat, mais je n'en connaissais pas assez les tenants et les aboutissants, notamment les applications biométriques. Personne ne relayant, nous abandonnâmes le débat.

Puis, j'expliquais aux nouveaux la teneur des précédents débats, et je tentai de restituer les thèmes abordés autour de l'éducation, notamment la gratuité des inscriptions universitaires. Manque de pot, je n'avais pas le document adéquat sur mon PC, et en plus ça n'intéressais personne. Non: JE n'intéressais personne :doigt:

J'eus plus de succès avec une courte présentation du livre de la semaine - là je connaissais mieux le sujet - mais présenter un livre, c'est court.

Finalement, j'arrivai enfin à lancer l'auditoire sur le bon vieux mode "On reeeeefait le match!", à commenter l'actu façon comptoir de bistrot: en l'occurence, la crise du sommet européen sur le budget. Nous lançames métaphoriquement des tomates à la face de NPAT - puis ayant épuisé les tomates imaginaires, nous lui jetâmes tout aussi métaphoriquement les cageots à la gueule. La discussions se lança enfin, sans plan particulier, nous divaguâmes pas mal, tel la bouteille vide jetée à la mer par le fou qui espère qu'on pourra lire à travers S.O.S. écrit avec de l'air.

Bref, nous manquions pas mal de sources, mais la discussion se lança néanmoins. Je ne pense pas que nous convainquimes énormément notre invité par la profondeur de nos arguments. Celui-ci lança au final un débat sur la précarité mais plutôt que de s'adresser à l'assemblée, entama plutôt un dialogue avec son voisin immédiat - Xavier, et j'entendais peu ce qui se disait. Je dus alors partir, laissant les 5 derniers participants, c'est P.-A. ou Eti-N qui vous raconteront la fin, donc.

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Je dus alors partir, laissant les 5 derniers participants, c'est P.-A. ou Eti-N qui vous raconteront la fin, donc.

Bon, donc je m'y colle, même si ce n'est pas tellement interessant.

Il se trouve que notre intervenant non-libéral de la soirée n'avait réellement rien compris de ce qui se passait et a voulu chercher à comprendre de quoi il en revenait, notamment sur la théorie libéral. Force était de constater que son niveau de connaissance du libéralisme, passant par les médias et les partis, était à peu près nul, et nous nous sommes donc appliquer à lui expliquer rapidement théorie (du droit, notamment) et pratique du libéralisme.

Sur quoi nous sommes parti, à son initiative sur du vocabulaire bourdieu-ant et foucault-isant de reproduction sociale, sur l'héritage, et sur le commentaire de films documentaires "engagés", pour finir en beauté par cette phrase "le libéralisme est un mythe" (du point de vue de notre interlocuteur).

Reconnaisons lui une certaine ouverture d'esprit, puisqu'il s'est rendu de son propre chef à la réunion (il se déclarait faiblement politisé, à tendance de gauche). La blague de la soirée, c'était probablement le tollé qu'il a provoqué en posant la question : "mais Chirac, il est bien libéral?". Ca prète plutôt à sourire à vrai dire… :icon_up:

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Invité Aurel

Je n'ai pu venir lundi. Etat comateux. Lundi prochain, je devrais avoir repris des forces. Nous partirons à l'attaque d'INES avec, je l'espère, un tract à la clé pour diffusion publique !

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Bien Résumé Eti-N !

La blague de la soirée, c'était probablement le tollé qu'il a provoqué en posant la question : "mais Chirac, il est bien libéral?". Ca prète plutôt à sourire à vrai dire…  :icon_up:

Tu as oublié celle ci : "la Russie, depuis la chute de l'URSS, est libérale"

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ouaip désolé moi je re-commence les concours (mais les épreuves orales cette fois) donc je n'ai pas pu venir, et je ne serais pas là les deux prochains lundi non plus. Mais bon pour l'instant j'ai des écoles sur Paris alors c'est plutôt prometteur pour l'an prochain !

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ouaip désolé moi je re-commence les concours (mais les épreuves orales cette fois) donc je n'ai pas pu venir, et je ne serais pas là les deux prochains lundi non plus. Mais bon pour l'instant j'ai des écoles sur Paris alors c'est plutôt prometteur pour l'an prochain !

Mince, moi qui comptait te voir maintenant que j'étais libéré, je ne pourrai donc pas ni cette semaine, ni la semaine prochaine. Félicitations pour les concours.

(Pour info, puisqu'on y est, je suis pris en prépa dans un grand lycée parisien, juste à coté du CL)

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Mince, moi qui comptait te voir maintenant que j'étais libéré, je ne pourrai donc pas ni cette semaine, ni la semaine prochaine. Félicitations pour les concours.

(Pour info, puisqu'on y est, je suis pris en prépa dans un grand lycée parisien, juste à coté du CL)

il y en a plein ! H4, LLG, ou saint louis ?

tu fais quoi comme prépa ! Félcitations à toi en tous cas !

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Félicitations les garçons !

Et les dames ?

merci aurel, pour la dame c'est une réussite aussi, mais plutôt aux écoles de province.

j'en profite pôur faire l'annonce du prochain CL :

Bonjour à tous,

Toutes nos excuses pour lundi dernier et l'annulation au dernier moment du

Café Liberté…( pour de bonnes raison cependant. )

Je vous propose donc de nous retrouver pour de bon lundi prochain afin de

débattre de la décision du gouvernement de mettre en place son fameux

programme de carte d'«  Identité Nationale Electronique Sécurisée » (I.N.E.S

) prévu pour début 2006, et qui vise à rendre obligatoire pour tous l'achat

d'une nouvelle carte d'identité à puce permettant de stocker des

informations personnelles et pouvant être consulté à l'insu du porteur.

Lionel lancera le débat par son intervention.

Rendez vous donc, lundi 27 juin à 20 H, au Café le Luxembourg, 58, boulevard

Saint Michel, 75006 Paris.

A lundi

L'équipe du Café Liberté

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